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De la nécessité de lutter contre les islamistes et de ne pas les croire


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Guest anincognito
certaine pas certain :(

 

je voulais dire aucun pays ayant basé ses lois sur la véritable chariä

 

se sont des politiciens, il ne faut pas les juger différemment des autres.

 

Il faut être quoi d'autre qu'un politicien pour appliquer la charia dans un pays?

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Les islamistes peuvent-ils jouer le jeu de la démocratie ? Non. Il ne faut pas se raconter des histoires, ni les écouter. Les islamistes peuvent épouser la démocratie mais dans le cadre polygame de leurs croyances : elle sera assise à côté du féodalisme, du salafisme et du totalitarisme. Ils peuvent l'utiliser mais comme une chamelle pas comme une favorite. Il ne s'agit pas d'une hypocrisie mais d'un fondement : l'islamisme est un totalitarisme. Il vise la fin de l'histoire, le Califat universel, l'utopie et l'utopie est la seconde raison, après la religion, qui a tué le plus d'humains, par des humains. Au Pouvoir depuis à peine quelques mois, les gens d'Ennahda en Tunisie montrent déjà leur nature : contrôle, abus, vision hégémonique, tendance au contrôle total, refus de l'autre et gentillesse avec les émirats minuscules des salafistes dans les villages et les quartiers.

 

Les islamistes sont le dernier colis piégé laissé par nos dictateurs en débandade : formés aux écoles des régimes conservateurs, choyés, combattus et donc légitimés, séduits, associés. Et quand le dictateur tombe, ils sont les premiers à se relever pour lui succéder. Les dictateurs, comme l'a écrit le chroniqueur, ne laissent pas après eux des citoyens mais des croyants en colère. Un combat s'annonce donc : celui contre ces voleurs de printemps. Ils n'ont pas raison, ne parlent pas à Dieu à la place de chacun de nous et ne peuvent pas gouverner au nom de la vérité tant qu'ils sont aussi mortels que nous. Il s'agit de rappeler partout que les mosquées ne sont pas des usines, que la terre est pour le travail et pas pour les ablutions et qu'aucun homme n'a la procuration de Dieu pour gouverner en son nom. Il s'agit d'expliquer partout, autour de soi, que les islamistes mangent, vont aux toilettes, ont des désirs et des envies et des tentations et des faiblesses comme chacun. Il s'agit de sauver nos enfants de leurs écoles et d'expliquer, patiemment, la liberté et la souveraineté de l'individu et de ne jamais se sentir coupable sous leurs yeux et leurs fatwas et leurs hurlements, ni reculer devant leur insolence et leurs interprétations.

 

Les islamistes ne croient pas à l'alternance au pouvoir, car ils estiment avoir raison. Ils ne jugent pas les autres sur leurs programmes mais sur le critère de la « Vérité ». Les islamistes ne lâcheront jamais le Pouvoir, car ils estiment que c'est Dieu qui le leur a donné.

 

Les islamistes n'admettent pas l'opposition, car ils la voient à travers le filtre de l'Absolu : tout opposant est un opposant aux volontés de Dieu.

 

Les islamistes ne peuvent pas résoudre les problèmes économiques : leur vision est morale, émotionnelle, visant un logement pour tous, le gazon pour tous, les bananes pour tous et la richesse pour tous mais après la mort. Au paradis. Pas ici.

 

Les islamistes ne peuvent pas admettre leurs torts, car c'est Dieu qui agit par eux, selon eux.

 

Ils ne peuvent pas respecter la liberté, car c'est une femme non voilée.

 

Les islamistes sont populistes et le populisme est un plat qui ne se mange ni froid ni chaud, car c'est une assiette vide avec une bouche pleine.

 

Les islamistes ne visent pas l'histoire mais sa fin. Ce sont des messianiques : leur but c'est la fin, pas le début.

 

Ce qu'il faut faire c'est donc constamment rappeler qu'il ne s'agit que d'hommes comme nous tous. Le rappeler dans les villages et les quartiers et les familles et les cafés. Aux chômeurs comme aux attristés et aux femmes qui ont peur de leurs propres corps. Ce qu'il faut c'est ne pas culpabiliser, ni baisser les yeux, ni se cacher, ni changer ses mœurs pour plaire à leur fatwa, ni reculer, pas d'un seul centimètre et sur le plus petit détail de sa vie quotidienne. Ni se sentir amoindri dans son humanité et sa nationalité par leur masse morte et leur nombre. Car s'ils étaient aussi forts, ils auraient fabriqué le printemps arabe au lieu de le voler sur les étalages.

 

Kamel Daoud

 

bravo Kamel

 

veritas veritatis et omnia veritas!:clap:

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Les islamistes peuvent-ils jouer le jeu de la démocratie ? Non. Il ne faut pas se raconter des histoires, ni les écouter. Les islamistes peuvent épouser la démocratie mais dans le cadre polygame de leurs croyances : elle sera assise à côté du féodalisme, du salafisme et du totalitarisme. Ils peuvent l'utiliser mais comme une chamelle pas comme une favorite. Il ne s'agit pas d'une hypocrisie mais d'un fondement : l'islamisme est un totalitarisme. Il vise la fin de l'histoire, le Califat universel, l'utopie et l'utopie est la seconde raison, après la religion, qui a tué le plus d'humains, par des humains. Au Pouvoir depuis à peine quelques mois, les gens d'Ennahda en Tunisie montrent déjà leur nature : contrôle, abus, vision hégémonique, tendance au contrôle total, refus de l'autre et gentillesse avec les émirats minuscules des salafistes dans les villages et les quartiers.

 

Les islamistes sont le dernier colis piégé laissé par nos dictateurs en débandade : formés aux écoles des régimes conservateurs, choyés, combattus et donc légitimés, séduits, associés. Et quand le dictateur tombe, ils sont les premiers à se relever pour lui succéder. Les dictateurs, comme l'a écrit le chroniqueur, ne laissent pas après eux des citoyens mais des croyants en colère. Un combat s'annonce donc : celui contre ces voleurs de printemps. Ils n'ont pas raison, ne parlent pas à Dieu à la place de chacun de nous et ne peuvent pas gouverner au nom de la vérité tant qu'ils sont aussi mortels que nous. Il s'agit de rappeler partout que les mosquées ne sont pas des usines, que la terre est pour le travail et pas pour les ablutions et qu'aucun homme n'a la procuration de Dieu pour gouverner en son nom. Il s'agit d'expliquer partout, autour de soi, que les islamistes mangent, vont aux toilettes, ont des désirs et des envies et des tentations et des faiblesses comme chacun. Il s'agit de sauver nos enfants de leurs écoles et d'expliquer, patiemment, la liberté et la souveraineté de l'individu et de ne jamais se sentir coupable sous leurs yeux et leurs fatwas et leurs hurlements, ni reculer devant leur insolence et leurs interprétations.

 

Les islamistes ne croient pas à l'alternance au pouvoir, car ils estiment avoir raison. Ils ne jugent pas les autres sur leurs programmes mais sur le critère de la « Vérité ». Les islamistes ne lâcheront jamais le Pouvoir, car ils estiment que c'est Dieu qui le leur a donné.

 

Les islamistes n'admettent pas l'opposition, car ils la voient à travers le filtre de l'Absolu : tout opposant est un opposant aux volontés de Dieu.

 

Les islamistes ne peuvent pas résoudre les problèmes économiques : leur vision est morale, émotionnelle, visant un logement pour tous, le gazon pour tous, les bananes pour tous et la richesse pour tous mais après la mort. Au paradis. Pas ici.

 

Les islamistes ne peuvent pas admettre leurs torts, car c'est Dieu qui agit par eux, selon eux.

 

Ils ne peuvent pas respecter la liberté, car c'est une femme non voilée.

 

Les islamistes sont populistes et le populisme est un plat qui ne se mange ni froid ni chaud, car c'est une assiette vide avec une bouche pleine.

 

Les islamistes ne visent pas l'histoire mais sa fin. Ce sont des messianiques : leur but c'est la fin, pas le début.

 

Ce qu'il faut faire c'est donc constamment rappeler qu'il ne s'agit que d'hommes comme nous tous. Le rappeler dans les villages et les quartiers et les familles et les cafés. Aux chômeurs comme aux attristés et aux femmes qui ont peur de leurs propres corps. Ce qu'il faut c'est ne pas culpabiliser, ni baisser les yeux, ni se cacher, ni changer ses mœurs pour plaire à leur fatwa, ni reculer, pas d'un seul centimètre et sur le plus petit détail de sa vie quotidienne. Ni se sentir amoindri dans son humanité et sa nationalité par leur masse morte et leur nombre. Car s'ils étaient aussi forts, ils auraient fabriqué le printemps arabe au lieu de le voler sur les étalages.

 

Kamel Daoud

 

bravo Kamel

 

k.Daoud est un pauvre type ... que de conneries débitées dans ce soi-disant article ... que de lieux communs ... que de redites ... que de clichés ... que de "tout ce qu'on sait déjà" ... heureusement que FA n'est pas représentatif du lectorat algérien ... même belkarem a trouvé qu'il manquait un élément ... :D

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k.Daoud est un pauvre type ... que de conneries débitées dans ce soi-disant article ... que de lieux communs ... que de redites ... que de clichés ... que de "tout ce qu'on sait déjà" ... heureusement que FA n'est pas représentatif du lectorat algérien ... même belkarem a trouvé qu'il manquait un élément ... :D

 

t'as raison, belkarem a ajouter l'hypnose! moi je l'appelle la pilule du violeur.

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k.Daoud est un pauvre type ... que de conneries débitées dans ce soi-disant article ... que de lieux communs ... que de redites ... que de clichés ... que de "tout ce qu'on sait déjà" ... heureusement que FA n'est pas représentatif du lectorat algérien ... même belkarem a trouvé qu'il manquait un élément ... :D

 

 

 

Si ce sont des lieux communs, des redites et des clichés c'est donc que c'est avéré et a contrario que ce ne sont donc pas des conneries, cqfd

 

 

La sémantique ça ne pardonne pas :D

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Si ce sont des lieux communs, des redites et des clichés c'est donc que c'est avéré et a contrario que ce ne sont donc pas des conneries, cqfd

 

 

La sémantique ça ne pardonne pas :D

 

je ne sais pas quel âge il a K. Daoud ... celui de débiter des conneries peut-être ... parce que franchement pendant un moment j'ai eu l'impression de lire un article écrit en 1990 ... ou quelque chose comme çà ... d'où redites ... clichés et tout le reste ...

connerie (n.f.):

 

abêtissement, abrutissement, ânerie, babiole, bagatelle, baliverne, bêtise, bévue, billevesée, bricole, couillonnade, crétinerie, crétinisme, débilité, déconnage, faute, folie, foutaise, frivolité, futilité, idiotie, ineptie, maladresse, manquement, sottise, stupidité ...

 

l'article de K. Daoud bien sûr relativement à l'âge ... l’expérience ... la culture ... la représentation et l'orientation politique du lecteur ... peut être qualifié de tout ce qui est en bleu

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je ne sais pas quel âge il ahttp://www.forum-algerie.com/newreply.php?do=newreply&p=2405857 K. Daoud ... celui de débiter des conneries peut-être ... parce que franchement pendant un moment j'ai eu l'impression de lire un article écrit en 1990 ... ou quelque chose comme çà ... d'où redites ... clichés et tout le reste ...

connerie (n.f.):

 

abêtissement, abrutissement, ânerie, babiole, bagatelle, baliverne, bêtise, bévue, billevesée, bricole, couillonnade, crétinerie, crétinisme, débilité, déconnage, faute, folie, foutaise, frivolité, futilité, idiotie, ineptie, maladresse, manquement, sottise, stupidité ...

 

l'article de K. Daoud bien sûr relativement à l'âge ... l’expérience ... la culture ... la représentation et l'orientation politique du lecteur ... peut être qualifié de tout ce qui est en bleu

 

 

 

 

 

La moindre des choses quand on insulte un auteur c'est de savoir au minimum qui il est et ce qu'il écrit ... google est ton ami

 

 

Ensuite tes propos n'engagent que toi, quand à moi je pencherais plutôt de son côté dans la mesure ou objectivement partout ou sont passés les islamistes ce n'est que misère et désolation et arriérisme. Le jour ou un seul gouvernement islamiste hissera un pays dans la moyenne sur tous les plans économiques, sociaux et culturels on en reparlera, le seul exemple ce serait la Turquie avec l'AKP mais c'est un Etat laïque.

 

cqfd encore shoot again player one plays again :mdr:

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La moindre des choses quand on insulte un auteur c'est de savoir au minimum qui il est et ce qu'il écrit ... google est ton ami

 

 

Ensuite tes propos n'engagent que toi, quand à moi je pencherais plutôt de son côté dans la mesure ou objectivement partout ou sont passés les islamistes ce n'est que misère et désolation et arriérisme. Le jour ou un seul gouvernement islamiste hissera un pays dans la moyenne sur tous les plans économiques, sociaux et culturels on en reparlera, le seul exemple ce serait la Turquie avec l'AKP mais c'est un Etat laïque.

 

cqfd encore shoot again player one plays again :mdr:

 

en Algérie les islamistes ont été empêchés de passer ... ailleurs ils n'ont pas encore démarré

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Les islamistes peuvent-ils jouer le jeu de la démocratie ? Non. Il ne faut pas se raconter des histoires, ni les écouter. Les islamistes peuvent épouser la démocratie mais dans le cadre polygame de leurs croyances : elle sera assise à côté du féodalisme, du salafisme et du totalitarisme. Ils peuvent l'utiliser mais comme une chamelle pas comme une favorite. Il ne s'agit pas d'une hypocrisie mais d'un fondement : l'islamisme est un totalitarisme. Il vise la fin de l'histoire, le Califat universel, l'utopie et l'utopie est la seconde raison, après la religion, qui a tué le plus d'humains, par des humains. Au Pouvoir depuis à peine quelques mois, les gens d'Ennahda en Tunisie montrent déjà leur nature : contrôle, abus, vision hégémonique, tendance au contrôle total, refus de l'autre et gentillesse avec les émirats minuscules des salafistes dans les villages et les quartiers.

 

Les islamistes sont le dernier colis piégé laissé par nos dictateurs en débandade : formés aux écoles des régimes conservateurs, choyés, combattus et donc légitimés, séduits, associés. Et quand le dictateur tombe, ils sont les premiers à se relever pour lui succéder. Les dictateurs, comme l'a écrit le chroniqueur, ne laissent pas après eux des citoyens mais des croyants en colère. Un combat s'annonce donc : celui contre ces voleurs de printemps. Ils n'ont pas raison, ne parlent pas à Dieu à la place de chacun de nous et ne peuvent pas gouverner au nom de la vérité tant qu'ils sont aussi mortels que nous. Il s'agit de rappeler partout que les mosquées ne sont pas des usines, que la terre est pour le travail et pas pour les ablutions et qu'aucun homme n'a la procuration de Dieu pour gouverner en son nom. Il s'agit d'expliquer partout, autour de soi, que les islamistes mangent, vont aux toilettes, ont des désirs et des envies et des tentations et des faiblesses comme chacun. Il s'agit de sauver nos enfants de leurs écoles et d'expliquer, patiemment, la liberté et la souveraineté de l'individu et de ne jamais se sentir coupable sous leurs yeux et leurs fatwas et leurs hurlements, ni reculer devant leur insolence et leurs interprétations.

 

Les islamistes ne croient pas à l'alternance au pouvoir, car ils estiment avoir raison. Ils ne jugent pas les autres sur leurs programmes mais sur le critère de la « Vérité ». Les islamistes ne lâcheront jamais le Pouvoir, car ils estiment que c'est Dieu qui le leur a donné.

 

Les islamistes n'admettent pas l'opposition, car ils la voient à travers le filtre de l'Absolu : tout opposant est un opposant aux volontés de Dieu.

 

Les islamistes ne peuvent pas résoudre les problèmes économiques : leur vision est morale, émotionnelle, visant un logement pour tous, le gazon pour tous, les bananes pour tous et la richesse pour tous mais après la mort. Au paradis. Pas ici.

 

Les islamistes ne peuvent pas admettre leurs torts, car c'est Dieu qui agit par eux, selon eux.

 

Ils ne peuvent pas respecter la liberté, car c'est une femme non voilée.

 

Les islamistes sont populistes et le populisme est un plat qui ne se mange ni froid ni chaud, car c'est une assiette vide avec une bouche pleine.

 

Les islamistes ne visent pas l'histoire mais sa fin. Ce sont des messianiques : leur but c'est la fin, pas le début.

 

Ce qu'il faut faire c'est donc constamment rappeler qu'il ne s'agit que d'hommes comme nous tous. Le rappeler dans les villages et les quartiers et les familles et les cafés. Aux chômeurs comme aux attristés et aux femmes qui ont peur de leurs propres corps. Ce qu'il faut c'est ne pas culpabiliser, ni baisser les yeux, ni se cacher, ni changer ses mœurs pour plaire à leur fatwa, ni reculer, pas d'un seul centimètre et sur le plus petit détail de sa vie quotidienne. Ni se sentir amoindri dans son humanité et sa nationalité par leur masse morte et leur nombre. Car s'ils étaient aussi forts, ils auraient fabriqué le printemps arabe au lieu de le voler sur les étalages.

 

Kamel Daoud

 

bravo Kamel

 

Les islamistes peuvent-ils jouer le jeu de la démocratie ? Non

 

oui makra fikoum

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j'ajouterais juste un element : alors qu'ils s'organisent en partis politique ..leur action sur le terrain est toujours de biais ...leurs discours est pôur l'essentiel du resenti , du pationel ; il ne parle jamais de politique ; il aiment a endormir leur proie par leur discours moralisant .....la rendent disponible ....pour un choix de vote "evident" ...ils parlent de dieu ...il ne peuvent pas etre mauvais ....tel est la raison de leur succés ....

ils faut juste leur enlever le masque pour decouvrir des etres ..capable du pire !!!

hadhi gdima, jib ghirha

qd il parle parle politique, oon les accuse de melanger din et politique, qd on il ne parle pas de politique, on les accuse de ne pas parler politique

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non justement ...les islamiste melange la religion ..qui est du domaine de la foi et de la croyance ... de la totalité de l'existence humaine dans son son rapport a allah ...et la politique qui elle est du domaine du relatif de l'experience ....

 

de ce melange ...le seul resultat ..est la perversion de l'islam comme outil de pouvoir ..et le monsonge dans les rapports humains ...on 'a plus ni poltique ...ni religion ...mais un ensemble batard ou seul le pouvoir de certain sur d'autre trouve a s'exprimer.

non justement ...les islamiste melange la religion ..qui est du domaine de la foi et de la croyance

justement tu part de ton avis sur la def de la religion,qui est faux donc tu arrive à des conclusion fausse.

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en Algérie les islamistes ont été empêchés de passer ... ailleurs ils n'ont pas encore démarré

 

 

 

 

Ah ouais super ton exemple : 200 000 morts :confused:

 

 

Tous les pays arabes qui appliquent ce qu'ils appellent la Chariah sont rétrogrades et dépassés sur tous les points, donc j'attends un exemple concret ...

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je suis juste un algérien qui s'adresse a d'autre algériens ....

 

et tes grimaces ( smyleys) ...n'y changeronr pas grand chose ....

 

on vous a déjà dit et on vous le répète ...que l’Algérie ne sera jamais islamiste ....

ta derriere phrase traduit la mentalité de dictature qui caracterise les peudodemocrate algeriens

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Cosner;2405170]j'ai lu l'article , c'est vrai il a un style d'ecriture , il joue avec les mots et a su donné une orientation a sa dissertation

 

mais encore une fois je ne vois pas ce qui pourrait nous aider a avancer , je m'explique en schematisant , apres lecture de cette dissertation , je n'ai souvenir avoir lu une synthese constructive pour un projet de société, mais kamel Daoud qui essai de barrer la route a un islamiste qui essai de faire uen course, pour ma part kamel Daoued ne s'engage pas dans la competition ou dans ce parcours, mais essai de faire barrage a l'islamiste qui veut participer a ce marathon (election)

 

en conclusion , kamel tu me demande de barrer le chemin du marathonien musulman, mais tu ne me dis pas comment on va gagner cette course

 

c'est un peu notre exemple sur ce forum au lieu de se donner la main , et concretiser un projet de société, on s'insulte a travers nos regions et on glorifie notre tribalisme passé et notre communautarisme nouveau

 

le passé etant ce qu'il fut , ayant du bon sens pour une union et un avenir ensemble , je ne rejette aucun parti , ni aucun clan dans ma conception de ce projet , car comment se pretendre democrate , si l'on taxe les hommes en fonction de leur ideologie et leur appartenance ethnique

 

il y a parmi les islamistes , comme parmi les laiques, des hommes qui ont du bon sens , ce n'est pas la couleur de peau , ni le lieu de sa naissance , ni la croyance des hommes qui font leurs grandeurs, mais plutot la maturité et la sagesse de leurs esprits

 

j'ai eu a rencontré des laiques qui avaient plus de foi , d'amour de compassion pour leur prochain que le meilleur des pieux

comme j'ai eu a rencontré des croyants qui avaient plus de culture , de sagesse et de bon sens que certains pretendus intellectuels

 

le cliché et de par definition une entité figée dans le temps, la nature humaine est cette composante qui se definit en perpetuelle evolution dans le temps , car elle se definit par un esprit donc une raison, et par un coeur donc un sentiment et ses deux facteurs avec du bon sens et du savoir faire , on peut les mettre sur le chemin de la vérité

 

kamel daoud aurait du s'attarder de disserter sur l'ideologie plutot que sur les disciples de cette ideologie , cela discredite ses propos

 

:clap::clap::clap::

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Ah ouais super ton exemple : 200 000 morts :confused:

 

 

Tous les pays arabes qui appliquent ce qu'ils appellent la Chariah sont rétrogrades et dépassés sur tous les points, donc j'attends un exemple concret ...

 

chiffre rond irréel ... peut-être plus ... peut-être moins ... mais bon c'est tous des morts ... alors ... who cares!

il y a la question du "qui tue qui" ... aussi ... celle des "disparus" ...

il y a des pays arabes qui appliquent la charia ... :detective: ... l'Arabie Saoudite ???

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