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L'insultte de mhenni aux Martyrs de la Guerre d'independance


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Une insulte aux Chouhada :Pour Ferhat M'henni président du MAK, la guerre d’indépendance est un «malentendu»

 

Il est des moments dans la vie d’un homme qui marquent son heure de gloire ou de déclin. Ferhat Mhenni a eu droit à ce deuxième sort réservé à ceux de qui l’histoire se détourne et continue son chemin.

 

L’initiateur et promoteur du projet d’«autonomie-indépendance» de la Kabylie, Ferhat Mhenni, a franchi, dans sa quête de crédibilisation de ce projet, le seuil de l’indélicatesse et de l’affront. Le chef du MAK a tenu des propos insultants vis-à-vis de la Kabylie et de la Guerre de libération nationale et ce, dans l’enceinte même de l’Assemblée nationale française, à l’invitation de son ami député et ex-ministre UMP, Eric Raoult. «De Sidi Ferruch en juillet 1830 à la bataille d’Icharridène le 24 juin 1857, de l’insurrection de 1871 à celle du 1er novembre 1954, de l’émigration kabyle en France tout au long du XXe siècle, dont notamment les douloureux évènements à Paris du 17 Octobre 1961, au flux massif des sans-papiers kabyles issus de la révolte populaire du Printemps noir en 2001, la France et la Kabylie ont été marquées par un malentendu qu’il est enfin temps de dépasser», a dit Ferhat Mhenni lors d’une rencontre organisée à l’Assemblée française à l’occasion de la célébration de Yennayer, le nouvel an berbère célébré pourtant par toute l’Algérie et tous les Amazighs. Ainsi, pour Ferhat Mhenni, la colonisation française et le combat pour l’indépendance nationale, qui a coûté la vie à plus d’un million d’Algériens, n’ont été qu’«un malentendu» qui «n’a jamais été traité pour des raisons géopolitiques».

 

L’Assemblée française, qui avait décrété les effets «positifs» de la colonisation, n’a pas été jusqu’à traiter la guerre d’Algérie de «malentendu», mais M. Mhenni, en cette veille de célébration du cinquantième anniversaire de l’indépendance, offre sur le plateau de la soumission et de la servilité le sacrifice d’un peuple. «La Kabylie n’ayant pas récupéré sa souveraineté à l’indépendance de l’Algérie, en 1962, par formalisme bureaucratique et protocolaire, son dossier a été transféré à l’Etat algérien qui en use et abuse pour éviter de refermer les plaies du passé qui compromettent la construction d’un avenir de solidarité entre nos deux peuples», a-t-il encore dit sur le ton de la provocation envers cette région qui s’est pourtant vaillamment battue contre la colonisation française et a chèrement payé le prix de sa lutte pour la libération de l’Algérie. Cet aventurier de la politique ira jusqu’à dire que «la Kabylie n’a jamais combattu un peuple ou un pays».

 

Il est pourtant loin d’ignorer que c’est un pays, qui est la France, qui a colonisé son pays, l’Algérie, qui s’en est sorti qu’au prix d’un million et demi de martyrs. Ces derniers ne se sont jamais sentis français ni n’ont voulu le devenir, au grand dam de ce séparatiste qui semble trouver en France soutien et promotion. Ferhat Mhenni, qui est à la politique ce que le feu est à la bouteille de gaz, empilera ses arguments dangereusement sécessionnistes pour cracher sur la fierté de la Kabylie révolutionnaire en disant : «Ce qui oppose aujourd’hui le pouvoir algérien à la Kabylie est bien plus lourd que le malentendu qui a pu exister hier entre la Kabylie et la France jusqu’en 1962.» Un raccourci qui tend à excuser 132 années de statut d’indigénat, de politique de la terre brûlée, de martyre et de souffrances subis par tout un peuple du fait de l’invasion française.

 

Ce «malentendu» dont parle M. Ferhat est pourtant symbolisé par tous ces monuments aux Martyrs que chaque village kabyle expose tel l’emblème d’un combat noble et glorieux, qu’il veut réduire et rendre invisibles au regard de ses hôtes qui n’oseront pas en faire autant.

Est-ce ainsi que M. Ferhat veut rendre justice à la Kabylie qui a souffert et continue de souffrir, au même titre que toute l’Algérie, du poids oppressant d’une dictature qui nourrit les divisions tout comme l’avait fait, avant elle, le colonialisme français ? Enlever la Kabylie du sein de l’Algérie pour l’arrimer à la France n’est sûrement pas rendre justice à ce bastion de la résistance qui ne cessera jamais de revendiquer son algérianité, malgré les tentatives de division instrumentalisées par le pouvoir ou par des nostalgiques de «l’Algérie française» d’ici ou d’ailleurs.

 

Nadjia Bouaricha Elwatan/ 19/01/2012

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Top Posters In This Topic

C’était mon avis jusqu’à la déclaration de MEDELCI qui regrettait de ne plus être fransaoui, Taleb IBRAHIMI qui remarquait que les jeunes aiment plus que jamais la France et que les vieux présidents affluent au Val de Grâce après le très francophile BOUTEFLIKA.

 

Malentendu ? Ne serait-ce pas ce que tous les hommes politiques algériens depuis l’Emir Abdelkader, Messali HADJ, les Elus Musulmans, Ben BADIS ont tenté de gommer ?

 

Les nouveaux colons de l’Algérie, conscients de la réalité ont mis sous séquestre l’histoire de l’Algérie occultant tous les cités pour ne retenir que ceux des morts de la révolution pour légitimer leur main mise sur le pays, puis leurs crimes.

 

Je ne suis pas pour autant, pour maintenir des relations privilégiées avec notre ancien colonisateur qui a eu une occasion qu’il n’a pas exploité. Le monde est différent de celui de 1956 et la paix mondiale dépend d’autres intérêts et puissances.

 

J’en reviens à ce que préconise MEHRI. Le meilleur atout de l’Algérie consiste à rompre tout lien avec son ancien colonisateur et à se comporter en puissance régionale consciente et engagée. Notre avenir est toujours dans la lutte armée, au sens médicale, pas dans la soumission.

 

Que la parole soit donnée aux jeunes. Ils ne trahiront ni leurs glorieux aînés ni l’esprit de Novembre.

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C’était mon avis jusqu’à la déclaration de MEDELCI qui regrettait de ne plus être fransaoui, Taleb IBRAHIMI qui remarquait que les jeunes aiment plus que jamais la France et que les vieux présidents affluent au Val de Grâce après le très francophile BOUTEFLIKA.

 

Malentendu ? Ne serait-ce pas ce que tous les hommes politiques algériens depuis l’Emir Abdelkader, Messali HADJ, les Elus Musulmans, Ben BADIS ont tenté de gommer ?

 

Les nouveaux colons de l’Algérie, conscients de la réalité ont mis sous séquestre l’histoire de l’Algérie occultant tous les cités pour ne retenir que ceux des morts de la révolution pour légitimer leur main mise sur le pays, puis leurs crimes.

 

Je ne suis pas pour autant, pour maintenir des relations privilégiées avec notre ancien colonisateur qui a eu une occasion qu’il n’a pas exploité. Le monde est différent de celui de 1956 et la paix mondiale dépend d’autres intérêts et puissances.

 

J’en reviens à ce que préconise MEHRI. Le meilleur atout de l’Algérie consiste à rompre tout lien avec son ancien colonisateur et à se comporter en puissance régionale consciente et engagée. Notre avenir est toujours dans la lutte armée, au sens médicale, pas dans la soumission.

 

Que la parole soit donnée aux jeunes. Ils ne trahiront ni leurs glorieux aînés ni l’esprit de Novembre.

 

Arrêtes de faire de la désinformation puisqu'il est claire que Medelci était ironique.

Mais, là, ce ne peut être plus clair.

D'ailleurs, vouloir un rapprochement Algérie-France (on est pour ou pas cela se discute) est une chose mais dire que la guerre d'Algérie est un malentendu en est une autre.

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Une insulte aux Chouhada :Pour Ferhat M'henni président du MAK, la guerre d’indépendance est un «malentendu»

 

Il est des moments dans la vie d’un homme qui marquent son heure de gloire ou de déclin. Ferhat Mhenni a eu droit à ce deuxième sort réservé à ceux de qui l’histoire se détourne et continue son chemin.

 

L’initiateur et promoteur du projet d’«autonomie-indépendance» de la Kabylie, Ferhat Mhenni, a franchi, dans sa quête de crédibilisation de ce projet, le seuil de l’indélicatesse et de l’affront. Le chef du MAK a tenu des propos insultants vis-à-vis de la Kabylie et de la Guerre de libération nationale et ce, dans l’enceinte même de l’Assemblée nationale française, à l’invitation de son ami député et ex-ministre UMP, Eric Raoult. «De Sidi Ferruch en juillet 1830 à la bataille d’Icharridène le 24 juin 1857, de l’insurrection de 1871 à celle du 1er novembre 1954, de l’émigration kabyle en France tout au long du XXe siècle, dont notamment les douloureux évènements à Paris du 17 Octobre 1961, au flux massif des sans-papiers kabyles issus de la révolte populaire du Printemps noir en 2001, la France et la Kabylie ont été marquées par un malentendu qu’il est enfin temps de dépasser», a dit Ferhat Mhenni lors d’une rencontre organisée à l’Assemblée française à l’occasion de la célébration de Yennayer, le nouvel an berbère célébré pourtant par toute l’Algérie et tous les Amazighs. Ainsi, pour Ferhat Mhenni, la colonisation française et le combat pour l’indépendance nationale, qui a coûté la vie à plus d’un million d’Algériens, n’ont été qu’«un malentendu» qui «n’a jamais été traité pour des raisons géopolitiques».

 

L’Assemblée française, qui avait décrété les effets «positifs» de la colonisation, n’a pas été jusqu’à traiter la guerre d’Algérie de «malentendu», mais M. Mhenni, en cette veille de célébration du cinquantième anniversaire de l’indépendance, offre sur le plateau de la soumission et de la servilité le sacrifice d’un peuple. «La Kabylie n’ayant pas récupéré sa souveraineté à l’indépendance de l’Algérie, en 1962, par formalisme bureaucratique et protocolaire, son dossier a été transféré à l’Etat algérien qui en use et abuse pour éviter de refermer les plaies du passé qui compromettent la construction d’un avenir de solidarité entre nos deux peuples», a-t-il encore dit sur le ton de la provocation envers cette région qui s’est pourtant vaillamment battue contre la colonisation française et a chèrement payé le prix de sa lutte pour la libération de l’Algérie. Cet aventurier de la politique ira jusqu’à dire que «la Kabylie n’a jamais combattu un peuple ou un pays».

 

Il est pourtant loin d’ignorer que c’est un pays, qui est la France, qui a colonisé son pays, l’Algérie, qui s’en est sorti qu’au prix d’un million et demi de martyrs. Ces derniers ne se sont jamais sentis français ni n’ont voulu le devenir, au grand dam de ce séparatiste qui semble trouver en France soutien et promotion. Ferhat Mhenni, qui est à la politique ce que le feu est à la bouteille de gaz, empilera ses arguments dangereusement sécessionnistes pour cracher sur la fierté de la Kabylie révolutionnaire en disant : «Ce qui oppose aujourd’hui le pouvoir algérien à la Kabylie est bien plus lourd que le malentendu qui a pu exister hier entre la Kabylie et la France jusqu’en 1962.» Un raccourci qui tend à excuser 132 années de statut d’indigénat, de politique de la terre brûlée, de martyre et de souffrances subis par tout un peuple du fait de l’invasion française.

 

Ce «malentendu» dont parle M. Ferhat est pourtant symbolisé par tous ces monuments aux Martyrs que chaque village kabyle expose tel l’emblème d’un combat noble et glorieux, qu’il veut réduire et rendre invisibles au regard de ses hôtes qui n’oseront pas en faire autant.

Est-ce ainsi que M. Ferhat veut rendre justice à la Kabylie qui a souffert et continue de souffrir, au même titre que toute l’Algérie, du poids oppressant d’une dictature qui nourrit les divisions tout comme l’avait fait, avant elle, le colonialisme français ? Enlever la Kabylie du sein de l’Algérie pour l’arrimer à la France n’est sûrement pas rendre justice à ce bastion de la résistance qui ne cessera jamais de revendiquer son algérianité, malgré les tentatives de division instrumentalisées par le pouvoir ou par des nostalgiques de «l’Algérie française» d’ici ou d’ailleurs.

 

Nadjia Bouaricha Elwatan/ 19/01/2012

 

Je ne vais pas m'immiscer dans les affaires du Bled, mais ce que dit Ferhat M'henni, c'est ce que m'ont dit les bidasses français envoyés en Kabylie.

 

Si la France avait voulu mettre le pastis, elle aurait dit ceci : l'indépendance par tranche. D'abord la Kabylie, et croyez moi, retirer les combattants kabyles, ça aurait fait un sacré trou d'air.

 

L'occasion était trop bonne de se débarrasser d'un ensemble désespérant et ruineux pour le mettre en oeuvre.

 

Le fait kabyle, n'est pas un produit de la France, et il s'est encore plus renforcé avec la colonisation arabe.

 

S'ils avaient oublié d'emporter avec eux dans leurs bagages, la plus belle des religions, ils n'auraient tenu pas plus de 6 mois.

 

Notez que les kabyles sont en France depuis belle lurette, et vite bien intégrés. Dany Boom, Dalil Boubakeur et bien d'autres...

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A mon avis, il faut laisser et même encourager cette hyène puante à baver...

Celà le décrédibilisera aux yeux de la poignée d'adeptes inconscients ou vendus pour si peu et donnera motif au ... bourreau qui finira bien par lui mettre la corde au cou...

 

A la potence! les traitres et autres vendus! :mad:

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Je ne vais pas m'immiscer dans les affaires du Bled, mais ce que dit Ferhat M'henni, c'est ce que m'ont dit les bidasses français envoyés en Kabylie.

 

Si la France avait voulu mettre le pastis, elle aurait dit ceci : l'indépendance par tranche. D'abord la Kabylie, et croyez moi, retirer les combattants kabyles, ça aurait fait un sacré trou d'air.

 

L'occasion était trop bonne de se débarrasser d'un ensemble désespérant et ruineux pour le mettre en oeuvre.

 

Le fait kabyle, n'est pas un produit de la France, et il s'est encore plus renforcé avec la colonisation arabe.

 

S'ils avaient oublié d'emporter avec eux dans leurs bagages, la plus belle des religions, ils n'auraient tenu pas plus de 6 mois.

 

Notez que les kabyles sont en France depuis belle lurette, et vite bien intégrés. Dany Boom, Dalil Boubakeur et bien d'autres...

 

nous ne pouvons refaire l'Histoire.

 

les Français , collaborateurs des Allemands, en 1962 avaient à leut tête, un vieux général parano et gâteux. Sous la houlette du stokhomisé, celui qui vouait une grande admiration pour les Allemands qui durant la première guerre l'avait fait prisonnier et auquel ils ont infligé une triha pendant la seconde, les gaulois avaient décidé de brader le fleuron de leur colonie. Portes ouvertes aux envahisseurs des frontières et que le FLN de l'intérieur soit massacré !

.......................................................................................................

pour le Dany, qu'à la couleur de ses yeux, c'est un boom français. Et depuis que devant Dieu il a rejoint nos cousins, il est devenu génial *

 

* méta phore ? euphorique après leben du matin ?

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Je ne vais pas m'immiscer dans les affaires du Bled, mais ce que dit Ferhat M'henni, c'est ce que m'ont dit les bidasses français envoyés en Kabylie.

 

Si la France avait voulu mettre le pastis, elle aurait dit ceci : l'indépendance par tranche. D'abord la Kabylie, et croyez moi, retirer les combattants kabyles, ça aurait fait un sacré trou d'air.

 

L'occasion était trop bonne de se débarrasser d'un ensemble désespérant et ruineux pour le mettre en oeuvre.

 

Le fait kabyle, n'est pas un produit de la France, et il s'est encore plus renforcé avec la colonisation arabe.

 

S'ils avaient oublié d'emporter avec eux dans leurs bagages, la plus belle des religions, ils n'auraient tenu pas plus de 6 mois.

 

Notez que les kabyles sont en France depuis belle lurette, et vite bien intégrés. Dany Boom, Dalil Boubakeur et bien d'autres...

 

Ah bon Boubakeur est Kabyle ?

Et Dany Boom n'aurait-il pas une mère ch'ti ?

Et pourquoi ne pas parler de Montebourg ou de Nora Berra ?

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Une insulte aux Chouhada :Pour Ferhat M'henni président du MAK, la guerre d’indépendance est un «malentendu»

 

Il est des moments dans la vie d’un homme qui marquent son heure de gloire ou de déclin. Ferhat Mhenni a eu droit à ce deuxième sort réservé à ceux de qui l’histoire se détourne et continue son chemin.

 

L’initiateur et promoteur du projet d’«autonomie-indépendance» de la Kabylie, Ferhat Mhenni, a franchi, dans sa quête de crédibilisation de ce projet, le seuil de l’indélicatesse et de l’affront. Le chef du MAK a tenu des propos insultants vis-à-vis de la Kabylie et de la Guerre de libération nationale et ce, dans l’enceinte même de l’Assemblée nationale française, à l’invitation de son ami député et ex-ministre UMP, Eric Raoult. «De Sidi Ferruch en juillet 1830 à la bataille d’Icharridène le 24 juin 1857, de l’insurrection de 1871 à celle du 1er novembre 1954, de l’émigration kabyle en France tout au long du XXe siècle, dont notamment les douloureux évènements à Paris du 17 Octobre 1961, au flux massif des sans-papiers kabyles issus de la révolte populaire du Printemps noir en 2001, la France et la Kabylie ont été marquées par un malentendu qu’il est enfin temps de dépasser», a dit Ferhat Mhenni lors d’une rencontre organisée à l’Assemblée française à l’occasion de la célébration de Yennayer, le nouvel an berbère célébré pourtant par toute l’Algérie et tous les Amazighs. Ainsi, pour Ferhat Mhenni, la colonisation française et le combat pour l’indépendance nationale, qui a coûté la vie à plus d’un million d’Algériens, n’ont été qu’«un malentendu» qui «n’a jamais été traité pour des raisons géopolitiques».

 

L’Assemblée française, qui avait décrété les effets «positifs» de la colonisation, n’a pas été jusqu’à traiter la guerre d’Algérie de «malentendu», mais M. Mhenni, en cette veille de célébration du cinquantième anniversaire de l’indépendance, offre sur le plateau de la soumission et de la servilité le sacrifice d’un peuple. «La Kabylie n’ayant pas récupéré sa souveraineté à l’indépendance de l’Algérie, en 1962, par formalisme bureaucratique et protocolaire, son dossier a été transféré à l’Etat algérien qui en use et abuse pour éviter de refermer les plaies du passé qui compromettent la construction d’un avenir de solidarité entre nos deux peuples», a-t-il encore dit sur le ton de la provocation envers cette région qui s’est pourtant vaillamment battue contre la colonisation française et a chèrement payé le prix de sa lutte pour la libération de l’Algérie. Cet aventurier de la politique ira jusqu’à dire que «la Kabylie n’a jamais combattu un peuple ou un pays».

 

Il est pourtant loin d’ignorer que c’est un pays, qui est la France, qui a colonisé son pays, l’Algérie, qui s’en est sorti qu’au prix d’un million et demi de martyrs. Ces derniers ne se sont jamais sentis français ni n’ont voulu le devenir, au grand dam de ce séparatiste qui semble trouver en France soutien et promotion. Ferhat Mhenni, qui est à la politique ce que le feu est à la bouteille de gaz, empilera ses arguments dangereusement sécessionnistes pour cracher sur la fierté de la Kabylie révolutionnaire en disant : «Ce qui oppose aujourd’hui le pouvoir algérien à la Kabylie est bien plus lourd que le malentendu qui a pu exister hier entre la Kabylie et la France jusqu’en 1962.» Un raccourci qui tend à excuser 132 années de statut d’indigénat, de politique de la terre brûlée, de martyre et de souffrances subis par tout un peuple du fait de l’invasion française.

 

Ce «malentendu» dont parle M. Ferhat est pourtant symbolisé par tous ces monuments aux Martyrs que chaque village kabyle expose tel l’emblème d’un combat noble et glorieux, qu’il veut réduire et rendre invisibles au regard de ses hôtes qui n’oseront pas en faire autant.

Est-ce ainsi que M. Ferhat veut rendre justice à la Kabylie qui a souffert et continue de souffrir, au même titre que toute l’Algérie, du poids oppressant d’une dictature qui nourrit les divisions tout comme l’avait fait, avant elle, le colonialisme français ? Enlever la Kabylie du sein de l’Algérie pour l’arrimer à la France n’est sûrement pas rendre justice à ce bastion de la résistance qui ne cessera jamais de revendiquer son algérianité, malgré les tentatives de division instrumentalisées par le pouvoir ou par des nostalgiques de «l’Algérie française» d’ici ou d’ailleurs.

 

Nadjia Bouaricha Elwatan/ 19/01/2012

 

Que puisse dire, je n'arrive pas a comprendre, j'ai la tête qui tourne,

en lisant ce topic, je revois les histoires et tout ce que nous on raconter nos grand pères et nos grand mère sur la guerre,

c'est malheureux,

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ferhat mhenni n'est que le porte parole chargé de dire tout haut, le représentant d'une secte, d'un courant socio-politique, d'une mouvance haineuse raciste, une peste qui afflige notre pays. je dis bien une secte, une mouvance, je ne généralise pas, mais pas une communauté, 7acha, 7acha li ma yestehalhache. pourquoi lui en vouloir à lui tous seul, alors que des partisans convaincus et engagés de son mouvement s'expriment librement ici.

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nous ne pouvons refaire l'Histoire.

 

les Français , collaborateurs des Allemands, en 1962 avaient à leut tête, un vieux général parano et gâteux. Sous la houlette du stokhomisé, celui qui vouait une grande admiration pour les Allemands qui durant la première guerre l'avait fait prisonnier et auquel ils ont infligé une triha pendant la seconde, les gaulois avaient décidé de brader le fleuron de leur colonie. Portes ouvertes aux envahisseurs des frontières et que le FLN de l'intérieur soit massacré !

.......................................................................................................

pour le Dany, qu'à la couleur de ses yeux, c'est un boom français. Et depuis que devant Dieu il a rejoint nos cousins, il est devenu génial *

 

* méta phore ? euphorique après leben du matin ?

 

Que le FLN de l'étranger est raflé la mise, ça, c'est certain. Juste pour dire que la France n'a pas miné le Bled avant de s'en aller; je parle politiquement.

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Je ne vais pas m'immiscer dans les affaires du Bled, mais ce que dit Ferhat M'henni, c'est ce que m'ont dit les bidasses français envoyés en Kabylie.

 

Si la France avait voulu mettre le pastis, elle aurait dit ceci : l'indépendance par tranche. D'abord la Kabylie, et croyez moi, retirer les combattants kabyles, ça aurait fait un sacré trou d'air.

 

L'occasion était trop bonne de se débarrasser d'un ensemble désespérant et ruineux pour le mettre en oeuvre.

 

Le fait kabyle, n'est pas un produit de la France, et il s'est encore plus renforcé avec la colonisation arabe.

 

S'ils avaient oublié d'emporter avec eux dans leurs bagages, la plus belle des religions, ils n'auraient tenu pas plus de 6 mois.

 

Notez que les kabyles sont en France depuis belle lurette, et vite bien intégrés. Dany Boom, Dalil Boubakeur et bien d'autres...

 

Dalil Boubakeur??????????

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Mr Mehenni aurait mieux fait de se taire.

 

Une remarque: avez vous qui l'a remarqué qui l'a invité? Mr Eric RAOULT, un pro-israélien notoire. Tout ce qui peut diviser le peuple algérien l'intéresse afin d'arriver à ce but: diviser les Etats arabes en une multitudes de bantoustans incapables de résister à Israël.

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Mr Mehenni aurait mieux fait de se taire.

 

Une remarque: avez vous qui l'a remarqué qui l'a invité? Mr Eric RAOULT, un pro-israélien notoire. Tout ce qui peut diviser le peuple algérien l'intéresse afin d'arriver à ce but: diviser les Etats arabes en une multitudes de bantoustans incapables de résister à Israël.

 

pas besoin de se taire,quand t'on sait ça.

 

 

RELEVÉ SUR LE SITE ALGÉRIEN ARABE ANTI-FLN

 

La Voix Des Opprimés | L'information a ses sources

 

QUI SE BAT CONTRE LA CORRUPTION DE LEURS GÉNÉRAUX FLN

 

Nous trouvons dans ce Site la liste des « barbouzes Français » actuellement en place en Algérie.

 

Ce qui laisse supposer que :

 

DE GAULLE - ALLIÉ AUX ASSASSINS DU FLN - S’EST ARRANGÉ POUR FOUTRE DEHORS PLUS D’UN MILLION DE FRANCAIS-D’ALGÉRIE QUI LE GÉNAIENT POUR EXPLOITER L’ALGÉRIE ET L’AFRIQUE A SON PROFIT ET CELUI DE CES ACOLYTES TELS LES FOCCART - PASQUA ET TOUTE LA BANDE A CHARLOT.

 

Suivez le guide :

 

-Christian Le Breton: né le 17 Avril 1955 à Grenoble. Grade commandant. Service d’affectation: le RAID. Il est en Algérie pour assister le général Fodil Chérif( bras droit du chef de l'ANP), l’un des officiers les plus importants en Algérie. Son ordre de mission porte le numéro:38ALFSMD99 et sa couverture officielle est: responsable commercial dans une entreprise de forage Franco-Italienne.

http://www.algerie-francaise.org/plainte/preuve2.shtml

 

-Alain Robert Cholet: né le 25 janvier 1958 à Metz. Grade capitaine. Il est chargé d’entraîner les forces spéciales à Alger, surnommé par les ninjas "E’rrouji": le rouquin. Il a été l’adjoint du commandant Favier ( du GIGN) lors de l’assaut contre l’airbus d’Air France à l’aéroport de Marseille. (Coincidence : Pasqua ministre de l’interieur)

 

-Jean Michel Pourtnes: né le 31 décembre 1951 a Paris. Grade capitaine des services de communication et de transmission, spécialiste des techniques d’écoutes auprès des services secrets.

 

-Armand Pierre Lafarge: commandant du 42eme RT Français (Régiment de Transmission). Il fournit les transmissions et les écoutes avec les moyens les plus modernes et les plus performants (RITA et système satellite); trois (03) de ses hommes conduisent des voitures (camionnettes) bourrées d’appareils électroniques ( pour la détection électronique sur le grand Alger) et sous couverture de fonctionnaires de la RTA ( Radio et Télévision Algérienne). Il est à noter que cela est fait en étroite collaboration avec le sous-marin d'écoute Français stationné au large des cotes Algériennes.

Algerie Francaise - Recherche de la verite

 

-Pascal Chotte: né en 1960. Grade capitaine. Il est affecté auprès du général Smain Lamari. C’est un officier de la DGSE et son influence dépasse de très loin son grade.

 

-Daniel Cariben: né en 1966. Grade sergent chef. Il a fait partie de la première division blindée de Baden-Baden, la plus puissante division de l’Armée Française.

 

-Marcel Lehman Jean : né en 1960. Grade sergent. Même corps d'origine.

les noms qui vont suivre sont plus secrets que le secret; ce sont des professionnels qui jouent à la guerre en échange de parts de marché dans les puits de pétrole, armements, minerai de diamant et autres ressources importantes.

 

-Damink Emmanuel: Grade commandant sans affectation. C'est un des officiers les plus secrets, en mission auprès du général Mohamed Mediene dit Toufik,(il rentre dans son bureau sans même frapper a la porte).

 

-Stefan Desmond: Grade capitaine, Sud Africain et ami personnel du général Sadek Kitouni (notre ambassadeur en Afrique du sud). Il est en mission auprès des services opérationnels de la DCSA en l’occurrence le colonel Bachir Tertague Alias colonel Atman, un spécialiste de la torture.

 

-Barsony Uri: Grade commandant, un ancien de l’armée de l’apartheid, ami intime du général Fodil Cherif qui lui a attribue une solde de $45000 (Dollars Américains), un ordre signé par le secrétaire général du ministère de la défense Nationale (le général Mohamed Ghenim ) date du 15 décembre 1997 pour les versements sur le compte ouvert au nom d’une femme (Mlle Francolini) au Canada à la CIBC, 1155; boul.rene-Levesque. Ouest Montréal. Quebec. H3B 3Z4 tel: (00 1 514 876 3490).

 

-Taylor Peter: grade colonel de la CIA à la retraite, ancien chef de l’antenne de la CIA en Europe et ami personnel du général Smaïn Lamari. Il est l’artisan du changement de la politique des USA vis-à-vis d’Alger. Il a touché une commission inimaginable après le contrat d’armement signé avec l’Afrique du sud. Il suit le général Mohamed Lamari comme son ombre, même à l’étranger. Il ne rate jamais une commission après chaque marché conclu.

 

-Coblence Michael: Grade commandant, age de 48 ans, de nationalité Américaine. Il accède au MDN par la grande porte et s'y déplace comme s’il était chez lui. Il s’occupe du service informatique de l’armée (SCIA) et a carte blanche dans tout ce qu'il entreprend. Sa couverture est conseiller auprès du directeur général de la Sonatrach. Il a reçu une prime d’un (01) million de dollars en janvier 1998.

 

---==oOo==---

 

Nous tenons a dire que cela n’est que la partie apparente de l’iceberg, ce qui viendra plus tard est encore plus incroyable.

 

Des frères à nous ont payé le prix fort pour que ces informations voient le jour, notre seul but réside dans notre souhait d'une prise de conscience par nos collègues militaires et par le peuple Algérien, des réalités que cachent les généraux.

 

PS: Notre haine des généraux provient de notre amour pour l'Algérie et pour le peuple Algérien.

 

FIN DE CITATION

 

---==oOo==---

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[QUOTE=samy89;2420307]pas besoin de se taire,quand t'on sait ça.

 

 

RELEVÉ SUR LE SITE ALGÉRIEN ARABE ANTI-FLN

 

La Voix Des Opprimés | L'information a ses sources

 

QUI SE BAT CONTRE LA CORRUPTION DE LEURS GÉNÉRAUX FLN

 

Nous trouvons dans ce Site la liste des « barbouzes Français » actuellement en place en Algérie.

 

Ce qui laisse supposer que :

 

DE GAULLE - ALLIÉ AUX ASSASSINS DU FLN - S’EST ARRANGÉ POUR FOUTRE DEHORS PLUS D’UN MILLION DE FRANCAIS-D’ALGÉRIE QUI LE GÉNAIENT POUR EXPLOITER L’ALGÉRIE ET L’AFRIQUE A SON PROFIT ET CELUI DE CES ACOLYTES TELS LES FOCCART - PASQUA ET TOUTE LA BANDE A CHARLOT.

 

Suivez le guide :

 

-Christian Le Breton: né le 17 Avril 1955 à Grenoble. Grade commandant. Service d’affectation: le RAID. Il est en Algérie pour assister le général Fodil Chérif( bras droit du chef de l'ANP), l’un des officiers les plus importants en Algérie. Son ordre de mission porte le numéro:38ALFSMD99 et sa couverture officielle est: responsable commercial dans une entreprise de forage Franco-Italienne.

http://www.algerie-francaise.org/plainte/preuve2.shtml

 

-Alain Robert Cholet: né le 25 janvier 1958 à Metz. Grade capitaine. Il est chargé d’entraîner les forces spéciales à Alger, surnommé par les ninjas "E’rrouji": le rouquin. Il a été l’adjoint du commandant Favier ( du GIGN) lors de l’assaut contre l’airbus d’Air France à l’aéroport de Marseille. (Coincidence : Pasqua ministre de l’interieur)

 

-Jean Michel Pourtnes: né le 31 décembre 1951 a Paris. Grade capitaine des services de communication et de transmission, spécialiste des techniques d’écoutes auprès des services secrets.

 

-Armand Pierre Lafarge: commandant du 42eme RT Français (Régiment de Transmission). Il fournit les transmissions et les écoutes avec les moyens les plus modernes et les plus performants (RITA et système satellite); trois (03) de ses hommes conduisent des voitures (camionnettes) bourrées d’appareils électroniques ( pour la détection électronique sur le grand Alger) et sous couverture de fonctionnaires de la RTA ( Radio et Télévision Algérienne). Il est à noter que cela est fait en étroite collaboration avec le sous-marin d'écoute Français stationné au large des cotes Algériennes.

Algerie Francaise - Recherche de la verite

 

-Pascal Chotte: né en 1960. Grade capitaine. Il est affecté auprès du général Smain Lamari. C’est un officier de la DGSE et son influence dépasse de très loin son grade.

 

-Daniel Cariben: né en 1966. Grade sergent chef. Il a fait partie de la première division blindée de Baden-Baden, la plus puissante division de l’Armée Française.

 

-Marcel Lehman Jean : né en 1960. Grade sergent. Même corps d'origine.

les noms qui vont suivre sont plus secrets que le secret; ce sont des professionnels qui jouent à la guerre en échange de parts de marché dans les puits de pétrole, armements, minerai de diamant et autres ressources importantes.

 

-Damink Emmanuel: Grade commandant sans affectation. C'est un des officiers les plus secrets, en mission auprès du général Mohamed Mediene dit Toufik,(il rentre dans son bureau sans même frapper a la porte).

 

-Stefan Desmond: Grade capitaine, Sud Africain et ami personnel du général Sadek Kitouni (notre ambassadeur en Afrique du sud). Il est en mission auprès des services opérationnels de la DCSA en l’occurrence le colonel Bachir Tertague Alias colonel Atman, un spécialiste de la torture.

 

-Barsony Uri: Grade commandant, un ancien de l’armée de l’apartheid, ami intime du général Fodil Cherif qui lui a attribue une solde de $45000 (Dollars Américains), un ordre signé par le secrétaire général du ministère de la défense Nationale (le général Mohamed Ghenim ) date du 15 décembre 1997 pour les versements sur le compte ouvert au nom d’une femme (Mlle Francolini) au Canada à la CIBC, 1155; boul.rene-Levesque. Ouest Montréal. Quebec. H3B 3Z4 tel: (00 1 514 876 3490).

 

-Taylor Peter: grade colonel de la CIA à la retraite, ancien chef de l’antenne de la CIA en Europe et ami personnel du général Smaïn Lamari. Il est l’artisan du changement de la politique des USA vis-à-vis d’Alger. Il a touché une commission inimaginable après le contrat d’armement signé avec l’Afrique du sud. Il suit le général Mohamed Lamari comme son ombre, même à l’étranger. Il ne rate jamais une commission après chaque marché conclu.

 

-Coblence Michael: Grade commandant, age de 48 ans, de nationalité Américaine. Il accède au MDN par la grande porte et s'y déplace comme s’il était chez lui. Il s’occupe du service informatique de l’armée (SCIA) et a carte blanche dans tout ce qu'il entreprend. Sa couverture est conseiller auprès du directeur général de la Sonatrach. Il a reçu une prime d’un (01) million de dollars en janvier 1998.

 

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Nous tenons a dire que cela n’est que la partie apparente de l’iceberg, ce qui viendra plus tard est encore plus incroyable.

 

Des frères à nous ont payé le prix fort pour que ces informations voient le jour, notre seul but réside dans notre souhait d'une prise de conscience par nos collègues militaires et par le peuple Algérien, des réalités que cachent les généraux.

 

PS: Notre haine des généraux provient de notre amour pour l'Algérie et pour le peuple Algérien.

 

FIN DE CITATION

 

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faut pas être des services secrets pour se protéger de ce beau monde

 

tous des étrangers travaillant ouvertement pour les généraux...

 

au Ministère de la santé, c'était pareil, les Ministres de la Santé ne servaient qu'à avaliser les décisions des médecins fransaoui légués par FAFA au même titre que ses DAF

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Guest faridurar2

Si la France avait voulu mettre le pastis, elle aurait dit ceci : l'indépendance par tranche. D'abord la Kabylie, et croyez moi, retirer les combattants kabyles, ça aurait fait un sacré trou d'air.

 

 

L'indépendance de la Kabylie a bel et bien été proposée par De Gaulle dans sa "paix des braves",mais la Kabylie a refusé.

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Je ne vais pas m'immiscer dans les affaires du Bled, mais ce que dit Ferhat M'henni, c'est ce que m'ont dit les bidasses français envoyés en Kabylie.

 

Si la France avait voulu mettre le pastis, elle aurait dit ceci : l'indépendance par tranche. D'abord la Kabylie, et croyez moi, retirer les combattants kabyles, ça aurait fait un sacré trou d'air.

 

L'occasion était trop bonne de se débarrasser d'un ensemble désespérant et ruineux pour le mettre en oeuvre.

 

Le fait kabyle, n'est pas un produit de la France, et il s'est encore plus renforcé avec la colonisation arabe.

 

S'ils avaient oublié d'emporter avec eux dans leurs bagages, la plus belle des religions, ils n'auraient tenu pas plus de 6 mois.

 

Notez que les kabyles sont en France depuis belle lurette, et vite bien intégrés. Dany Boom, Dalil Boubakeur et bien d'autres...

 

joan ... avec des "si" on mettrait Paris en bouteille ...

j'ai lu quelque part que de Gaulle ne voulait pas que Colombey-les-deux-églises devienne Colombey-les-deux-mosquées ...

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