Zoubir8 174 Posted February 8, 2012 Partager Posted February 8, 2012 L’entreprise nationale de réparation navale va se lancer dans la construction L’entreprise nationale de réparation navale (Erenav) compte se lancer dans la construction de navires à la faveur d’un plan de développement (2012-2017) doté d’une enveloppe de près de 24 milliards de DA, a indiqué lundi un responsable de l’entreprise.Le plan de développement de la seule entreprise publique de réparation navale en Algérie porte notamment sur le lancement de la construction de navires sur trois sites à Alger, Djen Djen (Jijel) et Arzew (Oran), a précisé Ali Sali, directeur général adjoint à l’Erenav, dans un entretien à l’APS.Selon ce gestionnaire, l’entreprise n’est pas spécialisée dans ce domaine et ses seules réalisations se limitent à la construction de deux plates-formes flottantes dites "pontons plats", servant d’écarteurs pour l’accostage de navires de gros tonnage. éanmoins, elle pourrait réaliser, dans une première étape, avec l’apport technique d’un partenaire étranger de nombreux types de navires de qualité dans des délais raisonnables, a assuré M. Sali.L’objectif de l’Erenav à moyen terme est de construire des pilotines (petits bateaux qui conduisent le pilote à bord d’un navire) de 12 à 15 mètres, des canots d’amarrage de 8 à 12 m, des remorqueurs de 16 à 19 m et des barges de 25 à 30 m pour les besoins des ports algériens, a-t-il ajouté. L’entreprise pourrait réaliser notamment des pontons de 25 à 40 m et des dragues de 15 à 30 m pour les compagnies de travaux maritimes et de dragage, et construire des vedettes rapides de 15 à 20 mètres (petits bateaux à moteur) pour la Marine nationale, les Gardes côtes, et les Douanes, a-t-il avancé.Le plan de modernisation de l’Erenav prévoit aussi la création de nouveaux chantiers de réparation navale notamment à Annaba, Arzew et Djen Djen et la modernisation de cette activité sur les trois sites existants d’Alger, de Bejaia et d’Oran, a-t-il encore ajouté. (APS) Citer Link to post Share on other sites
leparisien 10 Posted February 11, 2012 Partager Posted February 11, 2012 Sur papier tout est beau Certe,ils vont encaisser les 24 milliards de dinars Certe ils vont les partager Et je suis certain en 2017,ils seront incapable de construire une """flouka""" Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted March 5, 2012 Author Partager Posted March 5, 2012 Sur papier tout est beau Certe,ils vont encaisser les 24 milliards de dinars Certe ils vont les partager Et je suis certain en 2017,ils seront incapable de construire une """flouka""" :salam: - faut voir ce qu'ils vont faire... Citer Link to post Share on other sites
Guest anincognito Posted March 5, 2012 Partager Posted March 5, 2012 Sur papier tout est beau Certe,ils vont encaisser les 24 milliards de dinars Certe ils vont les partager Et je suis certain en 2017,ils seront incapable de construire une """flouka""" Si tu trouves que les gens qui vont s'occuper du projet vont échouer, tu n'as qu'à y aller pour t'impliquer toi-même, par contre, tes propos négatifs ne servent à rien. Citer Link to post Share on other sites
Otto KHOR 10 Posted March 7, 2012 Partager Posted March 7, 2012 sur le papier , comme dit , que sur le papier les importateurs préfèrent passer commande à l'étranger avec un transfert de devises en conséquence et les Généraux ne veulent pas favoriser les activités marines, aussi bien pêche que détente et sport. La vue de nos ports renseignent. sous chadli, le "chantier" naval avait importé à prix défiant toute concurrence des zodiacs et des moteurs.Depuis, le privé soumis à des taxes exorbitantes, le secteur maritime reste une enigme pour des millions de chômeurs alors que des usines de poisson étrangères traversent régulièrement la méditerranée, souvent dans les eaux nationales. à Oran, il n' y a aucune école sérieuse de voile, pour apprendre à quitter le port sur une quille ni école de pilotage qui délivre un permis de conduire une embarcation à moteur, dans le cadre d'un vieux code hérité de FAFA Citer Link to post Share on other sites
masssinissa 10 Posted March 7, 2012 Partager Posted March 7, 2012 Construction navale- Les rêves pas fous de CCN, l’algérienne Construction navale- Les rêves pas fous de CCN, l’algérienne Elle s’appelle CCN. Elle est algérienne, elle ne fait pas dans l’industrie de l’information mais dans la construction de petits bateaux. La demande existe. Ceux qui ont investi dans CCN (Cartenna Construction Navale) y croient. Ils ne pensent pas s’être embarqués dans une galère mais dans un vrai projet industriel. Rencontre à Ténès avec une petite entreprise qui peut devenir grande. Abdelkader Mekkakia est de ces jeunes investisseurs algériens qui osent. Après des années à labourer le marché des composants, systèmes et réseaux informatiques, il se lance dans les métiers de la mer avec des associés dans une folle aventure : la construction navale. Et, pour son baptême du feu, il devra assister à la mise à l’eau, moins d’une année après le lancement de son entreprise en 2009, au mois de septembre du premier des cinq bateaux que Cartenna Construction Navale (CCN) a réalisé. C’est une gageure que Mekkakia, natif de la ville côtière de Ténès, dans la wilaya de Chlef, a réalisé. Construire en moins d’une année, malgré la faiblesse des financements, cinq bateaux, dont le premier sera probablement «mis à l’eau durant ce mois de septembre». «Cartenna Construction Navale a vu le jour en 2009, et nous avions pensé, avec mes associés, investir le créneau de la construction de bateaux» dans une région où la demande pour ce genre d’embarcations est très importante. A Ténès, le port de pêche de la ville, mitoyen du port commercial, ne contient actuellement que de vieux bateaux de pêche, presque tous en bois, rarement en fibre de verre. Or, la pêche à Ténès, une ville de plus de 100.000 habitants dispersés sur la ZHUN de Chaarir, le Vieux Ténès et le quartier de «La Cave» , est l’une des principales activités économiques avec l’agriculture, le vignoble et les services. Sidi Akkacha, ville de champions Le chantier naval est ainsi implanté dans des ateliers loués par la Sonaric, une entreprise nationale de construction de matériel électroménagers, installée à Sidi Akkacha, à quelques 6 kilomètres à l’Est de Ténès. Et CCN voudrait avoir la «baraka » de Nouredine Morceli, champion olympique en 1992 aux JO de Barcelone, natif de ce petit village, célèbre pour la qualité de ses raisins de table. Sur le site du chantier, quatre embarcations, mises sur des rails, sont en voie de finition, alors que la coque de la cinquième est en train de prendre forme dans le moule construit par les travailleurs de CCN, des tunisiens. «Nous avons opté pour des travailleurs tunisiens car ils ont le savoir faire et la technique de la construction de bateaux de pêche», souligne Abdelkader Mekkakia. Seul problème, en cours de règlement : leur permis de travail tarde à venir, alors que tous «les documents» ont été déposés au niveau de l’inspection du travail de Chlef. Selon des indiscrétions, le gouvernement algérien ne donne plus de permis de travail aux tunisiens, pour appliquer le sacro-saint principe de la réciprocité. Mais, cela n’empêche pas travailleurs tunisiens et leurs patrons algériens de faire avancer le chantier, espérant que la solidarité maghrébine finira bien un jour par triompher. Cinq bateaux ont déjà trouvé preneurs Cartenna Construction Navale, qui a son siège à Ténès, est constituée de trois associés, avec un capital social de 100.000 dinars, comme le veut le règlement. «Dans cette aventure, nous avons investi en fonds propres quelques 10 millions de dinars», affirme M.Mekkakia, qui ajoute qu’un contrat avec une banque publique à Oran a été également signé pour le financement de «notre projet». Ce financement bancaire, dont il attend l’arrivée pour bientôt «devrait booster le chantier et nos activités», estime encore M.Mekkakia. Même si, pour lui, «la mise à l’eau de notre premier bateau devra décider vraiment de la voilure que prendra notre entreprise». Et puis les nouvelles sont plutôt bonnes pour ces «novices» de la construction navale : les cinq bateaux ont déjà trouvé preneurs, et des avances sur construction ont été engrangées par CCN qui a fait pour 2009 un chiffre d’affaires de 50 millions de dinars. «Aides-toi, le Ciel t’aidera», semblent se dire les associés de cette jeune entreprise. Car le prix de cession d’un bateau est très compétitif par rapport aux prix sur le segment des bateaux de pêche de 14 mètres: 12 millions de dinars pour une embarcation armée, et 10 millions de dinars environ sans armement. Des prix attractifs Des prix très attractifs pour le segment des bateaux de pêche d’une envergure de 14 mètres, généralement des sardiniers. «Nous avons un bon carnet de commandes pour le futur, et la mise à l’eau des bateaux en cours de finition devra déterminer le volume des prochaines commandes. Et, pour l’avenir, nous envisageons de construire des bateaux de plaisance, des bateaux de pêche de 11 mètres (sardiniers notamment) et des embarcations rapides (semi-rigides)», se plaît à annoncer M.Mekkakia, gérant d’une entreprise en passe de concrétiser l’adage de «l’appétit vient en mangeant». En Algérie, il existe en tout et pour tout moins d’une dizaine d’entreprises privées de construction de bateaux de pêche de 14 mètres et 11 mètres, une situation anachronique qui a obligé les armateurs et pêcheurs professionnels à se rabattre sur les marchés espagnols, italiens ou français et marocain. Quant à la production halieutique nationale, elle est avec moins de 20.000 tonnes par an, la plus faible des pays maghrébins. Source : Maghreb émergent Citer Link to post Share on other sites
masssinissa 10 Posted March 7, 2012 Partager Posted March 7, 2012 Polyor entreprise privée de fabrication de petit bateau de pêche et de plaisance. Polyor Algérie : fabricant de bateaux et piscines Polyor Algérie : fabricant de bateaux et piscines Citer Link to post Share on other sites
masssinissa 10 Posted March 7, 2012 Partager Posted March 7, 2012 Lancement d’un projet algéro-sud-coréen de construction et de réparation navales Le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, Abdallah Khanafou, a lancé jeudi les travaux de réalisation d’un projet de construction et de réparations navales au port d’Azeffoun, à une soixantaine de kilomètres au nord-est de Tizi-Ouzou. Le projet, implanté dans l’enceinte portuaire sur une emprise de 6000 m2, est, selon sa fiche technique, d’un coût jumelé de 150 millions de DA, dont 100 millions de DA pour la partie construction de bateaux de pêche et 50 millions de DA pour l’entretien et les réparations navales. L’exploitation de ce projet sera assurée par la société de droit algérien -Koréa Marine Service (SAKOMAS). La réalisation du projet de construction navale est dévolue à une entreprise spécialisée d’Akbou (Béjaïa), dans un délai contractuel de 06 mois courant à partir de janvier. Dans ses recommandations, le ministre a souligné "l’opportunité de s’assurer de la rentabilité économique du projet, en adaptant son activité aux besoins réels du marché". Sur ce point, le représentant de SAKOMAS a indiqué que "l’activité majeure de notre unité se focalisera, tel que déterminé par une étude du marché, sur la construction de bateaux d’aquaculture et de bateaux anti- pollution marine". "C’est dire que l’entreprise a intérêt, selon le ministre, "à se positionner, dès à présent, dans la perspective de la concrétisation du programme national du développement de l’aquaculture, perçue comme un moyen de combler le déficit en ressources halieutiques". S’agissant du second lot de ce projet relatif à l’entretien et à la réparation navale, sur une assiette de 5000 m2, située dans le prolongement immédiat du premier projet, sa mise en service devrait intervenir, selon le maître d’ouvrage, "en juin prochain, dès la réception des équipements nécessaires à son fonctionnement, dont notamment un relève bateaux d’une capacité de 250 tonnes". Une halle à marée S’exprimant sur la gestion des espaces portuaires dévolue à l’Entreprise de gestion portuaire de Bejaïa (EGPB), M. Khanafou, qui a signifié que le moindre mètre carré a été difficilement enlevé à la mer, a insisté sur "l’impérative optimisation de l’utilisation de ces aires, en les affectant uniquement pour les activités vitales, et en délocalisant vers d’autres sites les activités secondaires et commerciales, y compris celles en rapport direct avec la pêche, car pouvant trouver aisément d’autres espaces ailleurs". Dans ce contexte de rationalisation de l’exploitation des espaces, et se basant sur l’expérience nationale en la matière, caractérisée par "un engorgement" des ports, le ministre a estimé qu’il "est plus qu’opportun de séparer l’activité de pêche de celle du commerce", en préconisant de "renoncer au statut de +mixité + du port d’Azeffoun en le destinant exclusivement à la vocation pêche". "Si un besoin économique se fait réellement sentir, alors il faudra inscrire la réalisation d’un port commercial à l’indicatif de la wilaya", a-t-il ajouté. En visitant, par ailleurs, les différentes infrastructures du port d’Azeffoun, M. Khanafou s’est particulièrement intéressé au projet d’une halle à marée, destinée à la régulation du commerce de gros du poisson. La mise en exploitation de ce projet est, selon sa gérante par concession, "tributaire de la réception d’équipements électroniques et informatiques nécessités par sa gestion moderne, pour supplanter les aléas de la vente à la criée du poisson, caractérisée par un manque de transparence et ne laissant aucune traçabilité des transactions des fruits de la mer. (aps) Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted March 7, 2012 Author Partager Posted March 7, 2012 Polyor entreprise privée de fabrication de petit bateau de pêche et de plaisance. Polyor Algérie : fabricant de bateaux et piscines Polyor Algérie : fabricant de bateaux et piscines Merci pour l'info il y a un marché à prendre quand on a un moule: avec de la fibre de verre et de la résine (on y ajoute catalyseur et accélérateur), il devient aisé de faire des coques et des ponts. Reste la motorisation. Bravo à ces entrepreneurs. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted April 19, 2012 Author Partager Posted April 19, 2012 merci Zoubir pour l'info Citer Link to post Share on other sites
Guest mounir 19 Posted April 19, 2012 Partager Posted April 19, 2012 y a aussi l'ecorep qui fabriquer de gros chalutier de pêche comme les sardinier mais malheureusement ils l'on saigner a mort pourtant elle fabriquer du bon matériel en plus de la maintenance ! je crois qu'elle vient de reprendre mais jusqu’à quand ! Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted April 20, 2012 Author Partager Posted April 20, 2012 y a aussi l'ecorep qui fabriquer de gros chalutier de pêche comme les sardinier mais malheureusement ils l'on saigner a mort pourtant elle fabriquer du bon matériel en plus de la maintenance ! je crois qu'elle vient de reprendre mais jusqu’à quand ! Merci pour l'information. Espérons que cette entreprise va continuer à produire. Citer Link to post Share on other sites
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