énuriLes habitants des bidonvilles se révoltent à l’est d’Alger

[fellan 10]

Des centaines d’habitants d’un bidonville de Dergana, dans la banlieue est d’Alger, ont procédé ce samedi 18 février à la fermeture de la route principale de la ville en brûlant des pneus sur la voie publique pour réclamer l’amélioration de leurs conditions de vie. « Nous vivons depuis 20 jours sans gaz, ni électricité, ni eau potable », affirme Malika, l’une des habitantes du bidonville. Les manifestants ont saccagé des locaux commerciaux et des véhicules, selon des sources locales. La manifestation a provoqué d’immenses embouteillages sur les autres axes routiers, notamment au carrefour de Café Chergui, à Bordj El Bahri.

 

Des habitants de ce bidonville, où vivent plus de 750 familles, dénoncent l’attitude des autorités locales qui multiplient les promesses de régler leurs problèmes, sans jamais les tenir. « Nous avons convenu avec les habitants des bidonvilles de Benzerga et Bateau cassé de descendre dans la rue lundi prochain pour fermer le tramway afin d’attirer l’attention des autorités sur notre situation », ajoute Malika.

 

À Bordj El Bahri, Bordj El Kiffan et Dergana, des milliers d’habitants vivent dans des conditions précaires dans des quartiers dépourvus de toutes les commodités. Mercredi dernier, des habitants d’un quartier de Bordj El Kiffan ont menacé de mettre le feu au tramway si les autorités n’apportent pas de solutions à la pénurie de gaz butane qui touche leur quartier.

 

Les mauvaises conditions de vie ont poussé ce matin des centaines d’habitants du quartier Kerrouche à Boudouaou, à l’est d’Alger, à fermer l’autoroute reliant la capitale à l’est du pays pour réclamer notamment le gaz butane et l’électricité. Les manifestants, qui ont brûlé des pneus, réclament l’intervention des autorités locales pour approvisionner le quartier en gaz butane introuvable depuis dix jours et le rétablissement définitif de l’électricité. Comme la majorité des bidonvilles, Kerrouche est dépourvu de voirie, réseau d’assainissement, eau potable…

TSA

[k-15 10]

Des centaines d’habitants d’un bidonville de Dergana, dans la banlieue est d’Alger, ont procédé ce samedi 18 février à la fermeture de la route principale de la ville en brûlant des pneus sur la voie publique pour réclamer l’amélioration de leurs conditions de vie. « Nous vivons depuis 20 jours sans gaz, ni électricité, ni eau potable », affirme Malika, l’une des habitantes du bidonville. Les manifestants ont saccagé des locaux commerciaux et des véhicules, selon des sources locales. La manifestation a provoqué d’immenses embouteillages sur les autres axes routiers, notamment au carrefour de Café Chergui, à Bordj El Bahri.

 

Des habitants de ce bidonville, où vivent plus de 750 familles, dénoncent l’attitude des autorités locales qui multiplient les promesses de régler leurs problèmes, sans jamais les tenir. « Nous avons convenu avec les habitants des bidonvilles de Benzerga et Bateau cassé de descendre dans la rue lundi prochain pour fermer le tramway afin d’attirer l’attention des autorités sur notre situation », ajoute Malika.

 

À Bordj El Bahri, Bordj El Kiffan et Dergana, des milliers d’habitants vivent dans des conditions précaires dans des quartiers dépourvus de toutes les commodités. Mercredi dernier, des habitants d’un quartier de Bordj El Kiffan ont menacé de mettre le feu au tramway si les autorités n’apportent pas de solutions à la pénurie de gaz butane qui touche leur quartier.

 

Les mauvaises conditions de vie ont poussé ce matin des centaines d’habitants du quartier Kerrouche à Boudouaou, à l’est d’Alger, à fermer l’autoroute reliant la capitale à l’est du pays pour réclamer notamment le gaz butane et l’électricité. Les manifestants, qui ont brûlé des pneus, réclament l’intervention des autorités locales pour approvisionner le quartier en gaz butane introuvable depuis dix jours et le rétablissement définitif de l’électricité. Comme la majorité des bidonvilles, Kerrouche est dépourvu de voirie, réseau d’assainissement, eau potable…

TSA

 

depuis 1980 environ de nombreuses familles ont formés des bidonvilles dans les environs d'alger avec l'espoir que la commune, l'état finirait par leur donner le terrain qu'il occupait. ce qui fut fait disons pendant + de 20 ans, maintenant c'est plus difficile voir impossible.