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IL LUI A RAPPELÉ LE GÉNOCIDE DE LA FRANCE EN ALGÉRIE Erdogan croise le fer avec Sarkozy


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Cette initiative française envers la Turquie est-elle un prélude pour faire de même en Algérie?

 

Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a usé d'un ton d'une extrême violence à l'endroit des députés français qui s' apprêtent à voter un projet de loi français reconnaissant la mort des Arméniens en 1915 comme «génocide», déclarant que ce projet de loi aura «de graves conséquences» sur les relations bilatérales, a rapporté l'agence de presse semi-officielle Anatolie.

Comme réplique à cette initiative des députés de la droite française, le Premier ministre turc rappelle à la France son passé colonial qu'il n'a pas hésité à qualifier de génocide.

Dans son réquisitoire, M.Erdogan a ainsi évoqué le passé colonialiste de la France et affirmé que ce pays avait commis des «tueries inhumaines» en Algérie et au Rwanda.

Si le terme «génocide» a été jusque-là admis pour le cas du Rwanda, il n'a pas été en revanche utilisé pour la colonisation française en Algérie. Bien plus, la droite française avait voté le 23 février 2005, un loi glorifiant «les bienfaits du colonialisme». «Si les parlementaires français veulent se pencher sur l'histoire, je leur conseille de faire la lumière sur les événements survenus en Algérie, au Rwanda. Qu'ils élucident le rôle des soldats français», a-t-il dit. «Aucun historien, aucun homme politique ne peut voir de génocide dans notre passé. Ceux qui veulent voir un génocide doivent se tourner vers leur histoire sale et sanglante», a ajouté M.Erdogan.

C'est la première fois qu'un responsable politique étranger parle publiquement de «génocide français en Algérie». Et voilà qui va donner du grain à moudre au FLN qui revendique «des excuses officielles de la France pour ce qu'elle a commis en Algérie durant les 132 ans de colonialisme».

C'est avec ces rappels durs que le Premier ministre turc a exhorté hier, les députés français à ne pas voter une proposition de loi qui rendrait passible de poursuites au pénal la négation du génocide arménien, que la Turquie nie, sous peine de répercussions «graves» sur les liens bilatéraux.

Le texte, qui prévoit une peine d'un an de prison et une amende de 45.000 euros en cas de contestation du génocide arménien, doit être examiné ce 22 décembre. «J'espère que l'Assemblée nationale française fera rapidement marche arrière, en ne commettant pas l'erreur de pénaliser la négation de mensonges historiques (...) La Turquie s'opposera par tous les moyens diplomatiques à ces démarches populistes, injustes et illégales», a dit M.Erdogan devant la presse à Istanbul, après avoir reçu le président du Conseil national de transition (CNT) en Libye, Moustapha Abdeljalil.

M.Erdogan a souligné que cette proposition de loi était de caractère ««électoraliste» car elle intervient avant l'élection présidentielle de 2012 en France qui compte une importante diaspora arménienne. Il a rappelé avoir envoyé une lettre au chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy, lui demandant de barrer la route à ce texte, menaçant sinon de «conséquences graves, irréparables» pour les relations turco-françaises.

La Turquie a déjà averti qu'un vote favorable entraînerait le rappel pour consultations de l'ambassadeur en France et le gel de toute coopération avec Paris. Pour les Arméniens et une vingtaine d'autres pays, l'Empire ottoman a orchestré de 1915 à 1917 un génocide qui a fait 1,5 million de morts.

 

L'Expression - Le Quotidien - Erdogan croise le fer avec Sarkozy

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ce type ne sort des reproches que quand son pays est menace autrement il s en fout comme sa premiere chemise

 

qu il laisse l Algérie tranquille qu il ne la prend pas comme pretexte pour sa defense

 

on a pas besoin de lui pour faire reconnaitre ce crime qui n a pas de nom

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ce type ne sort des reproches que quand son pays est menace autrement il s en fout comme sa premiere chemise

 

qu il laisse l Algérie tranquille qu il ne la prend pas comme pretexte pour sa defense

 

on a pas besoin de lui pour faire reconnaitre ce crime qui n a pas de nom

 

Tu as tout compris helena.

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au lobby arménien emmené par Devadjean...500 000 arméniens en France parait il...ça compte.....c'est de la politique intérieure...gesticulations....ça n'ira pas plus loin...ou alors il a péter un plomb

 

Curieux qu'il tienne plus compte de 500 000 Arméniens que de 3 millions d'Algériens par exemple ! :mad::mad:

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Non seulement il n'y a pas un Devedjian d'origine algérienne en France mais beaucoup de Français descendants des Indigènes de l'empire colonial français sont contre la simple évocation des crimes commis contre le peuple et la terre d'Algérie; sur ce même forum, un khoroto m'a moqué quand j'ai publié la liste des tués par noyade et par torture lors des Massacres du 17 Octobre 1961 à Paris !

Erdogan défend l'Honneur de sa Nation et c'est aux responsables algériens de défendre le leur mais à l'évidence , ils n'en ont pas car le projet de loi sur la criminalisation du colonialisme a été bloqué par Boutef et Ziari !

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ce type ne sort des reproches que quand son pays est menace autrement il s en fout comme sa premiere chemise

 

qu il laisse l Algérie tranquille qu il ne la prend pas comme pretexte pour sa defense

 

on a pas besoin de lui pour faire reconnaitre ce crime qui n a pas de nom

SALAM

c'est l'histoire et tout le monde a le droit d'en parler.la france n'est pas l'armenie et pourtant c'est elle qui parle du genocide armeneen on oubliant son propre genocide AFRICAIN.

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Par devoir de mémoire, je publie le dernier article de Brahim Senouci

 

Mémoire collective, mémoires antagoniques

 

 

Lundi 5 décembre 2011, la police allemande procède à des perquisitions chez six citoyens. Il s'agit d'une enquête sur l'extrême droite qui vient de se distinguer en commettant des crimes ouvertement racistes, pensez-vous. Pas du tout. Il s'agit d'un crime commis le... 10 juin 1944, en terre française, à une époque où la France était soumise à l'Occupation allemande. Les six hommes, âgés de 85 à 86 ans, sont soupçonnés d'avoir pris une part active dans le massacre d'Oradour-Sur-Glane, qui s'est soldé par la mort d'au moins 642 villageois dont 247 enfants. Les policiers appartiennent à l'Office Fédéral chargé de l’élucidation des crimes nazis. Un des deux survivants du carnage, Robert Hébréas, 86 ans, s'est félicité de cette opération de police et espère un jugement pour crimes de guerre.

 

Deux choses sont à retenir de cette information. La première est que le crime de guerre est réellement imprescriptible puisque près de 7 décennies ne l'ont pas éteint. La seconde, c'est l'existence d'un office fédéral en Allemagne dont le rôle est de traquer les nazis jusqu'à leur dernier souffle.

 

Ces deux choses ne peuvent que faire l'objet de louanges. Le devoir de mémoire commande en effet qu'aucun des épisodes tragiques de l'Histoire ne soit passé sous silence, qu'aucun criminel de guerre ne puisse espérer l'extinction de son crime.

 

Le massacre d'Oradour-Sur-Glane a marqué les mémoires, au point qu'il est devenu une référence, une sorte de mètre-étalon. Les très nombreuses tueries qui lui ont succédé à travers le monde ont été souvent mesurées à son aune.

 

Transposons...

 

En France, il existe un office chargé de l'élucidation des crimes colonialistes. Vu la quantité énorme de crimes commis sous cet intitulé, cet office rassemble plusieurs milliers d'enquêteurs. Il est le seul à n'avoir pas été touché par la vague de coupes extrêmement sévères subies par les offices publics du fait de la crise. Le Président a affirmé que cette mission sacrée ne devait pas être tributaire des aléas de l'économie mondiale.

 

Petit aperçu rapide (liste non exhaustive):

 

•Enfumades du Dahra (18 juin 1845): 1,5 Oradour

 

•Emmurades des Sbéhas (8 août 1845): 1 Oradour

 

•Massacres de Sétif (8 mai 1945): 90 Oradour

 

•« Pacification » de Madagascar (1947-1948): 130 Oradour

 

•Ratonnades de Paris (17 octobre 1961): 0,5 Oradour

 

•Guerre d'indépendance Algérienne (1954-1962): 2.000 Oradour

 

•Etc,,,

 

C'est dire si la tâche est immense.

 

Hormis la litanie des massacres décrite ci-dessus, ce qui précède est une fiction, bien sûr. Personne n'enquête sur les crimes de la colonisation; mieux encore, on lui trouve bien des vertus de ce côté ci de la Méditerranée. Une tentative d'officialisation d'inscription de ces vertus dans la loi a échoué en 2005 mais le débat qu'elle a occasionné montre bien qu'elle aurait reflété de manière fidèle l'opinion de la majorité de la société française, opinion façonnée il est vrai par des décennies de propagande. Les cendres de Bigeard, acteur de la Bataille d'Alger et de son cortège d'assassinats et de tortures, vont être transférées aux Invalides. Bigeard, tortionnaire et assassin d'Algériens, est un héros en France...

 

Les usages diplomatiques interdisent au Président de la République Française de donner un avis trop bruyant sur la colonisation. Ainsi, quand il est interrogé sur ce sujet par les journaux El Khabar et El Watan à l'occasion de sa visite en Algérie, il répond que « les jeunes générations sont tournées vers l'avenir plutôt que vers le passé. » Et d'ajouter: « Elles n'attendent pas de leurs dirigeants qu'ils se mortifient en battant leur coulpe pour les erreurs, et les fautes passées. » La chute est superbe: « A ce compte, il y aurait beaucoup à faire, de part et d'autre. »

 

De part et d'autre, voici le sésame qui coupe court aux discussions, croit-il. La violence de l'oppression exercée par une nation surpuissante, surarmée, est mise sur un pied d'égalité avec celle exercée par une population misérable, soumise au joug d'une puissance coloniale qui lui a confisqué sa terre, sa culture, son âme. Des deux côtés, vous dit-on! La pétoire aussi coupable que l'avion de chasse, la bombe artisanale que le missile délivré par l'avion, le supplicié que le bourreau...

 

Regarder vers l'avenir, encore une de ces formules qu'on appelle aujourd'hui « éléments de langage ». A priori, voilà une phrase qui révèle les bonnes intentions de son auteur. Peut-être nous exhorte-t-il en effet à faire table rase d'une mémoire trop lourde et à écrire ensemble l'avenir?

 

Il se trouve que ce même président est celui qui a proposé, le 13 février 2008 lors du dîner annuel organisé par le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (CRIF), que, « chaque année, à partir de la rentrée 2008, tous les enfants de CM2 se voient confier la mémoire d’un des 11.000 enfants français victimes de la Shoah ». Cette proposition s'est certes perdue dans les sables de la politique mais le fait que le Président l'ait présentée en dit long sur sa vision duale du monde, entre victimes dignes de commémoration et celles vouées à un heureux oubli...

 

Il s'agit d'une tendance lourde dans la société française. Certains intellectuels, comme Pierre Nora ou Régis Debray, se sont élevés contre la proposition présidentielle au motif qu'elle risquait d'allumer une guerre des mémoires. En fait, les autorités françaises souhaitent répondre à un impératif silencieux, celui d'écrire une Histoire qui serve la cause de l'unité nationale. Pour ce faire, les épisodes, esclavage ou colonisation sont au mieux passés sous silence, au pire, dans le cas de la colonisation, valorisés et inscrits dans une sorte de geste nationale dont la caractère auguste s'accommoderait des petits manquements à la morale. Le récit national ne s'encombre pas de pages sombres. Il doit contribuer à la gloire de la France.

 

En 2008, la commission Kaspi a proposé de réduire le réduire le nombre de commémorations nationales à trois: 11 novembre, 8 mai, 14 juillet. Les autres commémorations (esclavage...) seraient « dénationalisées ». Elle met en garde contre le danger « d'affaiblir la conscience nationale » si « l'on multiplie les journées de repentance ». Le rapport de la commission propose d' « inventer de nouvelles formes de commémoration », évoquant en particulier... le slam!

 

Il n' y a pas de hasard dans la tonalité du rapport Kaspi. S'il prend position en faveur des groupes dont les revendications mémorielles épousent la cause de l' »unité nationale », c'est parce que l'écrasante majorité des associations consultées par la commission sont des associations d'anciens combattants, porteurs d'une mémoire pro-coloniale. Les associations militant pour la remise au jour d'une mémoire anticoloniale ont été marginalisées. Le rapport préconise une journée unique, journée fourre-tout, durant laquelle on célébrerait les mémoires de l'esclavage,de la colonisation, la déportation...

 

Étrangement, le rapport se présente comme une contribution à la refondation d'une identité nationale unitaire, à l'adresse en particulier des « jeunes Français issus de l'immigration ». A l'évidence porteurs d'une mémoire inquiétante, antagonique d'une mémoire nationale faite de hauts faits d'armes et de « missions civilisatrices », ils sont sommés de s'en défaire pour adopter le récit national « unitaire ». Ils ne rentreraient de plain-pied dans la société française qu'en taisant les souffrances de leurs aïeux ou, pire encore, en acceptant la sublimation des horreurs de la colonisation.

 

Des étapes ont été franchies en France, dans le sens d'une aggravation de cette injonction. Le discours raciste se banalise. Des « intellectuels » assimilent à un crime le fait de s'appeler Mohamed pour un jeune Français après trois générations. La situation sociale des banlieues se détériore bien plus vite que dans le reste du pays. La stigmatisation du voile permet des déchaînements de haine,... voilés derrière une revendication de libération des femmes. N'oublions pas le « coming out » raciste (même s'il a été suivi d'un coming in qui a permis un trop rapide retour en grâce!) de M. Finkielkraut sur l'équipe de France de football, tellement noire qu'elle faisait de la France la risée du monde. Il y a eu les Auvergnats de Brice Hortefeux, le mouton dans la baignoire, les délires de Mme Carrère d'Encausse, secrétaire perpétuelle de l'Académie Française, l'apostrophe agressive sur un marché d'un jeune Noir par une Nadine Morano frisant l'apoplexie en lui enjoignant de « rentrer chez lui ».

 

Le racisme renseigne souvent plus sur celui qui le pratique que sur celui qui en est l'objet. Il révèle en lui une faille, une instabilité. La société française est malade. La faute à la crise? Pas seulement. L'illusion de grandeur a persisté en France jusqu'à l'ère Chirac. Elle a pris une certaine consistance quand Chirac a eu la force de résister aux oukases israéliens et à l'expédition Bushienne en Irak. Elle a été entretenue par l'environnement; il n'est pas rare de nos jours (de moins en moins, il est vrai) que la France soit désignée dans la presse allemande comme « la Grande Nation ». Cette illusion s'est fracassée durant les années Sarkozy, marquées par le fatras des apparences et une pratique politique sans vision autre que celle de durer, sans ligne autre que celle des humeurs du patron. Les dégâts causés par le « Casse-toi, Pov con » ou « Descends si t'es un homme » ont été minimisés, à tort. Ces deux apostrophes sont des archétypes de ce qu'est devenue la société française, désormais mise à nu.

 

A titre anecdotique, le nombre de demandes d'inscription dans les universités françaises est en baisse constante. Certains s'en félicitent. Ils devraient s'en inquiéter et interroger la pratique des leaders politiques dans un pays qui a inventé le Ministère de l'Identité Nationale et qui se rencogne dans un coin d'ombre où il finira par devenir invisible.

 

Le fait que ce pays traite si mal ses citoyens étrangers et d'origine étrangère est un autre signe de régression. De plus en plus, des jeunes « issus de l'immigration » se tournent vers le large ou ambitionnent de le faire. Ils en ont sans doute assez d'être discriminés de manière de plus en plus oblique, torve, mesquine, assez de devoir rendre des comptes face aux injonctions de politiciens qui les somment de cracher sur les souffrances de leurs aïeux au nom d'une identité nationale dans laquelle ils tiendraient le rôle de comparses...

 

Contrairement à ce que prétendait la commission Kaspi en 2008, la société française ne se protègera pas de la fragmentation en imposant un récit unique qui occulterait les épisodes « gênants » de l'Histoire à l'ensemble de ses membres, mais en faisant droit à l'inscription des mémoires meurtries dans l'imaginaire national.

 

in Mémoire collective, mémoires antagoniques - Le blog de Brahim Senouci

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SALAM

c'est l'histoire et tout le monde a le droit d'en parler.la france n'est pas l'armenie et pourtant c'est elle qui parle du genocide armeneen on oubliant son propre genocide AFRICAIN.

 

 

que la France parle de l Arménie pour regler ses comptes avec la Turquie ca c est leur probleme mais je ne veux pas que ce type d erdogane se sert de notre histoire pour regler lui aussi ses comptes avec sarko

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Guest foennix
que la France parle de l Arménie pour regler ses comptes avec la Turquie ca c est leur probleme mais je ne veux pas que ce type d erdogane se sert de notre histoire pour regler lui aussi ses comptes avec sarko

 

Oui mais en même temps ça commence à me gonfler de voir la france jouer les donneuse de leçons aux autres états. Qu'elle ferme son clapet et qu'elle assume et reconnaisse enfin ses crimes ignobles commis par le passé.

Je dis que c'est une bonne occasion de rafraîchir les mémoires. D'autre part tout crime ne doit pas rester impuni, le génocide arménien compris.

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C'est vrai aussi que des brûleurs de voitures Arméniens il ne doit pas y en avoir beaucoup :mdr::mdr::mdr:

 

Tu ne changeras jamais, c'est foutu !

 

Ils sont à l'image de leur ministre des affaires étrangères, qui est venu faire l'apologie du colonialisme il y a quelques jours à Bruxelles.

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Petit HS qui n'en est pas un .................

 

HONTEUX QUE L'ALGÉRIE OFFICIELLE N'AIT PAS ENCORE CRIMINALISÉ LE COLONIALISME FRANÇAIS , SON APOLOGIE AINSI QUE LA NÉGATION DU GÉNOCIDE Y AFFÉRANT !!

 

Oui tout à fait, mais plus grave sont les Algériens qui jouiraient à l'idée que nos "amis" Turques légifèrent à leur tour en criminalisant "toute négation du génocide Algérien".

Car les Turques semblent s'en foutre de notre génocide jusqu'à tant que les "franzosen" osent voter la loi sur le prétendu génocide Arménien, par ailleurs ils sont responsables de nous avoir abandonné nous qui étions sous leur autorité et donc sous leur protection, En Conclusion LA FRATERNITE n'existant pas , j'attends comme vous que nous soyons intransigeant et que l'auto-amnistie de 1962 soit levée par une LOI ALGERIENNNE CRIMINALISANT tous les faits coloniaux des français ,du premier "pied sale" posé en Algérie jusqu'au dernier (meme apres 1962 pour toutes leurs manoeuvres des harkis , néo-harkis ,et autres nostalgiques)

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que la France parle de l Arménie pour regler ses comptes avec la Turquie ca c est leur probleme mais je ne veux pas que ce type d erdogane se sert de notre histoire pour regler lui aussi ses comptes avec sarko

salam

je crois que l'histoire algerienne n'appartient pas aux seuls algeriens,et si ceux-ci sont incapable d'obtenir reparation (comme la libye) ou de parler du ginocide français alors c'est tant mieux qu'erdogan en parle.:cool:

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Oui tout à fait, mais plus grave sont les Algériens qui jouiraient à l'idée que nos "amis" Turques légifèrent à leur tour en criminalisant "toute négation du génocide Algérien".

Car les Turques semblent s'en foutre de notre génocide jusqu'à tant que les "franzosen" osent voter la loi sur le prétendu génocide Arménien, par ailleurs ils sont responsables de nous avoir abandonné nous qui étions sous leur autorité et donc sous leur protection, En Conclusion LA FRATERNITE n'existant pas , j'attends comme vous que nous soyons intransigeant et que l'auto-amnistie de 1962 soit levée par une LOI ALGERIENNNE CRIMINALISANT tous les faits coloniaux des français ,du premier "pied sale" posé en Algérie jusqu'au dernier (meme apres 1962 pour toutes leurs manoeuvres des harkis , néo-harkis ,et autres nostalgiques)

 

Les Turcs n'ont pas à être plus Algériens que les Algériens tout comme les Français n'ont pas à légiférer sur des faits qui ne les ont pas concernés ni de près ni de loin .

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salam

je crois que l'histoire algerienne n'appartient pas aux seuls algeriens,et si ceux-ci sont incapable d'obtenir reparation (comme la libye) ou de parler du ginocide français alors c'est tant mieux qu'erdogan en parle.:cool:

 

le jour ou tu auras compris ses pirouettes a ce type tu iras meme lui donner des claks

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salam

je ne donne des claques a personne,chacun est libre de s'exprimer.la premiere flotille pour forcer le blocus de gaza etait ....turc.

 

Un tribunal turc a condamné 33 citoyens turques pour avoir “insulté l’entité sioniste » en lançant des slogans hostiles à une équipe de Basketball israélienne lors d’un match avec l’équipe turque, il était prévu que les supporters, dont neuf femmes, soient condamnés à plus d’un an de prison et à payer une amende, mais il s’est avéré que l’acte d’accusation du procureur général les a condamnés à la prison ferme à la base de la loi turque.

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