Zoubir8 174 Posted February 15, 2012 Partager Posted February 15, 2012 Energies renouvelables : Des panneaux solaires made in Algeria disponibles sur le marché La première usine privée algérienne de fabrication de panneaux photovoltaïques sera opérationnelle à partir du mois de mars 2012 avec un taux d’intégration nationale de 90%. PUBLIE LE : 15-02-2012 | 0:00 el moudjahid La première usine privée algérienne de fabrication de panneaux photovoltaïques sera opérationnelle à partir du mois de mars 2012 avec un taux d’intégration nationale de 90%. «Les panneaux photovoltaïques made in Algeria sont déjà disponibles sur le marché national et utilisés dans diverses applications», a assuré hier le patron d'Alsolar, société privée qui produit ces équipements. Une usine d'une capacité initiale de 12 MW est, en effet, opérationnelle depuis début 2011 au niveau de la zone industrielle de Chetouane dans la wilaya de Tlemcen. Elle produit des panneaux photovoltaïques destinés aux différentes utilisations de la vie pratique comme l'éclairage, les kits de chauffe-eau solaires et les pompes d'eau, affirme Mohamed Khelifa, directeur général d'Alsolar, une société privée algérienne spécialisée dans les énergies renouvelables. Dans une déclaration à la presse, en marge d'un séminaire sur les applications des énergies renouvelables dans le domaine agricole, M. Khelifa a assuré que la capacité optimale de cette usine est de 60 MW. Ce dernier a précisé qu’elle a été réalisée dans le cadre d'un partenariat national privé entre Alsolar et Algerian photovoltaic company (ALPV) spécialisée dans l'encapsulation des panneaux solaires. Cette coopération a été conclue suite à l'échec du projet de conversion de l'unité ENIE (Entreprise nationale des industries électroniques) de Sidi Bel-Abbès en une usine de fabrication de modules photovoltaïques, a ajouté M. Khelifa, qui a lancé ce projet en partenariat avec une société espagnole, ainsi qu'avec l'ENIE. La première usine privée algérienne de fabrication de panneaux photovoltaïques sera opérationnelle à partir du mois de mars 2012 avec un taux d’intégration nationale de 90%, a annoncé jeudi dernier le propriétaire de ce projet. Selon le même opérateur, le plan de charge de cette usine comprend plusieurs commandes, notamment avec la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) qui a acquis des kits d'éclairage solaire pour doter cinq postes frontaliers à travers le territoire national. D'autres organismes publics font également partie de la clientèle de l'usine, en particulier dans le secteur agricole (abreuvement du cheptel, petite irrigation, chauffage de serres agricoles...). Le directeur d'Alsolar a, en outre, souligné que cet investissement, dont le montant n'a pas été divulgué, veut contribuer à la réalisation des objectifs que s'est fixé le programme national de développement des énergies renouvelables. Le développement de ces ressources alternatives n'est plus un choix mais une nécessité afin de préparer le secteur économique national dès maintenant à l'après-pétrole et de mettre à profit le potentiel naturel, a-t-il affirmé, ajoutant que le rendement en kw du mètre carré en Algérie (6 KW) est trois fois plus élevé par rapport à celui en Europe. Par ailleurs, la rencontre technique de ce mardi, tenue au siège de l'Institut national de la vulgarisation agricole (INVA) a porté essentiellement sur les domaines d'application des énergies renouvelables dans le secteur agricole. Ainsi, un groupe finlandais spécialisé dans la fabrication d'équipements d'observation météorologique a présenté à cette occasion ses solutions en matière de système d'observation et de collectes de données météorologiques qui fonctionnent à l’énergie solaire et éolienne. Citer Link to post Share on other sites
Guest yasmi Posted February 15, 2012 Partager Posted February 15, 2012 T'as pas une autre source qu'el Moudjahid ? Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 15, 2012 Author Partager Posted February 15, 2012 T'as pas une autre source qu'el Moudjahid ? - je suis d'accord avec vous, que longtemps ce journal a été de la langue de bois, - quel dommage! - concernant ces panneaux, c'est vrai, - quand j'irais en vacances au bled j'en achèterais pour mettre chez moi en France. Citer Link to post Share on other sites
Guest yasmi Posted February 15, 2012 Partager Posted February 15, 2012 - je suis d'accord avec vous, que longtemps ce journal a été de la langue de bois, - quel dommage! - concernant ces panneaux, c'est vrai, - quand j'irais en vacances au bled j'en achèterais pour mettre chez moi en France. Incha Allah. Mais je reste tout de même sceptique. El Moudjahid a tendance à en faire trop dans l'éloge, qu'il en devient non crédible. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 15, 2012 Author Partager Posted February 15, 2012 Incha Allah. Mais je reste tout de même sceptique. El Moudjahid a tendance à en faire trop dans l'éloge, qu'il en devient non crédible. Il s'agit de privés qui produisent. Je pense que c'est vrai. Mais, effectivement, il faut chaque fois recouper l'information. Si vous avez des infos, enrichissez le topic. Citer Link to post Share on other sites
masssinissa 10 Posted February 16, 2012 Partager Posted February 16, 2012 T'as pas une autre source qu'el Moudjahid ? Des panneaux solaires made in Algeria disponibles sur le marché|Algérie Plus Il y a une autre usine qui va ouvrir ses portes prochainement à Dar el Beida -Alger- Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 17, 2012 Author Partager Posted February 17, 2012 Des panneaux solaires made in Algeria disponibles sur le marché|Algérie Plus Il y a une autre usine qui va ouvrir ses portes prochainement à Dar el Beida -Alger- Super. J'espère comme cela que - les villages isolés: montagne, steppe ... - postes de douanes frontaliers dans le Sud, pourront avoir de l'électricité. C'est le "produire national" qui créera des emplois. Citer Link to post Share on other sites
masssinissa 10 Posted February 17, 2012 Partager Posted February 17, 2012 Super. J'espère comme cela que - les villages isolés: montagne, steppe ... - postes de douanes frontaliers dans le Sud, pourront avoir de l'électricité. C'est le "produire national" qui créera des emplois. Moi j'ai toujours vu en Algérie les unités isolées, militaires ou civiles, équipées en solaire et ce bien avant que ce ne soit la mode! Rouiba Eclairage produira 400.000 panneaux solaires en 2013 Lundi 28 novembre 2011 L’entreprise publique compte fabriquer 400.000 panneaux photovoltaïques de haute qualité avec l’entrée en production, en 2013, de sa nouvelle usine. L’entreprise, une des filiales du groupe Sonelgaz, permettra de produire 116 mégawatts d’énergie solaire avec ces panneaux qui seront d’une nouvelle génération, fabriqués à base du silicium et de la cristobalite, à fort captage et d’absorption des rayons du soleil. La nouvelle usine, qui sera implantée dans la zone industrielle de Rouiba (Alger), commencera à fabriquer ses premiers panneaux, dès 2012. Elle atteindra sa vitesse de croisière l’année suivante, après l’achèvement total de ses infrastructures et l’installation intégrale de ses équipements. L’entreprise publique "Rouiba Eclairage" recourt aux services des compétences nationales pour maîtriser la technologie de fabrication de panneaux photovoltaïques devant produire de l’énergie électrique. Une formation spécifique est actuellement assurée aux ingénieurs et autres cadres techniques en vue de leur qualification dans ce domaine. Cet investissement s’inscrit dans le cadre d’un programme stratégique de l’Etat visant à intégrer les énergies renouvelables dans la satisfaction des besoins nationaux en matière d’énergie. Ce programme vise à couvrir 40% de ces besoins par des énergies alternatives et à réduire de 30% la consommation à l’horizon 2030. Rouiba Eclairage doit approvisionner en panneaux photovoltaïques les besoins du marché national dont ceux du Groupe Sonelgaz dans ses activités de production et distribution publique de l’électricité. Le Midi Libre Algérie – La première usine privée de panneaux solaires ouvre en mars La première usine privée algérienne de fabrication de panneaux photovoltaïques sera opérationnelle à partir du mois de mars 2012 avec un taux d’intégration nationale de 90%, a annoncé jeudi le propriétaire de ce projet. Cette unité, dont le démarrage était initialement prévu en décembre, est implantée à Dar El Beida (Alger) et produira 56.000 panneaux par an, soit l’équivalent de 12 MW d’énergie pour un coût total de 1,5 million d’euros (environ 150 millions DA), indique, Sid Ali Mokhefi, président de la société EDIELEC qui réalise le projet. Il s’agit de panneaux hybrides destinés, à la fois, à la génération d’énergie électrique ainsi que le chauffage de l’eau et des foyers, précise M. Mokhefi en marge de l’assemblée constitutive de l’Union des professionnels des énergies renouvelables (UPER). La quasi-totalité des composantes entrant dans la fabrication de ces panneaux seront produits localement, assure le patron du projet. "Nous avons une convention avec Mediterranean Float Glass (MFG), filiale de Cevital, pour la fourniture en verre plat et nous avons finalisé un contrat de fourniture de la partie aluminium avec une autre société privée (Satal+)", explique-t-il, ajoutant que la cellule solaire sera importée d’Europe en attendant la mise en service de la future usine de Rouïba Eclairage. En outre, le retard accusé pour le démarrage de l’usine, initialement prévu pour ce mois de décembre, est du à des lenteurs liées à la réception des équipements, précise M. Mokhefi selon lequel la partie engineering est totalement achevée. Une convention avec Imeder Par ailleurs, la société EDIELEC s’apprête à conclure prochainement une convention avec l’Institut méditerranéen des énergies renouvelables (IMEDER). Cette convention, dont la signature est prévue avant fin décembre, permettra à la société d’intégrer le réseau méditerranéen des industriels de la filière et lui permettra de bénéficier des avancées technologiques en la matière et aussi de l’accompagnement de l’IMERDER auprès des bailleurs de fonds à l’échelle internationale, selon M. Mokhefi. Une délégation de l’IMEDER venue la semaine dernière à Alger a rencontré les différents acteurs nationaux publics et privés dans le secteur des énergies renouvelables. Cette institution basée à Perpignan (France) avait affiché sa disponibilité à contribuer au développement d’une industrie algérienne des ’’énergies vertes’’ le soutien technique et l’accompagnement auprès des bailleurs de fonds des PME algériennes porteuses de projets de petite et moyenne taille, assurait son président, Bernard Fourcade. http://www.maghrebemergent.info/energie/renouvelable/6668-algerie-la-premiere-usine-privee-de-panneaux-solaires-operationnelle-en-mars.html Le projet algéro-japonais sur les technologies solaires avance au rythme convenu ORAN - Le programme de coopération algéro-japonais en matière de développement des technologies solaires avance au rythme "convenu", a affirmé dimanche la vice-recteur chargée des relations internationales et de la coopération à l’Université des sciences et de la technologie Mohamed Boudiaf d’Oran (USTO). La réalisation d’un centre de recherche équipé, dédié au photovoltaïque, a été entamée dans ce cadre à l’USTO, a précisé Nacéra Benharrat en marge de la cérémonie d’ouverture de la nouvelle année universitaire 2011-2012. Les légers retards accusés dans la phase de lancement de ce projet suite au violent séisme qui secoua l’archipel asiatique en mars dernier ont été "rattrapés", a-t-elle assuré, ajoutant qu’une séance de travail autour de cette opération est prévue en novembre prochain à l’USTO avec une délégation d’experts japonais. Ce programme qui a été lancé en janvier 2011, s’intitule "Projet SSB" (Sahara Solar Breeder, ferme solaire expérimentale) en référence à la plate-forme technologique prévue dans ce même cadre à Saïda. Il doit permettre l’acheminement, dans un délai de cinq ans, de l’énergie solaire du Sud vers la région Nord du pays en vue d’alimenter les stations de dessalement de l’eau de mer. L’USTO est mise en partenariat dans ce cadre avec un consortium de six universités et deux agences japonaises, l’une pour la coopération internationale (JICA) et l’autre pour le développement scientifique et technologique (JSTA). La vice-recteur a fait savoir en outre que l’USTO est engagée dans de nouveaux partenariats à l’international à travers les programmes ERASMUS (mobilité des étudiants) et TEMPUS (mise à niveau des programmes d’enseignement). L’ouverture de l’USTO sur le monde économique et académique a été également consolidée par des conventions-cadres signées dernièrement avec la Chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie et l’Académie militaire interarmes de Cherchell (AMIA). L’inauguration de la nouvelle année universitaire à l’USTO a été marquée dans ce sens par la signature d’une convention-cadre avec une société étrangère de droit algérien spécialisée dans la fabrication des matériaux de construction. Ces accords visent à consolider l’encadrement des jeunes chercheurs, a souligné la vice-recteur, annonçant également l’ouverture d’un master professionnalisant en hygiène, sécurité et environnement, en collaboration avec une entreprise et une université italiennes. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 19, 2012 Author Partager Posted February 19, 2012 Moi j'ai toujours vu en Algérie les unités isolées, militaires ou civiles, équipées en solaire et ce bien avant que ce ne soit la mode! L’entreprise publique compte fabriquer 400.000 panneaux photovoltaïques de haute qualité avec l’entrée en production, en 2013, de sa nouvelle usine. L’entreprise, une des filiales du groupe Sonelgaz, permettra de produire 116 mégawatts d’énergie solaire avec ces panneaux qui seront d’une nouvelle génération, fabriqués à base du silicium et de la cristobalite, à fort captage et d’absorption des rayons du soleil. La nouvelle usine, qui sera implantée dans la zone industrielle de Rouiba (Alger), commencera à fabriquer ses premiers panneaux, dès 2012. Elle atteindra sa vitesse de croisière l’année suivante, après l’achèvement total de ses infrastructures et l’installation intégrale de ses équipements. L’entreprise publique "Rouiba Eclairage" recourt aux services des compétences nationales pour maîtriser la technologie de fabrication de panneaux photovoltaïques devant produire de l’énergie électrique. Une formation spécifique est actuellement assurée aux ingénieurs et autres cadres techniques en vue de leur qualification dans ce domaine. Cet investissement s’inscrit dans le cadre d’un programme stratégique de l’Etat visant à intégrer les énergies renouvelables dans la satisfaction des besoins nationaux en matière d’énergie. Ce programme vise à couvrir 40% de ces besoins par des énergies alternatives et à réduire de 30% la consommation à l’horizon 2030. Rouiba Eclairage doit approvisionner en panneaux photovoltaïques les besoins du marché national dont ceux du Groupe Sonelgaz dans ses activités de production et distribution publique de l’électricité. Le Midi Libre Algérie – La première usine privée de panneaux solaires ouvre en mars La première usine privée algérienne de fabrication de panneaux photovoltaïques sera opérationnelle à partir du mois de mars 2012 avec un taux d’intégration nationale de 90%, a annoncé jeudi le propriétaire de ce projet. Cette unité, dont le démarrage était initialement prévu en décembre, est implantée à Dar El Beida (Alger) et produira 56.000 panneaux par an, soit l’équivalent de 12 MW d’énergie pour un coût total de 1,5 million d’euros (environ 150 millions DA), indique, Sid Ali Mokhefi, président de la société EDIELEC qui réalise le projet. Il s’agit de panneaux hybrides destinés, à la fois, à la génération d’énergie électrique ainsi que le chauffage de l’eau et des foyers, précise M. Mokhefi en marge de l’assemblée constitutive de l’Union des professionnels des énergies renouvelables (UPER). La quasi-totalité des composantes entrant dans la fabrication de ces panneaux seront produits localement, assure le patron du projet. "Nous avons une convention avec Mediterranean Float Glass (MFG), filiale de Cevital, pour la fourniture en verre plat et nous avons finalisé un contrat de fourniture de la partie aluminium avec une autre société privée (Satal+)", explique-t-il, ajoutant que la cellule solaire sera importée d’Europe en attendant la mise en service de la future usine de Rouïba Eclairage. En outre, le retard accusé pour le démarrage de l’usine, initialement prévu pour ce mois de décembre, est du à des lenteurs liées à la réception des équipements, précise M. Mokhefi selon lequel la partie engineering est totalement achevée. Une convention avec Imeder Par ailleurs, la société EDIELEC s’apprête à conclure prochainement une convention avec l’Institut méditerranéen des énergies renouvelables (IMEDER). Cette convention, dont la signature est prévue avant fin décembre, permettra à la société d’intégrer le réseau méditerranéen des industriels de la filière et lui permettra de bénéficier des avancées technologiques en la matière et aussi de l’accompagnement de l’IMERDER auprès des bailleurs de fonds à l’échelle internationale, selon M. Mokhefi. Une délégation de l’IMEDER venue la semaine dernière à Alger a rencontré les différents acteurs nationaux publics et privés dans le secteur des énergies renouvelables. Cette institution basée à Perpignan (France) avait affiché sa disponibilité à contribuer au développement d’une industrie algérienne des ’’énergies vertes’’ le soutien technique et l’accompagnement auprès des bailleurs de fonds des PME algériennes porteuses de projets de petite et moyenne taille, assurait son président, Bernard Fourcade. Algérie ? La première usine privée de panneaux solaires ouvre en mars Le projet algéro-japonais sur les technologies solaires avance au rythme convenu ORAN - Le programme de coopération algéro-japonais en matière de développement des technologies solaires avance au rythme "convenu", a affirmé dimanche la vice-recteur chargée des relations internationales et de la coopération à l’Université des sciences et de la technologie Mohamed Boudiaf d’Oran (USTO). La réalisation d’un centre de recherche équipé, dédié au photovoltaïque, a été entamée dans ce cadre à l’USTO, a précisé Nacéra Benharrat en marge de la cérémonie d’ouverture de la nouvelle année universitaire 2011-2012. Les légers retards accusés dans la phase de lancement de ce projet suite au violent séisme qui secoua l’archipel asiatique en mars dernier ont été "rattrapés", a-t-elle assuré, ajoutant qu’une séance de travail autour de cette opération est prévue en novembre prochain à l’USTO avec une délégation d’experts japonais. Ce programme qui a été lancé en janvier 2011, s’intitule "Projet SSB" (Sahara Solar Breeder, ferme solaire expérimentale) en référence à la plate-forme technologique prévue dans ce même cadre à Saïda. Il doit permettre l’acheminement, dans un délai de cinq ans, de l’énergie solaire du Sud vers la région Nord du pays en vue d’alimenter les stations de dessalement de l’eau de mer. L’USTO est mise en partenariat dans ce cadre avec un consortium de six universités et deux agences japonaises, l’une pour la coopération internationale (JICA) et l’autre pour le développement scientifique et technologique (JSTA). La vice-recteur a fait savoir en outre que l’USTO est engagée dans de nouveaux partenariats à l’international à travers les programmes ERASMUS (mobilité des étudiants) et TEMPUS (mise à niveau des programmes d’enseignement). L’ouverture de l’USTO sur le monde économique et académique a été également consolidée par des conventions-cadres signées dernièrement avec la Chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie et l’Académie militaire interarmes de Cherchell (AMIA). L’inauguration de la nouvelle année universitaire à l’USTO a été marquée dans ce sens par la signature d’une convention-cadre avec une société étrangère de droit algérien spécialisée dans la fabrication des matériaux de construction. Ces accords visent à consolider l’encadrement des jeunes chercheurs, a souligné la vice-recteur, annonçant également l’ouverture d’un master professionnalisant en hygiène, sécurité et environnement, en collaboration avec une entreprise et une université italiennes. Voila qui est une bonne chose, il faut faire participer nos universitaires, sinon ça sert à quoi toutes nos universités? :ranting2: :ranting2: Citer Link to post Share on other sites
Durakwir 10 Posted February 19, 2012 Partager Posted February 19, 2012 Super. J'espère comme cela que - les villages isolés: montagne, steppe ... - postes de douanes frontaliers dans le Sud, pourront avoir de l'électricité. C'est le "produire national" qui créera des emplois. Meme l'eclairage publique dans les grandes villes pourrait en beneficier. Les voies publiques et les routes inter urbaines pourraient etre eclairees (une majeure partie de l'annee) par des lampadaires equipes en paneaux solaires. Des marches en perpsective pour les fabricants de paneaux et des projets qui pourraient employer beaucoups de gens... . Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 19, 2012 Author Partager Posted February 19, 2012 Meme l'eclairage publique dans les grandes villes pourrait en beneficier. Les voies publiques et les routes inter urbaines pourraient etre eclairees (une majeure partie de l'annee) par des lampadaires equipes en paneaux solaires. Des marches en perpsective pour les fabricants de paneaux et des projets qui pourraient employer beaucoups de gens... . exact - éclairons nous avec le soleil, - exportons notre gaz. ps: contre l'ALS: :gun_sniper: Citer Link to post Share on other sites
Guest prenpalatete Posted February 19, 2012 Partager Posted February 19, 2012 Il s'agit de privés qui produisent. Je pense que c'est vrai. Mais, effectivement, il faut chaque fois recouper l'information. Si vous avez des infos, enrichissez le topic. j'ai entendu parler d'un projet privé qui devait etre operationnel en décembre 2011. Par ailleurs sonelgaz est aussi sur le creneau pour 2014 je crois. Mais le problème le plus délicat c'est la qualité de la formation de cette filière dans l'université algerienne. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 20, 2012 Author Partager Posted February 20, 2012 j'ai entendu parler d'un projet privé qui devait etre operationnel en décembre 2011. Par ailleurs sonelgaz est aussi sur le creneau pour 2014 je crois. Mais le problème le plus délicat c'est la qualité de la formation de cette filière dans l'université algerienne. j'ai lu qu'il y a un accord avec des japonais Citer Link to post Share on other sites
Guest prenpalatete Posted February 20, 2012 Partager Posted February 20, 2012 j'ai lu qu'il y a un accord avec des japonais Effectivement,il sont venus une fois à l'U.S.T.O à Oran.d' aprés ce que m'a raconté un étudiant qui a assisté à la conférence:on était plus dans les effets d'annonce qu'autre chose:c'est du moins ce qui m'en a été rapporté. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 20, 2012 Author Partager Posted February 20, 2012 Effectivement,il sont venus une fois à l'U.S.T.O à Oran.d' aprés ce que m'a raconté un étudiant qui a assisté à la conférence:on était plus dans les effets d'annonce qu'autre chose:c'est du moins ce qui m'en a été rapporté. Espérons que ça se concrétise rapidement et que les panneaux soient disponibles sur le marché. Citer Link to post Share on other sites
alatak 10 Posted February 20, 2012 Partager Posted February 20, 2012 Energies renouvelables : Des panneaux solaires made in Algeria indisponibles sur le marché La première usine privée algérienne de fabrication de panneaux photovoltaïques sera opérationnelle sur la Quatrième planète du système solaire par ordre de distance croissante en partant du Soleil . :eek: merci a Sonelgaz pour la vrai usine 2013 . Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 20, 2012 Author Partager Posted February 20, 2012 La première usine privée algérienne de fabrication de panneaux photovoltaïques sera opérationnelle sur la Quatrième planète du système solaire par ordre de distance croissante en partant du Soleil . :eek: merci a Sonelgaz pour la vrai usine 2013 . bienvenue avez vous plus d'infos? Citer Link to post Share on other sites
masssinissa 10 Posted February 25, 2012 Partager Posted February 25, 2012 Aurès Solaire, un nouvel investissement dans l’énergie solaire. Le temps des blocages et des embûches dressés sur le chemin des investisseurs est-il réellement révolu à Batna ? Les porteurs de projets "prometteurs" le pensent depuis que le wali, El-Hocine Mazouz, a décidé de se mettre de la partie. Il vient, en effet, d’appuyer concrètement et légalement l’installation dans la zone industrielle d’Aïn Yagout de la toute nouvelle Sarl Aurès Solaire. Cette société a pris le taureau par les cornes pour y installer ses structures de production, ses magasins et son administration. L’usine de production de panneaux voltaïques solaires, pièce maîtresse de la technologie de l’énergie solaire, prend forme sur le terrain. Selon les dires de l’investisseur, lequel a préféré ne pas voir son nom paraître dans ce compte rendu de presse, l’usine assurera une production de 86 000 panneaux par an dont au moins 75 % destiné à l’exportation vers l’Europe. Les contrats d’exportation seraient déjà conclus et même finalisés. Une centaine de postes d’emploi va être créée, avec le recrutement d’une trentaine de cadres, concernés par un embarquement en Allemagne où un stage de formation les attend. En fait, l’apport qu’offrira la société Aurès Solaire d’Aïn Yagout en matière de production de panneaux voltaïques solaires semble intéresser au plus haut point les concepteurs et les managers allemands du grand projet international Desertec, ce qui est un bon signe pour les perspectives de cette société naissante. L’investisseur, qui n’est pas nouveau dans le monde des affaires, nous a précisé que les Allemands l’ont été chargé de mettre en place deux laboratoires de recherche technologique à l’usine de Aurès Solaire. Celle-ci bénéficiera d’une dotation en technologie Naice ou dernière génération du processus de montage des panneaux voltaïques solaires. Ce sont également les Allemands qui assureront aussi bien la formation que l’assistance en maintenance industrialo-technologique, et ce, pour une durée d’une année. L’usine Aurès Solaire devra entrer en phase de production en 2013 et l’investisseur s’acharne actuellement à parachever les démarches juridico-administratives pour que toutes les conditions soient réunies avant l’échéance de 2013. Apparemment, il n’aurait plus besoin sur le plan technique que d’un ultime coup de pouce : régler au plus vite le problème du raccordement de l’usine au réseau de gaz et d’électricité si les dirigeants locaux de la SDE (ex-Sonelgaz) font preuve de célérité et de bonne volonté. Sans quoi, tous les efforts fournis jusque-là partiront en fumée. Sans démagogie aucune ni complaisance gratuite, nous avions pressenti en tant qu’observateurs médiatiques venir des changements dans l’approche de l’actuel wali en matière de stimulation et d’attraction des investisseurs notamment locaux. La journée d’étude, initiée par les soins du wali en octobre dernier, aura été révélatrice d’un tel vent de changement. Epargner les investisseurs des griffes d’une administration conservatrice ayant joué dans le passé le rôle négatif de goulot d’étranglement. Telle est en gros l’une des missions que s’attribue le wali en vertu des textes en vigueur. Tous les investisseurs de la région de Batna, sans exception aucune, éprouvent ce besoin d’une assistance directe du wali afin d’agir ensemble pour marquer des points à l’inertie et autres pesanteurs et passer ainsi dans les meilleurs délais possibles au cap de la réalisation réelle des projets pour la création des richesses et des postes d’emploi. Ali Benbelgacem, La Nouvelle République Aurès Solaire, un nouvel investissement dans l'énergie solaire - Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES Citer Link to post Share on other sites
masssinissa 10 Posted February 25, 2012 Partager Posted February 25, 2012 Energies renouvelables : Le projet Desertec « avance bien » en Algérie Le projet " Desertec ", qui prévoit la fourniture à l’Europe de l’électricité à partir de l’énorme potentiel énergétique des déserts de la région Mena, "avance bien en Algérie ", a affirmé aujourd’hui Christoph J. Partch, représentant officiel en Algérie de ce projet d’envergure qui rassemble plus d’une cinquantaine de pays. " Les rencontres entre les représentants du projet Desertec et la partie algérienne se sont multipliées depuis la signature du mémorandum d’entente au mois de décembre dernier à Bruxelles ", a souligné dans une déclaration à l’APS M. Partch, également directeur général de la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie (AHK Algérie). Une délégation de l’Agence allemande pour la coopération internationale (GIZ) s’est déplacée la semaine passée à Alger où elle a rencontré des responsables de la société nationale de l’électricité et du (Sonelgaz). Les discussions ont porté sur plusieurs volets, notamment celui des tarifs. Le mémorandum d’entente dans le domaine des énergies renouvelables a été signé le 9 décembre dernier à Bruxelles entre Sonelgaz et l’entreprise allemande Desertec initiative (Dii). Ce mémorandum porte sur le renforcement des échanges d’expertise technique, et la promotion commune du développement des énergies renouvelables en Algérie et à l’international. Satisfaction de la partie allemande Soulignant la satisfaction de la partie allemande après l’implication de l’Algérie dans le projet Desertec, il a estimé que "Dii " a mal présenté au début le projet à la partie algérienne. " Je crois que l’entreprise a commis des fautes dans la manière de présenter cette initiative. Maintenant le projet est mieux expliqué, et tout le monde a bien compris sa nature ", a-t-il reconnu. Par ailleurs, M. Partch a annoncé que les Allemands veulent que la prochaine assemblée générale du projet Desertec se tienne en Algérie, la dernière s’étant tenue au Caire en décembre 2011. " Cette rencontre permettra au monde de connaître la place importante qu’occupe l’Algérie dans cette initiative, et j’aimerais bien que les initiateurs de Desertec soient soutenus par les responsables algériens ", a-t-il précisé. Selon M. Partch, l’Algérie veut être en amont de toute la chaîne de l’industrie des énergies renouvelables, notamment la production des cellules photovoltaïques, et des équipements nécessaires, avant de construire la première station solaire thermique, ce qui peut " retarder la réalisation du Desertec ", d’après ce responsable. Toutefois, l’Algérie a besoin de multiplier les centrales solaires, avec des technologies différentes, afin d’essayer et puis choisir la technologie adéquate, selon lui. Basé en Allemagne, "Dii " compte 56 partenaires issus de 15 pays. Desertec vice à répondre à la fois aux besoins des pays producteurs de la région Mena et à fournir 15% dans un premier temps de l’électricité nécessaire à l’Europe. Né en 2003, Desertec est le nom d’un concept énergétique très ambitieux, qui prévoit l’exploitation de l’énorme potentiel énergétique des déserts pour arroser durablement en énergie électrique toutes les régions du monde. Le versant industriel du projet sont "Desertec Industrial initiative " (Dii) et le consortium Medgrid. Energies renouvelables : Le projet Desertec avance bien en Algérie|Algérie Plus Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted February 25, 2012 Author Partager Posted February 25, 2012 merci pour ces infos cela fait plaisir que des investisseurs ne font pas de l'import-import mais: - utilisent des cadres de nos universités, - et créent des emplois, - un grand bravo à ces Algériens là! Citer Link to post Share on other sites
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