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Mon Amour,

 

Mon coeur en partage

Suit ton corps sauvage.

Passion, courbes en fusion

Quand flamboie notre union.

Emporte moi dans les contrées

Où flottent les fleurs de vérités !

Fais moi ressentir le silence

Quand nos corps sont violences !

Brise les voiles de l'infini,

Fais moi frémir cette nuit !

Naissent mille caresses félines,

Nos ventres jouent, s'animent !

Instant brûlant, flammes de vent

A l'ombre de l'instant palissant.

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Mon Amour,

 

Mon coeur en partage

Suit ton corps sauvage.

Passion, courbes en fusion

Quand flamboie notre union.

Emporte moi dans les contrées

Où flottent les fleurs de vérités !

Fais moi ressentir le silence

Quand nos corps sont violences !

Brise les voiles de l'infini,

Fais moi frémir cette nuit !

Naissent mille caresses félines,

Nos ventres jouent, s'animent !

Instant brûlant, flammes de vent

A l'ombre de l'instant palissant.

 

 

c'est magnifique Caprice:o

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Une mélodie inaudible,

résonne dans la nuit

Chant de deux esprits unis pour la vie

Ils dansent sans prendre conscience

du temps

Leur rêve nocturne s'étend

indéfiniment

Leurs corps se frolent

Leurs coeurs s'accélèrent

Leurs âmes se lient

Et ne font plus qu'une

Le bonheur est à son comble

Leur tristesse s'effacent dans l'ombre

Seul leur amour compte

Qui jamais ne pourra se rompre.

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On m'appelle Aphrodite

Déesse de l'Amour

Venez je vous invite

A connaître mes tours

Sur vos lèvres entre-ouvertes

Fraîches comme une source

Se posera ; brûlante, ma bouche

Votre corps tout entier, frémira,

de désir

Sous les douces et savantes

caresses, les longs effleurements

de mains expertes

La nuit et le jour ne pourront

suffir

Pour de l'amour, épuiser les

plaisirs

Mais prenez garde, innocente

victime !

Car c'est d'un fer rouge que vous

serez marqué.

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Vierge olive.

 

Après la rituelle tasse de café,

Amoureusement sirotée à deux,

Dans mes bras elle a voulu être,

Les yeux fermés et la bouche entrouverte,

Les lèvres charnues et frémissantes,

Un fruit mure tendu prêt à la cueillette,

Que je goûte, sans attendre, avec délicatesse,

Une sensation jamais ressentie,

Un goût de pur nectar, un élixir,

A son gouz*, préalablement, réservé,

Tremblante d’amour de tout son être,

Mes mains parcourent avec bonheur,

Ce corps svelte et vierge de découverte,

Des seins galbés donnant l'envie,

Palpés des sensations fortes me donne le tournis,

A jamais marqué dans mon esprit

Des fesses fermes et un peu rondelettes,

Cette gouza** ma bien aimée, ce jour là,

Dans notre lieu de rendez vous mythique,

Me prouva, sans hésite, en cette belle journée

Son grand amour, constamment, renouveler.

Sur le net dans le pays de sire Sarkozy.

 

 

Rosier belda.

 

 

 

* Mec.

** Nana.

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Invocation

 

O toi qui m'apparus dans ce désert du monde,

Habitante du ciel, passagère en ces lieux !

O toi qui fis briller dans cette nuit profonde

Un rayon d'amour à mes yeux ;

 

A mes yeux étonnés montre-toi tout entière,

Dis-moi quel est ton nom, ton pays, ton destin.

Ton berceau fut-il sur la terre ?

Ou n'es-tu qu'un souffle divin ?

 

Vas-tu revoir demain l'éternelle lumière ?

Ou dans ce lieu d'exil, de deuil, de misère,

Dois-tu poursuivre encor ton pénible chemin ?

Ah ! quel que soit ton nom, ton destin, ta patrie,

Ou fille de la terre, ou du divin séjour,

Ah ! laisse moi, toute ma vie,

T'offrir mon culte ou mon amour.

 

Si tu dois, comme nous, achever ta carrière,

Sois mon appui, mon guide, et souffre qu'en tous lieux,

De tes pas adorés je baise la poussière.

Mais si tu prends ton vol, et si, loin de nos yeux,

Soeur des anges, bientôt tu remontes près d'eux,

Après m'avoir aimé quelques jours sur la terre;

Souviens-toi de moi dans les cieux."

 

Alphonse de Lamartine

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Voeu d'amour

 

Nous étions plus que des étrangers ;

Nous étions fantaisies bien protégées ;

Pourtant, nous voici plus qu'amis ;

Du moins, j'aime croire cette autre fantaisie.

 

Tu es venu à moi comme l'ombre dans la nuit,

Mais tu brilles comme une étoile à minuit ;

Au dela de mes rêves, tu es le fruit

De mes méditations à propos d'autrui.

 

N'est-ce pas ironie de la vie ?

Ou serait-ce l'esquisse d'un paradis ?

Pourtant, je ne cherchais que ta protection

Et non cette incontrollable affection.

 

Comment t'avouer que je t'aime ?

Que sans toi, je ne serai plus la même ?

La vie avec toi sera douceur éternelle

Et mon amour pour toi sera fièvre perpétuelle.

 

Dans tes yeux, je vois ce même sentiment

Que tu essaies de bannir tout simplement.

Ne vois-tu pas que tu es plus qu'ornements de mes nuits ?

Que je ne veux que vivre mes indolentes songeries ?

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"Mon coeur bat pour le tien

Ma voix chante pour la tienne

Mon corps brûle pour le tien

Mon âme vit pour la tienne

 

Mon corps devient frisson

Enveloppé dans tes baisers

Comment taire mes pulsions

Quand je veux me donner ?

 

Tu fais tant battre mon coeur

Vois, il vibre pour le tien

Donnons nous du bonheur

On s'aime, je t'appartiens."

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Coup de grâce.

 

Bonjour doux visage étincelant,

Aux yeux noirs ensorcelant,

Tu m’as manqué, mortellement manqué !

Cela est-il suffisant pour toi,

Ton appel tardif et surprenant,

Et cette voix sibylline qui s’inquiète de

moi,

Ressemble à un tison rougeoyant,

Posé sur la fissure de notre amour

moribond,

Où a été inscrit en lettres d’or ton

serment,

Trahi au lendemain sur un doute enfantin,

Je suis assourdi par cette tournure

imprévue,

Pris de court par ton silence

assourdissant,

Sans armes et sans haine contre toi,

Viens tu aujourd’hui, pour le coup de

grâce, m’achever ?

Rosier belda.

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Madame, il est heureux, celui dont la pensée...

 

Madame, il est heureux, celui dont la pensée

(Qu'elle fût de plaisir, de douleur ou d'amour)

A pu servir de soeur à la vôtre un seul jour.

Son âme dans votre âme un instant est passée ;

 

Le rêve de son coeur un soir s'est arrêté,

Ainsi qu'un pélerin, sur le seuil enchanté

Du merveilleux palais tout peuplé de féeries

Où dans leurs voiles blancs dorment vos rêveries.

 

Qu'importe que bientôt, pour un autre oublié,

De vos lèvres de pourpre il se voit envolé

Comme l'oiseau léger s'envole après l'orage ?

Lorsqu'il a repassé le seuil mystérieux,

De vos lèvres l'ont doré, dans leur divin langage,

D'un sourire mélodieux.

 

Alfred de Musset

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Non, quand bien même une amère souffrance

 

Non, quand bien même une amère souffrance

Dans ce coeur mort pourrait se ranimer ;

Non, quand bien même une fleur d'espérance

Sur mon chemin pourrait encor germer ;

 

Quand la pudeur, la grâce et l'innocence

Viendraient en toi me plaindre et me charmer,

Non, chère enfant, si belle d'ignorance,

Je ne saurais, je n'oserais t'aimer.

 

Un jour pourtant il faudra qu'il te vienne,

L'instant suprême où l'univers n'est rien.

De mon respect alors qu'il te souvienne !

 

Tu trouveras, dans la joie ou la peine,

Ma triste main pour soutenir la tienne,

Mon triste coeur pour écouter le tien.

 

Alfred de Musset

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A ma fée

 

Amour

Rêve avec moi

Car je crève sans toi

Quand disparaissent tes atours

S'élèvent des ciels noirs griffant mes mers

Et le glaive de ton absence en moi s'insère...

 

Ma belle

Muse de vers

Toi, tu es sentinelle

De mes nuits libres de l'enfer

Abri oxydant, le soleil de l'est

Se levant sur ton tendre sourire celeste...

 

Tes yeux,

Illimitable

Lagon silencieux

Chatoiement incommensurable,

Où se reflète l'immortalité ...

De l'obscurité de nos nuits de volupté...

 

En rimes

Mes mots rêveurs

Sur les tiens s'impriment

Pour devenir vagabonds conteurs

De mes tristesses quand je suis sans toi

Et de l'ivresse du temps passé dans tes bras.

 

Christophe Bregaint

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La courbe de tes yeux

 

La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,

Un rond de danse et de douceur,

Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,

Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu

C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.

 

Feuilles de jour et mousse de rosée,

Roseaux du vent, sourires parfumés,

Ailes couvrant le monde de lumière,

Bateaux chargé du ciel et de la mer,

Chasseurs des bruits et source des couleurs,

 

Parfums éclos d'une couvée d'aurores

Qui gît toujours sur la paille des astres,

Comme le jour dépend de l'innocence

Le monde entier dépend de tes yeux purs

Et tout mon sang coule dans leurs regards.

 

Paul Eluard

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Mon Amour,

 

Mon coeur en partage

Suit ton corps sauvage.

Passion, courbes en fusion

Quand flamboie notre union.

Emporte moi dans les contrées

Où flottent les fleurs de vérités !

Fais moi ressentir le silence

Quand nos corps sont violences !

Brise les voiles de l'infini,

Fais moi frémir cette nuit !

Naissent mille caresses félines,

Nos ventres jouent, s'animent !

Instant brûlant, flammes de vent

A l'ombre de l'instant palissant.

 

Du simple copier coller

kas25erine - Mon coeur en partage Suit ton corps sauvage. Passion, courbes en fusion Quand flamboie notre union. Emporte moi dans les contrées Où flottent le...

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ça te pose un problème ?

J'ai ouvert ce topic pour partager des textes que j'aime, avec ou sans auteurs... si tu n'aimes pas, va chercher bonheur sur d'autres topics.....:04:

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A une femme

 

Enfant ! si j'étais roi, je donnerais l'empire,

Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux

Et ma couronne d'or, et mes bains de porphyre,

Et mes flottes, a qui la mer ne peut suffire,

Pour un regard de vous.

 

Si j'étais Dieu, la terre et l'air avec les ondes,

Les anges, les démons courbés devant ma loi,

Et le profond chaos aux entrailles fécondes,

L'éternité, l'espace, et les cieux, et les mondes,

Pour un baiser de toi.

 

 

Victor Hugo

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