Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Quels sont les facteurs qui concourent à la dépression? Et comment s'en sortir?:confused: Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Il faut savoir que la dépression 'n'est pas dans la tête', c'est à dire une maladie imaginaire, mais c'est une maladie qui nécessite un traitement 'psychothérapeutique' et médicamenteux. Ces derniers sont complémentaires_ Donc, se confier à son médecin est un pas en avant vers la guérison Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Quels sont les facteurs qui concourent à la dépression? Et comment s'en sortir?:confused: l'isolement par son propre entourage --- les histoires pour ne pas dire disputes et une personne en déprime ne s'apperçoit jamais --- jusqu'au jour ou elle quitera l'endroit pour s'apperçevoir pour s'ensortir fréquenté un autre lieu et d'autre personnes voila d'aprés moi topic trés intéressant comme sujet Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 qu'est-ce qu'il peut ressentir un DÉPRIMÉ? GRANDE FATIGUE ET ABSENCE D’ÉNERGIE (de ce fait, les gestes habituels ne peuvent être/ ou difficilement/ accomplis ) TRISTESSE Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 qu'est-ce qu'il peut ressentir un DÉPRIMÉ? GRANDE FATIGUE ET ABSENCE D’ÉNERGIE (de ce fait, les gestes habituels ne peuvent être/ ou difficilement/ accomplis ) TRISTESSE et DÉSESPOIR SOMMEIL DÉGRADÉ avec réveils précoces Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 qu'est-ce qu'il peut ressentir un DÉPRIMÉ? GRANDE FATIGUE ET ABSENCE D’ÉNERGIE (de ce fait, les gestes habituels ne peuvent être/ ou difficilement/ accomplis ) TRISTESSE j'ajoute ne pas dormir pendant plusieurs jours et ne pas avoir someil du tout aussi Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 JE SUIS NUL (LE) - JE NE SERS A RIEN JE SOUHAITE MA MORT Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 SENTIMENT DE FATALITE (avec cette fausse idée 'Personne n' y peut rien pour me sauver, même les médecins - JE SUIS PERDU (E) Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Perte du plaisir et la libido Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Le ou la malade ressent souvent ceci -- gorge serrée -- respiration difficile, maux de ventre et sentiment d’oppression PEUR injustifiée (la personne dépressive ressent une peur sans forcément de raison apparente) - Cette ANGOISSE est amplifiée par le sentiment de SOLITUDE et aussi d'ABANDON Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 la personne se trouve souvent confronter à réfléchir ou à s'exprimer - avec installation de brefs 'trous de mémoire' très gênants Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 plus tard, l'idée de la MORT s'installe entrainée par le manque du Plaisir et le sentiment de dévalorisation ' JE NE SERS A RIEN ' et JE SOUFFRE INUTILEMENT - JE FAIS SOUFFRIR DES PERSONNES AUTOUR DE MOI -.... Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 J'ai fait personnellement les frais de cette terrible maladie qui s'est installée en moi, par un concours de circonstances que je ne peux les étaler ici au grand public Mais, je vous dit comment je m'en sorti après une année de calvaire alors que J'étais à deux doigts du suicide - L'idée de fuguer, là où personne ne pouvait me reconnaitre ne me quittait presque jamais Je ne dormais qu'une ou deux heures par jour et je ne mangeais presque plus rien Je cherchais le moyen de me tuer pour écourter mes souffrances Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Je n'avais pas peur de mettre fin à mes jours et la meilleure façon pour moi, était de prendre un flacon de médicaments (de neuroleptiques) - Ainsi, je ne ressentirai aucune douleur Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Je n'avais pas peur de mettre fin à mes jours et la meilleure façon pour moi, était de prendre un flacon de médicaments (de neuroleptiques) - Ainsi, je ne ressentirai aucune douleur Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Mais quelque chose me retenait et à laquelle, je pensais intensément - Ce n'était pas la peine que je ferai à mes parents, mais c'était un sentiment religieux profondément ancré en moi, depuis ma prime jeunesse..... Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Dans toutes les maisons algériennes, on en trouve, au moins, Le Livre de Dieu, le CORAN - Un jour, ou plus tôt, une nuit, alors que tout le monde dormait, j'ai pris entre mes mains, le livre sacré et j'ai commencé à le parcourir - SANS JAMAIS ASSIMILER CE QUE JE LISAIS- MON ESPRIT ÉTAIT VIDE et J'AVAIS PERDU LA FACULTÉ DE CONCENTRATION MAIS, JE PERSISTAIS A LIRE A CONTRE CŒUR Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Dans le silence de la nuit, je lisais le corps tendu comme d'habitude - J'avais remarqué depuis le début de ma maladie que mes muscles, particulièrement, ceux de l'abdomen, était très tendus - Et j'étais constamment en ETAT D'ALERTE, comme si j'attendais une agression Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 DEPUIS LONGTEMPS, J'ARRIVAIS A DORMIR UNE OU DEUX HEURES, AU PETIT MATIN ET PUIS, JE RESTAIS ÉVEILLÉ LE RESTE DE LA JOURNEE Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 CETTE NUIT LA, APRÈS PLUS DE DEUX HEURES DE LECTURE, JE RESSENTAIS UNE BRÈVE SENSATION AU SOMMEIL. POUR LA PREMIÈRE FOIS, DEPUIS UNE ANNÉE, JE RESSENTAIS CETTE SENSATION JE M’ÉTAIS ASSOUPI PLUS TÔT QUE PRÉVU, MAIS PAS POUR LONGTEMPS Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 LA SECONDE NUIT, J'AVAIS EU LA PRÉSENCE D'ESPRIT - JE M’ÉTAIS LEVÉ DE MON LIT - ET J'AVAIS COMMENCE A PRIER - UNE HEURE, PUIS DEUX HEURES, PUIS TROIS HEURES - JUSQU’À CE QUE CETTE SENSATION AU SOMMEIL APPAIRASSE ... JE M’ÉTAIS ASSOUPI VERS TROIS HEURES DU MAT POUR ME RÉVEILLER VERS SEPT HEURES - MAIS PAS DU TOUT ÉTOURDI COMME D'HABITUDE... JE M’ÉTAIS RENDU COMPTE QUE MES ESPRITS ME REVENAIENT ET J'AVAIS COMMENCE A VOIR UN PEU PLUS CLAIR -- UN MOIS PLUS TARD.... JE N'AVAIS PAS CETTE ENVIE DE MOURIR Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Si j'étais casanier, j'avais commencé à faire de brefs sorties en ville et puis, je me suis rendu chez le toubib du coin que je n'avais pas vu depuis presque une année et je lui avais raconté ma détresse --- Après un long entretien, ce dernier avait fini par me prescrire des anti dépresseurs et m'avait conseillé et insistait sur la LECTURE et la pratique du SPORT Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 J'étais résolu à me débarrasser de ma maladie et c'était ainsi que je ne me permettait jamais ' LE VIDE ' Ou bien, je lisais, ou bien, je priais, ou bien, je faisais du sport en pleine nature et je me tuais au footing - En courant je CRIAIS de toutes MES FORCES LE SOIR, je revenais exténué, la gorge enrouée que j'arrivais à peine de prononcer un mot - LES ANTI DEPRESSEURS AIDANT, Je dormais --- Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 LES MEDOCS, JE NE M’ÉTAIS JAMAIS PRIVE JUSQU’À CE QUE LE MÉDECIN M'EN PRIVA - PETIT A PETIT AUJOURD'HUI, JE ME SENS BIEN - JE FAIS MES PRIÈRES ET JE PRATIQUE TOUJOURS LE SPORT - J'AI APPRIS AU FUR ET A MESURE A ME RETENIR AUX FORTES SENSATIONS DE STRESS J'APPRIS A RESTER SAIN DANS PEAU J'AI APPRIS A RESTER ZEN - JE BLAGUE - JE CHANTE ET JE DANSE - CHOSES QUE JE NE POUVAIS ACCOMPLIR OU IMAGINER AUPARAVANT Citer Link to post Share on other sites
Guest mamicha Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 La dépression est handicapante quand elle prend le dessus sur la personne et j'ai été témoin de bien des souffrances d'une personne proche à moi qui en a longtemps souffert. Je suis contente que tu aies pu surmonter ta maladie et j'en souhaite autant à toutes les personnes qui souffrent. Citer Link to post Share on other sites
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