Guest carobibique Posted May 22, 2012 Partager Posted May 22, 2012 Muet Ouvre-moi tes bras Et me sois refuge Ouvre-moi tes bras Et me sois rempart Ouvre-moi tes bras Et me sois espoir Ouvre-moi tes bras Et me sois bien-être Ouvre-moi tes bras Quand me vois paraître Ouvre-moi tes bras Et me sois Refuge Esther Granek, Je cours après mon ombre, 1981 J'adore Citer Link to post Share on other sites
le condor 10 Posted May 22, 2012 Author Partager Posted May 22, 2012 J'adore Pour avoir apprécié ces poèmes,ne crois-tu pas qu'on a un peu le même gout?;) Citer Link to post Share on other sites
le condor 10 Posted May 28, 2012 Author Partager Posted May 28, 2012 Elle s'en va Affleurant d'émotions incertaines et distantes Les heures étirées de ses tout premiers pas L'enfance se désole de sa marche déviante Et au gré du hasard un matin elle s'en va… Exigeant de ses mots douceurs qui la consolent En n'offrant de ses phrases que le vain des combats L'enfance se distrait de jardins en écoles En oubliant déjà que demain elle s'en va…. Effacée d'un amour dont les fleurs sont trop bleues Et voulant à jamais en retrouver la foi L'enfance se consume en amante de peu Ignorant pour autant le jour où elle s'en va… Hésitante ou confiante entre vents et marées Qui sont du cours des ans bonheurs ou désarrois L'enfance se replie et s'endort rassasiée Pour découvrir bien tard qu'à regrets elle s'en va… Esquissée d'un regard émergeant d'Alzheimer Dans l'absolu du vide en l'esprit mis à bas L'enfance vient offrir à ce vieillard à terre Les larmes et les rires du temps des années fières Et devine à présent que ce soir elle s'en va…. Elle s'en va... Citer Link to post Share on other sites
le condor 10 Posted May 28, 2012 Author Partager Posted May 28, 2012 L’ombre de la vie La mort frôle la vie doux comme une caresse Propageant sans un bruit le sommeil de l’ivresse Lui redonnant ainsi le goût de l’évasion À celle qui se dis Compagnon de raison L’être à qui profite ce moment de tendresse Entre deux forces pure au parfum d’ingérance Ce voit donner en grâce un bouquet de saisons Qu’il gardera au cœur souvenir de passion Le temps mis à profit soulagera son âme Du geste de l’oublie proche de ceux qu’il aime Affection partagée dans le corps de l’esprit Il saura tout laisser en ordre de bohème Vénération respect considérant le thème En quittant sa moitié pour l’ombre de soi-même L’ombre de la vie Citer Link to post Share on other sites
le condor 10 Posted May 31, 2012 Author Partager Posted May 31, 2012 Mon coeur est un poète Mon cœur est un poète ; étourdi et rêveur. Infini chimérique aux pensées aériennes, Dont les folles lubies induisent en erreur Ma plume qui est sienne. Elle transcrit ses mots, faits d'or et d'affection, Avec fidélité. Et rapporte ses songes, Monologue en discours, divine élocution, Sans jamais de mensonge. Parfois il me fait choir à mille et un prurits, Que je n'ose écarter de peur qu'il ne se froisse. Je garde le silence soumis à son débit Dont il laisse les traces. Des traces que j'écris à l'encre de mon corps Et puis que je transcris en pages d'existence, Qui demeurent ainsi à l'abri de l'essor. De bien des ignorances. Mon cœur est un poète ; excessif, passionné Par les galbes, les yeux des jeunes demoiselles, Auxquelles il succombe et ne veut résister Car il n'est point fidèle. De joie incandescent, crépitant d'émotion. Merveilleux solitaire, excité par nature. Robuste mais sensible aux vives sensations Des cuisses : la fêlure. Il se trouve parfois, tout en sublimation, Enivré par l'entrain d'une vie de vertiges, Où les sens sont sultans dans la disproportion De maints et maints prestiges. Il n'est aucune honte à pareils procédés Puisque son engouement lui vaut quelques tendresses Et autres gâteries. Il ne peut refuser De si belles maîtresses ! Mon cœur est un poète ; éternel ténébreux. Les moments de bonheur qui jalonnent la vie, Il les voit à son dos, toujours en songe creux, Perdus sans préavis. Le voilà rembruni, austère et larmoyant, Sitôt qu'une âme part en une lourde perte. Ou bien encore sinistre, éploré, désolant, Lorsqu'un amour s'écarte. Mieux que quiconque, il sait ce qu'est d'être tout seul. Il mesure l'ampleur de tout ce temps qui passe. L'aigreur des mauvais jours, comme un drap, un linceul, Le couvre et il trépasse. Il sait la solitude atroce et sans pitié. Messagère du mal, terrible ambassadrice. Souvent il désespère et se sait condamné A cette prédatrice. Mon cœur est un poète ; exalté malgré tout. Lumineux troubadour, affichant un sourire Que nul ne peut plagier : le sourire d'un fou, Plongé dans ses délires. Sempiternellement, en battements violents, Qui résonnaient en moi en supplications vaines, Il a connu l'amour, ses appels incessants. Il a connu la haine. A l'un ni même à l'autre, il n'a jamais cédé, Arpentant toujours droit les sentiers de ce monde. Grand seigneur par tous temps, incombant le respect A tous ceux qu'il sonde. Mon cœur est un poète ; endormi cette nuit Au fond de vos pensées. Sur le bout de vos langues Tout du moins ! Je l'espère. Et il se réjouit De livrer sa harangue Poèmes | Mon coeur est un poète (par gorgonzola) Citer Link to post Share on other sites
Guest Scapine Posted June 1, 2012 Partager Posted June 1, 2012 Moi aussi, mon coeur est un poète Mais mes mots sont des machettes Qui ne se vendent, ni s'achètent Qui ne m'introduisent guère Parfois, je ne suis même pas fière De ce qui découle des vers Mais je reste soumise à ce coeur errant En attendant qu'un jour, je retrouve la raison Mais d'ici, là! Je reste armée jusqu'aux dents :D Citer Link to post Share on other sites
cenacle 10 Posted June 1, 2012 Partager Posted June 1, 2012 c'est presque un poème militant,je n'ai pas osé dire feministe! Citer Link to post Share on other sites
le condor 10 Posted July 3, 2012 Author Partager Posted July 3, 2012 LES OISEAUX SE CACHENT POUR MOURIR Ta chambre de malade est comme un temple où règne Une compassion qui chuchote tout bas ? Et l’air appesanti d’odeurs fades s’imprègne, Et les bruits de la rue on ne les entend pas. Dehors le grand soleil, ici le crépuscule, Un reflet du miroir papillonne au plafond, Le mur devant tes yeux pleins d’eau trouble recule, Et qu’attend donc le lit en son calme profond ? Tu as roulé ton fauteuil auprès de la fenêtre, Ainsi que l’imploraient fixement tes yeux gris. Dans un fauteuil on est moins mourante peut-être, Et tu voulais broder de tes doigts amaigris. Mais l’aiguille a tremblé sur la fleur déssinée Et la frêle toile a glissé de ta main… Pourquoi vouloir aussi tromper la Destinée ? Endors-toi seule dans l’oubli de demain Citer Link to post Share on other sites
Guest carobibique Posted July 4, 2012 Partager Posted July 4, 2012 Pour avoir apprécié ces poèmes,ne crois-tu pas qu'on a un peu le même gout?;) oui....... Citer Link to post Share on other sites
Guest carobibique Posted July 4, 2012 Partager Posted July 4, 2012 Entre attendre et espérer, il y a un monde qui s'écoule. Mais tant qu'on le voit s'écouler avec calme et tant que la fougue demeure, rien n'est perdu. Bel écrit ! . ça me fait penser à quelqu'un.......... cette façon d'écrire, de parler.... troublant! :o Citer Link to post Share on other sites
Guest carobibique Posted July 4, 2012 Partager Posted July 4, 2012 LES OISEAUX SE CACHENT POUR MOURIR Ta chambre de malade est comme un temple où règne Une compassion qui chuchote tout bas ? Et l’air appesanti d’odeurs fades s’imprègne, Et les bruits de la rue on ne les entend pas. Dehors le grand soleil, ici le crépuscule, Un reflet du miroir papillonne au plafond, Le mur devant tes yeux pleins d’eau trouble recule, Et qu’attend donc le lit en son calme profond ? Tu as roulé ton fauteuil auprès de la fenêtre, Ainsi que l’imploraient fixement tes yeux gris. Dans un fauteuil on est moins mourante peut-être, Et tu voulais broder de tes doigts amaigris. Mais l’aiguille a tremblé sur la fleur déssinée Et la frêle toile a glissé de ta main… Pourquoi vouloir aussi tromper la Destinée ? Endors-toi seule dans l’oubli de demain :confused:..................................... Citer Link to post Share on other sites
Ghost 10 Posted July 5, 2012 Partager Posted July 5, 2012 Moi aussi, mon coeur est un poète Mais mes mots sont des machettes Qui ne se vendent, ni s'achètent Qui ne m'introduisent guère Parfois, je ne suis même pas fière De ce qui découle des vers Mais je reste soumise à ce coeur errant En attendant qu'un jour, je retrouve la raison Mais d'ici, là! Je reste armée jusqu'aux dents :D En attendant le prince charmant !!!!! content de te relire ... Citer Link to post Share on other sites
le condor 10 Posted July 23, 2012 Author Partager Posted July 23, 2012 UNE VOIX... Une voix, un soir d’été, venue Du fond d’un jardin noir de villa. Ton âge ? Trente ans, dis, Inconnue ? Et moi, par quelle fortune là ? Ma journée avait été si grise ! Fumer, lire et ce bruit de mes pas D’une chambre à l’autre , et ces repas Muets…Bientôt l’oubli l’aurait prise. Mais non, sur mon chemin cette voix ! La mer, basse alors, les pins, la dune, Reconnais-toi mon cœur d’hier, vois Comme à jamais luit ce soir de lune. La voix montait grave, jaillissant A flots de cette poitrine aux astres, Clamant, pleur éternel, tes désastres, Amour, ta triste furie, ô sang ! C’était l’ardeur d’une chair mûre, ivre D’un long été d’ennui, de dégoût Qui suit les siestes impures d’août ; Et toujours ce cri déchirant : Vivre ! Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 ....................... bienvenu a notre condor avec myst Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 Avoir voulu me fuir, Avoir voulu,au loin de moi partir... Pourquoi? Dites le moi ! J'ai eu si mal, Dans cette existence pâle,si pâle. Traîné dans la boue de vos mots, J'ai souffert de tant de maux. Jeté,rejeté aux oubliettes... Riez,riez,et dites moi alors si j'étais le plus bête. Trouvez-vous ça gai que de tant blesser? Vous ne répondrez pas mais la réponse je la connais... Connaissez-vous ma douleur? Savez vous qu'aujourd'hui encore,de vous j'ai peur? Vous m'avez enlevé votre amitié, Et je vous en ai voulu de tant de méchanceté. Vous vous pensiez si fortes en faisant la morale, En me déclarant "malade mental"... Comment croire aux cadeaux de la vie, Alors que vous m'aviez détruit? Si le monde est une jungle et moi une gazelle, Vous,vous serez pour toujours les lions cruels... Mais j'aimerais tant entendre un "pardon",rien qu'un Pour que s'éclaircisse à jamais mon destin. Vaines espérances, Alors que mes plaies intérieures point ne se pansent. Ma colère est aussi ardente que le feu, Mais je fais un voeu: Que malgré ma maladie, Vous m'acceptiez tel que je suis. anonyme pour ne pas dire l'ami du condor Citer Link to post Share on other sites
Guest carobibique Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 Mon coeur est un poète Mon cœur est un poète ; étourdi et rêveur. Infini chimérique aux pensées aériennes, Dont les folles lubies induisent en erreur Ma plume qui est sienne. Elle transcrit ses mots, faits d'or et d'affection, Avec fidélité. Et rapporte ses songes, Monologue en discours, divine élocution, Sans jamais de mensonge. Parfois il me fait choir à mille et un prurits, Que je n'ose écarter de peur qu'il ne se froisse. Je garde le silence soumis à son débit Dont il laisse les traces. Des traces que j'écris à l'encre de mon corps Et puis que je transcris en pages d'existence, Qui demeurent ainsi à l'abri de l'essor. De bien des ignorances. Mon cœur est un poète ; excessif, passionné Par les galbes, les yeux des jeunes demoiselles, Auxquelles il succombe et ne veut résister Car il n'est point fidèle. De joie incandescent, crépitant d'émotion. Merveilleux solitaire, excité par nature. Robuste mais sensible aux vives sensations Des cuisses : la fêlure. Il se trouve parfois, tout en sublimation, Enivré par l'entrain d'une vie de vertiges, Où les sens sont sultans dans la disproportion De maints et maints prestiges. Il n'est aucune honte à pareils procédés Puisque son engouement lui vaut quelques tendresses Et autres gâteries. Il ne peut refuser De si belles maîtresses ! Mon cœur est un poète ; éternel ténébreux. Les moments de bonheur qui jalonnent la vie, Il les voit à son dos, toujours en songe creux, Perdus sans préavis. Le voilà rembruni, austère et larmoyant, Sitôt qu'une âme part en une lourde perte. Ou bien encore sinistre, éploré, désolant, Lorsqu'un amour s'écarte. Mieux que quiconque, il sait ce qu'est d'être tout seul. Il mesure l'ampleur de tout ce temps qui passe. L'aigreur des mauvais jours, comme un drap, un linceul, Le couvre et il trépasse. Il sait la solitude atroce et sans pitié. Messagère du mal, terrible ambassadrice. Souvent il désespère et se sait condamné A cette prédatrice. Mon cœur est un poète ; exalté malgré tout. Lumineux troubadour, affichant un sourire Que nul ne peut plagier : le sourire d'un fou, Plongé dans ses délires. Sempiternellement, en battements violents, Qui résonnaient en moi en supplications vaines, Il a connu l'amour, ses appels incessants. Il a connu la haine. A l'un ni même à l'autre, il n'a jamais cédé, Arpentant toujours droit les sentiers de ce monde. Grand seigneur par tous temps, incombant le respect A tous ceux qu'il sonde. Mon cœur est un poète ; endormi cette nuit Au fond de vos pensées. Sur le bout de vos langues Tout du moins ! Je l'espère. Et il se réjouit De livrer sa harangue Poèmes | Mon coeur est un poète (par gorgonzola) Magnifique!:confused: Citer Link to post Share on other sites
Guest carobibique Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 Avoir voulu me fuir, Avoir voulu,au loin de moi partir... Pourquoi? Dites le moi ! J'ai eu si mal, Dans cette existence pâle,si pâle. Traîné dans la boue de vos mots, J'ai souffert de tant de maux. Jeté,rejeté aux oubliettes... Riez,riez,et dites moi alors si j'étais le plus bête. Trouvez-vous ça gai que de tant blesser? Vous ne répondrez pas mais la réponse je la connais... Connaissez-vous ma douleur? Savez vous qu'aujourd'hui encore,de vous j'ai peur? Vous m'avez enlevé votre amitié, Et je vous en ai voulu de tant de méchanceté. Vous vous pensiez si fortes en faisant la morale, En me déclarant "malade mental"... Comment croire aux cadeaux de la vie, Alors que vous m'aviez détruit? Si le monde est une jungle et moi une gazelle, Vous,vous serez pour toujours les lions cruels... Mais j'aimerais tant entendre un "pardon",rien qu'un Pour que s'éclaircisse à jamais mon destin. Vaines espérances, Alors que mes plaies intérieures point ne se pansent. Ma colère est aussi ardente que le feu, Mais je fais un voeu: Que malgré ma maladie, Vous m'acceptiez tel que je suis. anonyme pour ne pas dire l'ami du condor Merci Le Sage. Merci... Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 Merci Le Sage. Merci... je t'en prie caro comment va tu Citer Link to post Share on other sites
Caporal 10 Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 Avoir voulu me fuir, Avoir voulu,au loin de moi partir... Pourquoi? Dites le moi ! J'ai eu si mal, Dans cette existence pâle,si pâle. Traîné dans la boue de vos mots, J'ai souffert de tant de maux. Jeté,rejeté aux oubliettes... Riez,riez,et dites moi alors si j'étais le plus bête. Trouvez-vous ça gai que de tant blesser? Vous ne répondrez pas mais la réponse je la connais... Connaissez-vous ma douleur? Savez vous qu'aujourd'hui encore,de vous j'ai peur? Vous m'avez enlevé votre amitié, Et je vous en ai voulu de tant de méchanceté. Vous vous pensiez si fortes en faisant la morale, En me déclarant "malade mental"... Comment croire aux cadeaux de la vie, Alors que vous m'aviez détruit? Si le monde est une jungle et moi une gazelle, Vous,vous serez pour toujours les lions cruels... Mais j'aimerais tant entendre un "pardon",rien qu'un Pour que s'éclaircisse à jamais mon destin. Vaines espérances, Alors que mes plaies intérieures point ne se pansent. Ma colère est aussi ardente que le feu, Mais je fais un voeu: Que malgré ma maladie, Vous m'acceptiez tel que je suis. anonyme pour ne pas dire l'ami du condor Juste pour la précision..l'auteur réel s'appelle Pyc..et le poème date de 2007 :rolleyes: La Passion des Poèmes :: Poèmes tristes :: souffrances... Citer Link to post Share on other sites
Guest carobibique Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 je t'en prie caro comment va tu je vais comme une poupée... Citer Link to post Share on other sites
Majolique 10 Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 ça me fait penser à quelqu'un.......... cette façon d'écrire, de parler.... troublant! :o Troublant ou parlant ? Le monde est petit. Citer Link to post Share on other sites
Guest Scapine Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 En attendant le prince charmant !!!!! content de te relire ... :mdr::mdr: Y sont plus charmants ceux de mon âge! Comment va le plus connu des Ghost:confused: Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 je vais comme une poupée... dieu merçi que tu vas comme une poupée et comme toujour aussi trés douce comme la vrais poupée Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 Juste pour la précision..l'auteur réel s'appelle Pyc..et le poème date de 2007 :rolleyes: La Passion des Poèmes :: Poèmes tristes :: souffrances... tu est trés loin de la vrais pensée car candor tu ne le connais pas donc tu ne m'apprend rien pour l'auteur ou la date de ce poème je n'ai jamais dit que c'est le sage qui l'a écrit ou qui l'adit Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted July 24, 2012 Partager Posted July 24, 2012 :mdr::mdr: Y sont plus charmants ceux de mon âge! Comment va le plus connu des Ghost:confused: c'est vrais ils sont trés charmant les gens de ton age car c'est le meme vocabulaire aussi :mdr::mdr: Citer Link to post Share on other sites
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