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nationalité ou religion.


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qui passe en premier?

pour moi c'est la nationalité.

 

 

Il est clair que dans un pays qui se respecte ou la démocratie règne et donc ou la tolérance est présente on peut être algériens musulmans, juifs, chrétiens ou pourquoi pas lai et le dénominateur commun de tout ce beau monde est bien sur la nationalité algérienne qui prime sur la couleur de la religion

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qui passe en premier?

pour moi c'est la nationalité.

 

La nationalité passe en second lieu puisqu'on peut être de double nationalité (voir triple), mais on ne peut être que d'une seule religion.

 

La religion passe donc en premier, que l'on considère la question d'un point de vue subjectif ou objectif.

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incontestablement ,la nationalité passe avant la religion pour identifier une personne dans un environnement geographique stable,déterminé qui est un etat.

 

le jour ,ou la religion passera en priorité comme identifiant exclusif et prioritaire ,cela voudra dire que nous avons régressé ,perdu notre indépendance, que les etats n'existent plus ,qu'il n'y a plus de souverainetés nationales,qu'il y a une base de donnèes qui répertorient les êtres selon une classification religieuse avec à sa tête un commandement basé en un lieu donné (probablement mecque-medine) ,qui constituera une sorte de 'clergé' unifiant les ordres donnès par des religieux du style de el-karadhaoui. ....surfant sur le hallal-haram selon certains intêrets....surement pas les intêrets economiques de ces musulmans soumis.

 

cette hypothése ,ou futur projet est relaté par des révelations faites par des anciens militaires americains .cette hypothese expliquerait pourquoi les partis islamistes sont encouragés par H.clinton et son groupe.

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incontestablement ,la nationalité passe avant la religion pour identifier une personne dans un environnement geographique stable,déterminé qui est un etat.

 

Au contraire, la nationalité est très contestable vu qu'on peut être de double, voir de triple nationalité. A mon avis, ce simple fait suffit à ôter toute pertinence au concept de nationalité.

 

Parlons plutôt d’appartenance...C'est nettement moins équivoque.

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La religion passe en premier, c'est pas la nationalité qui va me sauver le jour du jugement dernier.

 

La nationalité passe en premier. Très loin devant.

 

J'aurais toujours plus d'affinité avec un algérien juif ou chrétien qu'avec un pakistanais ou un yéménite musulmans.

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tout simplement........................

 

Déclaration universelle des droits de l'homme

 

Préambule

 

Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.

 

Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité et que l'avènement d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l'homme.

 

Considérant qu'il est essentiel que les droits de l'homme soient protégés par un régime de droit pour que l'homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression.

 

Considérant qu'il est essentiel d'encourager le développement de relations amicales entre nations.

 

Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité des droits des hommes et des femmes, et qu'ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande.

 

Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l'Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l'homme et des libertés fondamentales.

 

Considérant qu'une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement.

 

L'Assemblée Générale proclame la présente Déclaration universelle des droits de l'homme comme l'idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l'esprit, s'efforcent, par l'enseignement et l'éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d'en assurer, par des mesures progressives d'ordre national et international, la reconnaissance et l'application universelles et effectives, tant parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction.

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La nationalité passe en premier. Très loin devant.

 

J'aurais toujours plus d'affinité avec un algérien juif ou chrétien qu'avec un pakistanais ou un yéménite musulmans.

 

Mais un algérien musulman aura nettement d'autres affinités plus importantes qu'avec un algérien athée ayant la double nationalité algérienne et française. Mieux encore, un algérien tout court (nationalité) n'aura aucun affinité avec un français (nationalité) et en aura de grandes avec un musulman turc (religion).

 

Aiguisons les concepts et parlons plutôt appartenance...La nationalité est un concept biaisé. La preuve: on peut en avoir jusqu'à trois!

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Article premier

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

 

Article 2

1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.

2.De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.

 

Article 3

Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

 

Article 4

Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.

 

Article 5

Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

 

Article 6

Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.

 

Article 7

Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

 

Article 8

Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.

 

Article 9

Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.

 

Article 10

Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.

 

Article 11

1. Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.

2. Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d'après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'acte délictueux a été commis.

 

Article 12

Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

Article 13

1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l'intérieur d'un Etat.

2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.

Article 14

1. Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays.

2. Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.

Article 15

1. Tout individu a droit à une nationalité.

2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.

Article 16

1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.

2. Le mariage ne peut être conclu qu'avec le libre et plein consentement des futurs époux.

3. La famille est l'élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l'Etat.

Article 17

1. Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété.

2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.

Article 18

Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.

Article 19

Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

Article 20

1. Toute personne a droit à la liberté de réunion et d'association pacifiques.

2. Nul ne peut être obligé de faire partie d'une association.

Article 21

1. Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis.

2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité, aux fonctions publiques de son pays.

3. La volonté du peuple est le fondement de l'autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s'exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.

Article 22

Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l'effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l'organisation et des ressources de chaque pays.

Article 23

1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.

2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.

3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.

4. Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.

Article 24

Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.

Article 25

1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.

2. La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.

Article 26

1. Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental. L'enseignement élémentaire est obligatoire. L'enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l'accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite.

2. L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.

3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.

Article 27

1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.

2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.

Article 28

Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

Article 29

1. L'individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seule le libre et plein développement de sa personnalité est possible.

2. Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.

3. Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies.

Article 30

Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.

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Mais un algérien musulman aura nettement d'autres affinités plus importantes qu'avec un algérien athée ayant la double nationalité algérienne et française. Mieux encore, un algérien tout court (nationalité) n'aura aucun affinité avec un français (nationalité) et en aura de grandes avec un musulman turc (religion).

 

Parlons plutôt appartenance...La nationalité est un concept biaisé. La preuve: on peut en avoir jusqu'à trois!

 

 

On peut être attaché à l'Algérie, à la France et au Perou... et après ?

 

Ne prend pas la nationalité au sens administratif mais plutôt comme un attachement profond à une terre, à son âme, à sa culture.

 

La religion est plutôt d'ordre privée voir de l'intime. Sauf dans les théocraties totalitaires bien entendu. :rolleyes:

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On peut être attaché à l'Algérie, à la France et au Perou... et après ?

 

Ne prend pas la nationalité au sens administratif mais plutôt comme un attachement profond à une terre, à son âme, à sa culture.

 

La religion est plutôt d'ordre privée voir de l'intime. Sauf dans les théocraties totalitaires bien entendu. :rolleyes:

 

C'est pour cela que j'ai dit qu'il fallait parler d'appartenance (ce concept renvoie plus à l'attachement profond dont tu parles), que de nationalité, qui est une notion qui peut aller dans tous les sens ua point d'en en avoir aucun.

 

Quant à la religion elle n'est pas, et n'a jamais été, d'ordre privée. La religion se revendique du groupe et de la communauté (dans ses rites, ses buts, son organisation, assemblées et leurs lieux, etc.) et est de ce fait public. C'est plutôt l'athéisme qui est d'ordre strictement privé puisque ne revendiquant ni groupe, ni communauté, etc. C'est l'athéisme qui est éminemment individuel, la religion est collective!

 

As-tu déjà vu une religion pratiquée par une seule personne?

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Au contraire, la nationalité est très contestable vu qu'on peut être de double, voir de triple nationalité. A mon avis, ce simple fait suffit à ôter toute pertinence au concept de nationalité.

 

Parlons plutôt d’appartenance...C'est nettement moins équivoque.

 

on peut avoir deux nationalitès ,oui.mais on peut egalement n'avoir aucune religion.ou appartenir ,selon de libres convictions à une croyance déterminée,comment faire alors pour déterminer l'appartenance dans un document ?....(ex:l'inde)

 

 

le jour ou le concept de nationalitè disparaitra ,ce jour là ,nous serons finis en tant que pays.

si je dis cela,c'est parceque ,reellement il y a des volontés pour détruire ce concept en voulant détruire les etats-nations.

le travail qu'ils font actuellement pour y arriver ,c'est justement en faisant la promotion de la differentiation par la religion ou l'ethnie.il ne faut pas tomber dans ce piege .si la religion est importante dans son coeur et dans ses pratiques ,elle ne doit pas être un element de differentiation au niveau de l'appartenance geographique.

 

une gigantesque base de donnèes informatisée est entrain de s'elaborer pour repertorier les êtres humains selons certains critères (religions,sectes...),une fois le travail de destruction des etats et des frontieres effectués.ce n'est pas de la science fiction mais une terrible realitè dont une des phases se joue actuellement par ces guerres d'invasion.

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