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Nouveau salaire des chercheurs: 250.000 DA/mois


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A partir de ce mois

Les chercheurs toucheront entre 70.000 et 250.000 DA/mois

El Moudjahid 17/1/2012.

Entre 70.000 et 250.000 DA mensuellement, tels sont les nouveaux salaires fixés pour les chercheurs et qui seront versés à partir de ce mois de janvier 2012. Le chercheur débutant percevra un salaire de 70.000 DA alors que la rémunération d’un directeur de recherche pourra atteindre jusqu’à 250.000 DA. Des niveaux de salaires qui ont dépassés, selon les responsables du secteur, toutes les espérances du chercheur. Toutefois, les salaires sont fixés par rapport à la compétence du fait que le régime indemnitaire, qui a suivi le statut particulier du chercheur, est conçu à partir du principe de la performance. Cette revalorisation salariale place désormais les chercheurs nationaux sur le même pied d’égalité que leurs homologues étrangers avec des exigences de qualité définies selon les normes internationales. Cette disposition, prise par le Président de la République, et, suivie par le Premier ministre, a eu des répercussions positives tel le retour au pays de plusieurs chercheurs algériens. Il en est de même pour les demandes de recherches qui ont atteint les 8.000. Selon M. Aourag, cette nouvelle grille « sera à la hauteur des chercheurs, mais il faut faire la différence entre un chercheur qui ne produit rien et un chercheur qui contribue au développement de l’économie. Nous devons mettre en place un système qui privilégie l’excellence », a-t-il précisé. Cette mesure attractive sera néanmoins conditionnée par la relation de la recherche avec les besoins de l’économie nationale ainsi qu’une évaluation constante d’autant qu’elle pourra intéresser le corps enseignant dont le nombre est estimé à 38.000 enseignants. Cette nouvelle grille des salaires, qui a reçu le feu vert de l’inspection générale de la fonction publique, sera appliquée avec effet rétroactif. Pour rappel, l’Algérie compte 1.500 chercheurs permanents et 20.000 enseignants chercheurs ainsi que 780 laboratoires de recherche. M. Aourag a signalé que ce n’est pas le nombre de laboratoires qui importe, mais la mobilisation des chercheurs. Dans ce secteur, l’Algérie demeure très en retard avec 600 chercheurs par million d’habitants, une moyenne en deçà des besoins du développement.

S. Sofi

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A partir de ce mois

Les chercheurs toucheront entre 70.000 et 250.000 DA/mois

El Moudjahid 17/1/2012.

Entre 70.000 et 250.000 DA mensuellement, tels sont les nouveaux salaires fixés pour les chercheurs et qui seront versés à partir de ce mois de janvier 2012. Le chercheur débutant percevra un salaire de 70.000 DA alors que la rémunération d’un directeur de recherche pourra atteindre jusqu’à 250.000 DA. Des niveaux de salaires qui ont dépassés, selon les responsables du secteur, toutes les espérances du chercheur. Toutefois, les salaires sont fixés par rapport à la compétence du fait que le régime indemnitaire, qui a suivi le statut particulier du chercheur, est conçu à partir du principe de la performance. Cette revalorisation salariale place désormais les chercheurs nationaux sur le même pied d’égalité que leurs homologues étrangers avec des exigences de qualité définies selon les normes internationales. Cette disposition, prise par le Président de la République, et, suivie par le Premier ministre, a eu des répercussions positives tel le retour au pays de plusieurs chercheurs algériens. Il en est de même pour les demandes de recherches qui ont atteint les 8.000. Selon M. Aourag, cette nouvelle grille « sera à la hauteur des chercheurs, mais il faut faire la différence entre un chercheur qui ne produit rien et un chercheur qui contribue au développement de l’économie. Nous devons mettre en place un système qui privilégie l’excellence », a-t-il précisé. Cette mesure attractive sera néanmoins conditionnée par la relation de la recherche avec les besoins de l’économie nationale ainsi qu’une évaluation constante d’autant qu’elle pourra intéresser le corps enseignant dont le nombre est estimé à 38.000 enseignants. Cette nouvelle grille des salaires, qui a reçu le feu vert de l’inspection générale de la fonction publique, sera appliquée avec effet rétroactif. Pour rappel, l’Algérie compte 1.500 chercheurs permanents et 20.000 enseignants chercheurs ainsi que 780 laboratoires de recherche. M. Aourag a signalé que ce n’est pas le nombre de laboratoires qui importe, mais la mobilisation des chercheurs. Dans ce secteur, l’Algérie demeure très en retard avec 600 chercheurs par million d’habitants, une moyenne en deçà des besoins du développement.

S. Sofi

 

 

la recherche n'a jamais été question de salaires

 

elle est le pendant de l'état "civilisationnel" d'une société

 

tu prends l'équipe qui a mis au point la bombe atomique de Fort ALAMO, et tu la délocalises dans l'Algérie des généraux, et le FERMI* ne plus cultiver de simples courgettes sur notre corniche oranaise.

 

 

* et COSNER , décodeur ? Sais-tu comment on appelle la truffe de nos régions ?

 

BOUTER FES

 

ou Boute flika ?

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Guest aladin1000
A partir de ce mois

Les chercheurs toucheront entre 70.000 et 250.000 DA/mois

El Moudjahid 17/1/2012.

Entre 70.000 et 250.000 DA mensuellement, tels sont les nouveaux salaires fixés pour les chercheurs et qui seront versés à partir de ce mois de janvier 2012. Le chercheur débutant percevra un salaire de 70.000 DA alors que la rémunération d’un directeur de recherche pourra atteindre jusqu’à 250.000 DA. Des niveaux de salaires qui ont dépassés, selon les responsables du secteur, toutes les espérances du chercheur. Toutefois, les salaires sont fixés par rapport à la compétence du fait que le régime indemnitaire, qui a suivi le statut particulier du chercheur, est conçu à partir du principe de la performance. Cette revalorisation salariale place désormais les chercheurs nationaux sur le même pied d’égalité que leurs homologues étrangers avec des exigences de qualité définies selon les normes internationales. Cette disposition, prise par le Président de la République, et, suivie par le Premier ministre, a eu des répercussions positives tel le retour au pays de plusieurs chercheurs algériens. Il en est de même pour les demandes de recherches qui ont atteint les 8.000. Selon M. Aourag, cette nouvelle grille « sera à la hauteur des chercheurs, mais il faut faire la différence entre un chercheur qui ne produit rien et un chercheur qui contribue au développement de l’économie. Nous devons mettre en place un système qui privilégie l’excellence », a-t-il précisé. Cette mesure attractive sera néanmoins conditionnée par la relation de la recherche avec les besoins de l’économie nationale ainsi qu’une évaluation constante d’autant qu’elle pourra intéresser le corps enseignant dont le nombre est estimé à 38.000 enseignants. Cette nouvelle grille des salaires, qui a reçu le feu vert de l’inspection générale de la fonction publique, sera appliquée avec effet rétroactif. Pour rappel, l’Algérie compte 1.500 chercheurs permanents et 20.000 enseignants chercheurs ainsi que 780 laboratoires de recherche. M. Aourag a signalé que ce n’est pas le nombre de laboratoires qui importe, mais la mobilisation des chercheurs. Dans ce secteur, l’Algérie demeure très en retard avec 600 chercheurs par million d’habitants, une moyenne en deçà des besoins du développement.

S. Sofi

 

en fait,ils cherchent quoi au juste?

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  • 1 month later...
des chercheurs?

Leir donné je ne sais combien pour chercher sur quoi,pas de materiels,pas de moyens

et............pas de chercheurs

 

- si, il faut bien les payer,

- mais leurs primes doivent être indexés à leurs résultats,

- tu trouves (donc tu publies) donc tu as ta prime,

sinon, roh terbah (salaire de base fagatt).

- tchouf loukane ma idjabdouch el gaz hakake.

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Par respect pour les universitaires et chercheurs algériens (il y en a! autour de 30 000 !) Il serais bien de donner quelques informations. La recherches c'est comme l'astronomie.

Dans certains domaines la taches est aussi grande que de cartographier toutes les étoiles. une vie ne suffit pas. C'est pourquoi beaucoup chercheurs participent a des avancées scientifiques sans ne jamais rien trouvé. Donc les payer si il trouve n'a pas de sens.

 

La preuve que ca bouge :

 

Associations des Jeunes Chercheurs Alg?riens en Technologies de l'information et de la communication

Institut Pasteur D'Algerie

La Tribune Online - L?augmentation du nombre de chercheurs en Algérie est une «nécessité»

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Par respect pour les universitaires et chercheurs algériens (il y en a! autour de 30 000 !) Il serais bien de donner quelques informations. La recherches c'est comme l'astronomie.

Dans certains domaines la taches est aussi grande que de cartographier toutes les étoiles. une vie ne suffit pas. C'est pourquoi beaucoup chercheurs participent a des avancées scientifiques sans ne jamais rien trouvé. Donc les payer si il trouve n'a pas de sens.

 

La preuve que ca bouge :

 

Associations des Jeunes Chercheurs Alg?riens en Technologies de l'information et de la communication

Institut Pasteur D'Algerie

La Tribune Online - L?augmentation du nombre de chercheurs en Algérie est une «nécessité»

 

Question:

- peut-on faire la même recherche que les universitaires européens?

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s'ils le méritent pas de problème bsahathoum...

 

Exact, il faut établir des critères (faudrait une commission):

- publication dans une revue internationale,

- apport à l'économie nationale,

-...

 

Créons nos silicon valley!:clap:

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la recherche en Algérie ? je vois arriver un grand LOL

 

j'ai effectué mon stage au CDTA (Centre de Développement des Technologies Avancées)

 

le nom fait peur, mais à l'intérieur comment dire wouaaaaw :D

des chercheurs qui n'ont pas de projets, aucun objectif donc aucune motivation pour travailler

d'autres un peu plus motivés mais que font-ils ? du copier/coller sur les publications américaines, françaises ect

d'autres qui présentent les projets des stagiaires comme étant leur fruits de recherches

et en plus de tout ca, la jalousie entre les collègues et la crainte qu'on leur pique leur petits travaux

 

ect ect ect ...

 

dans tout le centre, ceux qu'on puisse appeler vraiment chercheurs se compte sur les doigts d'une main

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la recherche en Algérie ? je vois arriver un grand LOL

 

j'ai effectué mon stage au CDTA (Centre de Développement des Technologies Avancées)

 

le nom fait peur, mais à l'intérieur comment dire wouaaaaw :D

des chercheurs qui n'ont pas de projets, aucun objectif donc aucune motivation pour travailler

d'autres un peu plus motivés mais que font-ils ? du copier/coller sur les publications américaines, françaises ect

d'autres qui présentent les projets des stagiaires comme étant leur fruits de recherches

et en plus de tout ca, la jalousie entre les collègues et la crainte qu'on leur pique leur petits travaux

 

ect ect ect ...

 

dans tout le centre, ceux qu'on puisse appeler vraiment chercheurs se compte sur les doigts d'une main

 

- attention, ce n'est pas mieux dans certains labo étrangers ce que vous décrivez,

- si un prof encadre un stagiaire, c'est normal qu'il publie le travail à son nom et mentionnant le stagiaire.

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- attention, ce n'est pas mieux dans certains labo étrangers ce que vous décrivez,

- si un prof encadre un stagiaire, c'est normal qu'il publie le travail à son nom et mentionnant le stagiaire.

 

- je sais que ce n'est pas mieux dans certains labo étrangers, mais beaucoup d'entre eux sont privés donc ils ont des objectifs à atteindre et ils exigent des résultats à leur chercheurs.

 

- le rôle de stagiaire c'est d'appliquer la méthode ou la théorie proposée par le chercheur et non aider le prof à publier.

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- je sais que ce n'est pas mieux dans certains labo étrangers, mais beaucoup d'entre eux sont privés donc ils ont des objectifs à atteindre et ils exigent des résultats à leur chercheurs.

 

- le rôle de stagiaire c'est d'appliquer la méthode ou la théorie proposée par le chercheur et non aider le prof à publier.

 

- moi en France, j'ai été pris dans un labo notamment car "j'avais une facilité d'écriture" m'a avoué le patron (j'avais préparé trois articles sur des recherches menées au bled avec mes moyens et des articles étrangers).

- il est évident que le patron voulait que je lui produise de quoi publier au niveau de son labo:ranting2:

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Amplement mérité ;

Un chercheur doit être bien logé et toutes les facilités mises à sa disposition.

Un salaire pareil leur permettra aussi d'acheter les références et les ouvrages dont ils ont besoin chez eux.

 

C'est un très bon investissement.. Du gagnant-gagnant !

.

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Amplement mérité ;

Un chercheur doit être bien logé et toutes les facilités mises à sa disposition.

Un salaire pareil leur permettra aussi d'acheter les références et les ouvrages dont ils ont besoin chez eux.

 

C'est un très bon investissement.. Du gagnant-gagnant !

.

 

- exact, le choyer,

- mais sur son travail.

- gardons nos chercheurs fel bled.

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- exact, le choyer,

- mais sur son travail.

- gardons nos chercheurs fel bled.

 

Pas forcement les garder, permettre une certaine mobilité peut tout aussi être bénéfique

 

En outre la question du salaire est importante, mais il s'agit aussi de de faire bouger un monde universitaire sclérosé tenu par des vielles chouettes bornés qui ont de tout temps montré leurs scepticisme quant aux capacités des nouvelles générations

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Pas forcement les garder, permettre une certaine mobilité peut tout aussi être bénéfique

 

En outre la question du salaire est importante, mais il s'agit aussi de de faire bouger un monde universitaire sclérosé tenu par des vielles chouettes bornés qui ont de tout temps montré leurs scepticisme quant aux capacités des nouvelles générations

 

- oui, il n'y a pas que le salaire,

- en France, au CNRS, ils veulent supprimer les chercheurs fonctionnaires et les remplacer par des contrats de 5 ans.

- tu trouves: Allah ibarek,

- tu ne trouves pas, khali blastek.

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