Bouteflika, guerre d’allégeance et processus électoral

[Otto KHOR 10]

BOUTEF n'a de vivant que le souffle court que lui laisse encore le Tout Puissant entretenu par les pefusions et l'EPO.

 

gâteux et colérique, il réagit comme un Staline devant un entourage et des Etats Majors terrifiés ou pervers

 

ya Si Abdel"aziz, mon père te dit qu'il t'avait un moment apprécié, pour ta prestance et ta réplique aisée et facile. Il sait tout ce que tu dois au Grand BOUMEDIENE et pourquoi. Tu n'inpressionnes pas , c'est notre malheur, TOUFIK, et ce n'est pas parceque votre mère a été délogée de sa villa par le pouvoir, que vous voulez maintenant que tous les Algériens se mettent à la harga.

 

ne nous obligez pas , tous les soirs à prier, comme suggéré par un chrétien, pour votre mort.