nightwinde 10 Posted January 30, 2012 Partager Posted January 30, 2012 un texte qui représente ma vision du cœur a mon ame soeur peux t'étre elle va me lire : ============================= L’amour et le savoir de la raison sont deux notions qui s’opposent. L’amour est une magie, quelque chose d’incongru qui surgit dans l’existence et qui est de l’ordre de l’insu, de l’inconscient. Il n’a donc rien à voir avec la raison. Mais cette éruption bouleverse tellement les personnes concernés que celui-ci essaye de rétablir de la logique, du sens, afin d’être sûr qu’il n’est pas fou. Quand on aime, on passe son temps à interroger l’autre pour déchiffrer la place que l’on occupe en lui. Et cette façon que l’on a de réclamer à l’autre des signes de son amour prouve que l’on aime. il n’y a, en réalité, ni amour ni preuves d’amour ; il n’y a que des demandes de preuves d’amour. C’est lorsque nous ne pouvons plus vivre sans réclamer à l’autre des signes de son amour que nous savons, à coup sûr, que nous aimons. Et puis il y a le corps. Un corps impatient, un corps qui attend l’aimé, qui réclame sa voix, son regard, sa présence. Pour moi même elle est là, la preuve : « Quand j’aime, l’autre me manque. Que je sois au travail, au cinéma ou en train de discuter avec un ou une amie, famille, client, l’aimé me revient par bouffées dans la tête, et je ressens son absence. C’est une tension qui ne se relâche que lorsqu’elle apparaît. » On c’est qu’ont n’aime quand le monde acquiert une sorte d’éclat, de relief suraigu beaucoup plus captivant que dans les autres moments de la vie. Par exemple, pour moi qui aime, mes hobbies, me promener aux claire de lune, il y a dans ces moments-là une sorte de rehaussement de tout ce que je vois, non pas parce que j’irais ensuite raconter à la personne aimée ma promenade, mais par le simple fait que cette personne existe. Cela me met sexuellement, intellectuellement, émotionnellement dans un état où tout est plus intense. » Plus que la raison, ce serait donc notre corps qui nous renseignerait sur le sentiment d’amour, par la façon dont l’aimé l’habite même lorsqu’il ou elle est absent « e », et par la manière particulière que nous avons, en sa présence, d’être réceptifs à ses gestes, ses attitudes, ses expressions, son odeur, son grain de peau. Aimer, c’est rechercher l’autre, puisque lui ou elle seul nous permet de nous sentir complet. « Ce que l’on recherche dans l’amour, c’est quelque chose qui nous manque sans que l’on sache ce qui nous manque, sa seule présence, a ce don de nous apporter une plénitude qui nous rend léger, transporté, aérien. Le destin de l’être humain est de vivre dans un manque existentiel impossible à combler tout du moins ce n’est pas une vérité absolue, et pourtant une chose qui coupe cette faim qu’ante c’est notre âme sœur est notre destin. Raison pour laquelle Lacan disait : “Aimer, c’est donner ce que l’on n’a pas. A quoi sait-on que l’on aime ? Peut-être vaut-il mieux, justement, ne pas le savoir, comme nous l’enseigne le mythe de Psyché. Cette héroïne de la mythologie grecque partage avec le dieu Eros des nuits enflammées. La seule condition que pose celui-ci à leur amour est que la jeune femme ne cherchera jamais à le voir. « S’il ne veut pas se montrer c’est probablement parce que c’est un monstre », soufflent à son oreille les sœurs de Psyché. Aussi, une nuit où il s’est endormi, Psyché se lève, va quérir une lampe et éclaire Eros. Le dieu de l’amour se révèle alors si beau que la jeune femme en tremble et qu’une goutte d’huile brûlante tombe sur le corps de son amant, qui se réveille et s’enfuit. Psyché paye donc la connaissance acquise par la disparition de l’amour, ce leurre délicieux qu’il faut se garder de trop interroger car, à vouloir le maîtriser par la pensée, on risque de le voir s’envoler. Qu’est-ce que l’amour ? C’est cette chose surgie d’on ne sait où, qui vient représenter on ne sait quoi, un presque rien qui peut, pourtant, faire basculer notre vie. « Certaines personnes perdent régulièrement leurs clefs, d’autres se foulent la cheville ou le poignet, d’autres encore ont des accidents de voiture à répétition sans pour autant interroger la nature de ces actes, reprend Alain Guy. Eh bien, l’amour est un peu l’équivalent d’un acte manqué, au sens où on peut le vivre cinq ans, dix ans ou toute une vie sans jamais l’interroger. » Françoise Dolto, à qui Willy Barral (In Françoise Dolto : c’est la parole qui fait vivre de Willy Barral, Gallimard, 1999) demandait pourquoi les époux – même passionnément amoureux – voyaient souvent leur désir sexuel s’amenuiser au fil des années, donnait cette superbe réponse : « C’est tout simplement qu’ils font trop souvent l’amour, mais sans s’en rendre compte, la nuit, quand ils dorment ensemble. […] On ne communique jamais autant que la nuit à travers nos inconscients qui se libèrent. » Milan Kundera ne dit pas autre chose lorsqu’il parle, dans L’Insoutenable Légèreté de l’être (Gallimard, 1989), du bonheur que représente le sommeil à deux : « L’amour ne se manifeste pas par le désir de faire l’amour (ce désir s’applique à une multitude de femmes), mais par le désir du sommeil partagé (ce désir-là ne concerne qu’une seule femme). » Raphaël Delpard : "La Minute où l’on tombe amoureux" La minute où l’on tombe amoureux est frappée au coin du mystère. L’essayiste Raphaël Delpard a eu la bonne idée de raconter ces instants « où s’allume l’étincelle qui embrase cœur et raison » (1). Pour cette exploration, il a mêlé témoignages et fictions. Nicole entre dans un amphithéâtre bondé et aperçoit un jeune homme au milieu de la foule. Une voix dans sa tête martèle : « C’est lui ! C’est lui ! » Deux ans après, elle l’épouse. Dans un restaurant de Brazzaville, Kim se dit, en découvrant son voisin de table : « Tiens, c’est le genre d’homme qui me plairait ! » Dans l’avion qui la ramène en France, elle se retrouve assise à côté de lui. Ils tombent amoureux. Des histoires fascinantes, car toutes, ou presque, sont à la frontière de l’irrationnel. (Valérie Colin-Simard) ====================================================== Les liens humain est les émotions qu’il génère leur poids vie a vie du cœur dans notre vie, l’amitié l’amour les lien familiaux leur nature, ce besoin qu’on a de les éprouvé ou de les chercher cette chose qu’on ne peut trouver en soit , je dis bien cette chose ,une seul qui peux être définie de plusieurs manière mais qu’ont na oublier de nommé , les liens qu’ont peux créer qu’il soit a jamais durable que seul la mort peux briser est les passager bien sûr, mais je me pose des questions sur cela en contemplateur, prendre conscience du poids de sa propre existence des impacte collatéral qu’ont génère sur les personne qu’ont touche de par notre existence est des chose qu’ont fait est leur impact sur notre environnement la plus par du temps je me rend compte que la nature des chose est des lien humain est baser sur la principe de l’équivalence s’ajoute à cela Les différente vision qui caractérise chaque personne selon les influence qu’il ont reçu dans leur vie est de leur propre développement personnel , une personne peux adopté une vision dite rationnel ou sensitive , emphatique , pensive , contemplative , éponge toute ses personnalité s’ajoute cela la psychologie des personne à leur sensibilité par rapport a ce qui les entoure les introvertie est les extravertie Dans toute cela ce créé une chose l’hermétisme, ne plus pouvoir comprendre les autre , est le besoin émotionnel , mise a par cas ou des personne font abstraction de cela est troc leur cœur par des hobbies ou une vision rationnel ou qui ont pu développer une vision claire voyante des chose à condition de trouvé des personne réceptive a cela bien sûr ou la personne bien sûr c’est un sujet qui demande moult développement car les chose de l’esprit sont très profonde est sent fond , mais ce qui m’amène a écrire ce texte qui n’est qu’une ébauche de ma réflexion c’est mon questionnent a propos des lien humain est de l’amour qui est le principale dilemme de toute personne , donné est avoir , comprendre est être compris , trouvé une vérité aux milieux des mensonge , les lien qu’ont peux créer ne sont pas sensé être complémentaire a notre existence est à notre esprit ? Mais qu’ante l’individualisme prime ou est le bien fait pour nous est autrui ? Même en amour ! Je me prends à me regarder moi-même, mon entourage, est tout ce qui nous entoure ont n’est comme des esprits affamé chacun de nous de quelque chose en veux toujours emplir notre vie de quelque chose d’un but ? , d’un amour ?, tout dépend de ce qui habite le porteur de cette faim est puis Ya les autre qui devienne des névroses humaine sent ce rendre compte est devienne éponge , dans toute cela ce créé une solitude du cœur, les personne en général s’aveugle avec des détaille sent importance, ce fatigue l’esprit avec des choses superficiel même en amour alors que l’essentielle est ce qui a été créé, ce qui unie le temps est la vie sont comme des ennemie silencieux qui nous fatigue a petit feux mais le plus importent n’est pas ce qui est en nous ? Est notre vision ? Mais tout cela est penser noyer dans d’autre pour le moment j’ai laissé échapper l’une d’elle qui a pris forme d’un texte nous somme des créateur d’émotion de bonheur nous l’avons oublié car la bête qu’ont na créé c’est retourné contre nous non pas car nous somme devenu indigne d’elle mais car nous somme devenu amnésique. Citer Link to post Share on other sites
satange 10 Posted February 6, 2012 Partager Posted February 6, 2012 Salutation bonhomme !! Euh....a vrai dire j'aime pas trop les topics a O réponse ...alors je fais un p'tit UP ...au cas ou celle qui t'aimera passera par ici !! Ceci dit ... je pense que la prochaine fois quand tu laisseras échapper l'une de tes autres idées ... essais de la résumer un peu ... car trop de texte ça engendre beaucoup de choses ... qui pourront faire fuir celle qui va t'aimer ... Bon allez ...bOOne chasse ...euh...chance pardon !!^_^)' Citer Link to post Share on other sites
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