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classement internationaux de l'algérie


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Pays ayant son poids politique issu du capital ‘’sentimental’’ ou symbolique de la guerre de Libération et du capital réel que représentent ses hydrocarbures, l’Algérie s’offre, depuis la disparition de la bipolarité Est-Ouest et depuis aussi l’adoption du libéralisme économique comme système quasi messianique, à toutes sortes d’appréciations, d’évaluations et de classifications venant de tierces parties, généralement des organismes financiers internationaux ou des ONG activant dans le domaines des droits de l’Homme. Naguère, les seuls ‘’signaux’’ auxquels nos gouvernements et autres responsables étaient ‘’hypersensibles’’ étaient ceux émis par les chancelleries étrangères au sujet de la situation sécuritaire en Algérie et les notations des organismes d’assurance des pays occidentaux (à l’exemple de la COFACE française) sur le risque-pays destiné àclassement.jpg couvrir les investisseurs qui engagent des contrats en Algérie. Tout en demeurant toujours en vigueur, ces deux tableaux d’analyse que les pays partenaires de l’Algérie et certaines ONG établissent pour notre pays ne sont plus les seuls. Ouverte au vent de la mondialisation, liée à l’Union européenne par un accord d’Association et candidate à l’OMC, l’Algérie se voit souvent intégrée dans les panels mis sur pied par des institutions internationales assurant des missions économiques, financières ou sociales. Ainsi, le PNUD a classé l’Algérie, à la fin 2006, à la 102e place en matière d’indice de développement humain (IDH), indices qui réservent une place privilégiée à la santé, l’espérance de vie et l’éducation des populations.

 

suite: Algérie-politique » Classement de l'Algérie

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2005 L’année des tabous brisés

 

Avant

 

L'intimité de la famille royale était jalousement préservée, la police était un corps opaque et effrayant, il n'était pas question d'inquiéter les anciens tortionnaires, ni d'admettre qu'il y a avait des partisans de l'indépendance dans “notre” Sahara et encore moins de reconnaître l'existence (et les ravages) du tourisme sexuel au Maroc...

 

En 2005

 

Tous ces tabous (et bien d'autres) ont volé en éclats.

La presse a osé, les militants se sont déchaînés, des dissidents nouveaux (et des causes nouvelles) sont apparus au grand jour, bravant la censure et les tabous… Pour faire face à cette nouvelle vague de contestation, le pouvoir a alterné répression et nouvelles voies de dialogue, proposant même, parfois, des solutions chiffrées et datées.

 

Et maintenant ?

 

Irons-nous plus loin ? La société aura-t-elle les moyens de creuser davantage le sillon de la liberté ? L'Etat aura-t-il peur que ça dégénère ? 2006 sera-t-elle l'année de la maturation ou de la régression ?

C'est la question que tout le monde se pose.

Des spécialistes nous aident à y répondre.

 

Source: TelQuel : Le Maroc tel qu'il est

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