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Algérie: l'urgence du tri sélectif des ordures.


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Salam, les autorités devraient mettre en place un système de tri sélectif des ordures ménagères.

 

Actualités : BOUIRA Le Soir d'Algérie.

Les habitants de Ras-Bouira bloquent le passage menant vers la décharge

 

Il a fallu huit jours, depuis que les familles de Ras Bouira, habitant près du centre d’enfouissement technique, bloquent le passage menant vers cette décharge pour que les responsables locaux réagissent. Et encore.

La situation au niveau de la ville ayant atteint un seuil intolérable avec ces tonnes d’ordures non ramassées depuis une semaine, les responsables ont déployé la force publique avec des dizaines d’éléments antiémeutes de la Gendarmerie nationale. Cela s’est passé le samedi aux environs de 13h. Cela a accentué la colère de ces dizaines de familles : hommes, femmes, vieilles et petits ont observé un sit-in sur place en bravant les gendarmes. Les forces de la gendarmerie qui avaient essayé un coup de force ont reculé face à la détermination de ces familles qui ont enregistré des blessés dans leur rang lors de cette tentative. Dimanche matin, les familles qui ont passé le réveillon sur les lieux ont été surprises une fois encore par le déploiement des forces antiémeutes. Ces dernières ont été stoppées par la présence des femmes dans le cordon humain formé sur la voie menant vers la décharge. Durant leur tentative de casser ce cordon, une vieille femme a été bousculée et s’est retrouvée avec trois fractures au niveau de la jambe. Trois autres personnes ont été blessées dans ces échauffourées. Après l’échec de ces tentatives, des responsables locaux qui se sont déplacés sur les lieux ont essayé de raisonner les représentants de ces familles en leur promettant une entrevue avec le wali pour hier à la première heure. Les familles ont répondu par un niet catégorique, désespérées par les promesses non tenues. La présence du wali sur les lieux était la seule exigence de ces familles qui ont trop longtemps souffert et qui se sont senties bernées à plusieurs reprises. «Nous n’avons ni volé ni insulté quelqu’un, nous ne faisons que revendiquer nos droits. Nous voulons une vie décente dans un endroit où nos enfants puissent enfin respirer l’air pur comme tous les autres enfants de notre cher pays. Est-ce trop demander ?» ne cessent-ils de dire aux responsables de la gendarmerie et au directeur de la réglementation, représentant du wali, présents sur les lieux. Finalement, après des pourparlers, les familles ont accepté d’ouvrir le passage vers la décharge, avec promesse de voir le wali.

Y. Y.

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Salam, les autorités devraient mettre en place un système de tri sélectif des ordures ménagères.

 

Actualités : BOUIRA Le Soir d'Algérie.

Les habitants de Ras-Bouira bloquent le passage menant vers la décharge

 

Il a fallu huit jours, depuis que les familles de Ras Bouira, habitant près du centre d’enfouissement technique, bloquent le passage menant vers cette décharge pour que les responsables locaux réagissent. Et encore.

La situation au niveau de la ville ayant atteint un seuil intolérable avec ces tonnes d’ordures non ramassées depuis une semaine, les responsables ont déployé la force publique avec des dizaines d’éléments antiémeutes de la Gendarmerie nationale. Cela s’est passé le samedi aux environs de 13h. Cela a accentué la colère de ces dizaines de familles : hommes, femmes, vieilles et petits ont observé un sit-in sur place en bravant les gendarmes. Les forces de la gendarmerie qui avaient essayé un coup de force ont reculé face à la détermination de ces familles qui ont enregistré des blessés dans leur rang lors de cette tentative. Dimanche matin, les familles qui ont passé le réveillon sur les lieux ont été surprises une fois encore par le déploiement des forces antiémeutes. Ces dernières ont été stoppées par la présence des femmes dans le cordon humain formé sur la voie menant vers la décharge. Durant leur tentative de casser ce cordon, une vieille femme a été bousculée et s’est retrouvée avec trois fractures au niveau de la jambe. Trois autres personnes ont été blessées dans ces échauffourées. Après l’échec de ces tentatives, des responsables locaux qui se sont déplacés sur les lieux ont essayé de raisonner les représentants de ces familles en leur promettant une entrevue avec le wali pour hier à la première heure. Les familles ont répondu par un niet catégorique, désespérées par les promesses non tenues. La présence du wali sur les lieux était la seule exigence de ces familles qui ont trop longtemps souffert et qui se sont senties bernées à plusieurs reprises. «Nous n’avons ni volé ni insulté quelqu’un, nous ne faisons que revendiquer nos droits. Nous voulons une vie décente dans un endroit où nos enfants puissent enfin respirer l’air pur comme tous les autres enfants de notre cher pays. Est-ce trop demander ?» ne cessent-ils de dire aux responsables de la gendarmerie et au directeur de la réglementation, représentant du wali, présents sur les lieux. Finalement, après des pourparlers, les familles ont accepté d’ouvrir le passage vers la décharge, avec promesse de voir le wali.

Y. Y.

 

Comment veut tu qu'ils mettent en place un système de tri sélectif, alors qu'ils ne sont pas foutus d'éloigner une décharge, pour avoir une vie décente dans un endroit où leurs enfants puissent enfin respirer l’air pur déjà.

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Comment veut tu qu'ils mettent en place un système de tri sélectif, alors qu'ils ne sont pas foutus d'éloigner une décharge, pour avoir une vie décente dans un endroit où leurs enfants puissent enfin respirer l’air pur déjà.

 

Organiser le tri:

- fer blanc, aluminium: c'est sûr que les fonderies algériennes les prendront,

- plastiques? à voir?

- papier carton: face au déficit mondial les Chinois sont acheteurs.

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les poubelles en Algérie restent un grand problème a resoudre faut aussi savoir que les gens ne sont pas disciplinés tout le monde jettent n importe ou et n importe quoi les plastiques bleus servent de deco aux arbres

 

- ça vient petit à petit

- mettons des poubelles pour le recyclage,

- ils apprendront à trier,

- on apprendra aux élèves dans les écoles d'abord;

ps: dans ma ville au début il n'y avait pas de poubelles pour le plastique. Une association a installé une grande cage en grillage devant un super marché. Les gens ont pris l'habitude d'y mettre leurs bouteilles plastiques.

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le tri sélectif des déchets commence par en haut...les petits déchets dans les rues , ca vient aprés les gros déchets qui se trouvent dans les bureaux!

 

Rien n'interdit de mettre les épluchures de fruits et légumes au fonds de ton jardin. Ou de s'organiser pour le faire correctement au bas d'un immeuble.

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Guest Osiria

Ici tout est récupéré cela va même trop loin, il faut avoir une pièce rien que pour les poubelles et l'impôt n'a pas baissé pour autant.

 

juste un exemple

 

Dechets vegeteaux

Textile

Papier

Alu

Verre

Pile

Huile

Pet

metal

plastique etc......

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Comment veut tu qu'ils mettent en place un système de tri sélectif, alors qu'ils ne sont pas foutus d'éloigner une décharge, pour avoir une vie décente dans un endroit où leurs enfants puissent enfin respirer l’air pur déjà.

 

 

 

 

L'Algérie a les moyens d'acheter des incinérateurs non?

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Retourne au bled et engage toi comme éboueur Zoubir au lieu de donner des leçons avec tes il faut que

 

:mdr: merci pour la proposition.

A Blida, il y a un cadre qui a développé une déchetterie. Trés dynamique hadak essiyade.

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zeball f'lablad ouala khazratt el-ibadd!rire

 

:mdr: merci pour la proposition.

A Blida, il y a un cadre qui a développé une déchetterie. Trés dynamique hadak essiyade.

Aussi,il faudrait que sa dechetterie ne soit pas cancerigene.Connaissant nos khorotos...ellah yastar.Blida,cuvette,elle sera une foret noire en une année(je parle pour les blidis et algerois):cool:.
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Aussi,il faudrait que sa dechetterie ne soit pas cancerigene.Connaissant nos khorotos...ellah yastar.Blida,cuvette,elle sera une foret noire en une année(je parle pour les blidis et algerois):cool:.

 

Il fait trier:

- le plastique,

- le papier,

- le carton.

Super initiative.

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Rien n'interdit de mettre les épluchures de fruits et légumes au fonds de ton jardin. Ou de s'organiser pour le faire correctement au bas d'un immeuble.

 

Presque toutes les résidences de la région Parisienne sont équipées d'un Bac un composte , où les citoyens civilisés viennent mettre leurs épluches de fruits et légume , le gardien met de temps en temps un produit appelé accélérateur pour aider à la décomposition, et quand ces déchets seront décomposés il y a une société qui vient les récupérer pour les utiliser dans l'agriculture Bio , bien sûr qu'il n'oublis pas la résidence ils épandent une partie de ce produit dans les espaces vert de cette dernière .

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Presque toutes les résidences de la région Parisienne sont équipées d'un Bac un composte , où les citoyens civilisés viennent mettre leurs épluches de fruits et légume , le gardien met de temps en temps un produit appelé accélérateur pour aider à la décomposition, et quand ces déchets seront décomposés il y a une société qui vient les récupérer pour les utiliser dans l'agriculture Bio , bien sûr qu'il n'oublis pas la résidence ils épandent une partie de ce produit dans les espaces vert de cette dernière .

 

Témoignage intéressant.

Ce procédé pourrait être développé en Algérie. Une sensibilisation est à faire. Cela ne demande pas grand chose, si ce n'est un bac qu'on peut fabriquer avec des palettes de bois en récupération.

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Presque toutes les résidences de la région Parisienne sont équipées d'un Bac un composte , où les citoyens civilisés viennent mettre leurs épluches de fruits et légume , le gardien met de temps en temps un produit appelé accélérateur pour aider à la décomposition, et quand ces déchets seront décomposés il y a une société qui vient les récupérer pour les utiliser dans l'agriculture Bio , bien sûr qu'il n'oublis pas la résidence ils épandent une partie de ce produit dans les espaces vert de cette dernière .

 

Des composteurs au pied des immeubles

Une première dans l’Oise : une trentaine de familles de Saint-Just-en-Chaussée vivant en immeuble vont nourrir des composteurs de leurs déchets biodégradables.

 

FRÉDÉRIC NOURY | Publié le 31.05.2010,

Le Parisien

 

Ce sont les tout premiers sites d’habitat collectif de l’Oise à compter des composteurs en pied d’immeuble : à Saint-Just-en-Chaussée, les 32 familles de trois résidences du quartier du Moulin viennent d’accepter de collecter leurs déchets de cuisine afin de produire du compost.

 

« Dès que vous aurez signé la charte de participation, je vous remettrai un guide du compostage et un bio-seau pour y placer les déchets adéquats que vous pourrez verser dans le composteur.

» Sandra Cholet, Madame Environnement à la communauté de communes du Plateau picard (CCPP), est à l’initiative de l’opération. Mardi soir, elle complétait l’information des familles de la résidence du Chemin-des-Ladres, et des résidences des 11 et 13 bis, rue de Catillon.

 

Le compost utilisable dans six à huit mois

 

Depuis plusieurs années, les élus de la CCPP se sont engagés dans un programme d’action visant à favoriser la réduction des déchets. Une étude menée l’an dernier a prouvé qu’un tiers des poubelles est constitué de déchets biodégradables provenant surtout de la cuisine, qui pourraient être compostés. Dès 2006, la CCPP a proposé aux foyers en maison individuelle l’acquisition de composteurs à prix réduit. Et , dans la lignée de l’expérience réalisée en premier à Rennes, la communauté de communes se tourne maintenant vers l’habitat collectif.

 

Une réunion avec le syndic des trois copropriétés, suivie d’une autre avec les résidants, a prouvé l’intérêt des habitants pour ce geste en faveur de l’environnement basé sur le volontariat. Epluchures, sachets de thé, marc de café, essuie-tout, fleurs coupées, etc : il est possible de détourner des déchets de la poubelle d’ordures ménagères et donc de préserver la nature tout en réduisant les coûts d’élimination.

 

La CCPP a donc acheté deux composteurs par résidence et du matériel. Elle fournira du broyat (des branches coupées) pour activer la fermentation. Chaque bâtiment compte un référent, comme Jean-Michel, 66 ans, Saint-Justois depuis trois ans : « On va essayer. On verra rapidement si on arrive à alléger la poubelle traditionnelle. J’ai reçu une fourche pour retourner le compost, un arrosoir pour l’humidifier de temps à autre. Les quatre couples et les deux personnes seules de mon bâtiment sont partantes à 100%. »

 

Dans six à huit mois, le compost obtenu sera utilisable par les résidants ou employé pour les espaces communs. Après une phase de test d’une année, l’objectif est de proposer cette expérience dans des zones HLM du Plateau picard plus fortement peuplées.

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Témoignage intéressant.

Ce procédé pourrait être développé en Algérie. Une sensibilisation est à faire. Cela ne demande pas grand chose, si ce n'est un bac qu'on peut fabriquer avec des palettes de bois en récupération.

 

lol, les emplois de bureau sont plus convoités et la dévotion à un travail aussi ingrat et salissant qui plus est fatiguant est un gros sacrifice pour l'algérien. Si le pays se soumettait à une telle implication avec de bonnes volontés ça serait un miracle. L'avenir nous le dira, comme ça été cité précédemment, les citoyens eux mêmes négligent la propreté publique, tous les déchets sont versés à l'extérieur tant que c'est pas at home.

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zoubir, j aime bien tes to'pics. Sincerement. Je les trouve tres 'Positifs.

 

Mais , 'parce qu il y a toujours un mais :D, j ai l im'Pression que tu es souvent deconnecte de la realite.

 

Mais, c'est ce qui fait mon charme.

Il y a en a qui ont "la tête dans le guidon". C'est à dire qui sont noyés dans les problèmes. Moi, je suis de l'autre côté de la Méditerranée et je n'ai pas ces problèmes. Donc j'ai l'esprit dégagé des machakiles de tous les jours. Donc, je peux voir plus loin.

Les 2 ne sont pas incompatibles.

Et chacun choisi ce qui lui convient...

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Mais, c'est ce qui fait mon charme.

Il y a en a qui ont "la tête dans le guidon". C'est à dire qui sont noyés dans les problèmes. Moi, je suis de l'autre côté de la Méditerranée et je n'ai pas ces problèmes. Donc j'ai l'esprit dégagé des machakiles de tous les jours. Donc, je peux voir plus loin.

Les 2 ne sont pas incompatibles.

Et chacun choisi ce qui lui convient...

J'ai quand meme

.... un petit probleme

.... dans quelle dechetterie

.... doit on vous jeter

.... toi et ton avatar?

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