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Tunisie – Le sexe hors mariage, désormais « halal » grâce au mariage « coutumier »


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Tunisie – Le sexe hors mariage, désormais « halal » grâce au mariage « coutumier »

 

 

Par Synda Tajine | le 30 janvier 2012

 

Le plus aberrant dans cette pratique qui veut donner un cadre religieux aux relations sexuelles hors mariage, est l’absence, dans la plupart des cas, de légitimité religieuse. En effet, deux conditions sine qua non de la « religiosité » de l’acte se retrouvent généralement non satisfaites, avec des contrats à la fois secrets et temporaires.

 

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Entre principes religieux, pulsions sexuelles, conflits familiaux et contraintes financières, le mariage coutumier (ourfi) semble être un raccourci au contrat traditionnel de mariage auquel de plus en plus de jeunes succombent aujourd’hui.

 

De plus en plus répandu dans les milieux jeunes tunisiens, le mariage coutumier est un contrat signé dans le secret, par les deux « époux », avec la présence de deux témoins (généralement des amis proches et mis dans la confidence) et en l’absence de notaire. Il s’agit d’un acte, sans aucune valeur juridique et le plus souvent même secret, qui ne lie les deux parties par aucun engagement de droits communs et dont la validité peut être rompue à tout moment.

 

Les deux « époux » peuvent donc en toute « liberté de conscience » avoir des relations sexuelles, sans pour autant s’engager financièrement ou être contraints de vivre ensemble. Un raccourci attrayant qui séduit de plus en plus de jeunes, aujourd’hui en Tunisie, dans certains quartiers défavorisés de la capitale (Attadhamon, Mellassine, etc.) et qui s’étend petit à petit à d’autres villes tunisiennes.

 

Le plus aberrant dans cette pratique qui veut donner un cadre religieux aux relations sexuelles hors mariage, est l’absence, dans la plupart des cas, de légitimité religieuse. En effet, deux conditions sine qua non de la « religiosité » de l’acte se retrouvent généralement non satisfaites, avec des contrats à la fois secrets et temporaires.

 

Grâce à la montée du salafisme et de l’intégrisme et d’un gouvernement islamiste instaurant un cadre où les réunions et les débats sur la religion et la chariâ ne sont plus tabous et interdits, il n’est aujourd’hui plus « concevable de s’adonner à des pratiques contraires à la religion ». C’est ce que déclarent en tout cas certaines jeunes pratiquantes du mariage coutumier.

 

Un reportage de France 24 s’est penché sur le sujet à travers une enquête sur le terrain auprès de jeunes étudiants et étudiantes de la faculté des Lettres et des Humanités de la Manouba. Une université connue pour être un haut lieu du salafisme dans le milieu estudiantin en Tunisie.

 

Selon certaines étudiantes, musulmanes, pratiquantes et portant le voile, le mariage coutumier serait une solution religieusement « halal » afin de légaliser les relations sexuelles avec un petit ami qu’on ne peut actuellement pas épouser. Ne pouvant plus contenir leurs pulsions sexuelles, ces étudiantes, encouragées par les conseils de certains « frères salafistes », succombent à cette solution afin d’avoir la conscience tranquille et d’éviter ainsi de se « rouler dans la fange » et de s’adonner au péché suprême avec un homme qui ne leur est pas « halal ».

 

Une solution socialement acceptée, étant de plus en plus courante en Tunisie et dont les adeptes revendiquent un cadre légal et une inscription au code du statut personnel.

 

Si les étudiantes recourent à cette pratique afin d’avoir la conscience tranquille d’une vie sexuelle « légale » et sans compromis, elle représente pour les jeunes étudiants la possibilité d’avoir les avantages du mariage sans pour autant en supporter la charge financière, généralement très lourde.

Dalenda Lagrèche, historienne et directrice du centre d’études, de recherches et d’informations de Tunis, se prononce sur ce phénomène, qui aurait disparu dans les années 70 et dont la montée actuelle du salafisme a contribué à sa résurrection.

 

Un phénomène qui se nourrit des conditions sociales difficiles de la jeunesse tunisienne, pauvre et mal instruite. Une pratique interdite par le Code du statut personnel et qu’elle définit comme étant « un cadre restreint permettant d’avoir des relations sexuelles, sans culpabilité ». L’historienne voit dans le mariage coutumier une forme de soumission de la femme qui offre son corps à l’homme, en contre partie d’un engagement factice et temporaire, de surcroît.

 

Force est de reconnaître que cette pratique se nourrit aujourd’hui du climat d’instabilité et de libertés exacerbées et non contrôlées que connaît actuellement la Tunisie mais que rien ne permet de statuer sur son évolution future…

 

Synda TAJINE

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L'article sous entend que c'est l'aspect financier qui donnerait le tampon "halal" au mariage, et que faute de moyens les jeunes ont recours au contrat coutumier, c'est encore plus pathétique dans ce cas ...

En Mauritanie

.... on enregistre

.... les mariages devant

.... les portes des bordels

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Humm!

 

je m'demande comment ils font si par ... "malheur"_ dans ce cas là_ ils auront de gosses :o

 

Bizarre... c'est comme l'autre imam en Egypte qui déclare les voitures Chevrolet haram parce que leur logo ressemble vaguement à une croix...

 

Ils sont cons et ils font de nous également des ... cons redface2

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oui 'pour la forme de soumission des femmes

'parce que si finalement ces hommes ne les e'pousent 'pas, elles trouveront un mari " definitif" en n etant 'plus vierges?

 

Peut-être qu'ils ont pensé à une clause hymenoplastie ? :noexpression:

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franchement j'ai plus de peine pour eux qu'autre chose

 

ce n'est vraiment pas de leur faute, on a tellement diabolisé l'acte sexuel avant le mariage qu'aujourd'hui,au temps ou les femmes contrairement a l'an 600 peuvent s’assumer financièrement,.. les même principe sont de rigueurs

 

des femmes assistés et donc qui ne peuvent pas vivre sans un apport financier de leur marie. voilà comment on continu a les voir de nos jours

 

et donc faut gardé la marchandise intacte sinon elle ne sera pas vendu...

 

or aujourd’hui c'est tout le contraire, les femmes peuvent s’assumer, peuvent avoir un travail et le plus souvent plus facilement que les hommes, peuvent avoir un apparte ...et avoir leur indépendance .

 

mais si on vie selon les mêmes règles que le 6 éme siècle dans une époque ou la conjoncture est diamétralement opposé , on arrive a ce genre d'arrangement tiré par le cheveux dans le seul but d’espéré le minimum social.

 

c'est triste.

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franchement j'ai plus de peine pour eux qu'autre chose

 

ce n'est vraiment pas de leur faute, on a tellement diabolisé l'acte sexuel avant le mariage qu'aujourd'hui,au temps ou les femmes contrairement a l'an 600 peuvent s’assumer financièrement,.. les même principe sont de rigueurs

 

des femmes assistés et donc qui ne peuvent pas vivre sans un apport financier de leur marie. voilà comment on continu a les voir de nos jours

 

et donc faut gardé la marchandise intacte sinon elle ne sera pas vendu...

 

or aujourd’hui c'est tout le contraire, les femmes peuvent s’assumer, peuvent avoir un travail et le plus souvent plus facilement que les hommes, peuvent avoir un apparte ...et avoir leur indépendance .

 

mais si on vie selon les mêmes règles que le 6 éme siècle dans une époque ou la conjoncture est diamétralement opposé , on arrive a ce genre d'arrangement tiré par le cheveux dans le seul but d’espéré le minimum social.

 

c'est triste.

 

J'ajouterai seulement que ce sont ces fatwa qui donnent une mauvaise image et interprétation de l'Islam.

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Tunisie – Le sexe hors mariage, désormais « halal » grâce au mariage « coutumier »

 

 

Par Synda Tajine | le 30 janvier 2012

 

Le plus aberrant dans cette pratique qui veut donner un cadre religieux aux relations sexuelles hors mariage, est l’absence, dans la plupart des cas, de légitimité religieuse. En effet, deux conditions sine qua non de la « religiosité » de l’acte se retrouvent généralement non satisfaites, avec des contrats à la fois secrets et temporaires.

 

bn4955mariage-coutumier0112.jpg

 

Entre principes religieux, pulsions sexuelles, conflits familiaux et contraintes financières, le mariage coutumier (ourfi) semble être un raccourci au contrat traditionnel de mariage auquel de plus en plus de jeunes succombent aujourd’hui.

 

De plus en plus répandu dans les milieux jeunes tunisiens, le mariage coutumier est un contrat signé dans le secret, par les deux « époux », avec la présence de deux témoins (généralement des amis proches et mis dans la confidence) et en l’absence de notaire. Il s’agit d’un acte, sans aucune valeur juridique et le plus souvent même secret, qui ne lie les deux parties par aucun engagement de droits communs et dont la validité peut être rompue à tout moment.

 

Les deux « époux » peuvent donc en toute « liberté de conscience » avoir des relations sexuelles, sans pour autant s’engager financièrement ou être contraints de vivre ensemble. Un raccourci attrayant qui séduit de plus en plus de jeunes, aujourd’hui en Tunisie, dans certains quartiers défavorisés de la capitale (Attadhamon, Mellassine, etc.) et qui s’étend petit à petit à d’autres villes tunisiennes.

 

Le plus aberrant dans cette pratique qui veut donner un cadre religieux aux relations sexuelles hors mariage, est l’absence, dans la plupart des cas, de légitimité religieuse. En effet, deux conditions sine qua non de la « religiosité » de l’acte se retrouvent généralement non satisfaites, avec des contrats à la fois secrets et temporaires.

 

Grâce à la montée du salafisme et de l’intégrisme et d’un gouvernement islamiste instaurant un cadre où les réunions et les débats sur la religion et la chariâ ne sont plus tabous et interdits, il n’est aujourd’hui plus « concevable de s’adonner à des pratiques contraires à la religion ». C’est ce que déclarent en tout cas certaines jeunes pratiquantes du mariage coutumier.

 

Un reportage de France 24 s’est penché sur le sujet à travers une enquête sur le terrain auprès de jeunes étudiants et étudiantes de la faculté des Lettres et des Humanités de la Manouba. Une université connue pour être un haut lieu du salafisme dans le milieu estudiantin en Tunisie.

 

Selon certaines étudiantes, musulmanes, pratiquantes et portant le voile, le mariage coutumier serait une solution religieusement « halal » afin de légaliser les relations sexuelles avec un petit ami qu’on ne peut actuellement pas épouser. Ne pouvant plus contenir leurs pulsions sexuelles, ces étudiantes, encouragées par les conseils de certains « frères salafistes », succombent à cette solution afin d’avoir la conscience tranquille et d’éviter ainsi de se « rouler dans la fange » et de s’adonner au péché suprême avec un homme qui ne leur est pas « halal ».

 

Une solution socialement acceptée, étant de plus en plus courante en Tunisie et dont les adeptes revendiquent un cadre légal et une inscription au code du statut personnel.

 

Si les étudiantes recourent à cette pratique afin d’avoir la conscience tranquille d’une vie sexuelle « légale » et sans compromis, elle représente pour les jeunes étudiants la possibilité d’avoir les avantages du mariage sans pour autant en supporter la charge financière, généralement très lourde.

Dalenda Lagrèche, historienne et directrice du centre d’études, de recherches et d’informations de Tunis, se prononce sur ce phénomène, qui aurait disparu dans les années 70 et dont la montée actuelle du salafisme a contribué à sa résurrection.

 

Un phénomène qui se nourrit des conditions sociales difficiles de la jeunesse tunisienne, pauvre et mal instruite. Une pratique interdite par le Code du statut personnel et qu’elle définit comme étant « un cadre restreint permettant d’avoir des relations sexuelles, sans culpabilité ». L’historienne voit dans le mariage coutumier une forme de soumission de la femme qui offre son corps à l’homme, en contre partie d’un engagement factice et temporaire, de surcroît.

 

Force est de reconnaître que cette pratique se nourrit aujourd’hui du climat d’instabilité et de libertés exacerbées et non contrôlées que connaît actuellement la Tunisie mais que rien ne permet de statuer sur son évolution future…

 

Synda TAJINE

 

Et ce n'est qu'un début :clap:

je voudrais bien connaître les avis des grands défenseurs du projet islamiste ici sur FA

Et en plus avec l'autoroute est ouest la Tunisie n'est qu'a quelques heures

Avis au amateurs !!!!!!! :crazy:

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J'ajouterai seulement que ce sont ces fatwa qui donnent une mauvaise image et interprétation de l'Islam.

ce sont des fatwa personnelles, c'est juste pour faire un haram .

ça rien à voir avec l'islam.l'article le dit bien que deux des condition de mariage ne sont pas satisfaite et en particulier la declaration du mariage devant les gens et walima.

c'est pareille que les gens qui boivent de l'alcool sous pretexte que le coran ne dit pas c'est haram c'est une fatwa personnelles.

 

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J'ajouterai seulement que ce sont ces fatwa qui donnent une mauvaise image et interprétation de l'Islam.

 

Faut pas oublier que pour le bon musulman la fatwa, c'est sacré, et c'est vrai qu'en Occident on regarde en se pinçant pour ne pas halluciner que nos bons musulmans pourraient tout d'un coup entrer dans un état second; et surtout faire beaucoup de petits pour transmettre et imposer des trucs pareils aux autres. Que ça se passe dans les pays qu'Allah a dévolu à ses esclaves, rien de plus normal, car ça a été étudié pour.

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Tunisie – Le sexe hors mariage, désormais « halal » grâce au mariage « coutumier »

 

 

Par Synda Tajine | le 30 janvier 2012

 

Le plus aberrant dans cette pratique qui veut donner un cadre religieux aux relations sexuelles hors mariage, est l’absence, dans la plupart des cas, de légitimité religieuse. En effet, deux conditions sine qua non de la « religiosité » de l’acte se retrouvent généralement non satisfaites, avec des contrats à la fois secrets et temporaires.

 

bn4955mariage-coutumier0112.jpg

 

Entre principes religieux, pulsions sexuelles, conflits familiaux et contraintes financières, le mariage coutumier (ourfi) semble être un raccourci au contrat traditionnel de mariage auquel de plus en plus de jeunes succombent aujourd’hui.

 

De plus en plus répandu dans les milieux jeunes tunisiens, le mariage coutumier est un contrat signé dans le secret, par les deux « époux », avec la présence de deux témoins (généralement des amis proches et mis dans la confidence) et en l’absence de notaire. Il s’agit d’un acte, sans aucune valeur juridique et le plus souvent même secret, qui ne lie les deux parties par aucun engagement de droits communs et dont la validité peut être rompue à tout moment.

 

Les deux « époux » peuvent donc en toute « liberté de conscience » avoir des relations sexuelles, sans pour autant s’engager financièrement ou être contraints de vivre ensemble. Un raccourci attrayant qui séduit de plus en plus de jeunes, aujourd’hui en Tunisie, dans certains quartiers défavorisés de la capitale (Attadhamon, Mellassine, etc.) et qui s’étend petit à petit à d’autres villes tunisiennes.

 

Le plus aberrant dans cette pratique qui veut donner un cadre religieux aux relations sexuelles hors mariage, est l’absence, dans la plupart des cas, de légitimité religieuse. En effet, deux conditions sine qua non de la « religiosité » de l’acte se retrouvent généralement non satisfaites, avec des contrats à la fois secrets et temporaires.

 

Grâce à la montée du salafisme et de l’intégrisme et d’un gouvernement islamiste instaurant un cadre où les réunions et les débats sur la religion et la chariâ ne sont plus tabous et interdits, il n’est aujourd’hui plus « concevable de s’adonner à des pratiques contraires à la religion ». C’est ce que déclarent en tout cas certaines jeunes pratiquantes du mariage coutumier.

 

Un reportage de France 24 s’est penché sur le sujet à travers une enquête sur le terrain auprès de jeunes étudiants et étudiantes de la faculté des Lettres et des Humanités de la Manouba. Une université connue pour être un haut lieu du salafisme dans le milieu estudiantin en Tunisie.

 

Selon certaines étudiantes, musulmanes, pratiquantes et portant le voile, le mariage coutumier serait une solution religieusement « halal » afin de légaliser les relations sexuelles avec un petit ami qu’on ne peut actuellement pas épouser. Ne pouvant plus contenir leurs pulsions sexuelles, ces étudiantes, encouragées par les conseils de certains « frères salafistes », succombent à cette solution afin d’avoir la conscience tranquille et d’éviter ainsi de se « rouler dans la fange » et de s’adonner au péché suprême avec un homme qui ne leur est pas « halal ».

 

Une solution socialement acceptée, étant de plus en plus courante en Tunisie et dont les adeptes revendiquent un cadre légal et une inscription au code du statut personnel.

 

Si les étudiantes recourent à cette pratique afin d’avoir la conscience tranquille d’une vie sexuelle « légale » et sans compromis, elle représente pour les jeunes étudiants la possibilité d’avoir les avantages du mariage sans pour autant en supporter la charge financière, généralement très lourde.

Dalenda Lagrèche, historienne et directrice du centre d’études, de recherches et d’informations de Tunis, se prononce sur ce phénomène, qui aurait disparu dans les années 70 et dont la montée actuelle du salafisme a contribué à sa résurrection.

 

Un phénomène qui se nourrit des conditions sociales difficiles de la jeunesse tunisienne, pauvre et mal instruite. Une pratique interdite par le Code du statut personnel et qu’elle définit comme étant « un cadre restreint permettant d’avoir des relations sexuelles, sans culpabilité ». L’historienne voit dans le mariage coutumier une forme de soumission de la femme qui offre son corps à l’homme, en contre partie d’un engagement factice et temporaire, de surcroît.

 

Force est de reconnaître que cette pratique se nourrit aujourd’hui du climat d’instabilité et de libertés exacerbées et non contrôlées que connaît actuellement la Tunisie mais que rien ne permet de statuer sur son évolution future…

 

Synda TAJINE

 

PU**** c'qui sont mignons, vachement suggestifs...... :mdr:

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