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Réforme : après le “Printemps arabe”, l’automne algérien


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Réforme : après le “Printemps arabe”, l’automne algérien

Par : Mustapha Hammouche

 

 

La “réforme” prend des allures d’opération de verrouillage absolu de la vie publique. Avec la loi sur les associations, le pouvoir a franchement affiché sa volonté de gommer toute expression publique de la contestation.

Et comme pour mettre fin à tout commentaire sur les limites posées à sa réforme par les lois récemment examinées par le parlement, Bouteflika a clairement répondu, hier à l’ouverture de l’année judiciaire, “aux voix qui s’élèvent à l’intérieur et à l’extérieur” que c’est bien sa réforme, et donc celle du peuple, qui connaît un début. Et même si “le meilleur reste à venir”, dit-il, il ne faudrait pas s’attendre à une révolution.

La veille devant les sénateurs, le ministre de l’Intérieur, justifiant l’étrange délit d’“ingérence dans les affaires internes du pays” dont les associations algériennes pourraient se rendre coupables, a eu cette scolaire explication : “les associations qui lancent des appels à des grèves visent la perturbation de l’ordre public. Elles s’ingèrent dans la politique du pays et de ce fait, elles risquent de disparaître.” Les associations n’ont pas le droit “d’interférer dans les affaires… d’ordre public”, dit plus pour clarifier sa pensée en usant de l’amalgame entre “grèves”, “ingérence” et “ordre public”, bref, tout un chapelet de motifs qui cachent mal l’intention répressive de la nouvelle loi.

Dans son discours aux magistrats, Bouteflika reconnaît que “nous n’avons pas fait tout ce que nous devions entreprendre” et que “nous n’en sommes pas à la démocratie”. Le président ne précise aucun planning pour cette voie qu’il dit “unique” de l’Algérie, où le

meilleur — et donc la démocratie — reste à venir. C’est surprenant que le président qui, il y a quelques jours à Laghouat, annonçait “des élections législatives dans une pluralité sans précédent”, admette, une semaine plus tard, la relativité des progrès réalisés.

Le problème, c’est que les premières lois de réformes ne peuvent même pas constituer une étape d’un processus de démocratisation : elles rivalisent de teneur liberticide. Cette voie, pour “unique” qu’elle se veut, est à contresens du monument démocratique universel et dont les effets se font ressentir jusqu’au devant de nos portes. Le pouvoir est certainement convaincu que ce que Ould Kablia a appelé “un vent d’instabilité”, devant le comité frontalier algéro-nigérien, est passé et qu’il ne risque plus de perturber la stabilité du régime : il peut désormais rappeler à l’ordre — c’est le cas de le dire, “les voix qui s’élèvent à l’intérieur et à l’extérieur” pour un train de réformes plus résolu. Entre-temps, il aura réussi à faire d’un processus de réforme démocratique approfondi une occasion pour verrouiller plus fermement encore ce qui subsistait de la vie publique. C’est la volonté du peuple d’avancer à sa manière et son rythme, rappelle le président. C’est même un attribut de son indépendance !

La veille, les adjoints d’éducation éprouvaient la brutalité répressive d’un régime qui reprend du poil de la bête.

Décidément, la voie algérienne du progrès politique est unique : elle mène toujours vers moins de droits, moins de libertés, et plus de répression d’autoritarisme.

M. H.

Liberte

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Réforme : après le “Printemps arabe”, l’automne algérien

Par : Mustapha Hammouche

 

 

La “réforme” prend des allures d’opération de verrouillage absolu de la vie publique. Avec la loi sur les associations, le pouvoir a franchement affiché sa volonté de gommer toute expression publique de la contestation.

Et comme pour mettre fin à tout commentaire sur les limites posées à sa réforme par les lois récemment examinées par le parlement, Bouteflika a clairement répondu, hier à l’ouverture de l’année judiciaire, “aux voix qui s’élèvent à l’intérieur et à l’extérieur” que c’est bien sa réforme, et donc celle du peuple, qui connaît un début. Et même si “le meilleur reste à venir”, dit-il, il ne faudrait pas s’attendre à une révolution.

La veille devant les sénateurs, le ministre de l’Intérieur, justifiant l’étrange délit d’“ingérence dans les affaires internes du pays” dont les associations algériennes pourraient se rendre coupables, a eu cette scolaire explication : “les associations qui lancent des appels à des grèves visent la perturbation de l’ordre public. Elles s’ingèrent dans la politique du pays et de ce fait, elles risquent de disparaître.” Les associations n’ont pas le droit “d’interférer dans les affaires… d’ordre public”, dit plus pour clarifier sa pensée en usant de l’amalgame entre “grèves”, “ingérence” et “ordre public”, bref, tout un chapelet de motifs qui cachent mal l’intention répressive de la nouvelle loi.

Dans son discours aux magistrats, Bouteflika reconnaît que “nous n’avons pas fait tout ce que nous devions entreprendre” et que “nous n’en sommes pas à la démocratie”. Le président ne précise aucun planning pour cette voie qu’il dit “unique” de l’Algérie, où le

meilleur — et donc la démocratie — reste à venir. C’est surprenant que le président qui, il y a quelques jours à Laghouat, annonçait “des élections législatives dans une pluralité sans précédent”, admette, une semaine plus tard, la relativité des progrès réalisés.

Le problème, c’est que les premières lois de réformes ne peuvent même pas constituer une étape d’un processus de démocratisation : elles rivalisent de teneur liberticide. Cette voie, pour “unique” qu’elle se veut, est à contresens du monument démocratique universel et dont les effets se font ressentir jusqu’au devant de nos portes. Le pouvoir est certainement convaincu que ce que Ould Kablia a appelé “un vent d’instabilité”, devant le comité frontalier algéro-nigérien, est passé et qu’il ne risque plus de perturber la stabilité du régime : il peut désormais rappeler à l’ordre — c’est le cas de le dire, “les voix qui s’élèvent à l’intérieur et à l’extérieur” pour un train de réformes plus résolu. Entre-temps, il aura réussi à faire d’un processus de réforme démocratique approfondi une occasion pour verrouiller plus fermement encore ce qui subsistait de la vie publique. C’est la volonté du peuple d’avancer à sa manière et son rythme, rappelle le président. C’est même un attribut de son indépendance !

La veille, les adjoints d’éducation éprouvaient la brutalité répressive d’un régime qui reprend du poil de la bête.

Décidément, la voie algérienne du progrès politique est unique : elle mène toujours vers moins de droits, moins de libertés, et plus de répression d’autoritarisme.

M. H.

Liberte

 

et sur l'hiver marocain, qu'est ce qu'il dit?

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et sur l'hiver marocain, qu'est ce qu'il dit?

 

Cet hiver est apparemment passé avec des islamistes au pouvoir...et un 20 Février en décomposition

 

Pas bête le M6 qui a su lâcher un peu de lest au bon moment pour éviter d’être emporté contrairement à des gérontocrates algériens qui ne trouvent rien à dire à leur peuple sinon que l’algérien n'est pas encore prêt à devenir démocrate comme les français et l'anglais et qu'il lui faut des siècles..

 

Toute la différence entre une monarchie qui malgré ses multiples tares sait faire le roseau et une dictature militaire algérienne qui s'obstine à imiter le chêne alors que la tempête gronde.

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Réforme : après le “Printemps arabe”, l’automne algérien

Par : Mustapha Hammouche

 

 

La “réforme” prend des allures d’opération de verrouillage absolu de la vie publique. Avec la loi sur les associations, le pouvoir a franchement affiché sa volonté de gommer toute expression publique de la contestation.

Et comme pour mettre fin à tout commentaire sur les limites posées à sa réforme par les lois récemment examinées par le parlement, Bouteflika a clairement répondu, hier à l’ouverture de l’année judiciaire, “aux voix qui s’élèvent à l’intérieur et à l’extérieur” que c’est bien sa réforme, et donc celle du peuple, qui connaît un début. Et même si “le meilleur reste à venir”, dit-il, il ne faudrait pas s’attendre à une révolution.

La veille devant les sénateurs, le ministre de l’Intérieur, justifiant l’étrange délit d’“ingérence dans les affaires internes du pays” dont les associations algériennes pourraient se rendre coupables, a eu cette scolaire explication : “les associations qui lancent des appels à des grèves visent la perturbation de l’ordre public. Elles s’ingèrent dans la politique du pays et de ce fait, elles risquent de disparaître.” Les associations n’ont pas le droit “d’interférer dans les affaires… d’ordre public”, dit plus pour clarifier sa pensée en usant de l’amalgame entre “grèves”, “ingérence” et “ordre public”, bref, tout un chapelet de motifs qui cachent mal l’intention répressive de la nouvelle loi.

Dans son discours aux magistrats, Bouteflika reconnaît que “nous n’avons pas fait tout ce que nous devions entreprendre” et que “nous n’en sommes pas à la démocratie”. Le président ne précise aucun planning pour cette voie qu’il dit “unique” de l’Algérie, où le

meilleur — et donc la démocratie — reste à venir. C’est surprenant que le président qui, il y a quelques jours à Laghouat, annonçait “des élections législatives dans une pluralité sans précédent”, admette, une semaine plus tard, la relativité des progrès réalisés.

Le problème, c’est que les premières lois de réformes ne peuvent même pas constituer une étape d’un processus de démocratisation : elles rivalisent de teneur liberticide. Cette voie, pour “unique” qu’elle se veut, est à contresens du monument démocratique universel et dont les effets se font ressentir jusqu’au devant de nos portes. Le pouvoir est certainement convaincu que ce que Ould Kablia a appelé “un vent d’instabilité”, devant le comité frontalier algéro-nigérien, est passé et qu’il ne risque plus de perturber la stabilité du régime : il peut désormais rappeler à l’ordre — c’est le cas de le dire, “les voix qui s’élèvent à l’intérieur et à l’extérieur” pour un train de réformes plus résolu. Entre-temps, il aura réussi à faire d’un processus de réforme démocratique approfondi une occasion pour verrouiller plus fermement encore ce qui subsistait de la vie publique. C’est la volonté du peuple d’avancer à sa manière et son rythme, rappelle le président. C’est même un attribut de son indépendance !

La veille, les adjoints d’éducation éprouvaient la brutalité répressive d’un régime qui reprend du poil de la bête.

Décidément, la voie algérienne du progrès politique est unique : elle mène toujours vers moins de droits, moins de libertés, et plus de répression d’autoritarisme.

M. H.

Liberte

Le peuple

.... a besoin de travail,

.... de logements,

.... d'ecoles,

.... de soins corrects et pas chers

.... de securite,

.... de liberte individuelle,

.... de justice

.... les libertes publiques : il s'en fout

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Cet hiver est apparemment passé avec des islamistes au pouvoir...et un 20 Février en décomposition

 

Pas bête le M6 qui a su lâcher un peu de lest au bon moment pour éviter d’être emporté contrairement à des gérontocrates algériens qui ne trouvent rien à dire à leur peuple sinon que l’algérien n'est pas encore prêt à devenir démocrate comme les français et l'anglais et qu'il lui faut des siècles..

 

Toute la différence entre une monarchie qui malgré ses multiples tares sait faire le roseau et une dictature militaire algérienne qui s'obstine à imiter le chêne alors que la tempête gronde.

 

Il ne faut pas comparer l'incomparable, M6 a affaire a une population majoritairement analphabète et jouit d'un statut sacré qui lui permet de designer le diable en personne a la tète du gouvernement de zoudj doro sans que personne n'ose ouvrir son bec puisque c'est lui qui gouvernera de toute façon.

 

Quand on voit benkirane* se comporter comme un esclave face a un narcotrafiquant et faire des éloges au sanguinaire hassan 2, on se rend compte a quel point le makhzen n'a aucun respect pour les pauvres marocains qu'il traite comme du bétail.

 

[YOUTUBE]fQLaWJnXBWI[/YOUTUBE]

 

* Monsieur Benkirane veut partager avec les Marocains sa vision de la fonction du chef de gouvernement. Pour commencer, sachez qu’il a de graves soucis avec sa majesté. Il dit: « Bien sûr quand j’ai rencontré Sa Majesté le Roi, je ne faisais que l’écouter ». Il dit: « je lui donnais du `’Votre majesté ‘ , des fois ‘ Sidna’ et des fois ‘Sidi Mohammed’ » . Il dit: « je lui ai présenté mes excuses et je lui ai dit ‘Votre Majesté, tout ça est nouveau pour moi, c’est la première fois que je vous rencontre en direct, pardonnez-moi Sidi Mohamed’ » . Il dit: « Sa Majesté m’a répondu : ‘Sidi Mohammed me va bien, j’ai le meilleur prénom, celui du prophète ». Il dit: « Que Dieu bénisse [sa Majesté], j’ai rien à dire ».
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Cet hiver est apparemment passé avec des islamistes au pouvoir...et un 20 Février en décomposition

 

Pas bête le M6 qui a su lâcher un peu de lest au bon moment pour éviter d’être emporté contrairement à des gérontocrates algériens qui ne trouvent rien à dire à leur peuple sinon que l’algérien n'est pas encore prêt à devenir démocrate comme les français et l'anglais et qu'il lui faut des siècles..

 

Toute la différence entre une monarchie qui malgré ses multiples tares sait faire le roseau et une dictature militaire algérienne qui s'obstine à imiter le chêne alors que la tempête gronde.

 

pour vous c'est simple, le diner du calife est servi, le calife va faire sa toilette, le calife va faire un besoin, le calife va faire un discours, le calife va aux sports d'hiver.

et comme je suis pas chien, je te donne un scoop,

les islamistes ont envoyés un préavis de licenciement à votre calife et son cousin assad.

va vite t'achetter un kamis et des nu pieds, nike de préférence.

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Il ne faut pas comparer l'incomparable, M6 a affaire a une population majoritairement analphabète et jouit d'un statut sacré qui lui permet de designer le diable en personne a la tète du gouvernement de zoudj doro sans que personne n'ose ouvrir son bec puisque c'est lui qui gouvernera de toute façon.

 

Quand on voit benkirane* se comporter comme un esclave face a un narcotrafiquant et faire des éloges au sanguinaire hassan 2, on se rend compte a quel point le makhzen n'a aucun respect pour les pauvres marocains qu'il traite comme du bétail.

 

[YOUTUBE]fQLaWJnXBWI[/YOUTUBE]

 

Pour ta gouverne il y a une différence entre une personne analphabète et une personne ignorante .

 

J'ai souvent eu des discussions politiques animées avec des personnes qui n'ont jamais mis les pieds dans une école alors que certains lettrés sont apolitiques et sont incapables de te dire quel est leur ministre de tutelle .

 

Par ailleurs quant on a encore HUIT millions d’analphabètes malgré des caisses pleines qui auraient pu construire des écoles , lycées universités à profusion et se payer des maitres d’école et des professeurs sans compter on devrait moins la ramener.

 

Et puis qu'elle est le résultat de cette alphabétisation algérienne "exemplaire" ?? Quid des inventions pondues par cette alphabétisation ??

 

Les universités algériennes ne sont elles pas à la traine même au Maghreb!!!

 

"La première université algérienne à figurer dans le classement Shanghai d’août 2010 est celle de Tlemcen, qui est à la…3 509e place ! Notre meilleure université arrive loin derrière la marocaine Cadi Ayyad University, classée 1 359e. L’université Aboubakr-Belkaïd de Tlemcen occupe la 39e place sur le plan africain, derrière les universités marocaines, tunisiennes, égyptiennes et même sénégalaises. En 2007, sur un total de 7 000 universités classées, celle de Tlemcen n’a occupé que la…6 995e place ! Le classement Shanghai de 2011 a, par ailleurs, classé 17 universités américaines dans le top 20. L’université de Harvard reste numéro un, Stanford occupe la deuxième place, Berkeley arrive en quatrième position derrière le Massachusetts Institute of Technology (MIT). Trois universités britanniques figurent dans le top 10 de ce classement de 2011. Il s’agit de Cambridge, Oxford, et le University College de Londres. L’université de Tokyo perd une place et se classe 21e.

 

Pour le reste Benkiran et consort ...Quand tu seras mieux loti avec un régime démocratique dans ton pays on en reparlera .Pour l'heure l’Algérie est sous les bottes d'une dictature militaire avec un pion Bouteflika à qui font allégeance tous les rampants de la Nomenclatura qui sucent le pays.

 

PS: Les vidéos sur la misère en Algérie j'en ai à la pelle

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La soumission éternelle des makhzanis a la tapette narcotrafiquante n'a vraiment pas de limites ..... C'est triste. :D

 

[YOUTUBE]0X6hQSFO41g[/YOUTUBE]

 

Monsieur Benkirane veut partager avec les Marocains sa vision de la fonction du chef de gouvernement. Pour commencer, sachez qu’il a de graves soucis avec sa majesté. Il dit: « Bien sûr quand j’ai rencontré Sa Majesté le Roi, je ne faisais que l’écouter ». Il dit: « je lui donnais du `’Votre majesté ‘ , des fois ‘ Sidna’ et des fois ‘Sidi Mohammed’ » . Il dit: « je lui ai présenté mes excuses et je lui ai dit ‘Votre Majesté, tout ça est nouveau pour moi, c’est la première fois que je vous rencontre en direct, pardonnez-moi Sidi Mohamed’ » . Il dit: « Sa Majesté m’a répondu : ‘Sidi Mohammed me va bien, j’ai le meilleur prénom, celui du prophète ». Il dit: « Que Dieu bénisse [sa Majesté], j’ai rien à dire ».
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pour vous c'est simple, le diner du calife est servi, le calife va faire sa toilette, le calife va faire un besoin, le calife va faire un discours, le calife va aux sports d'hiver.

et comme je suis pas chien, je te donne un scoop,

les islamistes ont envoyés un préavis de licenciement à votre calife et son cousin assad.

va vite t'achetter un kamis et des nu pieds, nike de préférence.

 

Tu remplaces Calife par junte militaire et tu te retrouves dans la même situation qu'un marocain sauf que toi tu as été tellement formaté par la propagande made URSS que tu t'en rends même pas compte et c'est ça le plus terrible..

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La soumission éternelle des makhzanis a la tapette narcotrafiquante n'a vraiment pas de limites ..... C'est triste. :D

 

[YOUTUBE]0X6hQSFO41g[/YOUTUBE]

 

Monsieur Benkirane veut partager avec les Marocains sa vision de la fonction du chef de gouvernement. Pour commencer, sachez qu’il a de graves soucis avec sa majesté. Il dit: « Bien sûr quand j’ai rencontré Sa Majesté le Roi, je ne faisais que l’écouter ». Il dit: « je lui donnais du `’Votre majesté ‘ , des fois ‘ Sidna’ et des fois ‘Sidi Mohammed’ » . Il dit: « je lui ai présenté mes excuses et je lui ai dit ‘Votre Majesté, tout ça est nouveau pour moi, c’est la première fois que je vous rencontre en direct, pardonnez-moi Sidi Mohamed’ » . Il dit: « Sa Majesté m’a répondu : ‘Sidi Mohammed me va bien, j’ai le meilleur prénom, celui du prophète ». Il dit: « Que Dieu bénisse [sa Majesté], j’ai rien à dire ».
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et sur l'hiver marocain, qu'est ce qu'il dit?

 

Demande le au journal "liberté", il te dira que la royauté est entrain de se reconvertir en république: chose trés rare dans le monde en géneral et dans la région en particulier.

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La soumission éternelle des makhzanis a la tapette narcotrafiquante n'a vraiment pas de limites ..... C'est triste. :D

 

[YOUTUBE]0X6hQSFO41g[/YOUTUBE]

 

Profites pour faire chef de gouvernement, tu peux le devenir chez toi depuis le 18/12/2008

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Profites pour faire chef de gouvernement, tu peux le devenir chez toi depuis le 18/12/2008

 

Aucune relation avec la soumission éternelle des makhzanis comme toi qui défendent les sanguinaires et les tapettes qui usurpent l'islam pour asservir leurs sujets. :D

 

[YOUTUBE]0X6hQSFO41g[/YOUTUBE]

 

Monsieur Benkirane veut partager avec les Marocains sa vision de la fonction du chef de gouvernement. Pour commencer, sachez qu’il a de graves soucis avec sa majesté. Il dit: « Bien sûr quand j’ai rencontré Sa Majesté le Roi, je ne faisais que l’écouter ». Il dit: « je lui donnais du `’Votre majesté ‘ , des fois ‘ Sidna’ et des fois ‘Sidi Mohammed’ » . Il dit: « je lui ai présenté mes excuses et je lui ai dit ‘Votre Majesté, tout ça est nouveau pour moi, c’est la première fois que je vous rencontre en direct, pardonnez-moi Sidi Mohamed’ » . Il dit: « Sa Majesté m’a répondu : ‘Sidi Mohammed me va bien, j’ai le meilleur prénom, celui du prophète ». Il dit: « Que Dieu bénisse [sa Majesté], j’ai rien à dire ».
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Le peuple

.... a besoin de travail,

.... de logements,

.... d'ecoles,

.... de soins corrects et pas chers

.... de securite,

.... de liberte individuelle,

.... de justice

.... les libertes publiques : il s'en fout

 

et sans libertés publique , il n 'y aura ni travail, ni logement, ni ecoles ni santé, ni jistice, ni liberté individuelles

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Aucune relation avec la soumission éternelle des makhzanis comme toi qui défendent les sanguinaires et les tapettes qui usurpent l'islam pour asservir leurs sujets. :D

 

[YOUTUBE]0X6hQSFO41g[/YOUTUBE]

 

Et c'est en étant vulgaire que tu penses convaincre les gens...

 

Pour ton information ce Benkirane ( comme le socialiste Abderrahman el youssoufi) ont été des opposants à la monarchie et ont gouté aux geôles de Hassan II avant de devenir des premiers ministres.

 

Contrairement à toi qui n'est là que pour déverser ta bile sur le Maroc eux préfèrent faire des concessions pour le bien du pays .

 

Un conseil !!!....Occupe toi de la dictature chez toi qui sévit depuis 1962 et qui est loin d'abdiquer.

 

Le vrai sujet c'est celui qui ne veut rien changer chez lui et qui se complait d’être sous une dictature tout en critiquant le régime voisin

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Et c'est en étant vulgaire que tu penses convaincre les gens...

 

Pour ton information ce Benkirane ( comme le socialiste Abderrahman el youssoufi) ont été des opposants à la monarchie et ont gouté aux geôles de Hassan II avant de devenir des premiers ministres.

 

Contrairement à toi qui n'est là que pour déverser ta bile sur le Maroc eux préfèrent faire des concessions pour le bien du pays .

 

Un conseil !!!....Occupe toi de la dictature chez toi qui sévit depuis 1962 et qui est loin d'abdiquer.

 

Le vrai sujet c'est celui qui ne veut rien changer chez lui et qui se complait d’être sous une dictature tout en critiquant le régime voisin

 

Avec une opposition pareille, le narcotrafiquant peut dormir tranquille. bigmdr

 

[YOUTUBE]0X6hQSFO41g[/YOUTUBE]

 

Monsieur Benkirane veut partager avec les Marocains sa vision de la fonction du chef de gouvernement. Pour commencer, sachez qu’il a de graves soucis avec sa majesté. Il dit: « Bien sûr quand j’ai rencontré Sa Majesté le Roi, je ne faisais que l’écouter ». Il dit: « je lui donnais du `’Votre majesté ‘ , des fois ‘ Sidna’ et des fois ‘Sidi Mohammed’ » . Il dit: « je lui ai présenté mes excuses et je lui ai dit ‘Votre Majesté, tout ça est nouveau pour moi, c’est la première fois que je vous rencontre en direct, pardonnez-moi Sidi Mohamed’ » . Il dit: « Sa Majesté m’a répondu : ‘Sidi Mohammed me va bien, j’ai le meilleur prénom, celui du prophète ». Il dit: « Que Dieu bénisse [sa Majesté], j’ai rien à dire ».

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Le peuple

.... a besoin de travail,

.... de logements,

.... d'ecoles,

.... de soins corrects et pas chers

.... de securite,

.... de liberte individuelle,

.... de justice

.... les libertes publiques : il s'en fout

 

pour avoir tout ca,la solutio a mon avis n est pas de s immoler ou de faire le harraga,dans les deux cas on risque la mort alors autant risquer la mort en allant se revolter

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Avec une opposition pareille, le narcotrafiquant peut dormir tranquille. bigmdr

 

[YOUTUBE]0X6hQSFO41g[/YOUTUBE]

 

Monsieur Benkirane veut partager avec les Marocains sa vision de la fonction du chef de gouvernement. Pour commencer, sachez qu’il a de graves soucis avec sa majesté. Il dit: « Bien sûr quand j’ai rencontré Sa Majesté le Roi, je ne faisais que l’écouter ». Il dit: « je lui donnais du `’Votre majesté ‘ , des fois ‘ Sidna’ et des fois ‘Sidi Mohammed’ » . Il dit: « je lui ai présenté mes excuses et je lui ai dit ‘Votre Majesté, tout ça est nouveau pour moi, c’est la première fois que je vous rencontre en direct, pardonnez-moi Sidi Mohamed’ » . Il dit: « Sa Majesté m’a répondu : ‘Sidi Mohammed me va bien, j’ai le meilleur prénom, celui du prophète ». Il dit: « Que Dieu bénisse [sa Majesté], j’ai rien à dire ».

 

Autant que la dictature algérienne qui ,elle; ne veut pas lâcher la moindre concession

 

Mais avec des gars comme toi ,qui préfèrent changer le régime politique des autres ,elle peut être tranquille car elle a encore de beaux jours devant elle..

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Réforme : après le “Printemps arabe”, l’automne algérien

Par : Mustapha Hammouche

 

 

La “réforme” prend des allures d’opération de verrouillage absolu de la vie publique. Avec la loi sur les associations, le pouvoir a franchement affiché sa volonté de gommer toute expression publique de la contestation.

Et comme pour mettre fin à tout commentaire sur les limites posées à sa réforme par les lois récemment examinées par le parlement, Bouteflika a clairement répondu, hier à l’ouverture de l’année judiciaire, “aux voix qui s’élèvent à l’intérieur et à l’extérieur” que c’est bien sa réforme, et donc celle du peuple, qui connaît un début. Et même si “le meilleur reste à venir”, dit-il, il ne faudrait pas s’attendre à une révolution.

La veille devant les sénateurs, le ministre de l’Intérieur, justifiant l’étrange délit d’“ingérence dans les affaires internes du pays” dont les associations algériennes pourraient se rendre coupables, a eu cette scolaire explication : “les associations qui lancent des appels à des grèves visent la perturbation de l’ordre public. Elles s’ingèrent dans la politique du pays et de ce fait, elles risquent de disparaître.” Les associations n’ont pas le droit “d’interférer dans les affaires… d’ordre public”, dit plus pour clarifier sa pensée en usant de l’amalgame entre “grèves”, “ingérence” et “ordre public”, bref, tout un chapelet de motifs qui cachent mal l’intention répressive de la nouvelle loi.

Dans son discours aux magistrats, Bouteflika reconnaît que “nous n’avons pas fait tout ce que nous devions entreprendre” et que “nous n’en sommes pas à la démocratie”. Le président ne précise aucun planning pour cette voie qu’il dit “unique” de l’Algérie, où le

meilleur — et donc la démocratie — reste à venir. C’est surprenant que le président qui, il y a quelques jours à Laghouat, annonçait “des élections législatives dans une pluralité sans précédent”, admette, une semaine plus tard, la relativité des progrès réalisés.

Le problème, c’est que les premières lois de réformes ne peuvent même pas constituer une étape d’un processus de démocratisation : elles rivalisent de teneur liberticide. Cette voie, pour “unique” qu’elle se veut, est à contresens du monument démocratique universel et dont les effets se font ressentir jusqu’au devant de nos portes. Le pouvoir est certainement convaincu que ce que Ould Kablia a appelé “un vent d’instabilité”, devant le comité frontalier algéro-nigérien, est passé et qu’il ne risque plus de perturber la stabilité du régime : il peut désormais rappeler à l’ordre — c’est le cas de le dire, “les voix qui s’élèvent à l’intérieur et à l’extérieur” pour un train de réformes plus résolu. Entre-temps, il aura réussi à faire d’un processus de réforme démocratique approfondi une occasion pour verrouiller plus fermement encore ce qui subsistait de la vie publique. C’est la volonté du peuple d’avancer à sa manière et son rythme, rappelle le président. C’est même un attribut de son indépendance !

La veille, les adjoints d’éducation éprouvaient la brutalité répressive d’un régime qui reprend du poil de la bête.

Décidément, la voie algérienne du progrès politique est unique : elle mène toujours vers moins de droits, moins de libertés, et plus de répression d’autoritarisme.

M. H.

Liberte

 

Tout ce que on fait on le fait pour nous même (Algéro-Algérien).

Pour ce qu'est du maroc vous travailler pour que le petit français qui n as pas les moyen d'aller aux iles paradisiaques vient chez vous.

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Tout ce que on fait on le fait pour nous même (Algéro-Algérien).

Pour ce qu'est du maroc vous travailler pour que le petit français qui n as pas les moyen d'aller aux iles paradisiaques vient chez vous.

 

Tu l'as trouvé tout seul celle là !!

 

Il y a pas que les français qui visitent le Maroc , ils ne sont que 2,5 millions sur 10 millions de touristes toutes nationalités confondues.ceci pour ton information!!

 

Ces mêmes français reçoivent 80 millions de touristes par an soit l’équivalent de leur population et ils sont contents car ça renfloue les caisses du pays

 

On appelle ça le tourisme une chose que tu ne dois pas connaitre vu qu’aucune personne n'oserait s'aventurer dans un pays où le terrorisme et le kidnapping sont un sport national , un pays déserté par les algériens même faute d'infrastructures hôtelières fiables.

 

Ce type de clichés je le met sous le compte de la pure jalousie !!!

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salam

 

envoyé par hcina87

Tu l'as trouvé tout seul celle là !!

 

non il s'est inspiré de ta belle litterature et de tes ecrits:cool:

 

 

Il y a pas que les français qui visitent le Maroc , ils ne sont que 2,5 millions sur 10 millions de touristes toutes nationalités confondues.ceci pour ton information!!

puisque tu sais tout comme toujours, tu sais aussi pourquoi ils viennent chez vous:D

 

 

Ces mêmes français reçoivent 80 millions de touristes par an soit l’équivalent de leur population et ils sont contents car ça renfloue les caisses du pays

 

tu est statisticien, sociologue, specialiste du tourisme, ou docteur d'el yawa oua rih :04:

On appelle ça le tourisme une chose que tu ne dois pas connaitre

oui docteur akhmous aâla wledi , comme il est intelligent !!!! et il sait beaucoup de chose allah ibarek, heureusement que tu a la modestie de nous apprendre, au faite on peut dire on appelle ça le tourisme sexuel , car nous on connait pas ça comme tu a su le rappeler :(

 

vu qu’aucune personne n'oserait s'aventurer dans un pays où le terrorisme et le kidnapping sont un sport national
,

 

quelle culture !!! et quellle connaissance, pour un type qui ne s'occupe pas des affaires des autres !!!!

 

un pays déserté par les algériens même faute d'infrastructures hôtelières fiables.

tu sais hcina87 les algeriens sont difficile a convaincre tu devrais le mettre sous les yeux les rapports de tes superieurs de la boite, tu a pas compris ya welli , la boite ou on met des choses dedans, el makhzana qui pue la puanteur de la soumission de la devotion et de l'adoration du roi, EL MAKHZEN YA SAHBI , poste leur les rapports du MAKHZEN comme cà ils vont te croire

 

Ce type de clichés je le met sous le compte de la pure jalousie !!!

 

tu va d'abord essayer de nous definir ce que tu a compris par pure jalousie, ensuite on pourrait echanger avec toi, entre ta compression des mots et leur utilisation a bon escient cela n'arrange point ta credibilité , car tu vois petit tu balance sans trop savoir ce que tu ennonce

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Depuis 1999 il a les coudées franches

On est en 2011 et dans quelques jours 2012

On voit rien venir

Wallou NADA pas de changement

GHIR EL HAFF

 

Entre nous M. Sydney, Boutef est trés intelligent: est ce que certains et d'autres le laissent travailler?.

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