Jump to content

Le gouvernement reconnaît l’échec de sa politique d’emploi


Recommended Posts

Le gouvernement reconnaît l’échec de sa politique d’emploi

 

Dépasser les incohérences d’une stratégie mal conçue

 

Le gouvernement reconnaît officiellement l’échec des mécanismes mis en place pour répondre aux aspirations des jeunes qui constituent plus de 70% de la population à la recherche d’emploi.

Quelle politique faut-il adopter pour endiguer le phénomène du chômage ? Le gouvernement semble être mal à l’aise concernant cette question. Il est en train de tester des formules, mais les résultats ne suivent pas. L’émigration clandestine, la toxicomanie, l’apparition du phénomène des kamikazes… contredisent tous les chiffres et les discours officiels sur « la relance économique et la création de postes d’emploi ». La prise en charge de la jeunesse bat de l’aile. Le gouvernement reconnaît officiellement l’échec des mécanismes mis en place pour répondre aux aspirations des jeunes qui constituent plus de 70% de la population à la recherche d’emploi. C’est toute une politique qui s’effondre. En effet, en examinant mardi la nouvelle stratégie de promotion de l’emploi et de lutte contre le chômage, le gouvernement avoue cette réalité. Les dispositifs destinés à la création de postes d’emploi salariés, en l’occurrence le CPE, les ESIL et les emplois saisonniers, n’ont pas donné les résultats escomptés. Le gouvernement décide alors de les remplacer. Pourquoi ? Ces dispositifs appliqués depuis plus de huit ans n’arrivent pas à assurer des emplois stables. Pis encore, ils ne garantissent même pas le salaire minimum aux jeunes qui en bénéficient. Des milliers de jeunes (diplômés des universités ou des écoles de formation professionnelle) ayant accédé à l’un de ces trois dispositifs se retrouvent au chômage une fois leurs contrats arrivés à terme. Rémunérés à 8000 DA/mois (pour ceux insérés dans le CPE), 5000 DA, 4000 DA et 3000 DA pour les bénéficiaires des autres dispositifs, ces jeunes quittent leur « emploi » sans acquérir l’expérience qu’ils sont censés avoir à la fin de leur contrat. Raison : l’encadrement et la formation ne sont pas prévus dans le cadre de cette politique.

Des postes éphémères

Selon les spécialistes, les emplois créés dans le cadre de ces dispositifs sont éphémères. Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, l’a reconnu. « Le taux de recrutement dans le cadre des anciens dispositifs ne dépasse pas 12% », déclare-t-il. D’où l’idée d’élaborer la nouvelle stratégie qui, affirme-t-il, est basée sur « une approche économique ». Visant à générer 450 000 emplois annuellement, dont 190 000 emplois permanents, cette nouvelle politique, souligne le ministre, prévoit de « nombreuses mesures susceptibles de mettre un terme à la précarité » caractérisant le marché du travail. La première mesure consiste en la création du dispositif d’aide à l’insertion professionnelle (DAIP). Sous forme de trois contrats d’insertion, à savoir le CID (contrat d’insertion des diplômés), le CIP (contrat d’insertion professionnelle) et le CFI (contrat de formation insertion), le DAIP, précise le ministre, a pour but de traiter efficacement le chômage des jeunes. Même la rémunération octroyée aux bénéficiaires de ces contrats sera également revue à la hausse. La stratégie donne aussi l’importance à la formation sur site des nouvelles recrues. Pour encourager les employeurs à embaucher plus de jeunes, le gouvernement prévoit aussi de leur proposer des contrats de travail aidé (CTA). « Ce contrat assure aux employeurs une contribution de l’Etat au salaire du jeune diplômé, de façon dégressive et pendant une durée de 5 ans », ajoute encore Tayeb Louh. C’est le passage d’un contrat d’insertion à un contrat de travail aidé. Cela en plus de la réduction des charges patronales. Toujours dans le cadre de cette politique, le gouvernement compte appuyer également le développement de l’entreprenariat. Cette stratégie réalisera-t-elle les objectifs tracés ? Selon le ministre, son aboutissement est tributaire de la réussite des plans et des réformes engagés dans différents secteurs.

 

 

 

El watan

Link to post
Share on other sites

comme si les autres politiques ont réussi!!!! :rolleyes:

j'en connais aucune, mais vraiment aucune politique qui a fait bonheur a un humain (civile du peuple) vivant sur terre algérienne, qu'il soit algerien ou étranger

 

Merci de signaler tout abus, en cliquant sur le triangle rouge à gauche de chaque message

et moi qu'il a fait, tu m'as gratifié d'une jolie suspension sous cette raison:

"Aucune raison spécifiée"

 

alors bonjour la loyauté!!

ps: personnellement ça ne m'étonne pas vraiment

Link to post
Share on other sites
comme si les autres politiques ont réussi!!!! :rolleyes:

j'en connais aucune, mais vraiment aucune politique qui a fait bonheur a un humain (civile du peuple) vivant sur terre algérienne, qu'il soit algerien ou étranger

 

 

et moi qu'il a fait, tu m'as gratifié d'une jolie suspension sous cette raison:

"Aucune raison spécifiée"

 

alors bonjour la loyauté!!

ps: personnellement ça ne m'étonne pas vraiment

 

Ah si, il y au moyen une communauté qui peut se considérée heureuse par la politique algérienne: celle des pieds-noirs qui furent expuélsés comme des va-nus-pieds qui peuvent s'estimer des privilégiés d'avoir été épargnés par la détresse engendré par les gouvernements algériens.

Link to post
Share on other sites
Ah si, il y au moyen une communauté qui peut se considérée heureuse par la politique algérienne: celle des pieds-noirs qui furent expuélsés comme des va-nus-pieds qui peuvent s'estimer des privilégiés d'avoir été épargnés par la détresse engendré par les gouvernements algériens.

 

Entre 1962 et 1972

... en plus du million de pieds noirs

... 4 millions d'autochtones

... se sont expatries en France

Link to post
Share on other sites
Entre 1962 et 1972

... en plus du million de pieds noirs

... 4 millions d'autochtones

... se sont expatries en France

 

Dans votre inventaire, vous devez comprendre l'inflation! Les chiffres qui sont appelés à l'emporter dans l'histoire: 800 000 morts côté algérien; 30 000 au sein du colonisateur; 500 000 expatriés (harkis) et 3 millions de déplacés.

Link to post
Share on other sites
Dans votre inventaire, vous devez comprendre l'inflation! Les chiffres qui sont appelés à l'emporter dans l'histoire: 800 000 morts côté algérien; 30 000 au sein du colonisateur; 500 000 expatriés (harkis) et 3 millions de déplacés.

 

J'ai oublie

... d'inclure dans mon inventaire

... les travelos qui tapinent en Suisse

Link to post
Share on other sites
J'ai oublie

... d'inclure dans mon inventaire

... les travelos qui tapinent en Suisse

 

Si vous avez une soeur, je vous laisserai volontiers mes coordonnées afin qu'elle puisse m'atteindre!:mdr: Rêver pas à créer une communauté de travelos dont vous en seriez le représentant car général, votre déviation est très rare chez les individus.

Link to post
Share on other sites
Si vous avez une soeur, je vous laisserai volontiers mes coordonnées afin qu'elle puisse m'atteindre!:mdr: Rêver pas à créer une communauté de travelos dont vous en seriez le représentant car général, votre déviation est très rare chez les individus.

 

Vous avez quand meme

... laisse s'installer le doute

... etes vous une traveleuse

... ou un traveleur ?

Link to post
Share on other sites
  • 4 years later...
Le gouvernement reconnaît l’échec de sa politique d’emploi

 

Dépasser les incohérences d’une stratégie mal conçue

 

Le gouvernement reconnaît officiellement l’échec des mécanismes mis en place pour répondre aux aspirations des jeunes qui constituent plus de 70% de la population à la recherche d’emploi.

Quelle politique faut-il adopter pour endiguer le phénomène du chômage ? Le gouvernement semble être mal à l’aise concernant cette question. Il est en train de tester des formules, mais les résultats ne suivent pas. L’émigration clandestine, la toxicomanie, l’apparition du phénomène des kamikazes… contredisent tous les chiffres et les discours officiels sur « la relance économique et la création de postes d’emploi ». La prise en charge de la jeunesse bat de l’aile. Le gouvernement reconnaît officiellement l’échec des mécanismes mis en place pour répondre aux aspirations des jeunes qui constituent plus de 70% de la population à la recherche d’emploi. C’est toute une politique qui s’effondre. En effet, en examinant mardi la nouvelle stratégie de promotion de l’emploi et de lutte contre le chômage, le gouvernement avoue cette réalité. Les dispositifs destinés à la création de postes d’emploi salariés, en l’occurrence le CPE, les ESIL et les emplois saisonniers, n’ont pas donné les résultats escomptés. Le gouvernement décide alors de les remplacer. Pourquoi ? Ces dispositifs appliqués depuis plus de huit ans n’arrivent pas à assurer des emplois stables. Pis encore, ils ne garantissent même pas le salaire minimum aux jeunes qui en bénéficient. Des milliers de jeunes (diplômés des universités ou des écoles de formation professionnelle) ayant accédé à l’un de ces trois dispositifs se retrouvent au chômage une fois leurs contrats arrivés à terme. Rémunérés à 8000 DA/mois (pour ceux insérés dans le CPE), 5000 DA, 4000 DA et 3000 DA pour les bénéficiaires des autres dispositifs, ces jeunes quittent leur « emploi » sans acquérir l’expérience qu’ils sont censés avoir à la fin de leur contrat. Raison : l’encadrement et la formation ne sont pas prévus dans le cadre de cette politique.

Des postes éphémères

Selon les spécialistes, les emplois créés dans le cadre de ces dispositifs sont éphémères. Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, l’a reconnu. « Le taux de recrutement dans le cadre des anciens dispositifs ne dépasse pas 12% », déclare-t-il. D’où l’idée d’élaborer la nouvelle stratégie qui, affirme-t-il, est basée sur « une approche économique ». Visant à générer 450 000 emplois annuellement, dont 190 000 emplois permanents, cette nouvelle politique, souligne le ministre, prévoit de « nombreuses mesures susceptibles de mettre un terme à la précarité » caractérisant le marché du travail. La première mesure consiste en la création du dispositif d’aide à l’insertion professionnelle (DAIP). Sous forme de trois contrats d’insertion, à savoir le CID (contrat d’insertion des diplômés), le CIP (contrat d’insertion professionnelle) et le CFI (contrat de formation insertion), le DAIP, précise le ministre, a pour but de traiter efficacement le chômage des jeunes. Même la rémunération octroyée aux bénéficiaires de ces contrats sera également revue à la hausse. La stratégie donne aussi l’importance à la formation sur site des nouvelles recrues. Pour encourager les employeurs à embaucher plus de jeunes, le gouvernement prévoit aussi de leur proposer des contrats de travail aidé (CTA). « Ce contrat assure aux employeurs une contribution de l’Etat au salaire du jeune diplômé, de façon dégressive et pendant une durée de 5 ans », ajoute encore Tayeb Louh. C’est le passage d’un contrat d’insertion à un contrat de travail aidé. Cela en plus de la réduction des charges patronales. Toujours dans le cadre de cette politique, le gouvernement compte appuyer également le développement de l’entreprenariat. Cette stratégie réalisera-t-elle les objectifs tracés ? Selon le ministre, son aboutissement est tributaire de la réussite des plans et des réformes engagés dans différents secteurs.

 

 

 

El watan

 

malheureusement toujours d'actualité!

Link to post
Share on other sites
Sujet grave au moment où le jeune R Hamza s'est immolé à Jijel.

 

Faut pas s'étonner ni se lamenter sur HAMZA ou autre c un cas qui relève de la psychiatrie enquêtons sur leurs antécédents ca donnerait surement à réfléchir

D'autre part l'Etat ne peut civilement ou pénalement responsable de sa situation , si ses parents n'ont pas trouver la solution appropriée

Question : êtes vous capable d'accepter l'occupation de votre trottoir sachant que votre habitation se trouve juste à côté ? c le même cas de figure pour les administrations . Ses parents devraient être poursuivi en justice pour avoir laissé un détraqué se mettre un bidon d'essence et semer le trouble à travers la ville . Le citoyen en veut au flic , une haine viscérale quand il s'agit de mettre de l'ordre

Link to post
Share on other sites

Le gouvernement reconnaît officiellement l’échec des mécanismes mis en place pour répondre aux aspirations des jeunes qui constituent plus de 70% de la population à la recherche d’emploi.

Quelle politique faut-il adopter pour endiguer le phénomène du chômage ? Le gouvernement semble être mal à l’aise concernant cette question. Il est en train de tester des formules, mais les résultats ne suivent pas. L’émigration clandestine, la toxicomanie, l’apparition du phénomène des kamikazes… contredisent tous les chiffres et les discours officiels sur « la relance économique et la création de postes d’emploi ». La prise en charge de la jeunesse bat de l’aile. Le gouvernement reconnaît officiellement l’échec des mécanismes mis en place pour répondre aux aspirations des jeunes qui constituent plus de 70% de la population à la recherche d’emploi. C’est toute une politique qui s’effondre. En effet, en examinant mardi la nouvelle stratégie de promotion de l’emploi et de lutte contre le chômage, le gouvernement avoue cette réalité. Les dispositifs destinés à la création de postes d’emploi salariés, en l’occurrence le CPE, les ESIL et les emplois saisonniers, n’ont pas donné les résultats escomptés. Le gouvernement décide alors de les remplacer. Pourquoi ? Ces dispositifs appliqués depuis plus de huit ans n’arrivent pas à assurer des emplois stables. Pis encore, ils ne garantissent même pas le salaire minimum aux jeunes qui en bénéficient. Des milliers de jeunes (diplômés des universités ou des écoles de formation professionnelle) ayant accédé à l’un de ces trois dispositifs se retrouvent au chômage une fois leurs contrats arrivés à terme. Rémunérés à 8000 DA/mois (pour ceux insérés dans le CPE), 5000 DA, 4000 DA et 3000 DA pour les bénéficiaires des autres dispositifs, ces jeunes quittent leur « emploi » sans acquérir l’expérience qu’ils sont censés avoir à la fin de leur contrat. Raison : l’encadrement et la formation ne sont pas prévus dans le cadre de cette politique.

Des postes éphémères

Selon les spécialistes, les emplois créés dans le cadre de ces dispositifs sont éphémères. Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, l’a reconnu. « Le taux de recrutement dans le cadre des anciens dispositifs ne dépasse pas 12% », déclare-t-il. D’où l’idée d’élaborer la nouvelle stratégie qui, affirme-t-il, est basée sur « une approche économique ». Visant à générer 450 000 emplois annuellement, dont 190 000 emplois permanents, cette nouvelle politique, souligne le ministre, prévoit de « nombreuses mesures susceptibles de mettre un terme à la précarité » caractérisant le marché du travail. La première mesure consiste en la création du dispositif d’aide à l’insertion professionnelle (DAIP). Sous forme de trois contrats d’insertion, à savoir le CID (contrat d’insertion des diplômés), le CIP (contrat d’insertion professionnelle) et le CFI (contrat de formation insertion), le DAIP, précise le ministre, a pour but de traiter efficacement le chômage des jeunes. Même la rémunération octroyée aux bénéficiaires de ces contrats sera également revue à la hausse. La stratégie donne aussi l’importance à la formation sur site des nouvelles recrues. Pour encourager les employeurs à embaucher plus de jeunes, le gouvernement prévoit aussi de leur proposer des contrats de travail aidé (CTA). « Ce contrat assure aux employeurs une contribution de l’Etat au salaire du jeune diplômé, de façon dégressive et pendant une durée de 5 ans », ajoute encore Tayeb Louh. C’est le passage d’un contrat d’insertion à un contrat de travail aidé. Cela en plus de la réduction des charges patronales. Toujours dans le cadre de cette politique, le gouvernement compte appuyer également le développement de l’entreprenariat. Cette stratégie réalisera-t-elle les objectifs tracés ? Selon le ministre, son aboutissement est tributaire de la réussite des plans et des réformes engagés dans différents secteurs

 

T.LOUH qui occupe le ministère du travail et de des affaires sociales , ne sait toujours pas :

1èr Que bon nombre de salariés ont opté pour la retraite anticipée , ca laisse tout de même de la place aux jeunes diplômés

2eme : Ne sait il pas que les inspections du travail avaient les prérogatives du contrôle à priori et à postériori des Entreprises publics et privés ?

Comment et pourquoi leurs missions actuelles sont devenues désuètes , amoindries aussi

Comment et pourquoi leur rôle actuel est de gérer les conventions d'entreprises , la législation du travail en partie et surtout les conflits employés - employeurs

3ème :Les inspections qui sont sous son autorité ont été victimes d'un mea culpa , réduites en silence au même titre que la cour des comptes

4ème : l'Anem et autres institutions n'avaient point besoin de calquer leur contrat sur le modèle Français , d'ailleurs sont pas fichus d'en faire le minimum requis ( beaucoup a été dit sur leur compte , est ce que ca a évoluer ? la mascarade vient justement de là

L'employeur selon la législation en vigueur et les conventions collectives a le choix de 3 formules selon les aptitudes de tout un chacun et selon le niveau d'études /

A/ recruter le candidat et le soumettre à une période d'essai de 3 mois puis le confirmer au besoin

B/ recruter le candidat et le soumettre à une période d'essai de 6 mois et le confirmer au besoin

C/ recruter le candidat et le soumettre à une période d'essai de 12 mois , pour les postes de cadres supérieurs et cadres dirigeants après enquête d'habilitation , selon lecas il peut être confirmé lui aussi .

T.LOUH ne gère rien il fait de la stratégie politique il annonce des chiffres record d'absorption de chômage à son patron mais savez vous que Alger à elle seule accuse le + fort taux de chômagel

Les caisses véreuses ANEM CNAC ANSEJ et autres ce n'est rien d'autre que des caisses budgétivores , d'aucune utilité dûment pour nos jeunes . [/b] ne nous dit pas tout !!![/b]

Link to post
Share on other sites
Faut pas s'étonner ni se lamenter sur HAMZA ou autre c un cas qui relève de la psychiatrie enquêtons sur leurs antécédents ca donnerait surement à réfléchir

D'autre part l'Etat ne peut civilement ou pénalement responsable de sa situation , si ses parents n'ont pas trouver la solution appropriée

Question : êtes vous capable d'accepter l'occupation de votre trottoir sachant que votre habitation se trouve juste à côté ? c le même cas de figure pour les administrations . Ses parents devraient être poursuivi en justice pour avoir laissé un détraqué se mettre un bidon d'essence et semer le trouble à travers la ville . Le citoyen en veut au flic , une haine viscérale quand il s'agit de mettre de l'ordre

Sans compter le fait qu'il a gravement brulé des policiers........
Link to post
Share on other sites

bonsoir SADOUN

Les responsables et a travers les ages (50 ans) ont donné le mauvais exemple pour les jeunes.

Prenons le cas des maires d'algerie, une fois élu il commence par les affaires, une fois son mandat terminé , le voila avec une batisse, un commerce, des voitures neuves, et n'oublions pas au début ce maire n'etait qu'un tallab( mendiant).

Nos responsables ont travesti la notion du travail et du labeur.

Link to post
Share on other sites

bonsoir

Sadoun

Maintenant , on doit récolter la moisson ( absence de lois, anarchie,violence,...)

la seule période ou la loi etait appliquée , c'etait sous Boumediene, et ça c'est historique. pourquoi, les détournements de fonds(Khalifa entre autres etaient pratiquement inexistants).

Enfin , penses comme tu veux , mais sois réaliste.

Link to post
Share on other sites
Sans compter le fait qu'il a gravement brulé des policiers........

 

ouais ce n'est qu'un voyou, voleur et crapule d'ailleurs il s'est immolé par plaisir pour cela jouer ma7gour.... s'immolire par plaisir ....... :rolleyes:

 

vraiment tu me donne une de s'est envie de klashé toutes les especes hypocrites pseudo-nationaliste comme toi bien au chaud chez mama frança..... non bien au froid avec cette chaleur étouffante....

Link to post
Share on other sites

Bonsoir !

 

bonsoir SADOUN

Les responsables et a travers les ages (50 ans) ont donné le mauvais exemple pour les jeunes.

Prenons le cas des maires d'algerie, une fois élu il commence par les affaires, une fois son mandat terminé , le voila avec une batisse, un commerce, des voitures neuves, et n'oublions pas au début ce maire n'etait qu'un tallab( mendiant).

Nos responsables ont travesti la notion du travail et du labeur.

 

j'ai posté 2 sujets différents l'un sur HAMZA de jijel et le second sur la politique de l'emploi

Le maire comme tu l'as si bien dit une fois élu ( sous BOUMEDIENNE ) c'était sous la seule étiquette du FLN , en faire partie c'était adhérer incontestablement au fameux article 120 qui veut dire que chaque responsable ou élu quel que soit le titre qu'il occupe fait en quelque sorte partie de protégés du FLN , pour pas dire autre choses . Toute chose faite cette politique organisationnelle était similaire aux organisations de masses ,avec un seul objectif pour tous !

Le maire dont tu parles ne sort pas de ce cadre khemés devenu élu ou autre le résultat que nous constatons dans cette gestion hasardeuse qui fait qu'un khemès soit à la tête d'une commune et devienne par la suite propriétaire de villa , terrain et fond de commerce ...

En tous les cas ca été fait sous l'oeil de ses responsables ... Plus tard le pouvoir a essayé de tenter quelque procès mais c'était juste pour la galerie !

Depuis , certains ont essayé d'influer sur les centres de décisions pour rehausser le titre du Maire en optant pour la mesure jugée la plus importante et la plus politiquement correct, à savoir :

N'acceptez pour ce poste et même celui d'élu de l'APN que les universitaires

Or que constatons nous aujourd'hui le pouvoir décisionnel a choisi l'option pour celle qui s'applique au Député mais pour le Maire rien de changé le niveau doit rester statique

Les choses sont ce qu'elles sont , il est bon de te signaler au passage , afin d'éveiller ton esprit ou te rappeler tant soit peu que les nominations pour le poste de Dg et Pdg continue d'obeir au choix exclusif non pas du Ministre mais du Président , c'est à dire nommé par décret Présidentiel !

Certains de ces patrons d'entreprises peuvent donc être Ministrable . C'est dire aussi que pour çà , nous en avons beaucoup de ces patrons qui occupent des postes depuis + de 20 ans , tel est le cas du Pdg de la C.A.A.T

Les détournements c un autre sujet alors je t'en prie abordons cela dans un autre topic , merci

Link to post
Share on other sites
ouais ce n'est qu'un voyou, voleur et crapule d'ailleurs il s'est immolé par plaisir pour cela jouer ma7gour.... s'immolire par plaisir ....... :rolleyes:

 

vraiment tu me donne une de s'est envie de klashé toutes les especes hypocrites pseudo-nationaliste comme toi bien au chaud chez mama frança..... non bien au froid avec cette chaleur étouffante....

Décompresse, respire...tu fais du mal à ton coeur si noir....Si toi tu cautionnes le suicide qui entraine d'autres avec, moi non!

Une mama franca que tu défends si bien surtout!

Au lieu d'agresser autrui, relativise,lis le coran.........et pense aux familles des policiers innocents, à leurs enfants, leurs femmes...

Toi tu me donnes juste envie de te plaindre..tu devrais aller vivre en Palestine, et voir que des enfants sans avenir trouvent le courage de lutter...........tu apprendrais beaucoup de la vie..........

Sinon, immole toi, tu te rendras service!

Link to post
Share on other sites

RE: Bonsoir

 

bonsoir

Sadoun

Maintenant , on doit récolter la moisson ( absence de lois, anarchie,violence,...)

la seule période ou la loi etait appliquée , c'etait sous Boumediene, et ça c'est historique. pourquoi, les détournements de fonds(Khalifa entre autres etaient pratiquement inexistants).

Enfin , penses comme tu veux , mais sois réaliste.

 

figure toi que juste après les émeutes de 1988 les flics qui faisaient le bon et sale boulot ont perdu de ce pouvoir et à partir de cette année de référence ils obéissent désormais à l'autorité de Droit , tellement ils ont été souillés dans leur honneur . Etablir ou rétablir l'ordre que ce soit sous BOUMEDIENNE ou autre les lois sont élastiques compte tenu du contexte et de la nature de la politique

Je ne pense pas comme je veux détrompes toi ... L'Algérien a appris de nouveaux réflexes , il voyage , étudie , se débrouille , complote aussi et chacun évolue au degré de son intelligence Khalifa sous BOUMEDIENNE aurait été fusillé au Caroubier . Sous cet ère voler 1000 Dinars était u crime pénal , sous Chadli voler 1000 fois 100.000 DA était un délit et j'en passe ...

Le législateur a légalisé le vol et la peine pénal n'est plus que de quelques séjours en prison . Le législateur a pondu des lois qui font force de lois , donc indiscutables ... Jette un oeil sur le code pénal actuel et dis moi s'il est aussi répressif , je suis persuadé qu'il l'est beaucoup moins ...

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...