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Le Figaro : Des Libyens épaulent les insurgés syriens


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Par Edith Bouvier

Mis à jour le 23/12/2011 à 19:04 | publié le 23/12/2011 à 15:51

 

Notre envoyée spéciale s'est infiltrée en Syrie avec trois émissaires de Tripoli.

 

Les trois hommes sont discrets. Leurs grands sacs à dos, apparemment, ne transportent que des appareils photos et des vêtements. «Nous sommes obligés de dire que nous sommes Tunisiens, que nous travaillons pour une association humanitaire. Si jamais on se faisait arrêter, ce serait une victoire pour les autorités syriennes, mais ce serait l'horreur pour nous, Libyens.»

Adem Kikli est un proche d'Abdelhakim Belhaj, l'ancien djihadiste devenu gouverneur militaire de Tripoli. Il sort une paire de jumelles de son étui et scrute au loin les chars de l'armée du régime. Petit, brun, le regard déterminé, Adem parle un anglais parfait, mâtiné d'accent du nord de l'Angleterre.

«J'ai fui la Libye dans les années 1990, pour échapper à la folie de Kadhafi et à ses violences, raconte-t-il. Je me suis réfugié en Angleterre, à Manchester, j'y ai fondé une famille. Mais quand la guerre a démarré en Libye, je suis rentré. Il fallait que je sois aux côtés des miens. Comme il faut que je sois aux côtés des Syriens aujourd'hui pour les aider, partager nos expériences et continuer la lutte.»

 

Accueil chaleureux

 

À ses côtés, Fouad, qui semble être un garde du corps, reste silencieux. Les yeux baissés, il récite des versets du Coran et plonge son regard vers les collines en face de nous. Le chauffeur les montre du doigt: «C'est la Syrie, à quelques centaines de mètres d'ici.» Le silence se fait dans le camion qui fait passer notre petit groupe en territoire syrien.

De l'autre côté de la frontière, l'accueil est chaleureux. Tous se précipitent pour serrer la main des combattants libyens. Une réunion s'improvise dans le salon d'un des membres de l'Armée libre. En pénétrant dans la pièce, tous se déchaussent, déposent leurs armes sur le tapis, avant de s'asseoir autour du poêle. Quelques kalachnikovs, plusieurs revolvers 9 mm et des grenades. «C'est tout ce que vous avez? Il va falloir s'organiser, lance Adem. Il vous faut bien plus. Nous sommes en train de mettre en place des collectes d'armes en Libye. Une fois que ce sera fait, nous devrons trouver un moyen de les acheminer jusqu'ici. Votre combat ne fera pas long feu avec aussi peu de munitions.»

 

Téléphones satellite

 

Plus d'une cinquantaine d'hommes sont rassemblés, des officiers et des soldats, tous mélangés, tous silencieux. Abdel Mehdi al-Harati, qui commandait la Brigade de Tripoli lors de la prise de la capitale libyenne, déboutonne son gilet à rayures, attrape une kalachnikov et reprend.

«Il faut que vous compreniez bien que pour nous aussi la révolution a été longue et difficile. Au départ, il a fallu voler des armes aux forces de Kadhafi. L'armée nous semblait tellement puissante.» L'homme se baisse et fouille dans son sac à dos. Il en sort plusieurs étuis de talkie-walkie, des téléphones satellitaires Thuraya, ainsi que trois paires de jumelles. «Allah Akbar», s'écrie un combattant syrien.

«Maintenant que la Libye est à nos côtés, nous allons pouvoir nous battre. Nous ne sommes plus seuls. Shebabs! («les jeunes», comme se désignent tous les combattants), redressez la tête, la victoire est encore possible, la Ligue arabe nous a abandonnés, mais la Libye est là!»

Les hommes prient, tous ensemble. Syriens et Libyens, têtes baissées, récitent les mêmes versets, partagent les mêmes peurs. «Quand le jour est venu de faire tomber Tripoli, j'ai réalisé l'immensité du chemin parcouru depuis les premières batailles dans l'Est libyen. Bientôt, vous aussi, vous marcherez sur Damas, affirme Abdel Mehdi. Il faut davantage de cohésion entre les différents bataillons de martyrs, que vous communiquiez mieux. Ce n'est que notre première expédition ici, la prochaine fois, nous vous apporterons davantage de matériel. Nous n'avons plus besoin de tout ça en Libye.»

 

Photos souvenirs

 

Adem entreprend d'expliquer le fonctionnement d'une paire de jumelles à visée nocturne. Le manuel d'utilisation des talkies-walkies est en chinois et en anglais, mais pas en arabe. Les hommes rient en tentant de déchiffrer quelques mots. «Il faut que vous pensiez à changer vos fréquences très régulièrement. En fait, il vous faut devenir aussi méthodiques que l'armée du régime. Vous n'êtes pas là uniquement pour protéger la population, vous êtes aussi là pour faire la guerre.»

 

Tous ont le regard décidé, convaincu. C'est le moment des photos souvenirs: les Libyens sont là depuis presque une semaine, il leur faut rentrer en Turquie. Les Syriens attendront leurs prochains envois avec espoir.

 

In : lefigaro.fr

 

 

Le Figaro est un journal de droite , donc proche du pouvoir Français donc ça sonne comme un "aveu" qu'on doit prendre comme une description minimaliste de la réalité .

 

Beaucoup , sur ce forum même , continueront malgré cet article à nous chanter la chanson du "soulèvement pacifique" du peuple qui est sauvagement réprimé par le régime ...............

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Guest aladin1000
Par Edith Bouvier

Mis à jour le 23/12/2011 à 19:04 | publié le 23/12/2011 à 15:51

 

Notre envoyée spéciale s'est infiltrée en Syrie avec trois émissaires de Tripoli.

 

Les trois hommes sont discrets. Leurs grands sacs à dos, apparemment, ne transportent que des appareils photos et des vêtements. «Nous sommes obligés de dire que nous sommes Tunisiens, que nous travaillons pour une association humanitaire. Si jamais on se faisait arrêter, ce serait une victoire pour les autorités syriennes, mais ce serait l'horreur pour nous, Libyens.»

Adem Kikli est un proche d'Abdelhakim Belhaj, l'ancien djihadiste devenu gouverneur militaire de Tripoli. Il sort une paire de jumelles de son étui et scrute au loin les chars de l'armée du régime. Petit, brun, le regard déterminé, Adem parle un anglais parfait, mâtiné d'accent du nord de l'Angleterre.

«J'ai fui la Libye dans les années 1990, pour échapper à la folie de Kadhafi et à ses violences, raconte-t-il. Je me suis réfugié en Angleterre, à Manchester, j'y ai fondé une famille. Mais quand la guerre a démarré en Libye, je suis rentré. Il fallait que je sois aux côtés des miens. Comme il faut que je sois aux côtés des Syriens aujourd'hui pour les aider, partager nos expériences et continuer la lutte.»

 

Accueil chaleureux

 

À ses côtés, Fouad, qui semble être un garde du corps, reste silencieux. Les yeux baissés, il récite des versets du Coran et plonge son regard vers les collines en face de nous. Le chauffeur les montre du doigt: «C'est la Syrie, à quelques centaines de mètres d'ici.» Le silence se fait dans le camion qui fait passer notre petit groupe en territoire syrien.

De l'autre côté de la frontière, l'accueil est chaleureux. Tous se précipitent pour serrer la main des combattants libyens. Une réunion s'improvise dans le salon d'un des membres de l'Armée libre. En pénétrant dans la pièce, tous se déchaussent, déposent leurs armes sur le tapis, avant de s'asseoir autour du poêle. Quelques kalachnikovs, plusieurs revolvers 9 mm et des grenades. «C'est tout ce que vous avez? Il va falloir s'organiser, lance Adem. Il vous faut bien plus. Nous sommes en train de mettre en place des collectes d'armes en Libye. Une fois que ce sera fait, nous devrons trouver un moyen de les acheminer jusqu'ici. Votre combat ne fera pas long feu avec aussi peu de munitions.»

 

Téléphones satellite

 

Plus d'une cinquantaine d'hommes sont rassemblés, des officiers et des soldats, tous mélangés, tous silencieux. Abdel Mehdi al-Harati, qui commandait la Brigade de Tripoli lors de la prise de la capitale libyenne, déboutonne son gilet à rayures, attrape une kalachnikov et reprend.

«Il faut que vous compreniez bien que pour nous aussi la révolution a été longue et difficile. Au départ, il a fallu voler des armes aux forces de Kadhafi. L'armée nous semblait tellement puissante.» L'homme se baisse et fouille dans son sac à dos. Il en sort plusieurs étuis de talkie-walkie, des téléphones satellitaires Thuraya, ainsi que trois paires de jumelles. «Allah Akbar», s'écrie un combattant syrien.

«Maintenant que la Libye est à nos côtés, nous allons pouvoir nous battre. Nous ne sommes plus seuls. Shebabs! («les jeunes», comme se désignent tous les combattants), redressez la tête, la victoire est encore possible, la Ligue arabe nous a abandonnés, mais la Libye est là!»

Les hommes prient, tous ensemble. Syriens et Libyens, têtes baissées, récitent les mêmes versets, partagent les mêmes peurs. «Quand le jour est venu de faire tomber Tripoli, j'ai réalisé l'immensité du chemin parcouru depuis les premières batailles dans l'Est libyen. Bientôt, vous aussi, vous marcherez sur Damas, affirme Abdel Mehdi. Il faut davantage de cohésion entre les différents bataillons de martyrs, que vous communiquiez mieux. Ce n'est que notre première expédition ici, la prochaine fois, nous vous apporterons davantage de matériel. Nous n'avons plus besoin de tout ça en Libye.»

 

Photos souvenirs

 

Adem entreprend d'expliquer le fonctionnement d'une paire de jumelles à visée nocturne. Le manuel d'utilisation des talkies-walkies est en chinois et en anglais, mais pas en arabe. Les hommes rient en tentant de déchiffrer quelques mots. «Il faut que vous pensiez à changer vos fréquences très régulièrement. En fait, il vous faut devenir aussi méthodiques que l'armée du régime. Vous n'êtes pas là uniquement pour protéger la population, vous êtes aussi là pour faire la guerre.»

 

Tous ont le regard décidé, convaincu. C'est le moment des photos souvenirs: les Libyens sont là depuis presque une semaine, il leur faut rentrer en Turquie. Les Syriens attendront leurs prochains envois avec espoir.

 

In : lefigaro.fr

 

 

Le Figaro est un journal de droite , donc proche du pouvoir Français donc ça sonne comme un "aveu" qu'on doit prendre comme une description minimaliste de la réalité .

 

Beaucoup , sur ce forum même , continueront malgré cet article à nous chanter la chanson du "soulèvement pacifique" du peuple qui est sauvagement réprimé par le régime ...............

 

tous ça pour dire que le régime turque leur facilite la tache!? et comme par hasard ça sort au moment ou les relation entre la Turquie et la France s’enveniment!? et qui sont ces redoutables membres de la Qaïda?les membres du CNT que mr Ladoz traitait hier de rats incapables de bouger sans l'appui de l’OTAN!!? ces mêmes 'rats' exportent maintenant la "révolution" dans d'autres pays!!!!!!

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tous ça pour dire que le régime turque leur facilite la tache!? et comme par hasard ça sort au moment ou les relation entre la Turquie et la France s’enveniment!? et qui sont ces redoutables membres de la Qaïda?les membres du CNT que mr Ladoz traitait hier de rats incapables de bouger sans l'appui de l’OTAN!!? ces mêmes 'rats' exportent maintenant la "révolution" dans d'autres pays!!!!!!

 

Le complot date de bien avant ....

 

Ces rats sont des mercenaires qui vont servir de chair à canon au profit de leurs chouakers sionistes et occidentaux , en se faisant notamment exploser dans des attentats suicides comme on l'a vu avant-hier !

 

Ils refont le même coup qu'en Afghanistan ou ils se battaient au profit des Américains pour affaiblir l'URSS !

 

Ce sont des crétins qui se battent pour des intérêts qui les dépassent !

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Guest aladin1000
Le complot date de bien avant ....

 

Ces rats sont des mercenaires qui vont servir de chair à canon au profit de leurs chouakers sionistes et occidentaux , en se faisant notamment exploser dans des attentats suicides comme on l'a vu avant-hier !

 

Ils refont le même coup qu'en Afghanistan ou ils se battaient au profit des Américains pour affaiblir l'URSS !

 

Ce sont des crétins qui se battent pour des intérêts qui les dépassent !

 

chose bizarre on a pas vu ça en Libye,alors que la 'Qaïda' dominait le terrain des insurgés! les régime syrien serait aussi faible que ça pour que des gens fassent entrer des véhicules piégés à Damas sans que quelqu'un s'en aperçoive!? pour l'Afghanistan,les usa ont pris le cheval au galop pour régler leurs comptes avec l'Urss,ce n'est qu’après qu'on a entendu parler de Ben Laden et la Qaïda.

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chose bizarre on a pas vu ça en Libye,alors que la 'Qaïda' dominait le terrain des insurgés! les régime syrien serait aussi faible que ça pour que des gens fassent entrer des véhicules piégés à Damas sans que quelqu'un s'en aperçoive!? pour l'Afghanistan,les usa ont pris le cheval au galop pour régler leurs comptes avec l'Urss,ce n'est qu’après qu'on a entendu parler de Ben Laden et la Qaïda.

 

Ils n'ont pas fait ça en Libye parce qu'ils avaient opté pour une autre tactique qui avait marché au bout de 8 mois .

En Syrie , ils ont essayé les manifestations ça n'a pas marché ...

Ils ont essayé de créer une Benghazi Syrienne ça n'a pas marché non plus ...

L'embargo .............ça n'a pas marché ...

Ça fait 1 année qu'ils essayent mais rien ne marche !

 

Il ne leur reste que les attentats suicides !!!!

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Guest aladin1000
Ils n'ont pas fait ça en Libye parce qu'ils avaient opté pour une autre tactique qui avait marché au bout de 8 mois .

En Syrie , ils ont essayé les manifestations ça n'a pas marché ...

Ils ont essayé de créer une Benghazi Syrienne ça n'a pas marché non plus ...

L'embargo .............ça n'a pas marché ...

Ça fait 1 année qu'ils essayent mais rien ne marche !

 

Il ne leur reste que les attentats suicides !!!!

 

ça fait une années que le régime massacre des citoyens impunément. le cas Syrien n'est pas similaire au cas libyen,le Assad n'est pas aussi isolé que l’était le kaddafi,ce régime s'appuie sur des coalitions politiques et sectaires d'ou l'impossibilité de le comparer à celui de la Libye.

pour la Libye on a vu l’apparition des armes dès les premières semaines de l'insurrection contrairement à la Syrie, or cette dernière est frontalière avec l'Irak ou la fameuse Qaïda avait fait des massacres(parmi les sunnites essentiellement),et d'ou pouvaient,si c’était vrai,arriver les renforts depuis les premières heures ....on attendra jusqu'à ce que le CNT dépêche ses 'bataillons' pour libérer la Syrie!!! prétendre que la Qaïda ou autre groupe est la main qui dirige les insurgés c'est loin de toute objectivité.

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Guest aladin1000
.

 

Il parait que ce même CNT libyen a été contacté par certains milieux francais et americains pour créer la zizanie et perturber l'algérie .

 

possible vu la proximité et le passé des groupes terroristes en Algérie,mais la question est pourquoi les américains iraient déstabiliser un régime qui leur est aussi bénéfique que celui de l’Algérie? et est-ce-que les bouffons libyens pourraient faire la même chose en Algérie?

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ça fait une années que le régime massacre des citoyens impunément. le cas Syrien n'est pas similaire au cas libyen,le Assad n'est pas aussi isolé que l’était le kaddafi,ce régime s'appuie sur des coalitions politiques et sectaires d'ou l'impossibilité de le comparer à celui de la Libye.

pour la Libye on a vu l’apparition des armes dès les premières semaines de l'insurrection contrairement à la Syrie, or cette dernière est frontalière avec l'Irak ou la fameuse Qaïda avait fait des massacres(parmi les sunnites essentiellement),et d'ou pouvaient,si c’était vrai,arriver les renforts depuis les premières heures ....on attendra jusqu'à ce que le CNT dépêche ses 'bataillons' pour libérer la Syrie!!! prétendre que la Qaïda ou autre groupe est la main qui dirige les insurgés c'est loin de toute objectivité.

 

 

Tu n'as pas compris ou bien tu fais semblant de n'avoir rien compris ?????????

 

Si on additionnait le nombre des victimes supposées donné chaque jour par Al Jazerra depuis 1 année il n'y aurait plus de Syrien vivant !!!

 

Des mercenaires Libyens et arabes sont bel et bien en Turquie et au Liban (payés par Hariri) !

 

Assad dératise son pays , non pas pour son intérêt ou celui des Syriens seulement mais de tous les arabes !!!

 

Les mercenaires Libyens c'est LE FIGARO qui le confirme après des médias alter-mondialistes , ça veut tout dire et c'est fait exprès pour préparer les opinions publiques occidentales !!!

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Guest aladin1000
Tu n'as pas compris ou bien tu fais semblant de n'avoir rien compris ?????????

 

Si on additionnait le nombre des victimes supposées donné chaque jour par Al Jazerra depuis 1 année il n'y aurait plus de Syrien vivant !!!

 

Des mercenaires Libyens et arabes sont bel et bien en Turquie et au Liban (payés par Hariri) !

 

Assad dératise son pays , non pas pour son intérêt ou celui des Syriens seulement mais de tous les arabes !!!

 

Les mercenaires Libyens c'est LE FIGARO qui le confirme après des médias alter-mondialistes , ça veut tout dire et c'est fait exprès pour préparer les opinions publiques occidentales !!!

 

une bonne chose,quand tu uses du verbe dératiser pour appuyer quelqu'un(un dictateur dans la majeur partie des cas) c'est que sa fin est proche.

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une bonne chose,quand tu uses du verbe dératiser pour appuyer quelqu'un(un dictateur dans la majeur partie des cas) c'est que sa fin est proche.

 

Mr Ladoz respecte ton opinion mais .......... continuera à soutenir toute dératisation dans les pays frères !!!

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Guest aladin1000
Mr Ladoz respecte ton opinion mais .......... continuera à soutenir toute dératisation dans les pays frères !!!

:mdr::mdr::mdr::mdr::mdr: si tu soutenais le Qatar tu nous rendrais service.

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Guest aladin1000

Pour le moment ....

 

Mais on ne peut jurer de rien ...

 

Un fils de l'Emir qui refait le coup de son père :mdr::mdr::mdr:

 

Tout est possible après tout !!!

c'est vrai tout est possible.je me souviens encore d'une couverture d'une revue Al Moustakbal des années 80,avec en première page la photo de Saddam Hussein avec un grand titre: "le chevalier arabe qui a vaincu les perses". on beaucoup vu depuis......

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c'est vrai tout est possible.je me souviens encore d'une couverture d'une revue Al Moustakbal des années 80,avec en première page la photo de Saddam Hussein avec un grand titre: "le chevalier arabe qui a vaincu les perses". on beaucoup vu depuis......

 

Les occidentaux se servent de ces "arabes de service" comme des kleenex :clap::clap:

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