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Législatives du 10 mai : 113 000 urnes transparentes réalisées


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Législatives du 10 mai : 113 000 urnes transparentes réalisées

Citation:

La commission de supervision des élections est composée de 316 magistrats.

 

La nouvelle loi relative au régime électoral consacre un certain nombre de dispositions dont deux grands mécanismes de contrôle qui sont la commission de supervision des élections, constituée exclusivement de magistrats, et la commission de surveillance, composée de représentants des partis politiques et des candidats indépendants participant aux élections.

La commission de surveillance, démembrée au niveau local, avec un comité par wilaya et des comités communaux, tiendra sa première réunion le 22 février prochain, et les partis politiques ont été déjà sollicités par écrit pour désigner leurs représentants.

Et c’est le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques au ministère de l’Intérieur, M. Mohamed Talbi, qui est venu s’expliquer hier sur les ondes de la radio nationale Chaîne III.

M. Talbi a précisé que la loi consacre à cette commission 17 articles portant sur plusieurs prérogatives dont la première consiste en la remise de la copie de la liste électorale aux partis politiques et le suivi de la mise en place du dispositif de préparation matérielle et technique des élections. «Elle aura à suivre point par point les dispositions légales et se chargera de la saisine de la commission de supervision des élections de tout dépassement dans la mise en œuvre de ces dispositions», a-t-il déclaré. La commission de supervision des élections constituée, elle, exclusivement de magistrats, 316 membres exactement, siégera à Alger avec également des démembrements locaux et sera représentée aussi à l’étranger au niveau des services consulaires.

A Alger, cette commission sera représentée par 13 sous-commissions et au niveau des autres grandes wilayas par 2 sous-commissions et 01 sous-commission dans les wilayas de taille moyenne. Toute cette organisation est déjà mise en place et prête à fonctionner, informe le directeur des libertés publiques.

La commission peut être saisie de tout dépassement et s’autosaisir elle-même comme elle a la faculté de saisir le procureur général territorialement compétent et lui demander de requérir la force publique en cas de non-application de ses décisions.

«Cette commission est garante de l’application stricte de toutes les dispositions légales relative à la préparation des bureaux de vote et de l’encadrement, ainsi qu’à l’accompagnement des partis dans les actions qui font appel à leur participation, tels la campagne électorale et les sites d’affichage», soutient M. Talbi qui précise que les deux commissions chargées respectivement de la surveillance et de la supervision des prochaines législatives peuvent échanger des informations sans qu’il y ait interférence dans leurs prérogatives. La commission de supervision dont les modalités d’organisation et de fonctionnement ont été fixées avant-hier par décret présidentiel peut même être saisie par tout citoyen dont la candidature est rejetée par l’administration.

Par ailleurs, le représentant du ministère de l’Intérieur voit en la présence des observateurs étrangers «un couronnement» et «un plus» au contrôle interne qu’auront à assumer les partis politiques au niveau de la commission et au contrôle au niveau des bureaux de vote. Il note à ce titre que les représentants de l’Union européenne ont été déjà reçus à deux reprises au ministère de l’Intérieur, ceux de la Ligue arabe l’ont été hier et les représentants de l’Union africaine le seront aujourd’hui.

«Les élections de 10 mai prochain sonr un réel challenge et une épreuve décisive pour l’avenir du processus politique dans notre pays.

Le Président de la République a donné des garanties permettant aux citoyens d’y participer et d’élire une Assemblée crédible», devait-il ajouter, invitant les partis politiques à se mobiliser au niveau des bureaux de vote pour réduire les contestations. Il informe à cet effet que les walis, réunis récemment à Alger par le ministre de l’Intérieur, ont été instruits de faire observer aux agents la stricte neutralité et de traiter les candidats sur un pied d’égalité.

Et en cas d’atteinte à la crédibilité des élections, il rappelle que la loi électorale prévoit des sanctions pénales assez sévères, des sanctions administratives pouvant aussi être prononcées. Et dans ce même souci de transparence, il fera savoir que 113 000 urnes transparentes répondant aux normes internationales et portant des numéros d’identification, réalisées par une entreprise nationale, sont déjà prêtes.

Estimant, en outre, que le retard pris dans l’octroi des agréments n’incombe pas à l’administration, il dira que les partis politiques en règle ont obtenu l’autorisation de tenir leur congrès constitutif et que tous les documents nécessaires à leur participation aux élections leur seront remis dans les délais.

Sur le retrait des formulaires de candidature, tout en affirmant ne pas disposer encore de chiffres, l’opération étant à son début, il indiquera que des candidats indépendants se sont présentés dès le premier jour pour retirer les formulaires au niveau de certaines wilayas.

 

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La commission de supervision des élections est composée de 316 magistrats.

 

La nouvelle loi relative au régime électoral consacre un certain nombre de dispositions dont deux grands mécanismes de contrôle qui sont la commission de supervision des élections, constituée exclusivement de magistrats, et la commission de surveillance, composée de représentants des partis politiques et des candidats indépendants participant aux élections.

La commission de surveillance, démembrée au niveau local, avec un comité par wilaya et des comités communaux, tiendra sa première réunion le 22 février prochain, et les partis politiques ont été déjà sollicités par écrit pour désigner leurs représentants.

Et c’est le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques au ministère de l’Intérieur, M. Mohamed Talbi, qui est venu s’expliquer hier sur les ondes de la radio nationale Chaîne III.

M. Talbi a précisé que la loi consacre à cette commission 17 articles portant sur plusieurs prérogatives dont la première consiste en la remise de la copie de la liste électorale aux partis politiques et le suivi de la mise en place du dispositif de préparation matérielle et technique des élections. «Elle aura à suivre point par point les dispositions légales et se chargera de la saisine de la commission de supervision des élections de tout dépassement dans la mise en œuvre de ces dispositions», a-t-il déclaré. La commission de supervision des élections constituée, elle, exclusivement de magistrats, 316 membres exactement, siégera à Alger avec également des démembrements locaux et sera représentée aussi à l’étranger au niveau des services consulaires.

A Alger, cette commission sera représentée par 13 sous-commissions et au niveau des autres grandes wilayas par 2 sous-commissions et 01 sous-commission dans les wilayas de taille moyenne. Toute cette organisation est déjà mise en place et prête à fonctionner, informe le directeur des libertés publiques.

La commission peut être saisie de tout dépassement et s’autosaisir elle-même comme elle a la faculté de saisir le procureur général territorialement compétent et lui demander de requérir la force publique en cas de non-application de ses décisions.

«Cette commission est garante de l’application stricte de toutes les dispositions légales relative à la préparation des bureaux de vote et de l’encadrement, ainsi qu’à l’accompagnement des partis dans les actions qui font appel à leur participation, tels la campagne électorale et les sites d’affichage», soutient M. Talbi qui précise que les deux commissions chargées respectivement de la surveillance et de la supervision des prochaines législatives peuvent échanger des informations sans qu’il y ait interférence dans leurs prérogatives. La commission de supervision dont les modalités d’organisation et de fonctionnement ont été fixées avant-hier par décret présidentiel peut même être saisie par tout citoyen dont la candidature est rejetée par l’administration.

Par ailleurs, le représentant du ministère de l’Intérieur voit en la présence des observateurs étrangers «un couronnement» et «un plus» au contrôle interne qu’auront à assumer les partis politiques au niveau de la commission et au contrôle au niveau des bureaux de vote. Il note à ce titre que les représentants de l’Union européenne ont été déjà reçus à deux reprises au ministère de l’Intérieur, ceux de la Ligue arabe l’ont été hier et les représentants de l’Union africaine le seront aujourd’hui.

«Les élections de 10 mai prochain sonr un réel challenge et une épreuve décisive pour l’avenir du processus politique dans notre pays.

Le Président de la République a donné des garanties permettant aux citoyens d’y participer et d’élire une Assemblée crédible», devait-il ajouter, invitant les partis politiques à se mobiliser au niveau des bureaux de vote pour réduire les contestations. Il informe à cet effet que les walis, réunis récemment à Alger par le ministre de l’Intérieur, ont été instruits de faire observer aux agents la stricte neutralité et de traiter les candidats sur un pied d’égalité.

Et en cas d’atteinte à la crédibilité des élections, il rappelle que la loi électorale prévoit des sanctions pénales assez sévères, des sanctions administratives pouvant aussi être prononcées. Et dans ce même souci de transparence, il fera savoir que 113 000 urnes transparentes répondant aux normes internationales et portant des numéros d’identification, réalisées par une entreprise nationale, sont déjà prêtes.

Estimant, en outre, que le retard pris dans l’octroi des agréments n’incombe pas à l’administration, il dira que les partis politiques en règle ont obtenu l’autorisation de tenir leur congrès constitutif et que tous les documents nécessaires à leur participation aux élections leur seront remis dans les délais.

Sur le retrait des formulaires de candidature, tout en affirmant ne pas disposer encore de chiffres, l’opération étant à son début, il indiquera que des candidats indépendants se sont présentés dès le premier jour pour retirer les formulaires au niveau de certaines wilayas.

 

Législatives du 10 mai : 113 000 urnes transparentes réalisées

 

 

 

Ainsi la transparence sera transparante;);)

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La commission de supervision des élections est composée de 316 magistrats.

 

La nouvelle loi relative au régime électoral consacre un certain nombre de dispositions dont deux grands mécanismes de contrôle qui sont la commission de supervision des élections, constituée exclusivement de magistrats, et la commission de surveillance, composée de représentants des partis politiques et des candidats indépendants participant aux élections.

La commission de surveillance, démembrée au niveau local, avec un comité par wilaya et des comités communaux, tiendra sa première réunion le 22 février prochain, et les partis politiques ont été déjà sollicités par écrit pour désigner leurs représentants.

Et c’est le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques au ministère de l’Intérieur, M. Mohamed Talbi, qui est venu s’expliquer hier sur les ondes de la radio nationale Chaîne III.

M. Talbi a précisé que la loi consacre à cette commission 17 articles portant sur plusieurs prérogatives dont la première consiste en la remise de la copie de la liste électorale aux partis politiques et le suivi de la mise en place du dispositif de préparation matérielle et technique des élections. «Elle aura à suivre point par point les dispositions légales et se chargera de la saisine de la commission de supervision des élections de tout dépassement dans la mise en œuvre de ces dispositions», a-t-il déclaré. La commission de supervision des élections constituée, elle, exclusivement de magistrats, 316 membres exactement, siégera à Alger avec également des démembrements locaux et sera représentée aussi à l’étranger au niveau des services consulaires.

A Alger, cette commission sera représentée par 13 sous-commissions et au niveau des autres grandes wilayas par 2 sous-commissions et 01 sous-commission dans les wilayas de taille moyenne. Toute cette organisation est déjà mise en place et prête à fonctionner, informe le directeur des libertés publiques.

La commission peut être saisie de tout dépassement et s’autosaisir elle-même comme elle a la faculté de saisir le procureur général territorialement compétent et lui demander de requérir la force publique en cas de non-application de ses décisions.

«Cette commission est garante de l’application stricte de toutes les dispositions légales relative à la préparation des bureaux de vote et de l’encadrement, ainsi qu’à l’accompagnement des partis dans les actions qui font appel à leur participation, tels la campagne électorale et les sites d’affichage», soutient M. Talbi qui précise que les deux commissions chargées respectivement de la surveillance et de la supervision des prochaines législatives peuvent échanger des informations sans qu’il y ait interférence dans leurs prérogatives. La commission de supervision dont les modalités d’organisation et de fonctionnement ont été fixées avant-hier par décret présidentiel peut même être saisie par tout citoyen dont la candidature est rejetée par l’administration.

Par ailleurs, le représentant du ministère de l’Intérieur voit en la présence des observateurs étrangers «un couronnement» et «un plus» au contrôle interne qu’auront à assumer les partis politiques au niveau de la commission et au contrôle au niveau des bureaux de vote. Il note à ce titre que les représentants de l’Union européenne ont été déjà reçus à deux reprises au ministère de l’Intérieur, ceux de la Ligue arabe l’ont été hier et les représentants de l’Union africaine le seront aujourd’hui.

«Les élections de 10 mai prochain sonr un réel challenge et une épreuve décisive pour l’avenir du processus politique dans notre pays.

Le Président de la République a donné des garanties permettant aux citoyens d’y participer et d’élire une Assemblée crédible», devait-il ajouter, invitant les partis politiques à se mobiliser au niveau des bureaux de vote pour réduire les contestations. Il informe à cet effet que les walis, réunis récemment à Alger par le ministre de l’Intérieur, ont été instruits de faire observer aux agents la stricte neutralité et de traiter les candidats sur un pied d’égalité.

Et en cas d’atteinte à la crédibilité des élections, il rappelle que la loi électorale prévoit des sanctions pénales assez sévères, des sanctions administratives pouvant aussi être prononcées. Et dans ce même souci de transparence, il fera savoir que 113 000 urnes transparentes répondant aux normes internationales et portant des numéros d’identification, réalisées par une entreprise nationale, sont déjà prêtes.

Estimant, en outre, que le retard pris dans l’octroi des agréments n’incombe pas à l’administration, il dira que les partis politiques en règle ont obtenu l’autorisation de tenir leur congrès constitutif et que tous les documents nécessaires à leur participation aux élections leur seront remis dans les délais.

Sur le retrait des formulaires de candidature, tout en affirmant ne pas disposer encore de chiffres, l’opération étant à son début, il indiquera que des candidats indépendants se sont présentés dès le premier jour pour retirer les formulaires au niveau de certaines wilayas.

 

Législatives du 10 mai : 113 000 urnes transparentes réalisées

 

- COMBIEN Y A-T-IL D'ELECTEURS ?.

 

- LES MILITAIRES ONT-ILS LE DROIT DE VOTER ?.

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Pourquoi s'en priver !

avec un haut gradé qui te regarde de travers si tu choisi le mauvais bulletin et te fait signe que ce n'est pas le bon, tu le remplace et tu obtiens un sourire.

 

C'est le grand probléme des pays comme l'algerie qui politisent leurs militaires et surtout s'il votent dans les casernes.

 

Et combien il y a d'électeurs, je crois que le ministre de l'intérieur a lancé le chiffre de 21 millions soient les 2/3 de la population, est ce que c'est vrai???.

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