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Boumediène: 6000 DA sur son compte à sa mort.


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Salam,

 

Vidéo de Houari Boumediene en 1962. http://youtu.be/-6aWCREFX9g

 

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Choufou, choufou hadik el khazra.

 

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Je suis en train de lire l'interview de Paul Balta (ancien correspondant du Monde) par Ch. Mesbah (voir site d'El Watan).

C'est super. Je savais que DE Gaulle payé l'électricté de son appartement à l'Elysée. Et bien H.Boumediène n'avait que 6 000 euros sur son compte postal à sa mort.

 

- Md-Chafik Mesbah : Par rapport à l’argent, quel était son état d’esprit ?

 

Paul Balta : Il était animé par une profonde conviction, l’argent de l’État appartenait à la nation et ne devait pas être dilapidé. Cette conviction a guidé son comportement, de bout en bout de sa vie. Lorsque un tract un tract avait circulé l’accusant d’avoir ouvert un compte bancaire personnel à l’étranger. Voici quelle fut sa réplique spontanée: « Lorsqu’un Chef d’État ouvre un compte à l’étranger, c’est qu’il a l’intention de quitter son pays. Ce n’est absolument pas mon cas… ».Ce n’était pas son cas, en effet, lui qui n’a jamais utilisé ses fonctions pour se livrer à la corruption ni empocher de l’argent. Devenu Président de la République, il usait toujours de son seul salaire et s’interdisait les dépenses somptuaires qu’il aurait pu facilement imputer au budget de l’État. Lorsqu’il lui arrivait de se rendre à l’étranger, il s’interdisait tout aussi bien les achats luxueux. Contrairement à certains Chefs d’État d’autres pays arabes, il ne s’était pas fait construire ni un ni plusieurs palais luxueux, ni en Algérie ni à l’étranger. Pour ses déplacements par route, il disposait de voitures confortables, sans plus. Il considérait que ce serait du gaspillage que d’avoir des Rolls Royce ou des Mercedes. Sachant que je connaissais bien les pays du Golfe où j‘avais effectué de nombreux reportages, il m’avait raconté qu’un des émirs lui avait offert une de ces voitures rutilantes et luxueuses qu’il avait aussitôt fait parquer dans un garage. Son chauffeur me l’avait montrée. Après sa mort, elle était toujours sur calles, inutilisée… A sa mort, ses détracteurs ont découvert, avec étonnement, qu’il ne détenait aucun patrimoine immobilier, aucune fortune personnelle et que son compte courant postal était approvisionné à hauteur, seulement, de 6 000 dinars …

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Bonsoir Zoubir8

 

toi crois tu à cette histoire ...?

 

moi par exemple , je ne crois qu'a la mythologie Grèque !

 

:horse::drinks_pepsi:

 

Ecoute, nous les Algériens on est les champions pour parler de nos dirigeants, des généraux, des ...

Si HB avait eu des visées commerciales, ça se saurait.

Pour moi, c'est un grand.

Je ne dis pas qu'il n'a pas fait d'erreur. Mais, il a agit b'niya. Avec ce qu'il savait au moment où il se trouvait.

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Bonsoir Zoubir8

toi crois tu à cette histoire ...?

moi par exemple , je ne crois qu'a la mythologie Grèque !

:horse::drinks_pepsi:

Lis, tu va voir, il dressait une ligne rouge entre le travail pour la Nation et sa famille.

MCM : Vis-à-vis de sa famille et de ses amis, faisait- il preuve de faiblesse ou de complaisance ?

 

PB : Il était très réticent à évoquer sa vie privée. Je sais néanmoins qu’il était très attaché à sa mère et lui donnait pour vivre une partie de son salaire. Des témoins m’ont néanmoins raconté qu’il s’était disputé avec elle, alors qu’elle était en vacances à Chréa, une station d’hiver proche d’Alger. Sa mère lui avait demandé, en effet, de faire exempter son frère cadet Said des obligations du service national. Houari Boumediène ayant opposé un refus catégorique, sa mère le menaça de se plaindre auprès du gouvernement. Furieux, il quitta les lieux en lui rétorquant : « le gouvernement s’en remettra à moi et je rejetterai ta requête… ». Quelque temps plus tard, en effet, Said le frère cadet accomplissait, dans des conditions très ordinaires, son service national... Houari Boumediène avait formellement interdit, également, que ses proches usent de son nom pour tirer quelque privilège auprès des administrations publiques. Une fois que son oncle avait pris contact avec un wali pour obtenir certains avantages, Houari Boumediène dépêche, immédiatement, un émissaire officiel pour sermonner ledit wali, menacé de sanctions sévères s’il donnait suite à pareilles sollicitations. Smail Hamdani qui avait exercé comme Secrétaire Général-Adjoint auprès de Boumediène, fut confronté à une situation analogue, le frère du Président l’ayant sollicité pour une requête de privilège. Voici la consigne stricte que Houari Boumediène signifia, à l’époque, à son collaborateur: « Gare ! Il y a une ligne rouge à ne pas franchir entre les problèmes de la famille et ceux de l’État ».

 

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Ecoute, nous les Algériens on est les champions pour parler de nos dirigeants, des généraux, des ...

Si HB avait eu des visées commerciales, ça se saurait.

Pour moi, c'est un grand.

Je ne dis pas qu'il n'a pas fait d'erreur. Mais, il a agit b'niya. Avec ce qu'il savait au moment où il se trouvait.

 

Zoubir ,

 

ta réponse indique donc , que tu crois à cela. libre à toi de penser ce qui te

 

plais . quant à moi je ne parlai que des 6000 Dinars et nulle allusion portant

 

atteinte au personnage. je ne dis jamais de mal des morts.

 

enfin tu as raison nous les algeriens nous critiquons nos dirigeants avec art ..

 

mais malheureusement n'agissons toujours pas contre eux ...!! :confused:

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Salam,

Je suis en train de lire l'interview de Paul Balta (ancien correspondant du Monde) par Ch. Mesbah (voir site d'El Watan).

C'est super. Je savais que DE Gaulle payé l'électricté de son appartement à l'Elysée. Et bien H.Boumediène n'avait que 6 000 euros sur son compte postal à sa mort.

 

- Md-Chafik Mesbah : Par rapport à l’argent, quel était son état d’esprit ?

 

Paul Balta : Il était animé par une profonde conviction, l’argent de l’État appartenait à la nation et ne devait pas être dilapidé. Cette conviction a guidé son comportement, de bout en bout de sa vie. Lorsque un tract un tract avait circulé l’accusant d’avoir ouvert un compte bancaire personnel à l’étranger. Voici quelle fut sa réplique spontanée: « Lorsqu’un Chef d’État ouvre un compte à l’étranger, c’est qu’il a l’intention de quitter son pays. Ce n’est absolument pas mon cas… ».Ce n’était pas son cas, en effet, lui qui n’a jamais utilisé ses fonctions pour se livrer à la corruption ni empocher de l’argent. Devenu Président de la République, il usait toujours de son seul salaire et s’interdisait les dépenses somptuaires qu’il aurait pu facilement imputer au budget de l’État. Lorsqu’il lui arrivait de se rendre à l’étranger, il s’interdisait tout aussi bien les achats luxueux. Contrairement à certains Chefs d’État d’autres pays arabes, il ne s’était pas fait construire ni un ni plusieurs palais luxueux, ni en Algérie ni à l’étranger. Pour ses déplacements par route, il disposait de voitures confortables, sans plus. Il considérait que ce serait du gaspillage que d’avoir des Rolls Royce ou des Mercedes. Sachant que je connaissais bien les pays du Golfe où j‘avais effectué de nombreux reportages, il m’avait raconté qu’un des émirs lui avait offert une de ces voitures rutilantes et luxueuses qu’il avait aussitôt fait parquer dans un garage. Son chauffeur me l’avait montrée. Après sa mort, elle était toujours sur calles, inutilisée… A sa mort, ses détracteurs ont découvert, avec étonnement, qu’il ne détenait aucun patrimoine immobilier, aucune fortune personnelle et que son compte courant postal était approvisionné à hauteur, seulement, de 6 000 dinars …

 

:mdr::mdr::mdr:

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Il a nationalisé le pétrole, initié El Hadjar et Arzew.

Il a fait passer l'Algérie du néant à un Etat. Il lui a manqué le temps...

 

Oui mais a cote, il a confisque des terres pour les attribuer a des fellahs non inities a l'agriculture moderne, il a confisque des entreprises privees et mis a leur tete des incomptents FLNiste qui avaient fini par ruiner, il a tue l'esprit entrepreneuriat chez les Algeriens, il a tue ses opposants, il a installe un systeme militaire qui continue a gouverner le pays 30 apres sa mort, etc.

 

Les mefaits de boumedienne sont bien plus nombreux que ces bien faits.

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qu'est-ce-que tu voulais ou attendais de lui ?

 

Deja qu'il ne tue pas la libre penser.

 

Tuer la libre penser = tuer la liberte = tuer la creactivite = tuer l'innovation = tuer le developpement.

 

Il n'est pas Dieu pour se croire infaillible et decide que toue le monde a tort, sauf lui, avant de decider de les tuer ou les exiler.

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Oui mais a cote, il a confisque des terres pour les attribuer a des fellahs non inities a l'agriculture moderne, il a confisque des entreprises privees et mis a leur tete des incomptents FLNiste qui avaient fini par ruiner, il a tue l'esprit entrepreneuriat chez les Algeriens, il a tue ses opposants, il a installe un systeme militaire qui continue a gouverner le pays 30 apres sa mort, etc.

 

Les mefaits de boumedienne sont bien plus nombreux que ces bien faits.

 

Un homme c'est un bilan ...

 

 

Pour Boumédiène il était globalement positif malgré ses erreurs sur le plan économique !!!

 

Pour les opposants , la dictature ...... il avait pris le pouvoir au moment ou des groupes armés contestaient l'autorité de l'état !!!

 

La démocratie et les arabes ......

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Deja qu'il ne tue pas la libre penser.

 

Tuer la libre penser = tuer la liberte = tuer la creactivite = tuer l'innovation = tuer le developpement.

 

Il n'est pas Dieu pour se croire infaillible et decide que toue le monde a tort, sauf lui, avant de decider de les tuer ou les exiler.

 

on ne parle pas de sa politique, à l'époque, c'était le socialisme à la soviétique, politique qui a détruit de nombreux pays, c'était la guerre froide et le mythe des pays non aligné n'était qu'un leurre, par contre l'Algérie était un pays respecté sur la scène internationale et je me souvient que le dinars était plus fort que le franc, alors que maintenant, avec le sois disant libre marché, l’Algérie n'est plus que l'ombre d'elle même, gangréner par la corruption et livré à une frange qui va la saigné jusqu'à la dernière goutte.

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Salam,

Je suis en train de lire l'interview de Paul Balta (ancien correspondant du Monde) par Ch. Mesbah (voir site d'El Watan).

C'est super. Je savais que DE Gaulle payé l'électricté de son appartement à l'Elysée. Et bien H.Boumediène n'avait que 6 000 euros sur son compte postal à sa mort.

 

- Md-Chafik Mesbah : Par rapport à l’argent, quel était son état d’esprit ?

 

Paul Balta : Il était animé par une profonde conviction, l’argent de l’État appartenait à la nation et ne devait pas être dilapidé. Cette conviction a guidé son comportement, de bout en bout de sa vie. Lorsque un tract un tract avait circulé l’accusant d’avoir ouvert un compte bancaire personnel à l’étranger. Voici quelle fut sa réplique spontanée: « Lorsqu’un Chef d’État ouvre un compte à l’étranger, c’est qu’il a l’intention de quitter son pays. Ce n’est absolument pas mon cas… ».Ce n’était pas son cas, en effet, lui qui n’a jamais utilisé ses fonctions pour se livrer à la corruption ni empocher de l’argent. Devenu Président de la République, il usait toujours de son seul salaire et s’interdisait les dépenses somptuaires qu’il aurait pu facilement imputer au budget de l’État. Lorsqu’il lui arrivait de se rendre à l’étranger, il s’interdisait tout aussi bien les achats luxueux. Contrairement à certains Chefs d’État d’autres pays arabes, il ne s’était pas fait construire ni un ni plusieurs palais luxueux, ni en Algérie ni à l’étranger. Pour ses déplacements par route, il disposait de voitures confortables, sans plus. Il considérait que ce serait du gaspillage que d’avoir des Rolls Royce ou des Mercedes. Sachant que je connaissais bien les pays du Golfe où j‘avais effectué de nombreux reportages, il m’avait raconté qu’un des émirs lui avait offert une de ces voitures rutilantes et luxueuses qu’il avait aussitôt fait parquer dans un garage. Son chauffeur me l’avait montrée. Après sa mort, elle était toujours sur calles, inutilisée… A sa mort, ses détracteurs ont découvert, avec étonnement, qu’il ne détenait aucun patrimoine immobilier, aucune fortune personnelle et que son compte courant postal était approvisionné à hauteur, seulement, de 6 000 dinars …

 

6000 DA semble juste ;

A sa mort, Boumediene légua à sa famille, son dernier salaire, ses documents et son arme de poing ;

Point d’immobilier, point d'automobile, point d'autres biens :)

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on ne parle pas de sa politique, à l'époque, c'était le socialisme à la soviétique, politique qui a détruit de nombreux pays, c'était la guerre froide et le mythe des pays non aligné n'était qu'un leurre, par contre l'Algérie était un pays respecté sur la scène internationale et je me souvient que le dinars était plus fort que le franc, alors que maintenant, avec le sois disant libre marché, l’Algérie n'est plus que l'ombre d'elle même, gangréner par la corruption et livré à une frange qui va la saigné jusqu'à la dernière goutte.

 

il faut arrêter avec ce sempiternel argument du " dinar etait plus fort que le franc", cela ne veut rien dire. La valeur d'une monnaie est relative; et quand bien même le dinar valait plus que le francs ce ne sont pas sur ces critères que l'on juge l'importance d'une monnaie.

une monnaie forte, c'est une monnaie de reserve ( le dollar etant la réference), c'est son degré d'importance dans les echanges du marché des devises ( Dollars et euros)

pour te montrer un exemple:

 

l'Algerie "epargne" ses revenu du petrole et du gaz en dollar ( achat du bon de tresor americain) parsque nous vendons ces matières premieres en dollars.

 

et pour venir sur la valeur d'une monnaie,

une monnaie a forte valeur est contreproductive dans la mesure ou elle rendent tes biens et services a l'exportation moins concurentielles.

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6000 DA semble juste ;

A sa mort, Boumediene légua à sa famille, son dernier salaire, ses documents et son arme de poing ;

Point d’immobilier, point d'automobile, point d'autres biens :)

 

Purée, ça c'est un homme politique. Un vrai.

C'est pas comme ta3a doka.

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