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Une sûreté nationale de plus en plus professionnelle.


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Dans un entretien au magazine El Djazaïr.com

Hamel explique comment la police a géré les émeutes et les troubles de 2011

Hamid Guemache

 

La police a été confrontée quotidiennement durant l’année 2011 à des situations de troubles à l'ordre public dans certaines wilayas du pays, a déclaré le directeur général de la sûreté nationale (DGSN) Abdelghani Hamel au magazine El‑Djazaïr.com du mois de janvier. « Durant l'année 2011, les services de police ont été confrontés quotidiennement à des situations de troubles à l'ordre public dans certaines wilayas du pays, traduites notamment par des regroupements, attroupements, obstructions de routes, sit‑in et marches non autorisées », a indiqué M. Hamel, affirmant que les principales revendications des manifestants étaient d’ordre social, professionnel et pédagogique.

 

« Dans ce cadre, 10 910 interventions ont été effectuées par les unités relevant des services de police, notamment de la sécurité publique », a précisé le DGSN. Le chef de la police a expliqué que ses services ont pu contenir les manifestants « en utilisant des moyens techniques de gestion démocratique des foules et en agissant avec professionnalisme et sans le moindre recours à l’usage des moyens conventionnels d’intervention ». Le patron de la police a ajouté que cette méthode « préconisée par le Commandement consiste à contenir les manifestants et à les canaliser sans la moindre atteinte à leur dignité ». « Il s’est avéré même efficace et judicieux, surtout en matière de dialogue avec les représentants des contestataires », s’est‑il félicité.

 

M. Hamel a indiqué que « ces actions [interventions pour contenir les foules lors des manifestations, NDR] font l’objet de briefings quotidiens au sein de nos unités opérationnelles d’intervention ». L’année 2011 a été marquée également par le lancement du programme de modernisation et de réforme de la police et « la promulgation du statut particulier en prenant en compte les spécificités du corps policier, ayant permis de redéfinir le processus professionnel du policier, de revaloriser la formation et de revoir à la hausse la classification catégorielle », a souligné M. Hamel. Le patron de la police cite aussi « la promulgation du statut particulier en prenant en compte les spécificités du corps policier, ayant permis de redéfinir le processus professionnel du policier, de revaloriser la formation et de revoir à la hausse la classification catégorielle ».

 

M. Hamel a indiqué avoir également mis en place une nouvelle politique de gestion des ressources humaines de la police. « La désignation à des postes de responsabilité ne se fait plus d’une manière unilatérale, mais par le biais d’une commission, basée sur les critères de probité, l’expérience professionnelle, le niveau d’instruction, la manière de servir et les aptitudes physiques », a‑t‑il dit. « En somme, je me permets de dire en toute modestie que le bilan réalisé au titre d’une seule année s’avère très fructueux et conforté par des mesures de mise à niveau concrètes, consistant essentiellement à mettre au service du citoyen algérien une police professionnelle, débarrassée de ses vieux réflexes et constamment à l’écoute des doléances citoyennes », a‑t‑il ajouté.

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C'est normal ils se sont formés en tabassant le peuple a chaque moindre revendications....

je ne vois pas la chose ainsi.

je suis pour des manifs, mais des manifs organisées et sans fawdha.

Appeler les gens dans la rue c'est facile. Je l'ais déjà fait. Mais, il faut être responsable, cela doit se dérouler sans dérapage.

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Guest D. ESSERHANE
Tous le travail est fait par le Feu Ali TOUNSI ALLAH ERRAHMOU.

mais le chemin est encore long.

je souhaite bcp de réussite aussi au chef actuelle.

sous son règne, il y avait beaucoup de H O G R A

c'était un dictateur

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Guest D. ESSERHANE
S'il existe

.... des 7aggaras

.... c'est qu'il existe aussi des ma7gourines

.... il faut se defendre

 

beaucoup de policiers ont été lésés sous son règne...Toutefois, on ne peut lui ne pas reconnaitre certains exploits

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Oui, c'est un vrai cadre d'état au service de la Nation.

Purée, c'était un historique. Un de ceux qui venait des maquis.

Total respect pour ce Monsieur.

Tiré de wikipédia

Ali Tounsi, né le 27 septembre 1937 à Metz en France et mort assassiné le 25 février 2010 à Alger, est un militaire algérien directeur général de la Sûreté nationale algérienne DGSN.

 

Ali Tounsi, alias si El Ghaouti, était colonel de l'ex-sécurité militaire (SM) et ancien président de la fédération algérienne de tennis. Fils de Tounsi Tayeb, originaire de sidi Aissa et Mondovie (dréan wilaya de Annaba), et frère de Tounsi Mustapha (officier de L'ALN), il est nommé chef de la police nationale algérienne en mars 1995 par Liamine Zeroual, alors président du pays[1]. Le 25 février 2010, il est abattu dans son bureau du quartier-général de la police à Alger, au cours d'une réunion, par le colonel Chouaib Oltache, 66 ans, impliqué dans une affaire de corruption et de secret défense[2]. Il a été inhumé le 26 février 2010 au cimetière d'El Alia à l'est d'Alger[3].

Sommaire

 

Né le 27 septembre 1937 à Metz (France), il rejoint très tôt le Maroc, à Meknès, où son père, capitaine en retraite et son grand-père Abdelmajid Zemmouri, exploitant agricole à une grande ferme, se trouvent. Membre de l'UGEMA et militant du Front de libération nationale (FLN), il participe à la grève générale des étudiants le 19 mai 1956, puis s'engage dans l'Armée de libération nationale (ALN) en Wilaya V. Il y navigue dans le sillage de deux fortes personnalités : Abdelhafid Boussouf, né pour l'action secrète, et Houari Boumédiène, sorte de maréchal de l'ALN ; le premier a créé le réseau de renseignements et de contre-espionnage du FLN et le second a gravi les échelons de la hiérarchie à la vitesse d'un météore. Puis en 1957, il fut prisonnier après avoir été capturé en opération militaire

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Purée, c'était un historique. Un de ceux qui venait des maquis.

Total respect pour ce Monsieur.

Tiré de wikipédia

Ali Tounsi, né le 27 septembre 1937 à Metz en France et mort assassiné le 25 février 2010 à Alger, est un militaire algérien directeur général de la Sûreté nationale algérienne DGSN.

 

Ali Tounsi, alias si El Ghaouti, était colonel de l'ex-sécurité militaire (SM) et ancien président de la fédération algérienne de tennis. Fils de Tounsi Tayeb, originaire de sidi Aissa et Mondovie (dréan wilaya de Annaba), et frère de Tounsi Mustapha (officier de L'ALN), il est nommé chef de la police nationale algérienne en mars 1995 par Liamine Zeroual, alors président du pays[1]. Le 25 février 2010, il est abattu dans son bureau du quartier-général de la police à Alger, au cours d'une réunion, par le colonel Chouaib Oltache, 66 ans, impliqué dans une affaire de corruption et de secret défense[2]. Il a été inhumé le 26 février 2010 au cimetière d'El Alia à l'est d'Alger[3].

Sommaire

 

Né le 27 septembre 1937 à Metz (France), il rejoint très tôt le Maroc, à Meknès, où son père, capitaine en retraite et son grand-père Abdelmajid Zemmouri, exploitant agricole à une grande ferme, se trouvent. Membre de l'UGEMA et militant du Front de libération nationale (FLN), il participe à la grève générale des étudiants le 19 mai 1956, puis s'engage dans l'Armée de libération nationale (ALN) en Wilaya V. Il y navigue dans le sillage de deux fortes personnalités : Abdelhafid Boussouf, né pour l'action secrète, et Houari Boumédiène, sorte de maréchal de l'ALN ; le premier a créé le réseau de renseignements et de contre-espionnage du FLN et le second a gravi les échelons de la hiérarchie à la vitesse d'un météore. Puis en 1957, il fut prisonnier après avoir été capturé en opération militaire

 

la version officiel de son assassina est très louche.

le 1er qui a fait une couverture a OULTACHE c'est le ministre de l'intérieur Zerhouni.

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Guest D. ESSERHANE

Vérité ou mensonge?

 

Le résumé d’un document rédigé par un groupe d’officiers de la direction générale de la sûreté nationale (DGSN), soucieux de dénoncer les exactions de l’ex-officier de la Sécurité Militaire et un fidèle de Larbi Belkheir. LE TORTIONNAIRE D’hier , GRAND PATRIOTE aujourd’hui : ALI TOUNSI.

 

Né en 1934 a Metz en France. Fils de Tayeb, un militaire français (Officier) jusqu’à sa retraite. Nationalité double, Française et Algérienne. Elevé a Meknes au Maroc ou son père était en garnison dans l’armée française.

En 1961, on le retrouve au sein du 2 eme bureau de l’armée française a Sidi Bel Abbes. Membre du commando »TEMPETE » composé de supplétifs récupérés par les services secrets français sous les ordres de l’officier français de saint georges d’où l’appellation «Commando Georges» L’engagement de Tounsi au sein de ce sinistre commando de chasse a été le fruit de sa collaboration sans réserve avec l’armée coloniale.

 

Au cessez le feu, il est injecté dans l’administration naissante grâce a des relations familiales nouées au Maroc qui ignoraient sa collaboration avec l’armée coloniale, il est enrôlé dans les rangs de l’ANP.

 

En 1983, son engagement avec l’armée française durant la guerre de libération ayant été dévoilé, il est radié de l’ANP.

 

Son passage au sein d’une structure dépendant du ministère de la jeunesse et des sports lui vaut en 1994 une condamnation a une peine de prison pour détournement et dilapidation de deniers et de biens publics.

 

En appel, début 1995, et malgré son intimité avec « la magistrate » siégeant, la peine de prison fut confirmée bien qu’abaissée.

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