Otto KHOR 10 Posted January 9, 2012 Partager Posted January 9, 2012 Le problème principal est de définir le rôle de l'état.... A t'il vocation a construire des véhicules, des logements?, etc... Qu'attend le citoyen de l'état? education,? Sécurité? aménagement du territoire (routes, transports..) energie? cher ami, encore une fois, mettez vous à la page les Emiratis , qui viennent enfin d'être autorisés à acheter les pipes d'Acelor Mittal, sont terminer d'ici juin, la bretelle qui leur permettra de snober le détroit d'Ormuz Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted January 9, 2012 Partager Posted January 9, 2012 Otto??? C'est quoi le rapport avec le sujet? Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted January 9, 2012 Author Partager Posted January 9, 2012 Le problème principal est de définir le rôle de l'état.... A t'il vocation a construire des véhicules, des logements?, etc... Qu'attend le citoyen de l'état? education,? Sécurité? aménagement du territoire (routes, transports..) energie? Oui, mais qu'a fait Arcellor Mittal, il achète El Hadjar puis après il le laisse couler. L'Etat doit garantir une production nationale d'acier. Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted January 9, 2012 Partager Posted January 9, 2012 Ok Zoubir... surtout quand c'est un secteur stratégique...au moins avoir un droit sur les décisions prises Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted January 9, 2012 Author Partager Posted January 9, 2012 Ok Zoubir... surtout quand c'est un secteur stratégique...au moins avoir un droit sur les décisions prises Voila, quand c'est un secteur stratégique. Citer Link to post Share on other sites
Otto KHOR 10 Posted January 10, 2012 Partager Posted January 10, 2012 Otto??? C'est quoi le rapport avec le sujet? excuse moi, j'avais mal lu un article sur le net il est question des Emiratis qui vont terminer le pipe qui va leur permettre de ne plus passer par le détroit d'Ormuz il m'a semblé lire qu'ils avaient acheté des pipes de chez nous à Acerlor-Mittal boudé par la SH. J'ai dû halluciner. Citer Link to post Share on other sites
Volher 10 Posted January 11, 2012 Partager Posted January 11, 2012 La maison mère dément toute cessation de paiement Les risques de cessation de paiement pour ArcelorMittal Annaba sont-ils à prendre au sérieux ou, au contraire, s’agit-il d’un argument pour obtenir ce que les autorités se refusent à accorder ? Hier, alors qu’on s’imaginait que l’avenir du fleuron de l’industrie nationale était perdu après le dépôt d’une déclaration de cessation de paiement auprès du tribunal territorialement compétent, un démenti tombe. Et pas n’importe quel démenti, celui du groupe mère. Le sidérurgiste franco-indien annonce, à partir de Paris, n’avoir pas «déposé le bilan ni déclaré de cessation de paiement» pour la filiale d’El Hadjar. Une déclaration qui sonne comme un désaveu pour l’actuel patron de la filiale algérienne, Vincent Legouic, pour la gestion future du dossier. Contacté, le président du directoire de Société Générale Algérie (SGA) nous a affirmé, hier, que «le groupe ArcelorMittal est un groupe solide au regard des indicateurs qu’il présente à l’international». Mais qu’en est-il au juste de la filiale algérienne ? Car il y a tout lieu de noter la contradiction flagrante entre les déclarations de son directeur général, dimanche dernier, évoquant l’état de «cessation de paiement», et celles de la maison mère 24 heures plus tard ? Le premier concerné, M. Legouic, n’a pas souhaité répondre. La déclaration du groupe mère, reprise hier par l’AFP, précise pourtant qu’«ArcelorMittal Annaba compte toujours sur le support de ses deux actionnaires ArcelorMittal et Sider, et croit qu’une solution prochaine sera trouvée aux négociations en cours». Les pressions exercées depuis plus d’un mois par le sidérurgiste pour l’obtention de crédits et de conditions avantageuses prennent l’allure d’un pétard mouillé. Les négociations évoquées par le groupe mère cachent mal d’ailleurs son recul face aux menaces à peine voilées de nationalisation brandies aussi bien par le gouvernement algérien que par le soutien des partenaires sociaux à une telle option, au moment même où le renouvellement de la convention de partenariat tarde à se concrétiser. Le report de la signature d’un nouvel accord, alors que les termes du partenariat initial ont expiré le 18 octobre 2011, est le principal révélateur d’un retournement de situation dont pâtit le sidérurgiste. Le micmac de la cessation de paiement n’est d’ailleurs qu’une des conséquences de cet état de fait. Il est vrai que les arguments présentés par V. Legouic pour expliquer les difficultés dans lesquelles patauge le complexe et la nécessité d’obtenir de la Banque extérieure d’Algérie (BEA) le refinancement d’un crédit contracté auprès de la Société générale Algérie (SGA) souffrent quelques critiques. Le fait est que l’entreprise ne peut être dans une situation difficile tant que SGA ne lui adresse pas d’injonction pour le remboursement de la dette. Le directeur général de SGA, Pierre Boursot, qui a insisté sur le caractère confidentiel de ses rapports avec l’entreprise, nous a déclaré que sa banque «entretient d’excellentes relations avec ses clients, et ce, quelle que soit leur situation financière». Et de se dire confiant quant à la solidité du groupe ArcelorMittal, malgré la crise qu’il traverse «comme tout le monde». Une confiance justifiée, selon lui, «au regard des indicateurs qu’il présente» à l’international. Disgrâce ? Le refus de la BEA d’accéder à la requête du sidérurgiste reste en tout cas aussi surprenant que celui de l’entreprise sidérurgique de lui accorder la garantie internationale qu’elle avait pourtant consentie à l’endroit de SGA. Pourtant, jusqu’à récemment, le partenariat Sider-ArcelorMittal était présenté comme un modèle en la matière. En 2008, les pouvoirs publics en étaient même allés jusqu’à examiner la possibilité d’accorder au sidérurgiste les études sur le potentiel ainsi que l’exploitation minière du gisement de Gara Djebilet. Il était également question de l’implantation d’une aciérie à Bellara pour un investissement de 1,5 milliard de dollars. Entre-temps, la crise économique de 2009 est passée par là. L’instauration de la règle des 51/49% dans le cadre de la LFC 2009 a fini par refroidir l’enthousiasme du sidérurgiste pour de nouveaux investissements en Algérie. En contrepartie, les Algériens on dû revoir l’option sur les gisements de Gara Djebilet et leur exploitation par un groupe qui gère déjà les mines de Ouenza. S’ensuit un cycle infernal pour le complexe El Hadjar avec un désinvestissement flagrant qui s’est traduit par une compression des effectifs en sous-traitance et une baisse des livraisons globales d’acier au marché local, lesquelles sont passées d’un peu plus d’un million de tonnes en 2007 à 601 000 tonnes en 2010. Le sidérurgiste a alors été accusé de baisser sciemment la production de la filiale algérienne au profit des filiales européennes, malmenées depuis 2008 par la crise. De nombreux conflits sociaux ont été engendrés par cette situation, le plus violent étant celui qui a éclaté, fin 2010, après que la direction du complexe eut évoqué la possibilité de fermer définitivement la cokerie. Bras de fer Un bras de fer avait alors opposé syndicat et direction pour finir sur une décision de la direction de réhabiliter la cokerie dans le cadre d’un plan d’investissement plus large. Plan qui devait aussi présider au renouvellement de la convention de partenariat alors en cours de négociation. La situation prévalant au complexe ne semblait pas alors gêner les pouvoirs publics. Malgré les appels répétés du partenaire social de nationaliser ou, du moins, de prendre une part majoritaire de l’actionnariat du complexe, on a décidé de reconduire la convention de partenariat dans les mêmes termes qu’en 2001. Celle-ci devait être signée au mois d’octobre dernier. Cela n’a pas été fait. Entre-temps, ArcelorMittal et deux autres opérateurs privés ont été définitivement écartés des projets à implanter à Bellara au profit d’un nouvel arrivant. Qatari cette fois. Il n’est pas impossible d’y voir un truchement politique. Un truchement qui a bénéficié à d’autres opérateurs avant de connaître des retournements de situation. Citer Link to post Share on other sites
Volher 10 Posted January 11, 2012 Partager Posted January 11, 2012 Un marché qui dépend des importations : Un marché qui dépend des importations : Le marché algérien des produits sidérurgiques dépend majoritairement des importations. Selon les estimations annoncées par le syndicat d’entreprise ArcelorMittal Annaba, lequel reprend les statistiques du ministère de l’Industrie et celles des Douanes algériennes, les importations (en valeur) ont atteint 10 milliards de dollars en 2011. En volume, les chiffres disponibles évoquent 3,5 millions de tonnes de produits sidérurgiques en tous genres importés en 2010. Selon les chiffres du groupe sidérurgique, le marché algérien représente une consommation globale de 5 à 6 millions de tonnes. Une estimation appelée à être revue à la hausse en raison des programmes d’investissement publics. Le rond à béton représente environ 50% du marché, suivi des tubes (un peu plus de 20%), des produits plats (environ 15%) et enfin le fil machine avec 10% de la consommation globale d’acier. Citer Link to post Share on other sites
Volher 10 Posted January 11, 2012 Partager Posted January 11, 2012 Un partenariat arrivé à terme Un partenariat arrivé à terme Le partenariat entre le groupe sidérurgique public Sider et son partenaire indien Ispat, devenu au fil des années MittalSteel et ensuite ArcelorMittal, remonte à octobre 2001. Une convention de partenariat de 10 années a été signée le 18 octobre 2001. L’accord, qui prévoyait une cession de 70% des actions du complexe sidérurgique d’El Hadjar à Ispat, lui a également alloué de nombreux avantages. Il s’agit d’une réduction de 70% du coût des redevances énergétiques (gaz et électricité) et d’un abattement des taxes douanières sur les exportations, ainsi que l’exonération des taxes et impôts. En contrepartie, Ispat se devait d’investir 100 millions de dollars. La production devait passer de 800 000 tonnes par an à 1,5 million de tonnes par an. Côté socioprofessionnel, le contrat prévoyait qu’Ispat ne procéderait, durant 5 années, à aucun dégraissement des effectifs et s’engageait à négocier avec son partenaire social (syndicat). Le 18 octobre dernier, la convention de partenariat, arrivée à terme, devait être renouvelée. Depuis, la situation semble s’être enlisée dans les blocages. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted January 11, 2012 Author Partager Posted January 11, 2012 Un partenariat arrivé à terme Le partenariat entre le groupe sidérurgique public Sider et son partenaire indien Ispat, devenu au fil des années MittalSteel et ensuite ArcelorMittal, remonte à octobre 2001. Une convention de partenariat de 10 années a été signée le 18 octobre 2001. L’accord, qui prévoyait une cession de 70% des actions du complexe sidérurgique d’El Hadjar à Ispat, lui a également alloué de nombreux avantages. Il s’agit d’une réduction de 70% du coût des redevances énergétiques (gaz et électricité) et d’un abattement des taxes douanières sur les exportations, ainsi que l’exonération des taxes et impôts. En contrepartie, Ispat se devait d’investir 100 millions de dollars. La production devait passer de 800 000 tonnes par an à 1,5 million de tonnes par an. Côté socioprofessionnel, le contrat prévoyait qu’Ispat ne procéderait, durant 5 années, à aucun dégraissement des effectifs et s’engageait à négocier avec son partenaire social (syndicat). Le 18 octobre dernier, la convention de partenariat, arrivée à terme, devait être renouvelée. Depuis, la situation semble s’être enlisée dans les blocages. On a rien vu comme investissement de la part de cette multinationale. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 27, 2012 Author Partager Posted February 27, 2012 Ne laissons pas mourir l'industrie nationale de l'acier. C'est la base de tout le reste. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 27, 2012 Author Partager Posted February 27, 2012 Écrit par Yazid Ferhat M Emergent Lundi, 27 Février 2012 Algérie - La Tuberie d'Arcelor Mittal otage de la certification « Premium Connection » [La Tuberie d’ArcelorMittal Annaba otage de la certification «Premium Connection»] La Tuberie sans soudure d’ArcelorMittal Annaba est toujours sans commandes, malgré les assurances des pouvoirs publics. Actuellement l’entreprise ne tourne qu’à 35 % de ses capacités grâce à de petites commandes passées en 2011. Les travailleurs entretiennent l’espoir de réaliser un lot d’un projet de Sonatrach de 1000 km de pipes. Un projet loin d’être acquis malgré « un accord de principe » qui se trouve otage d’une nouvelle exigence de certification : « Premium Connection » L’année 2011 a été celle de petites commandes pour la Tuberie sans soudure (TSS) d’ArcelorMittal Annaba Pipes & tubes Algeria (AMPTA). En septembre de la même année, la société CAMEG (Comptoir Algérien du Matériel Electrique et Gazier), filiale de Sonelgaz a repris un appel d’offres suspendu depuis 2009 dans lequel AMPTA a soumissionné et décroché une commande 85 km de pipelines pour 513 milliards de DA. En mai 2011, elle a participé à une petite commande de tubes de forage (un lot de 13 km) du groupement Sonatrach-AGIP. Ces petites commandes qui ne rassurent guère sur l’avenir de l’entreprise puisqu’elles ne peuvent faire tourner la production que pour 3 mois pas plus. Actuellement l’entreprise tourne à 35 % de ses capacités. Le carnet de commande « normal » d’une année équivaut à 32.000 tonnes de tubes pour une capacité annuelle de 115.000 tonnes. Pour l’année 2012 l’horizon est encore incertain. Les directives du Chef de l’Etat données aux entreprises du secteur de l’Energie en vue de traiter en priorité avec les entreprises locales n’ont pas permis à l’unique entreprise du Maghreb spécialisée dans la fabrication de tubes sans soudure de sortir d’affaire. Bien que le dossier est parvenu jusqu’à la Présidence, les travailleurs de ladite entreprises ne s’en réjouissent pas : aucune commande n’est enregistrée. Ils restent néanmoins accrochés au seul espoir qui leur reste : celui de décrocher un lot dans un projet de Sonatrach de 1000 km de pipes. « L’AMPTA a soumissionné et a eu un accord de principe sur la possibilité de lui accorder un lot », nous a révélé une source proche de l’entreprise ArcelorMittal Annaba. Elle est retenue pour l’instant parmi les soumissionnaires, pas plus. Nouvelle exigence qualité Notre source ne croit pas vraiment à un possible retour de Sonatrach au portefeuille-client de l’AMPTA, car elle devenue du jour au lendemain « trop » exigeante en matière de qualité même pour les pipes qui ne nécessite que les homologations les plus courantes de type API 5L. « Pour prétendre au marché de Sonatrach, AMPTA doit dorénavant justifier d’une certification Premium Connection », précise notre source qui a indiqué que Sonatrach a dépêché une équipe d’experts de l’Agence Nationale de Contrôle et de Régulation des Activités dans le Domaine des Hydrocarbures, appelée « Autorité de Régulation des Hydrocarbures » pour vérifier sur place la qualité des produits. Les experts ont conclu à l’exigence de l’homologation Premium Connection, alors qu’il y a une année et demie les experts de Sonatrach étaient « satisfaits de la qualité de nos produits et ont donné un avis favorable pour travailler avec nous ». Notre source s’interroge sur ce virage amorcé en 2010 d’autant que l’incident de 2008 a été « définitivement » réglé. En 2008, un tube défectueux s’est glissé dans une commande de tube de transport de gaz à Bir El Ater. A cause d’une petite fissure dans un tube qui a explosé, une dizaine de km de pipes a été déterrée. Ce qui était pourtant pris en charge par la Tuberie. Depuis, l’entreprise a investi dans un équipement de contrôle ultrason. Cet équipement est capable de détecter la moindre perforation. Un investissement de 12 millions de dollars pour optimiser la qualité a été nécessaire. Il convient de rappeler que depuis 1978 la Tuberie fournissait Sonatrach et Sonelgaz en tubes. Elle a réussi à placer 15.000 km de tubes (Skikda-Berrehal-Annaba sont fait par les tubes de la TSS) sans qu’on signale le moindre problème jusqu’à cette date fatidique de 2008. Citer Link to post Share on other sites
clairvoyant 10 Posted February 28, 2012 Partager Posted February 28, 2012 Bonjour Sonatrach préfère les achats groupés d’un trader libanais Moi je suggère , qu'il faut faire appel à 2 ou 3 labos étrangers et neutres en controle de metallurgie . Quant à la corrosion , c'est un problème de protection cathodique, peut etre aussi à l'epaisseur du tube. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 28, 2012 Author Partager Posted February 28, 2012 Bonjour Sonatrach préfère les achats groupés d’un trader libanais Moi je suggère , qu'il faut faire appel à 2 ou 3 labos étrangers et neutres en controle de metallurgie . Quant à la corrosion , c'est un problème de protection cathodique, peut etre aussi à l'epaisseur du tube. Ce que je ne comprends pas c'est que l'usine appartient en partie à Arcellor Mittal, or eux ils ont des ingénieurs internationaux top niveau. Citer Link to post Share on other sites
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