Wahrani 1 465 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 ta pas d'autres betises a sortir au lieu de debattre inteligemment comme le font les autres?l'irak par le passé dans les annees 80 ne cachait pas ses ambitions nucleaires,il n y a pas eu de soupcons direct envers ce paysa la difference de l algerie a qui on la soupconne,c est parce que l algerie fait son arme en toute discretion voila la difference entre l irak et l algerie!! On ne fait pas une bombe atomique comme on fait des M'hadjebs ! :D Et puis , il y a el jma3a qui peuvent lire la marque de ton slip ( si tu en portes un :p ) par satellite ! :mdr: Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 11, 2011 Author Partager Posted December 11, 2011 Ok seuilgaz on va discuter serieusement. 1)Si l'Algérie possède la bombe,elle ne l'a pas fabriquée,donc elle a achetée toute faite aux russes ou aux chinois. 2)Si l'Algérie avait la bombe on l'aurait su.Comme l'a dit Nimos il y a longtemps qu'elle aurait explosé. il est interdit d acheter une bome atomique toute faite,ca les russes et les chinois ne se le permetteront on pas!!sinon pas mal de pays l'auraient acquerise!! pour savoir si la bombe atomique algerienne fonctionne,rien ne l oblige a faire un essaie,et israel qui declare ne pas obtenir la bombe atomique??pourtant aucun essaie a ete effectuer de la part de ce pays!! par rapport a ca l algerie c est comme israel,le secret militaire est bien proteger!! sinon a quoi servent les deux reacteurs algeriennes??je doute que c est uniquement pour produire de l electricité Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 11, 2011 Author Partager Posted December 11, 2011 On ne fait pas une bombe atomique comme on fait des M'hadjebs ! :D Et puis , il y a el jma3a qui peuvent lire la marque de ton slip ( si tu en portes un :p ) par satellite ! :mdr: debat serieusement stp !!!,comment peut on lire de telles anneries!!! Citer Link to post Share on other sites
dodo 10 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 je pense que c est très très possible Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 debat serieusement stp !!!,comment peut on lire de telles anneries!!! C'est tout ce qu'il y a de plus sérieux à opposer à tes âneries , au delà on crève ! :D Au fait , tu existes sous combien de pseudos sur ce forum ? :D Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 11, 2011 Author Partager Posted December 11, 2011 C'est tout ce qu'il y a de plus sérieux à opposer à tes âneries , au delà on crève ! :D Au fait , tu existes sous combien de pseudos sur ce forum ? :D j ai un seul pseudo!! donc tu considere que le sujet que j ai proposer sont des anneries de ma part?sinon comment tu explique que pas mal de forumistes on debattus sur ce topic,apportants de vrais arguments??si ce topic contient des aneries,alors personne ne poste c est evident!! Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 11, 2011 Author Partager Posted December 11, 2011 Mais ceci est faux. Sinon, ça se saurait depuis longtemps et pas sous forme de rumeurs. Ceci sont des rumeurs, de fausses informations prodigués par Israël au commandement américain. par le passé il y a eu de fauses information de la part d israel et des etas unis mais a quoi servent les deux reacteurs d ain oussera,produire de l electricite?? Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 j ai un seul pseudo!! donc tu considere que le sujet que j ai proposer sont des anneries de ma part?sinon comment tu explique que pas mal de forumistes on debattus sur ce topic,apportants de vrais arguments??si ce topic contient des aneries,alors personne ne poste c est evident!! Franchement , est ce que tu penses sérieusement que le commandement militaire algérien ou la direction politique du pays , aient pu un seul instant penser acquérir cette arme , synonyme d'emmerdes sans fin pour un pays qui se situe à une heure de vol de l'europe et qui se trouve encore sur l'autre face de la civilisation ? Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 11, 2011 Author Partager Posted December 11, 2011 Franchement , est ce que tu penses sérieusement que le commandement militaire algérien ou la direction politique du pays , aient pu un seul instant penser acquérir cette arme , synonyme d'emmerdes sans fin pour un pays qui se situe à une heure de vol de l'europe et qui se trouve encore sur l'autre face de la civilisation ? pourquoi cet arme serait il synonyme d emmerde??tu pense vraiment que l algerie finira come l irak?? Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 pourquoi cet arme serait il synonyme d emmerde??tu pense vraiment que l algerie finira come l irak?? Réfléchis bien ! Si on possède cette arme , en cas de conflit on est sûr d'être effacé de la surface de la planète . Ce privilège a été arraché par des nations qui visent la hierarchie planétaire et sois sûr qu'ils ne permettront plus à d'autres que l'Inde ou le Pakistan de posséder cette arme . La possession de l'Algérie de l'arme atomique signifie automatiquement une mise en quarantaine et une surveillance accrue et continue de tout ce qui est algérien , car nous serions à ce moment là des hors la loi au vu du droit international , car nous sommes signataires du traité de non prolifération et les inspecteurs de l'AIEA passent souvent pour contrôler nos installations de recherche . On ne fabrique pas que des bombes atomiques avec du combustible nucléaire , mais des turbines nucléaires , des application dans la medecine de pointe et divers autres domaines . Posséder deux réacteurs nucléaires de trés faible capacité n'a jamais inquiété les américains , malgré quelques campagnes médiatiques par ci et par là . Citer Link to post Share on other sites
TIGZIRT 10 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 [YOUTUBE]LhC2wNueU9U&feature[/YOUTUBE] a vous!!!Ceci est mon rêve ultime...voir un jour l'Algérie procéder à des essais nucléaires...'ce devrait être l'ultime priorité des priorités.. Mais avant, il faut virer les Hizb Franca qui la gouverne, assainir et dératiser... Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 11, 2011 Author Partager Posted December 11, 2011 Ceci est mon rêve ultime...voir un jour l'Algérie procéder à des essais nucléaires...'ce devrait être l'ultime priorité des priorités.. Mais avant, il faut virer les Hizb Franca qui la gouverne, assainir et dératiser... oui en priorite virer les hizb franca Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 11, 2011 Author Partager Posted December 11, 2011 Réfléchis bien ! Si on possède cette arme , en cas de conflit on est sûr d'être effacé de la surface de la planète . Ce privilège a été arraché par des nations qui visent la hierarchie planétaire et sois sûr qu'ils ne permettront plus à d'autres que l'Inde ou le Pakistan de posséder cette arme . La possession de l'Algérie de l'arme atomique signifie automatiquement une mise en quarantaine et une surveillance accrue et continue de tout ce qui est algérien , car nous serions à ce moment là des hors la loi au vu du droit international , car nous sommes signataires du traité de non prolifération et les inspecteurs de l'AIEA passent souvent pour contrôler nos installations de recherche . On ne fabrique pas que des bombes atomiques avec du combustible nucléaire , mais des turbines nucléaires , des application dans la medecine de pointe et divers autres domaines . Posséder deux réacteurs nucléaires de trés faible capacité n'a jamais inquiété les américains , malgré quelques campagnes médiatiques par ci et par là . pas forcement des hors la loi,l algerie est signataire du tpn mais ne l a pas ratifier,moi je ne pretent pas que l algerie a la bombe atomique mais c est une reelle possibilite qu elle la detienne!elle ne laissra pas israel etre maitre du nucleraire dans la region du monde arabe Citer Link to post Share on other sites
bouchra3 10 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 notre bombe nucléaire est tout le pétrole qu'on a.............. Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 pas forcement des hors la loi,l algerie est signataire du tpn mais ne l a pas ratifier,moi je ne pretent pas que l algerie a la bombe atomique mais c est une reelle possibilite qu elle la detienne!elle ne laissra pas israel etre maitre du nucleraire dans la region du monde arabe C'est ce qu'on appelle un voeux pieux ! :D Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 11, 2011 Author Partager Posted December 11, 2011 C'est ce qu'on appelle un voeux pieux ! :D les agences de l aiei a et les services secrets cia et mossad peuvent ne pas etre parfait a 100pourt cent lorsqu il s agit de trouver quelques choses bien enfouie!! Citer Link to post Share on other sites
TIGZIRT 10 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 pas forcement des hors la loi,l algerie est signataire du tpn mais ne l a pas ratifier,moi je ne pretent pas que l algerie a la bombe atomique mais c est une reelle possibilite qu elle la detienne!elle ne laissra pas israel etre maitre du nucleraire dans la region du monde arabela possession de l'arme nucléaire est un droit inaliénable, un point c'est tout! Si un jour l'Algérie l'acquiert, on pourra enfin parler d'indépendance. Citer Link to post Share on other sites
ytreza 10 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 oooooooooooooo Citer Link to post Share on other sites
Ayrod 10 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 Ceci est mon rêve ultime...voir un jour l'Algérie procéder à des essais nucléaires...'ce devrait être l'ultime priorité des priorités.. Mais avant, il faut virer les Hizb Franca qui la gouverne, assainir et dératiser... Lis ce que Wahrani a posté plus haut,je crois que c'est la triste réalité. Citer Link to post Share on other sites
TIGZIRT 10 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 ouai on va leur monter ce qu'est un droit inaliénable!!! avec des ultra nationalistes complexés de votre genre autant donner les commandes à des malades mentaux...il vaut mieux être patriote que soumis surtout...le complexe du colonisé te suivra toujours.... j'ai de la peine pour toi...vraiment... Citer Link to post Share on other sites
TIGZIRT 10 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 Lis ce que Wahrani a posté plus haut,je crois que c'est la triste réalité. Je ne le pense pas et les faits sont la.... Si la Corée du Nord est intouchable c'est juste parce qu'elle possède l'arme atomique, sans cela les GI'S auraient déja des bases militaires chez eux... Si la RII n'est pas rayée de la carte, c'est à cause des fortes suspicions quant à son arme nucléaire, c'est aussi pourquoi les ricains, l'entité sioniste, gesticulent depuis 20 ans sans agir.... Le seul garant de l'indépendance est l'arme nucléaire! Citer Link to post Share on other sites
Zombretto 1 127 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 ouai on va leur monter ce qu'est un droit inaliénable!!! avec des ultra nationalistes complexés de votre genre autant donner les commandes à des malades mentaux... Normalement .... personne ne devrait .... posseder cette arme .... infernale .... mais selon la legalite .... internationale tout le monde .... y a droit Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 11, 2011 Author Partager Posted December 11, 2011 Normalement .... personne ne devrait .... posseder cette arme .... infernale .... mais selon la legalite .... internationale tout le monde .... y a droit la denucleairisation doit concernenr tous les pays du monde,si tous le monde est d accord et un seul etat refuse il n y aura pas de denucleairisation Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 11, 2011 Author Partager Posted December 11, 2011 Découverte en Algérie d'un site de fabrication de la bombe atomique ! Dans le domaine de l’armement nucléaire, l’Algérie doit être classée dans les pays « à risque » du point de vue de la prolifération. C’est là l’une des principales conclusions de Bruno Tertrais. Cet expert français, spécialiste des questions internationales, travaille depuis plus d’une décennie sur le dossier nucléaire. Il vient de publier un livre-événement : « Le marché noir de la bombe ». Un long chapitre y est réservé au projet de la bombe atomique algérienne. Analyse. e dossier du projet algérien de fabrication d’une bombe atomique refait surface. C’est l’expert français de renommée internationale, Bruno Tertrais, qui vient de briser le silence sur ce sujet. A travers son nouvel ouvrage « Le marché noir de la bombe » qu’il vient de publier chez Buchet-Chastel, cet expert démontre que l’Algérie reste encore un pays suspect en ce qui concerne l’armement nucléaire. Au terme d’une recherche approfondie sur la question, Bruno Tertrais est formel. « L’Algérie est un autre candidat possible au statut de puissance nucléaire. Ses capacités dans ce domaine sont peu connues, mais pourtant bien réelles », écrit-il dans le long chapitre qu’il réserve dans son livre au projet algérien. « Le programme secret conduit par l’armée algérienne n’a été découvert que très tard », rappelle-t-il, avant de donner ces détails précis : « En 1991, l’Agence internationale pour l’énergie atomique savait que l’Algérie s’était dotée d’un petit réacteur de fabrication argentine, et qui était entré en service deux ans auparavant. Ce réacteur à eau légère dénommé « Nour » (lumière) de faible puissance (un mégawatt thermique), était surveillé et ne comportait pas de risque de prolifération. Mais ce que l’Agence ne savait pas, c’est que l’armée algérienne avait signé, en 1983, un accord avec la Chine pour la fourniture d’une installation beaucoup plus importante. Un réacteur de quinze mégawatts thermiques, dénommé es-Salam (paix) avait été construit à la fin des années 1980, dans le secret le plus total, sur le site d’Aïn Oussera, dans le désert du Sahara, à deux cent cinquante kilomètres au sud de la capitale. Il n’a été découvert qu’en 1991 par les satellites américains. Utilisant l’eau lourde comme fluide modérateur, il se prêterait assez facilement à une utilisation militaire : il pourrait permettre, à partir d’uranium naturel, de produire en un an assez de plutonium de la qualité nécessaire pour une bombe ». S’appuyant sur le témoignage d’un ancien ministre en fonction à l’époque, qui n’avait pas été tenu au courant du programme nucléaire de son pays, l’auteur souligne : « cela ne fait aucun doute : les militaires voulaient disposer d’une ‘option nucléaire’ ». Et maintenant ? Qu’en est-il du fou projet algérien aujourd’hui ? « Le réacteur étant opérationnel depuis 1992, l’Algérie pourrait disposer aujourd’hui de combustible irradié ayant refroidi plus de dix ans, ce qui rendrait sa manipulation plus facile. Il est possible que certaines barres de combustible aient été retirées sans que l’AIEA soit avertie », répond l’auteur. Et d’ajouter : « au regard des sources publiques, le statut exact des capacités actuelles de l’Algérie en matière de séparation de plutonium reste incertain. Plusieurs bâtiments du complexe d’Aïn Oussera ont été identifiés par des analystes comme pouvant accueillir de telles installations – mais l’AIEA n’y a pas eu accès. Un analyste israélien parle de capacités « dormantes » mais réelles ». Autre raison évoquée : « l’Algérie dispose également d’une usine de fabrication de combustible et de réserves d’uranium significatives. Elle est ainsi l’un des seuls pays du Moyen-Orient qui pourrait prétendre à un programme nucléaire entièrement autonome ». « Certes, Alger n’a probablement pas de raison immédiate de lancer ou de relancer des activités dédiées au nucléaire militaire. De fait, en dépit de relations traditionnellement difficiles avec certains de ses voisins (Libye, Maroc), aucun d’entre eux ne constitue aujourd’hui une menace militaire immédiate. Alger prétend d’ailleurs ne pas être intéressée par l’enrichissement ou le retraitement. Mais les caractéristiques de son programme, son soutien ouvert à l’Iran, et son refus de souscrire au Protocole additionnel de vérification de l’AIEA, attisent les soupçons et ne peuvent que conduire à la conclusion que l’Algérie doit être classée dans les pays « à risque » du point de vue de la prolifération ». Si Alger n’a rien à se reprocher, s’interroge l’auteur, pourquoi les autorités algériennes n’ont toujours pas ratifié le texte du protocole additionnel concernant leur pays. Ce document a été pourtant approuvé par l’AIEA depuis 2004. « Le moins que l’on puisse dire est qu’Alger ne semble pas pressé de voir les inspecteurs de l’Agence mettre leur nez dans ses installations nucléaires. Pour des raisons de statut, elle pourrait ne pas vouloir laisser l’Arabie Saoudite, et surtout l’Égypte, devenir la première puissance nucléaire arabe. Un éventuel programme nucléaire militaire pourrait aussi contribuer, comme cela a été le cas au Pakistan par le passé, à garantir la pérennité du contrôle de l’armée sur le régime », conclut Bruno Tertrais. Focus - « Si l’armée avait laissé le Front islamique du salut (FIS) remporter le deuxième tour des élections législatives en janvier 1992 – au lieu de les annuler, au prix d’une terrible guerre civile dans les années qui suivirent – l’Algérie serait peut-être aujourd’hui gouvernée par un régime islamiste disposant de l’arme atomique… », peut-on lire dans « Le marché noir de la bombe » - « L’Algérie dispose d’une infrastructure nucléaire très importante, quasiment équivalente à celle de l’Égypte, et de solides compétences scientifiques et technologiques dans ce domaine, fédérées par plusieurs institutions de recherche (notamment le Centre des sciences et de la technologie nucléaires) », écrit Bruno Tertrais. Fébrilité des autorités algériennes Comme le relèvent différents spécialistes des questions nucléaires, Alger se montre à chaque fois fébrile dès que des questions sur son arsenal militaire nucléaire sont posées. C’est encore le cas aujourd’hui avec la publication du livre « Le marché noir de la bombe ». C’était aussi le cas en 1991. Cet extrait du livre de Brunon Tertrais est édifiant à ce sujet : « après la découverte du réacteur, les soupçons furent attisés par le rappel par Londres, le 10 avril 1991, du colonel William Cross, l’attaché militaire britannique en poste à Alger. Ce rappel avait été exigé par le gouvernement algérien, l’officier ayant eu l’idée de s’approcher un peu trop près de la base d’Aïn Oussera. Le lendemain, l’existence du réacteur est révélée publiquement par un article du Washington Times, sous la plume du journaliste Bill Gertz (spécialisé dans les fuites, calculées ou non, en provenance du Pentagone et des services de renseignement) ». Le problème c’est que les responsables algériens qui pilotaient le projet de la bombe atomique, ont su si bien gagner du temps, même si leur projet est sorti du domaine du secret. « L’Algérie s’apprêtait alors à mettre en service le réacteur d’es-Salam. La révélation publique de l’existence du réacteur la força à déclarer son existence à l’AIEA et de le mettre sous le contrôle de l’Agence. Sans doute les dirigeants algériens n’avaient-ils guère le choix : le gouvernement était en difficulté, et dépendant de l’assistance étrangère. Mais les questions relatives au programme algérien restent d’autant plus pertinentes qu’après la mise en service du réacteur es-Salam, Pékin a poursuivi sa coopération avec Alger au travers de deux contrats signés en 1996, qui concernaient la production d’isotopes et la construction de cellules chaudes », écrit Tertrais. Alger adopte aujourd’hui encore la même attitude. Dès après la publication du livre de Bruno Tertrais, le ministre algérien de l’Énergie et de Mines, Chakib Khelil a répliqué que son pays « est en train de mettre en place les mesures qui lui permettraient de signer le protocole additionnel au Traité de non-prolifération des armes nucléaires ». C’est d’ailleurs ce que laissent entendre les responsables algériens à chaque fois qu’ils sont interpellés sur le programme nucléaire de leur pays. « L’Algérie est soumise à toutes les inspections de l’AIEA (Agence internationale pour l’énergie atomique). Donc, tout le monde sait que nous sommes transparents et ouverts à toutes ces inspections. Ce qui n’est pas le cas, peut-être, de beaucoup de pays qui s’érigent en juges des autres », a lancé le même responsable qui n’a pas pu cacher son irritation. Seulement, les déclarations officielles ne suffisent pas à l’Algérie pour montrer sa bonne foi à l’Agence internationale de l’énergie atomique et à la communauté internationale. Alger doit ouvrir effectivement les portes des centres secrets situés près du village de Aïn Oussera où un second réacteur susceptible de servir à fabriquer des armes nucléaires serait en construction, comme le confirment différents experts internationaux. Pour rappel, bien avant Bruno Tertrais, le spécialiste américain Henry Sokolski, a publié un ouvrage intitulé « America’s Campaign Against Strategic Weapons Proliferation » (La campagne américaine contre la prolifération des armes stratégiques), où il a plaidé en faveur de «la nécessité» de stopper les programmes nucléaires de la Corée du Nord, de l’Iran, de la Syrie, du Pakistan, de l’Arabie Saoudite et de l’Algérie. Selon cet expert de renommée internationale, ces pays constituent « un danger pour l’humanité ». Bien sûr que cette conclusion pourrait être contestable du fait que Sokolski n’inclut pas Israël dans sa liste, mais il n’en demeure pas moins que là encore l’Algérie est pointée du doigt dans le domaine de l’armement nucléaire. Ce qui est loin d’être le fruit d’un hasard. Encore moins d’une « cabale contre l’Algérie » comme le laissent entendre certains journalistes algériens. Eux-mêmes doivent être les premiers à pousser les autorités de leur pays à lever toute zone d’ombre sur le dossier du nucléaire militaire. Pour cela, il n’y a pas 36 mille solutions. Il suffit que l’AIEA puisse inspecter tous les lieux suspects pour qu’elle établisse son rapport officiel en connaissance de cause. C’est quand ce rapport sera publié, que tout le monde en aura le cœur net. Mais pas avant. Surtout qu’il est quand même bizarre que monsieur le ministre algérien de l’Energie puisse déclarer en février de cette année que vers 2020 son pays aura sa première centrale nucléaire et qu’il aura ensuite une centrale tous les cinq ans, avant de revenir sur ses paroles cinq mois plus tard pour dire : « l’énergie nucléaire n’est plus une priorité pour l’Algérie ». N’est-ce pas étonnant ? Découverte en Algérie d'un site de fabrication de la bombe atomique ! - L'actu vue par JSS Citer Link to post Share on other sites
Louny 10 Posted December 11, 2011 Partager Posted December 11, 2011 Découverte en Algérie d'un site de fabrication de la bombe atomique ! Dans le domaine de l’armement nucléaire, l’Algérie doit être classée dans les pays « à risque » du point de vue de la prolifération. C’est là l’une des principales conclusions de Bruno Tertrais. Cet expert français, spécialiste des questions internationales, travaille depuis plus d’une décennie sur le dossier nucléaire. Il vient de publier un livre-événement : « Le marché noir de la bombe ». Un long chapitre y est réservé au projet de la bombe atomique algérienne. Analyse. e dossier du projet algérien de fabrication d’une bombe atomique refait surface. C’est l’expert français de renommée internationale, Bruno Tertrais, qui vient de briser le silence sur ce sujet. A travers son nouvel ouvrage « Le marché noir de la bombe » qu’il vient de publier chez Buchet-Chastel, cet expert démontre que l’Algérie reste encore un pays suspect en ce qui concerne l’armement nucléaire. Au terme d’une recherche approfondie sur la question, Bruno Tertrais est formel. « L’Algérie est un autre candidat possible au statut de puissance nucléaire. Ses capacités dans ce domaine sont peu connues, mais pourtant bien réelles », écrit-il dans le long chapitre qu’il réserve dans son livre au projet algérien. « Le programme secret conduit par l’armée algérienne n’a été découvert que très tard », rappelle-t-il, avant de donner ces détails précis : « En 1991, l’Agence internationale pour l’énergie atomique savait que l’Algérie s’était dotée d’un petit réacteur de fabrication argentine, et qui était entré en service deux ans auparavant. Ce réacteur à eau légère dénommé « Nour » (lumière) de faible puissance (un mégawatt thermique), était surveillé et ne comportait pas de risque de prolifération. Mais ce que l’Agence ne savait pas, c’est que l’armée algérienne avait signé, en 1983, un accord avec la Chine pour la fourniture d’une installation beaucoup plus importante. Un réacteur de quinze mégawatts thermiques, dénommé es-Salam (paix) avait été construit à la fin des années 1980, dans le secret le plus total, sur le site d’Aïn Oussera, dans le désert du Sahara, à deux cent cinquante kilomètres au sud de la capitale. Il n’a été découvert qu’en 1991 par les satellites américains. Utilisant l’eau lourde comme fluide modérateur, il se prêterait assez facilement à une utilisation militaire : il pourrait permettre, à partir d’uranium naturel, de produire en un an assez de plutonium de la qualité nécessaire pour une bombe ». S’appuyant sur le témoignage d’un ancien ministre en fonction à l’époque, qui n’avait pas été tenu au courant du programme nucléaire de son pays, l’auteur souligne : « cela ne fait aucun doute : les militaires voulaient disposer d’une ‘option nucléaire’ ». Et maintenant ? Qu’en est-il du fou projet algérien aujourd’hui ? « Le réacteur étant opérationnel depuis 1992, l’Algérie pourrait disposer aujourd’hui de combustible irradié ayant refroidi plus de dix ans, ce qui rendrait sa manipulation plus facile. Il est possible que certaines barres de combustible aient été retirées sans que l’AIEA soit avertie », répond l’auteur. Et d’ajouter : « au regard des sources publiques, le statut exact des capacités actuelles de l’Algérie en matière de séparation de plutonium reste incertain. Plusieurs bâtiments du complexe d’Aïn Oussera ont été identifiés par des analystes comme pouvant accueillir de telles installations – mais l’AIEA n’y a pas eu accès. Un analyste israélien parle de capacités « dormantes » mais réelles ». Autre raison évoquée : « l’Algérie dispose également d’une usine de fabrication de combustible et de réserves d’uranium significatives. Elle est ainsi l’un des seuls pays du Moyen-Orient qui pourrait prétendre à un programme nucléaire entièrement autonome ». « Certes, Alger n’a probablement pas de raison immédiate de lancer ou de relancer des activités dédiées au nucléaire militaire. De fait, en dépit de relations traditionnellement difficiles avec certains de ses voisins (Libye, Maroc), aucun d’entre eux ne constitue aujourd’hui une menace militaire immédiate. Alger prétend d’ailleurs ne pas être intéressée par l’enrichissement ou le retraitement. Mais les caractéristiques de son programme, son soutien ouvert à l’Iran, et son refus de souscrire au Protocole additionnel de vérification de l’AIEA, attisent les soupçons et ne peuvent que conduire à la conclusion que l’Algérie doit être classée dans les pays « à risque » du point de vue de la prolifération ». Si Alger n’a rien à se reprocher, s’interroge l’auteur, pourquoi les autorités algériennes n’ont toujours pas ratifié le texte du protocole additionnel concernant leur pays. Ce document a été pourtant approuvé par l’AIEA depuis 2004. « Le moins que l’on puisse dire est qu’Alger ne semble pas pressé de voir les inspecteurs de l’Agence mettre leur nez dans ses installations nucléaires. Pour des raisons de statut, elle pourrait ne pas vouloir laisser l’Arabie Saoudite, et surtout l’Égypte, devenir la première puissance nucléaire arabe. Un éventuel programme nucléaire militaire pourrait aussi contribuer, comme cela a été le cas au Pakistan par le passé, à garantir la pérennité du contrôle de l’armée sur le régime », conclut Bruno Tertrais. Focus - « Si l’armée avait laissé le Front islamique du salut (FIS) remporter le deuxième tour des élections législatives en janvier 1992 – au lieu de les annuler, au prix d’une terrible guerre civile dans les années qui suivirent – l’Algérie serait peut-être aujourd’hui gouvernée par un régime islamiste disposant de l’arme atomique… », peut-on lire dans « Le marché noir de la bombe » - « L’Algérie dispose d’une infrastructure nucléaire très importante, quasiment équivalente à celle de l’Égypte, et de solides compétences scientifiques et technologiques dans ce domaine, fédérées par plusieurs institutions de recherche (notamment le Centre des sciences et de la technologie nucléaires) », écrit Bruno Tertrais. Fébrilité des autorités algériennes Comme le relèvent différents spécialistes des questions nucléaires, Alger se montre à chaque fois fébrile dès que des questions sur son arsenal militaire nucléaire sont posées. C’est encore le cas aujourd’hui avec la publication du livre « Le marché noir de la bombe ». C’était aussi le cas en 1991. Cet extrait du livre de Brunon Tertrais est édifiant à ce sujet : « après la découverte du réacteur, les soupçons furent attisés par le rappel par Londres, le 10 avril 1991, du colonel William Cross, l’attaché militaire britannique en poste à Alger. Ce rappel avait été exigé par le gouvernement algérien, l’officier ayant eu l’idée de s’approcher un peu trop près de la base d’Aïn Oussera. Le lendemain, l’existence du réacteur est révélée publiquement par un article du Washington Times, sous la plume du journaliste Bill Gertz (spécialisé dans les fuites, calculées ou non, en provenance du Pentagone et des services de renseignement) ». Le problème c’est que les responsables algériens qui pilotaient le projet de la bombe atomique, ont su si bien gagner du temps, même si leur projet est sorti du domaine du secret. « L’Algérie s’apprêtait alors à mettre en service le réacteur d’es-Salam. La révélation publique de l’existence du réacteur la força à déclarer son existence à l’AIEA et de le mettre sous le contrôle de l’Agence. Sans doute les dirigeants algériens n’avaient-ils guère le choix : le gouvernement était en difficulté, et dépendant de l’assistance étrangère. Mais les questions relatives au programme algérien restent d’autant plus pertinentes qu’après la mise en service du réacteur es-Salam, Pékin a poursuivi sa coopération avec Alger au travers de deux contrats signés en 1996, qui concernaient la production d’isotopes et la construction de cellules chaudes », écrit Tertrais. Alger adopte aujourd’hui encore la même attitude. Dès après la publication du livre de Bruno Tertrais, le ministre algérien de l’Énergie et de Mines, Chakib Khelil a répliqué que son pays « est en train de mettre en place les mesures qui lui permettraient de signer le protocole additionnel au Traité de non-prolifération des armes nucléaires ». C’est d’ailleurs ce que laissent entendre les responsables algériens à chaque fois qu’ils sont interpellés sur le programme nucléaire de leur pays. « L’Algérie est soumise à toutes les inspections de l’AIEA (Agence internationale pour l’énergie atomique). Donc, tout le monde sait que nous sommes transparents et ouverts à toutes ces inspections. Ce qui n’est pas le cas, peut-être, de beaucoup de pays qui s’érigent en juges des autres », a lancé le même responsable qui n’a pas pu cacher son irritation. Seulement, les déclarations officielles ne suffisent pas à l’Algérie pour montrer sa bonne foi à l’Agence internationale de l’énergie atomique et à la communauté internationale. Alger doit ouvrir effectivement les portes des centres secrets situés près du village de Aïn Oussera où un second réacteur susceptible de servir à fabriquer des armes nucléaires serait en construction, comme le confirment différents experts internationaux. Pour rappel, bien avant Bruno Tertrais, le spécialiste américain Henry Sokolski, a publié un ouvrage intitulé « America’s Campaign Against Strategic Weapons Proliferation » (La campagne américaine contre la prolifération des armes stratégiques), où il a plaidé en faveur de «la nécessité» de stopper les programmes nucléaires de la Corée du Nord, de l’Iran, de la Syrie, du Pakistan, de l’Arabie Saoudite et de l’Algérie. Selon cet expert de renommée internationale, ces pays constituent « un danger pour l’humanité ». Bien sûr que cette conclusion pourrait être contestable du fait que Sokolski n’inclut pas Israël dans sa liste, mais il n’en demeure pas moins que là encore l’Algérie est pointée du doigt dans le domaine de l’armement nucléaire. Ce qui est loin d’être le fruit d’un hasard. Encore moins d’une « cabale contre l’Algérie » comme le laissent entendre certains journalistes algériens. Eux-mêmes doivent être les premiers à pousser les autorités de leur pays à lever toute zone d’ombre sur le dossier du nucléaire militaire. Pour cela, il n’y a pas 36 mille solutions. Il suffit que l’AIEA puisse inspecter tous les lieux suspects pour qu’elle établisse son rapport officiel en connaissance de cause. C’est quand ce rapport sera publié, que tout le monde en aura le cœur net. Mais pas avant. Surtout qu’il est quand même bizarre que monsieur le ministre algérien de l’Energie puisse déclarer en février de cette année que vers 2020 son pays aura sa première centrale nucléaire et qu’il aura ensuite une centrale tous les cinq ans, avant de revenir sur ses paroles cinq mois plus tard pour dire : « l’énergie nucléaire n’est plus une priorité pour l’Algérie ». N’est-ce pas étonnant ? Découverte en Algérie d'un site de fabrication de la bombe atomique ! - L'actu vue par JSS Tu ne liras ces inepties que dans les journaux israéliens. Citer Link to post Share on other sites
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