Ladoz 11 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Vous avez été arrêté à deux reprises ces derniers jours, à cause de vos actions de protestation contre le projet de loi sur les partis politiques... En effet, j'ai observé un sit‑in devant l'Assemblée populaire nationale (APN) et j'en ai discuté à la mosquée le vendredi. Je pense que la nouvelle loi sur les partis politiques conçue par les janviéristes est arbitraire. L'article 4 exclut le retour du FIS, dirigeants et militants, qu'on dit impliqués dans la tragédie nationale. Or, il n'y a que la justice – et il faut qu'elle soit libre et indépendante – qui peut faire porter une telle responsabilité à quelqu'un et ainsi le priver de ses droits civils et politiques. Il faut rappeler qu'après les manifestations de mai et juin 1991, nous avons été arrêtés et traduits devant des tribunaux militaires, qui sont sous la tutelle du ministre de la Défense dirigé par Nezzar à l'époque, et donc des tribunaux d'exception. Ils nous accusent d'avoir instrumentalisé la religion. N'est‑ce pas ? J'ai récemment lu une déclaration de Bouchachi à la presse. Il a souligné que lors d'une manifestation à Laghouat, un policier a évoqué devant les jeunes protestataires une fatwa émise par un mufti d'Arabie Saoudite, interdisant ce genre d'actions. Je me demande alors si le policier est soumis à des lois ou à une fatwa. Je me pose aussi une question : qui instrumentalise la religion, nous ou eux ? Qui a donné de l'argent aux zaouias ? Les partisans de l'exclusion de l'ex‑FIS rappellent souvent votre soutien indéfectible aux militants ayant pris les armes à l'époque... On ne les a pas soutenus. Je rappelle que le Front islamique du salut (FIS) a été créé par des civils. Ses statuts obligeaient ses membres à travailler dans le cadre des lois de la République. On avait le projet de fonder un État gouverné selon les préceptes de l'islam. Si le FIS constituait un danger, pourquoi lui avoir donné l'agrément ? Il y a eu des élections auxquelles il a participé. Les résultats validés par le Conseil constitutionnel l'ont donné gagnant. C'est le peuple qui l'a choisi. Quand l’État a utilisé la violence en internant quelque 17 000 personnes dans les camps du Sud, incarcéré ces têtes pensantes et procédé à des arrestations dans les maisons, des jeunes ont pris les armes pour faire face à ce système. On parle toujours de la responsabilité du FIS mais pas de celle des généraux qui ont piétiné la volonté populaire. On pointe toujours du doigt les musulmans. Mais en Algérie, les gens ont pris les armes depuis 1962. C'est que le système politique règle les problèmes, depuis toujours, en optant pour des solutions répressives. Et celles‑ci appellent les solutions militaires... Mais des documents compromettants, dont une lettre de vous, ont été retrouvés sur un terroriste tué… La lettre dont vous parlez a été interprétée sous un angle sécuritaire et non politique. J'ai, effectivement, dit que si j'étais à l'extérieur [Ali Belhadj était alors en prison, NDLR], je serais monté aux maquis. Mais pour donner conseil et participer à la recherche d'une solution politique à la crise. Pour la vidéo, il s'agit d'un extrait d'une conférence de presse. J'ai bien dit que s'ils nous agressaient et nous privaient de nos droits par la force, nous allions passer à l'action. Mais même avec ça, on n'a pas porté les armes. Je voudrais aussi dire qu’on n’est pas les premiers à avoir protesté à l'époque. Et puis on l'a fait pour revendiquer un droit. Tenez, le mouvement des Arouchs par exemple. Des manifestations ont eu lieu après la mort du jeune Massinissa. Le gouvernement a négocié avec un mouvement qui n'a pas d'agrément, au palais du gouvernement, avec Benflis au début et puis avec Ouyahia. Le mouvement des Arouchs a pu obtenir le départ de la gendarmerie et institutionnaliser le tamazight en tant que langue nationale. Le FIS, qui avait gagné aux élections locales, de wilayas et législatives, n'a pas eu droit au même traitement. L'action de ces groupes reste donc légitime, pour vous ? Le FIS a été compréhensif à l'endroit de ces personnes opprimées que l'injustice du pouvoir a obligées à monter au maquis. On ne leur a pas ordonné de porter les armes. Mais quand ils l'ont fait, on leur a dit : puisqu’il y a une injustice, eh bien il faut la combattre ! On les a soutenus dans leur résistance contre le système. Et puis, pourquoi y a‑t‑il eu une la loi de la Rahma, puis la Concorde nationale et enfin la Réconciliation nationale ? Fera‑t‑on la même chose pour des criminels ? Le fond du problème a toujours été politique et on a constamment opté pour une solution sécuritaire. C'est pour cela que vous n'avez jamais dénoncé le terrorisme ? Ce n'est pas ma mission et cela n'aurait servi à rien. Ma mission est de trouver une solution politique. Il ne faut pas oublier que moi aussi, on m'a emprisonné pendant douze parce que j'ai faisait de la politique. Il y a eu près de 200 000 morts pendant les années 90. Vous étiez très influent à l'époque. N’était‑il pas nécessaire de condamner le terrorisme pour arrêter l'effusion de sang en Algérie ? Quand il y a un conflit entre l'État et un groupe, c'est normal qu'il y ait des victimes. Je répète, ma mission n'est pas de le condamner. Nous avons voulu une solution pour tout le monde. On a participé aux négociations autour du pacte national avec Zeroual. Le système a voulu obtenir une condamnation puis faire ce qu'il voulait avec eux. Vous avez toujours des ambitions politiques... Avoir des ambitions politiques est légitime. C'est un droit. Une fois, un général est venu discuter avec nous. Il nous a accusés "d'aimer la chaise" [le pouvoir, NDLR]. Je lui ai répondu en lui disant ceci : et vous, vous préférez les "tabourets" peut‑être ! Oui, on s'accroche au pouvoir, mais pour servir notre nation. Ils ne peuvent pas me "complexer". Je veux faire de la politique et être président de la république, et alors ? Vous animez souvent des halaqate. On vous l’a pourtant interdit... Ce ne sont pas des halaqates. Quand j'ai des observations sur ce qui se passe dans la société, dans la politique intérieure ou extérieure du pays, j'en parle, le vendredi, après la prière. J'ai le droit d'exprimer mon point de vue. C'est ça la liberté d'expression dont ils parlent, non ? Personne ne peut m'interdire de parler, à moins de me tuer, de m’emprisonner ou de m’exiler. C'est ce que je leur ai dit. Le FIS a perdu sa popularité au fil des ans, vous avez même été agressé lors des émeutes de 2011 à Bab El Oued. Vous croyez toujours au retour du FIS en politique ? C'est faux ! Je n'ai jamais été agressé. Pour répondre à votre question, je dirai simplement qu'il faut nous redonner l'agrément et nous laisser nous approcher du peuple. Ce dernier donnera son verdict. Si le système pense que le FIS est fini, qu'il lui redonne l'agrément, ne serait‑ce que pour le mettre à nu devant l'opinion publique et même internationale. Je crois que les pensées peuvent être étouffées pendant un certain temps mais elles ne meurent jamais. Ils m'ont demandé de me retirer. Je leur ai dit que j'ai une seule condition : le départ de tous ceux qui ont participé à l'arrêt du processus électoral, militaires et civils. Vous militez encore pour un État islamique en Algérie. La démocratie est‑elle toujours impie pour ? C'est une question d'idées. La démocratie n'est pas une religion. C'est mon droit de penser que l'islam est meilleur, qu'il est parfait. Faire de la démocratie une religion est aussi un extrémisme. Mais l'islam est consacré religion d'État par l'article 2 de la Constitution... Mais dans quel sens ? Dans son sens occidental, selon lequel, la religion serait une relation entre la personne et Dieu. En islam, c'est différent. La religion est une relation entre la personne et Dieu, avec les autres individus, avec les gouvernants. L'islam propose un système de gouvernance, un système social et économique. C'est pour cela que je vous disais que c'est un problème d'idées. On doit s'asseoir et débattre ensemble. Vous savez, moi, je n'ai pas peur des laïcs parce que quand on définira le système de gouvernance comme étant laïque, on n'aura pas de ministère des Affaires religieuses. On ne nous imposera plus d'imams dans les mosquées. L'État n'aura qu'à donner des locaux aux quartiers et ce sont eux qui désigneront leurs imams. Pour l'instant, on vit dans un système d'intérêts. Il a été socialiste à un moment donné, puis impérialiste et maintenant, ils sont en train de préparer certains islamistes pour un nouveau changement. Vous avez discuté avec certains d'entre eux ? On ne peut pas dire tout ce qu'on sait... Il y a des choses qui se disent dans leur temps... Ragaillardis par les victoires des partis islamistes aux Maghreb, les mouvements islamistes se préparent en Algérie pour les prochaines élections législatives. Pensez‑vous qu'ils ont une chance de se repositionner sur l’échiquier politique ? Les partis qui ont réussi en Tunisie, au Maroc puis en Égypte sont venus après des révolutions ou un sérieux processus de réformes. Ils étaient bien évidemment exclus auparavant. En Algérie, ces formations politiques ont délaissé leur programme pour travailler sur celui du président. On ne va pas voter pour des partis qui ont participé au pouvoir et qui sont impliqués dans la corruption. Je parle de partis et pas de tous les militants. Il y a des gens intègres dans chaque parti. Mais ils ne sont pas nombreux et ce ne sont pas eux qui prennent les grandes décisions. Comment voyez‑vous l'évolution de la crise en Algérie ? La crise en Algérie est politique. Il faut que toutes les parties s'impliquent pour trouver une solution. Les idées, des uns et des autres, doivent être proposées lors d’un congrès. Je répète, il ne faut marginaliser aucune partie, même les extrémistes. Il faut une assemblée constituante. Sinon, il y aura une explosion, c'est une question de temps. J'espère qu'ils vont s'en rendre compte et se retirer. Sinon le déluge va tous les emporter. Vous pensez qu'il va vous épargner ? Peut-être que non... In : tsa-algerie.com Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 un grand bravo a ali benhadj pour cet interview,et qui va clouer le bec a certains qui pensent que l islam est un danger pour notre pays!! :wavetowel::wavetowel::wavetowel: Citer Link to post Share on other sites
Egomis 12 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Il faut reconnaitre qu'Ali Belhadj a toujours des arguments de poids.. :smartass: Et qu'il a toujours ...cruellement raison:D Mais ce qu'il dit n'est _hélas!_ que de la rhétorique "la tesminou wa la tegni min jou3"... :eat: Citer Link to post Share on other sites
hcina87 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Tant que ce triste personnage n'a pas condamné le terrorisme qui a couté la vie à presque un quart de millions d’algériens, il doit éviter de parler des autres partis islamistes en Égypte , en Tunisie et au Maroc qui n'ont pas les mains salies par le sang de leur concitoyen et qui acceptent l'alternance politique contrairement à son rêve de fonder une imarat al mouslmine avec 14 siècles de retard d’évolution.. Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 un grand bravo a ali benhadj pour cet interview,et qui va clouer le bec a certains qui pensent que l islam est un danger pour notre pays!! :wavetowel::wavetowel::wavetowel: Arrêtes de rêver , la moitié de l'auditoire de Benhadj c'est des mrabtines des RG et du DRS ! :D Benhadj , ses idées et sa Khilafa sont cuits en Algérie ! Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Arrêtes de rêver , la moitié de l'auditoire de Benhadj c'est des mrabtines des RG et du DRS ! :D Benhadj , ses idées et sa Khilafa sont cuits en Algérie ! ma teqta3louch liyass ya sahbi. khelih i révé chwiya:D Citer Link to post Share on other sites
Sydney 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Eh oui Il faut dire que c'est grâce a ce genre de guignol que le pouvoir arrive a ce maintenir en place De toutes les façons on ne peut pas choisir entre la peste et le choléra Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 au moin il a eu le courage de defier le systeme,si il y en avait des milliers comme lui,le systeme mafieux serait tomber!! Citer Link to post Share on other sites
k-15 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 au moin il a eu le courage de defier le systeme,si il y en avait des milliers comme lui,le systeme mafieux serait tomber!! qu'est ce qu'il a défié ce saurien, ce résidu? la première fois que j'ai vu sa gueule de jeune premier de la classe islamiste tout juste sorti des jupons de sa mère, j'ai pensé à un pervers qui fait ses premières armes dans le bataillon de l'apocalypse. Citer Link to post Share on other sites
admin 2 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 un grand bravo a ali benhadj pour cet interview,et qui va clouer le bec a certains qui pensent que l islam est un danger pour notre pays!! :wavetowel::wavetowel::wavetowel: dis moi, le jour ou Ali Benhadj accederait au pouvoir, tu descendrais vivre en Algerie ou tu te contenterais d'admirer le spectacle depuis Paris ? Citer Link to post Share on other sites
Guest Nimos Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 dis moi, le jour ou Ali Benhadj accederait au pouvoir, tu descendrais vivre en Algerie ou tu te contenterais d'admirer le spectacle depuis Paris ? Max a toujours adoré ces pseudo-vive le systeme théologique...á partir de Paris, eux qui n´ont jamais vécu une seule journée sous les débuts de ce systeme en Algérie, évidement quand on a le métro, le RER, la sécurité, le confort de Paris on se permet de donner des lecons sur les ingrats que sont les Algériens qui veulent pas encore de théologie et endoctrinement comme systeme, si seulement ils avaient connu ce qu´est un enfant qui meurt dans vos bras, ce qu´est une femme entrecoupée car elle a refusé un voile sur sa tete ou juste parcequ´elle sortait..... Les donneurs de lecons de Paris sur la théologie et sur la démocratie en Algérie devraient au moins vivre 05 mois successifs dans la vraie société Algerienne (Non désolé, le sheraton, le sofitel et Club des pins et Hydra quadrillée ca ne compte pas pour Algérie) Ce jour lá on en discutera de ce que eux n´ont jamais connu ni vécu. Citer Link to post Share on other sites
admin 2 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 ... Les donneurs de lecons de Paris sur la théologie et sur la démocratie en Algérie devraient au moins vivre 05 mois successifs dans la vraie société Algerienne ( T'inquietes, "on" les a vu comment ralent-ils des l'arrivee a l'aeroport... Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 dis moi, le jour ou Ali Benhadj accederait au pouvoir, tu descendrais vivre en Algerie ou tu te contenterais d'admirer le spectacle depuis Paris ? Chouia qdar khouya , tu t'adresses au futur muphti du Bois de Boulogne ! :D Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 200 000 ... chiffre rond ... est-ce vrai ou juste pour impressionner ??? Citer Link to post Share on other sites
admin 2 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Chouia qdar khouya , tu t'adresses au futur muphti du Bois de Boulogne ! :D M'en fou, j'y vis pas, je risque rien :D Citer Link to post Share on other sites
Guest Zancko Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 200 000 ... chiffre rond ... est-ce vrai ou juste pour impressionner ??? Tu pense quoi de Ali Benhadj Sidi Djallal ? Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Ali Belhadj force le respect pour l'intransigeance et la constance dans ses positions face au pouvoir et au même temps suscite la peur pour les mêmes raisons, mais face au peuple. Un Belhadj au pouvoir, fini l'Algérie. Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 M'en fou, j'y vis pas, je risque rien :D T'inquiètes , une équipe a été dépêchée pour rapatrier quelques cas graves , en vue d'une cure à Reggane , peut être que les restes des radiations de Gerboise Bleue accompliront un miracle ! :D Citer Link to post Share on other sites
Otto KHOR 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 T'inquietes, "on" les a vu comment ralent-ils des l'arrivee a l'aeroport... ils ralaient et il y a de quoi entre les gens en uniforme qui venaient réceptionner leurs amis et les passer entre tous ,l'attente du débarquement des valises,dans une ambiance surchauffée qui sent l'odeur des wc débordants,quand tu as des enfants et qu'il faut leur chauffer un biberon, il y a de quoi râler depuis il y a du changement. Procédues plus rapide et couloir rien à déclarer. Tu peux passer ton wiskhy sans avoir à choquer la douanière. Citer Link to post Share on other sites
hannibal59 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 un grand bravo a ali benhadj pour cet interview,et qui va clouer le bec a certains qui pensent que l islam est un danger pour notre pays!! :wavetowel::wavetowel::wavetowel: c'est pas l'islam qui est encause mais ces hommes qui ont instrumentalisé la religion pour le fauteuil Citer Link to post Share on other sites
Cosner 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 salam les gens saint d'esprit reussissent deja difficilement leur entré en politique, alors s'il faut laisser les psychopaths faire de la politique et dirigé le pays , on pourra dire que akhlat mais tout ceci on le doit au cher et vénéré chadli bendjid, un lobotisé qui ouvrit les cellules des psychopaths , et les a laissé commettre leur carnage sur la population Citer Link to post Share on other sites
Otto KHOR 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Ali Belhadj force le respect pour l'intransigeance et la constance dans ses positions face au pouvoir et au même temps suscite la peur pour les mêmes raisons, mais face au peuple. Un Belhadj au pouvoir, fini l'Algérie. fini l'Algérie pour les généraux s'ils persistenr à écarter le FIS avec BEL HADJ élu puis désigné par CHADLI comme chef de gouvernement, je ne suis par sûr que NEZZAR aurait été dégommé. nous aurions évité la tragédie et l'Algérie désignée en exemple pour sa guerre de libération aurait continué son ascendant . Une réussite dans la poursuite de sa révolution FAFA et les DAF en ont décidé autrement Nous avons honte de ce qu'est devenu notre pays et de décliner notre identité. Citer Link to post Share on other sites
Guest Osiria Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Au diable cette merde !!! assassin de son propre fils. :mad: Citer Link to post Share on other sites
Guest Anda Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 On a bien jugé et pendu Alfred Rosenberg, le théoricien du nazisme à Nuremberg, pourquoi ce fils de **** de Belhadj n'aurait pas droit à un procés pour son implication idéologique dans les massacres de milliers d'innocents ? Si seulement on avait un Etat de droit. :rolleyes: Citer Link to post Share on other sites
Licorne 10 Posted December 13, 2011 Partager Posted December 13, 2011 Chouia qdar khouya , tu t'adresses au futur muphti du Bois de Boulogne ! :D :mdr::mdr: Citer Link to post Share on other sites
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