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Said SADI : " La déflagration sera plus grave en Algérie "


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"Malheur à une nation où une simple minorité se comporte comme une nation."

 

c'est ta signature, n'est-ce pas ?..alors, je comprends d'où vient ta propension à mépriser et à vouloir écraser "la minorité",..et je comprend que tu sois contre moi, Khoroto Marocain !!!

 

 

 

 

 

Oui c'est ma signature,je ne suis pas contre toi mais je vois que tu es un petit merdeux qui veut péter avec son nombril.Si tu veux morceler ton pays ça te regarde.Demandes l’indépendance et part au combat.Moi je connais des kabyles qui sont plus intelligent que toi.Le khoroto marocain que je suis se sert de toi comme spécimen pour étudier pourquoi l'Algérie est gouvernée par ceux qui la gouverne actuellement et tu es la réponse.

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..n'importe qui,...mais, sûrement pas les Khoroto pour qui tu roules...!!!:sleep_1:

 

Mr LADOZ est , de loin , plus humaniste et plus démocrate que ceux qui se qualifient ainsi :crazy::crazy:

 

Pour ceux qui se disent modernistes , Mr Ladoz se demande par rapport à quelle époque sont-ils modernes puisque ce terme existe depuis des siècles et des siècles .

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Posté par " rcd1989 " le 2 décembre 2011

 

Source: Le Devoir.com

 

En s’immolant le 17 décembre 2010, le jeune vendeur ambulant Mohamed Bouazizi a déclenché une révolution qui a mis fin aux 24 ans de règne de Zine el-Abidine Ben Ali en Tunisie. On oublie qu’il a été imité par plusieurs compatriotes, mais aussi par près d’une vingtaine d’Algériens vivant le même genre de situation désespérée, à la même époque. Le statu quo est absolument intenable. «L’abcès dans la région, c’est l’Algérie, ce n’est même pas la Libye», a affirmé Saïd Sadi, chef du Rassemblement pour la démocratie et la culture, un parti d’opposition, lors d’une entrevue au Devoir. La société algérienne bouge-t-elle, comme ailleurs en Afrique du Nord? M. Sadi en est convaincu. «Je vais vous donner des chiffres très simples: en 2010, il y a eu plus de 9000 émeutes en Algérie. En 2011, on va probablement dépasser ce seuil», répond-il. Après une période d’accalmie, les manifestations ont repris à l’automne: avocats, retraités, médecins et enseignants se sont remis à défiler dans la rue. «Lorsque ça va dégringoler en Algérie — je ne le souhaite pas —, la déflagration sera beaucoup plus grave que ce qui s’est passé en Tunisie, en Égypte et probablement aussi en Libye. La cohésion nationale peut éclater sous l’effet de puissances tribales de régionalismes. [...] Si l’Algérie se déstabilise, vous imaginez ce qui peut se passer dans la région sahélo-saharienne

Psychiatre de formation, il utilise volontiers le vocabulaire propre à sa spécialité. «Le régime est occupé par une gérontocratie qui tourne en circuit fermé, qui est totalement enkystée parce qu’elle a les moyens d’une pérennité politique qui n’est pas dépendante de la qualité de sa gestion.» Les 150 milliards de réserves de changes lui ont permis d’arroser l’ensemble des foyers de contestation et d’acheter la paix, croit-il. M. Sadi décrit un pays riche en pétrole, mais où le taux de chômage est à 30 %, où les cerveaux fuient. «Vous voyez bien que c’est une équation politique qui n’est pas la plus souple, la plus adaptée à la situation nationale et régionale en pleine mutation et à une situation internationale où on admet enfin que ce n’est plus dictature ou islamisme, mais bien la dictature qui mène inévitablement à l’islamisme.» Pour ce dernier, le régime est en plein «déni de réalité» et essaie de se rassurer à travers des incantations. «D’innombrables fois, ils ont dit: “Alger n’est pas Tunis, ni Le Caire, ni Damas, ni Sanaa, ni Tripoli.”» …«C’est un [régime] des plus instables. L’ancien régime de Ben Ali ou celui de Mohammed VI ne sont pas des exemples de démocratie. Pour autant, l’Internationale islamiste n’a pas su prendre pied en Tunisie ni au Maroc, comme elle l’a fait en Algérie, et ce n’est pas faute d’avoir essayé. C’est le drame des dictatures dans le monde arabo-musulman: les régimes ne renient pas le discours islamiste, ils le récupèrent pour essayer de se légitimer

M. Sadi est-il optimiste? «On n’a pas le droit d’être pessimiste, répond-il. Ce serait trahir les pro messes de la décolonisation

 

CLAUDE LÉVESQUE

 

je n'avait pas raison?le scenario balkanique est plus que probable,j'en ais bien peur!je suis comme tous les algeriens a ne pas le souhaiter,pour eviter d'en arriver seul une republique islamique pourrait nous sauver de ce desastre

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je n'avait pas raison?le scenario balkanique est plus que probable,j'en ais bien peur!je suis comme tous les algeriens a ne pas le souhaiter,pour eviter d'en arriver seul une republique islamique pourrait nous sauver de ce desastre

 

La France ne sera jamais une république islamique.

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Si !! Elle le sera :yes: quand tous les autres auront quitté la terre pour vivre sur Mars.:mdr:

 

sfahmiyes ewachou quel rapport il y a avec le sujet?on parle de said saadi et lui il parle que la france ne sera jamais une republique islamique,je ne souhaite pas et jamais je souhaiterais une republique islamique en france pour la simple et bonne raison que ce n est pas mon pays d origine!!!

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Oui c'est ma signature,je ne suis pas contre toi mais je vois que tu es un petit merdeux qui veut péter avec son nombril.Si tu veux morceler ton pays ça te regarde.Demandes l’indépendance et part au combat.Moi je connais des kabyles qui sont plus intelligent que toi.Le khoroto marocain que je suis se sert de toi comme spécimen pour étudier pourquoi l'Algérie est gouvernée par ceux qui la gouverne actuellement et tu es la réponse.

..Nous savons depuis 1949, que pour un khoroto Algérien ou un khoroto Marocain, comme toi, un kabyle ( ou un Amazigh en général ) intelligent est celui qui se contente ou accepte de vivre sous la botte d'un khoroto inculte et sous-développé,..nous le savons cela, et chez nous ce genre de kabyles ( ou Amazigh ), on les appelle les Kharabistes,..le problème, nous le savons, toi et moi, ne se résume pas au morcellement de "mon" pays...khoroto marocain..!!!:24:

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sfahmiyes ewachou quel rapport il y a avec le sujet?on parle de said saadi et lui il parle que la france ne sera jamais une republique islamique,je ne souhaite pas et jamais je souhaiterais une republique islamique en france pour la simple et bonne raison que ce n est pas mon pays d origine!!!

 

Vous êtes né et vous vivez toujours en France. Il faut apprendre a accepter que vous êtes français.

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C’est Belkhadem ! Sinon vous aurez Djabalah

 

C’est Belkhadem ! Sinon vous aurez Djabalah

Publié: 15/12/11

 

*

 

Le régime algérien n’a pas d’issue, à moins de considérer comme telle son agonie prolongée. Auquel cas cela signifie plus de révoltes, plus de soulèvements et plus de morts avant le chaos.

 

Bâti autour de la police politique et de l’Armée des frontières par Boumediene dans la période de la guerre froide, le système fondé sur le clan, la terreur et la falsification de l’Histoire a survécu à la mort du tyran et à la chute du Mur de Berlin. Une preuve supplémentaire qu’un système, dès lors qu’il est établi, peut durer beaucoup plus longtemps que le rapport de forces qui l'a produit.

 

Aujourd’hui, les moyens « normaux », policiers et autres de la dictature avec leur façade démocratique, constituée principalement par des assemblées issues de fraudes électorales, ne suffisent pas pour maintenir les équilibres claniques. Dès lors, le DRS agite la menace d’introniser l’islamisme : le grand méchant loup.

 

D’abord, le système a tout fait et depuis longtemps pour que les conditions sociales et, pour une bonne part économiques –bazarisation du marché- nécessaires à l’avènement d’un ordre ouvertement islamiste soient bel et bien là. La diabolisation et la répression multiforme de l’opposition démocratique a fait le reste. Cette menace est en fait un projet. Il suffit maintenant d’un coup de pouce pour un passage de témoin pour arriver à une théocratie officielle.

 

Il faudra ensuite compléter le tableau par la constitution de milices de la morale et de l’ordre pour pourchasser le « vice » et les démocrates, après avoir manipulé le terrorisme et renié les sacrifices des victimes par une politique de l’oubli et de l’impunité.

 

Mais qui peut croire que ceux qui ont mené le pays vers l’abîme en dépit de tout ; opportunités et mises en garde, sont aujourd’hui capables de se préoccuper du sort et du devenir de l’Algérie et de son peuple ?

 

Tout le monde sait qu’à la faveur de la conjoncture régionale, la gestion du statuquo n’a plus l’aval des acteurs économiques mondiaux les plus influents. On ne peut pas risquer les conséquences d'une intervention armée en Libye pour chasser un tyran imprévisible et laisser faire un pouvoir algérien dont la ruse tient lieu de programme dans ses relations avec ses voisins et ses partenaires.

 

Le système qui continue à tirer avantage de la révolution algérienne et des sacrifices des martyrs ne peut espérer indéfiniment tirer bénéfice du marché de la mémoire. Crier à l'ingérence étrangère quand ses propres citoyens fuient le pays pour échapper à l'injustice et à l'imposture quitte à risquer leur vie, dans l'espoir de trouver des conditions normales d'existence est une malice éculée.

 

D'où la relance de la fatalité d'une tornade islamiste générale, voilà la dernière trouvaille du DRS. Le courage politique consiste à poser et à résoudre les problèmes fondamentaux qui se posent au pays. Il est bien connu que par démagogie et incompétence, le pouvoir tend toujours vers la ligne de moindre résistance pour éluder les problèmes de fond et susciter un apaisement illusoire.

 

C’est Boumediene et tous les Belkhadem qui ont « salafisé » et sinistré l’école algérienne, ce sont eux qui ont instauré le week-end islamiste aux prix économique et symbolique que l’on sait. C’est leur Assemblée qui a codifié l’inégalité et la marginalisation de la femme. C’est eux, aussi, qui s’attellent à construire une méga mosquée de 120 000 places alors que le siège de l’Assemblée Nationale est réduit à une salle héritée de la période coloniale. Alors le choix est clair : une théocratie officielle est plus facile à combattre qu’une islamisation rampante et sournoise.

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..Le khoroto marocain que je suis se sert de toi comme spécimen pour étudier pourquoi l'Algérie est gouvernée par ceux qui la gouverne actuellement et tu es la réponse.

..j'ai posté le message n° 65 à ton intention pour bien approfondir tes études,...il y a des Algériens assez intelligents pour analyser la situation politique de leur pays et de ce qui l'entoure et en tirer les conséquences pour voir où aller,..il n'ont pas besoin de Khoroto marocains, comme toi, pour les éclairer...:death:

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C’est Belkhadem ! Sinon vous aurez Djabalah

Publié: 15/12/11

 

*

 

Le régime algérien n’a pas d’issue, à moins de considérer comme telle son agonie prolongée. Auquel cas cela signifie plus de révoltes, plus de soulèvements et plus de morts avant le chaos.

 

Bâti autour de la police politique et de l’Armée des frontières par Boumediene dans la période de la guerre froide, le système fondé sur le clan, la terreur et la falsification de l’Histoire a survécu à la mort du tyran et à la chute du Mur de Berlin. Une preuve supplémentaire qu’un système, dès lors qu’il est établi, peut durer beaucoup plus longtemps que le rapport de forces qui l'a produit.

 

Aujourd’hui, les moyens « normaux », policiers et autres de la dictature avec leur façade démocratique, constituée principalement par des assemblées issues de fraudes électorales, ne suffisent pas pour maintenir les équilibres claniques. Dès lors, le DRS agite la menace d’introniser l’islamisme : le grand méchant loup.

 

D’abord, le système a tout fait et depuis longtemps pour que les conditions sociales et, pour une bonne part économiques –bazarisation du marché- nécessaires à l’avènement d’un ordre ouvertement islamiste soient bel et bien là. La diabolisation et la répression multiforme de l’opposition démocratique a fait le reste. Cette menace est en fait un projet. Il suffit maintenant d’un coup de pouce pour un passage de témoin pour arriver à une théocratie officielle.

 

Il faudra ensuite compléter le tableau par la constitution de milices de la morale et de l’ordre pour pourchasser le « vice » et les démocrates, après avoir manipulé le terrorisme et renié les sacrifices des victimes par une politique de l’oubli et de l’impunité.

 

Mais qui peut croire que ceux qui ont mené le pays vers l’abîme en dépit de tout ; opportunités et mises en garde, sont aujourd’hui capables de se préoccuper du sort et du devenir de l’Algérie et de son peuple ?

 

Tout le monde sait qu’à la faveur de la conjoncture régionale, la gestion du statuquo n’a plus l’aval des acteurs économiques mondiaux les plus influents. On ne peut pas risquer les conséquences d'une intervention armée en Libye pour chasser un tyran imprévisible et laisser faire un pouvoir algérien dont la ruse tient lieu de programme dans ses relations avec ses voisins et ses partenaires.

 

Le système qui continue à tirer avantage de la révolution algérienne et des sacrifices des martyrs ne peut espérer indéfiniment tirer bénéfice du marché de la mémoire. Crier à l'ingérence étrangère quand ses propres citoyens fuient le pays pour échapper à l'injustice et à l'imposture quitte à risquer leur vie, dans l'espoir de trouver des conditions normales d'existence est une malice éculée.

 

D'où la relance de la fatalité d'une tornade islamiste générale, voilà la dernière trouvaille du DRS. Le courage politique consiste à poser et à résoudre les problèmes fondamentaux qui se posent au pays. Il est bien connu que par démagogie et incompétence, le pouvoir tend toujours vers la ligne de moindre résistance pour éluder les problèmes de fond et susciter un apaisement illusoire.

 

C’est Boumediene et tous les Belkhadem qui ont « salafisé » et sinistré l’école algérienne, ce sont eux qui ont instauré le week-end islamiste aux prix économique et symbolique que l’on sait. C’est leur Assemblée qui a codifié l’inégalité et la marginalisation de la femme. C’est eux, aussi, qui s’attellent à construire une méga mosquée de 120 000 places alors que le siège de l’Assemblée Nationale est réduit à une salle héritée de la période coloniale. Alors le choix est clair : une théocratie officielle est plus facile à combattre qu’une islamisation rampante et sournoise.

 

Si tu ne veux pas de Belkhadem , organise des marches "spontanées" pour soutenir la candidature tout aussi spontanée d'un certain Mr ...........Ladoz :mdr::mdr:

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:clap::clap:

 

Mr LADOZ va sérieusement penser à collecter les 75 000 signatures :mdr::mdr:

 

Ma tkhafch , rien qu'avec les "témoins professionnels" des APC , on t'en récoltera au minimum 100 000 ! :D

 

Mais ou trouver l'argent pour les payer ? (200 DA la signature)

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..j'ai posté le message n° 65 à ton intention pour bien approfondir tes études,...il y a des Algériens assez intelligents pour analyser la situation politique de leur pays et de ce qui l'entoure et en tirer les conséquences pour voir où aller,..il n'ont pas besoin de Khoroto marocains, comme toi, pour les éclairer...:death:

 

 

 

 

Je suis déjà arrivé à la conclusion en ce qui te concerne.Regardes la gueule de ton avatar,c'est pas un drapeau imazigh.

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Posté par " rcd1989 " le 2 décembre 2011

 

Source: Le Devoir.com

 

En s’immolant le 17 décembre 2010, le jeune vendeur ambulant Mohamed Bouazizi a déclenché une révolution qui a mis fin aux 24 ans de règne de Zine el-Abidine Ben Ali en Tunisie. On oublie qu’il a été imité par plusieurs compatriotes, mais aussi par près d’une vingtaine d’Algériens vivant le même genre de situation désespérée, à la même époque. Le statu quo est absolument intenable. «L’abcès dans la région, c’est l’Algérie, ce n’est même pas la Libye», a affirmé Saïd Sadi, chef du Rassemblement pour la démocratie et la culture, un parti d’opposition, lors d’une entrevue au Devoir. La société algérienne bouge-t-elle, comme ailleurs en Afrique du Nord? M. Sadi en est convaincu. «Je vais vous donner des chiffres très simples: en 2010, il y a eu plus de 9000 émeutes en Algérie. En 2011, on va probablement dépasser ce seuil», répond-il. Après une période d’accalmie, les manifestations ont repris à l’automne: avocats, retraités, médecins et enseignants se sont remis à défiler dans la rue. «Lorsque ça va dégringoler en Algérie — je ne le souhaite pas —, la déflagration sera beaucoup plus grave que ce qui s’est passé en Tunisie, en Égypte et probablement aussi en Libye. La cohésion nationale peut éclater sous l’effet de puissances tribales de régionalismes. [...] Si l’Algérie se déstabilise, vous imaginez ce qui peut se passer dans la région sahélo-saharienne

Psychiatre de formation, il utilise volontiers le vocabulaire propre à sa spécialité. «Le régime est occupé par une gérontocratie qui tourne en circuit fermé, qui est totalement enkystée parce qu’elle a les moyens d’une pérennité politique qui n’est pas dépendante de la qualité de sa gestion.» Les 150 milliards de réserves de changes lui ont permis d’arroser l’ensemble des foyers de contestation et d’acheter la paix, croit-il. M. Sadi décrit un pays riche en pétrole, mais où le taux de chômage est à 30 %, où les cerveaux fuient. «Vous voyez bien que c’est une équation politique qui n’est pas la plus souple, la plus adaptée à la situation nationale et régionale en pleine mutation et à une situation internationale où on admet enfin que ce n’est plus dictature ou islamisme, mais bien la dictature qui mène inévitablement à l’islamisme.» Pour ce dernier, le régime est en plein «déni de réalité» et essaie de se rassurer à travers des incantations. «D’innombrables fois, ils ont dit: “Alger n’est pas Tunis, ni Le Caire, ni Damas, ni Sanaa, ni Tripoli.”» …«C’est un [régime] des plus instables. L’ancien régime de Ben Ali ou celui de Mohammed VI ne sont pas des exemples de démocratie. Pour autant, l’Internationale islamiste n’a pas su prendre pied en Tunisie ni au Maroc, comme elle l’a fait en Algérie, et ce n’est pas faute d’avoir essayé. C’est le drame des dictatures dans le monde arabo-musulman: les régimes ne renient pas le discours islamiste, ils le récupèrent pour essayer de se légitimer

M. Sadi est-il optimiste? «On n’a pas le droit d’être pessimiste, répond-il. Ce serait trahir les pro messes de la décolonisation

 

CLAUDE LÉVESQUE

Sadi, c'est toi l'abcès.........
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..eh bien, non, chez nous le Harki c'est celui qui a choisi le camp du colonisateur, un contre révolutionnaire,..celui qui voulait une Algérie Française !

 

c'est aussi ceux qui ont acquis illégalement la qualité de moudjahid au lendemain de la guerre de libération et qui demeurent en Algérie.

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Si tu ne veux pas de Belkhadem , organise des marches "spontanées" pour soutenir la candidature tout aussi spontanée d'un certain Mr ...........Ladoz :mdr::mdr:

 

:D..waqila, rak bdit twelli l 3aqlek en te débarrassant petit à petit de ton khorotisme..:clap:

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