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Algérie: Les marchands à la sauvette (informel).


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Je sais bien...;l'informel est trop ancré dans les moeurs..

Peut etre ne pas trop pénaliser fiscalement ceux qui de déclarent...demander juste une somme symbolique...avec des avantages en retour...

Si tu optes pour la tolérance 0 il faut des mesures d'accompagnement

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Je sais bien...;l'informel est trop ancré dans les moeurs..

Peut etre ne pas trop pénaliser fiscalement ceux qui de déclarent...demander juste une somme symbolique...avec des avantages en retour...

Si tu optes pour la tolérance 0 il faut des mesures d'accompagnement

 

- je suis pour ce genre de solution,

- il faut habituer les gens à payer des taxes,

- il faut habituer les gens à un Etat de droit.

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- vous avez raison,

- mais nous ne parlons pas seulement de "l'après marché",

- mais de comment mieux organiser ces ventes informelles au bord des routes.

- comment mieux le canaliser?

 

c'est une affaire de culture

à la base ... il y a des gens qui veulent gagner leur vie honnêtement ... c'est super formidable

seulement ils le font d'une manière assez anarchique ... mais en réalité ... ils n'ont pas provoqué cette anarchie ... elle existait avant eux ... elle est la caractéristique principale de l'état algérien au sens civilisationnel du terme ... en tant qu'administrateur de la chose publique ... - d'ailleurs c'est pour cela que l'on se rend compte de l'inutilité du vote en Algérie - ...

donc ces "informels" ... à la base d'honnêtes citoyens qui veulent vivre honnêtement leur vie selon les principes de la morale islamique ... en d'autres termes selon le code du halal oui ... haram non ... vont s'installer sur le parcours d'une clientèle potentielle ... c.à.d. sur la voie publique ...

cependant si un consensus parvenait à être établi entre ces "informels" et cette clientèle potentielle ... sur les lieux et heures des transactions commerciales ... çà serait bien ... l'état n'aurait plus qu'à entériner ce consensus ... et le concrétiser ...

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c'est une affaire de culture

à la base ... il y a des gens qui veulent gagner leur vie honnêtement ... c'est super formidable

seulement ils le font d'une manière assez anarchique ... mais en réalité ... ils n'ont pas provoqué cette anarchie ... elle existait avant eux ... elle est la caractéristique principale de l'état algérien au sens civilisationnel du terme ... en tant qu'administrateur de la chose publique ... - d'ailleurs c'est pour cela que l'on se rend compte de l'inutilité du vote en Algérie - ...

donc ces "informels" ... à la base d'honnêtes citoyens qui veulent vivre honnêtement leur vie selon les principes de la morale islamique ... en d'autres termes selon le code du halal oui ... haram non ... vont s'installer sur le parcours d'une clientèle potentielle ... c.à.d. sur la voie publique ...

cependant si un consensus parvenait à être établi entre ces "informels" et cette clientèle potentielle ... sur les lieux et heures des transactions commerciales ... çà serait bien ... l'état n'aurait plus qu'à entériner ce consensus ... et le concrétiser ...

 

- à propos de ce consensus, si les APC

- mettaient à la disposition de ces vendeurs occasionnels des places et des rues,

- garantissaient la propreté des lieux,

- je pense que les consommateurs iraient préférentiellement en ces lieux.

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bonjour

Zoubir , tu parles des vendeurs occupant les trottoirs , mais malheureusement tu ne parles pas des causes.

relève le niveau et parles plutôt , qui est le dieu du travail ( arbab el 3amal ya khouia ) , et pourquoi ,

 

- les causes sont connues: forte natalité,

- mauvaise politique économique: trop de recours à l'import-import,

- ps: faut noter cependant la bonne politique de l'Ansej,

-- ps: noter aussi la bonne politique d'attribution de concession de terres agricoles.

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Le marché informel envahit Alger

Des habitants d’El Hamiz protestent contre la prolifération des commerces anarchiques

 

Mohamed Benamar tsa

 

Des dizaines de personnes du quartier El Hamiz 3, à Dar El Beida (est d’Alger) ont procédé à la fermeture de la route nationale no 5, entre El Hamiz et Rouiba ce samedi 25 février pour protester contre la présence de nombreux commerçants informels dans leur quartier. Les manifestants ont coupé la route à l’aide d’objets hétéroclites et brûlé des pneumatiques usagés sur la voie publique.

 

L’intervention des forces de l’ordre a permis de rétablir la circulation routière. Aucun incident majeur n’a été enregistré entre les policiers et les manifestants qui affirment avoir posé aux autorités locales le problème des marchands installés anarchiquement dans leur quartier.

Les habitants de ce quartier se plaignent du comportement des commerçants informels et des désagréments causés par leur activité. El Hamiz n’est pas le seul quartier de la capitale touché par la prolifération du commerce informel. Depuis les émeutes meurtrières de janvier 2011, les commerces illégaux ont investi les places publiques, les trottoirs et parfois la voie publique où sont vendus des fruits et légumes, des vêtements, de la quincaillerie et autres produits. À Staoueli, Bouzareah, Bab El Oued, Rouiba, Alger-centre, El Biar, Aïn Benian, les commerçants informels perturbent la circulation routière et causent des désagréments aux riverains.

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Le marché de l’informel : Un casse-tête… chinois

Horizons-dz

 

Mercredi 3 mars à 0:05

 

Le marché de l’informel : Un casse tête… chinois

 

Devant l’absence de marchés de proximité, le nombre de marchés informels continue d’augmenter au grand bonheur des consommateus et des petites bourses.

 

A ce type d’activité permanent s’ajoute les marchés hebdomadaires ou bihebdomadaires tenus en dehors d’un cadre légal dans les banlieues des grandes villes. Dans ces lieux tout se vend. Cela va des produits maraîchers à l’alimentation générale en passant par les textiles, les cosmétiques et les détergents.

 

«Les deux tiers des consommateurs algériens achètent au niveau des marchés informels. Les bas prix des produits proposés constitués essentiellement de produits importés (autour de 80 %), sont le véritable facteur de la réussite de ces espaces dont le nombre global a atteint 1500 marchés à l’échelle nationale.

 

Pour la seule wilaya d’Alger on compte 120 espaces organisés sur des trottoirs, des stades communaux, à proximité des mosquées, des établissements scolaires ou des APC», observe le porte-parole de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), Hadj-Tahar Boulenouar.Les activités commerciales informelles qui ont fait irruption dans les années 90 comptent selon le porte-parole de l’UGCAA 1,5 million de vendeurs contre 1,3 million pour le secteur officiel.

 

«Ce phénomène génère beaucoup de transactions au détriment du trésor public. D’après nos estimations, l’Etat a perdu en 2009, plus de 250 milliards de DA en matière de recouvrement d’impôts», affirme-t-il.

 

Le ministère du Commerce évalue ce chiffre à 55 milliards de DA. Mais le danger, selon le porte-parole de l’UGCAA réside dans le fait que «l’informel qui vit des importations et de la contrebande a vu ses activités s’élargir à l’immobilier et au tourisme».

 

LES APC S’EN LAVENT LES MAINS

 

Pour les pouvoirs publics, l’informel est devenu un véritable casse-tête que résume bien la réaction de la majorité des responsables d’APC. Ceux-ci se refusent à prendre la responsabilité d’interdire ces marchés au risque de se retrouver face à une réaction colérique des vendeurs. La paix sociale a un prix.

 

Certains P/APC précisent même que toute interdiction relève des prérogatives des forces de l’ordre. Quelques rares communes sont arrivées cependant à mettre le holà, à l’image de celle d’Alger-Centre. Le vice-président chargé des affaires sociales et de l’environnement, M. Bettache, estime que «la commune est responsable de l’existence d’un marché informel qu’elle doit combattre avec le concours les forces de l’ordre».

 

A Alger centre «les deux points de prédilection des commerçants illégaux, en l’occurrence la rue de Tanger et la rue Larbi Ben M’hidi, sont sérieusement contrôlés et dès qu’on s’aperçoit d’une quelconque tentative d’installation de vendeurs, nous prenons attache avec la police qui arrive sur le champ pour les déloger», précise le vice-président. A un niveau supérieur on préfère une autre méthode.

 

«l’Etat a décidé de créer un réseau national de distribution. Il s’agit de construire 35 marchés de gros, 800 marchés de détail et 1000 autres de proximité et ce, sur un échéancier de cinq ans (2009-2014) », indique M. Tifour, chargé de communication au niveau du ministère du Commerce.

 

La réalisation de ces infrastructures nécessitera une enveloppe budgétaire de 47 milliards de DA. Selon lui, mettre un terme à cette activité «passe impérativement par l’aménagement de marchés dans les cités nouvellement construites».

 

En attendant, l’UGCAA continue toujours de revendiquer une réduction de la TVA, actuellement à 17%, pour pouvoir tenir tête à l’informel.

 

Souhila H.

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Maghreb E Écrit par Oussama Nadjib Dimanche, 03 Avril 2011

Algérie – Le recul des autorités face à l’informel exaspère les commerçants légaux

Informel

 

Les commerçants légaux tentés par... le trottoir

 

 

 

 

 

Pour des raisons politiques, le gouvernement a décidé de ne plus s’attaquer au commerce informel qu’il soit gros ou petit. Du renoncement à l’incitation, il n’y a qu’un pas. Franchi pas des milliers de commerçants qui ont fermé boutique pour se mettre au trottoir. Une tendance qui risque de se généraliser alors que les besoins en « commerçants légaux » sont très loin d’être satisfaits.

 

 

 

 

 

La nouvelle tolérance des autorités à l’égard du marché informel indispose les commerçants légaux. Et ils commencent à le dire. Le porte-parole de l’Union Générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) M. El-Hadj Tahar Boulenouar a regretté le recul du gouvernement dans la lutte contre le commerce informel. Le responsable de l’UGCAA réagissait aux déclarations d’Ahmed Ouyahia qui confirmaient le quasi-renoncement à la lutte contre l’informel décidé après les émeutes de janvier dernier. « La contrebande et l’informel, si on les combat frontalement, on risque de déstabiliser le pays. On le fait par tranches », a expliqué Ahmed Ouyahia en justifiant l’abandon de l’obligation du recours au chèque pour les transactions de plus de 500.000 dinars. L’Union des commerçants considère que ces déclarations ont un effet incitateur au commerce informel. Ainsi pour la seule ville d’Oran, le marché informel a progressé de 20% en trois mois, soit depuis que le gouvernement a décrété la trêve dans la lutte contre l’informel. La tendance est partout la même. La « trêve » semble encourager de nouvelles vocations. « Certains s’improvisent commerçant informel car ils ont compris cherchait à aménager des espaces pour eux et ils veulent être de la partie », explique un « vieux » trabendiste en activité depuis une dizaine d’années. Ce nouveaux commerçants informels sont venus ajouter à l’exaspération des « légaux ».

 

Faire le trottoir… sans registre et sans taxes

 

Selon une enquête de l’UGCCA, le renoncement de l’Etat à combattre l’informel a incité plus de 20.000 commerçants à baisser le rideau au cours des trois derniers mois et a gelé leur registre de commerce. Ces mêmes commerçants se sont mis à exercer sur le trottoir en toute quiétude et sans avoir d’obligations fiscales ». Pour l’Union des commerçants, c’est là un des effets pervers du grand message de paix adressé par les pouvoirs publics au commerce informel. Le passage du local commercial au trottoir risque de se généraliser, estime-t-on. Il y a actuellement 1,5 millions de personnes qui s’adonnent au commerce informel contre 1,4 millions de commerçants inscrit au registre du commerce. Pour l’UGCCA, la tolérance à l’égard du commerce informel n’a pas lieu d’être car au vu des normes mondiales, les besoins de l’Algérie peuvent aller jusqu’à 3,5 millions de commerçants. Dans un récent entretien accordé à Maghreb Emergent, le patron de Cevital, Issad Rebrab, estimait que le recul de l’Etat sur cette question est d’autant plus préjudiciable qu’il existait chez les acteurs du commerce informel une disposition à aller vers des activités légales. « Nous sommes très proches des distributeurs et je peux vous assurer qu’ils étaient prêts à revenir dans le formel pour peu qu’on leurs garantissent une certaine marge bénéficiaire et que l’Etat ferme les yeux sur leur passifs avec l’administration fiscale. Aujourd’hui, les grossistes et les détaillants sont toujours prêts à revenir au formel à condition qu’ils aient des garanties ».

 

Sortir de la gestion « politique »

 

Au lieu d’une gestion « politique » qui consiste à laisser-faire pour éviter les contestations, ce qui est suggéré est donc une gestion économique incitative. Avec un manque à gagner pour le trésor public estimé par l’UGCAA a plus de 300 milliards de dinars par an, l’Etat a tout à gagner, selon eux, à inciter par des moyens économiques vers le retour au formel et à ne pas renoncer à la lutte contre le commerce illégal. Dans les milieux de l’organisation des commerçants on commence à songer à des actions plus visibles : des sit-in voire la grève.

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bonjour

 

Tout problème économique a un sousbassement politique.

Les vendeurs à la sauvette vendent les babioles et les gadgets importés par qui ?? réponds svp a cette question et tu sauras le vérité. il faut changer, élire des person,nes capables, compétentes, qui sauront promulguer des lois pour proteger l'economie nationale , donner un travail digne a nos enfants, et renflouer les caisses du tresor public, enfin tout un programme.

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bonjour

 

eh oui les apc sont polluées depuis fort longtemps , et d'ailleurs c'est quoi les prérogatives des apc, le code communal et les salahiates du maire , réduites comme une peau de chagrin, va voir l'etat des routes et des quartiers, c'est la récolte mon vieux.

 

- tappe "CNS informel Algérie", il y a une bonne étude sur l'informel.

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Slt,

je suis en chomage depuis longtemps, finalement j'ai décidé de profité de la bénédiction de la CNAC et voir ce que je peu faire, (sans même avoir un sou à la poche) à part des idées et des rêves et ....:crazy:

en faite, je pensé à demandé tout d'abord l'avis des jeune qui en déja réussi dans l'agriculture et en particulier ceux qui on investirent dans le secteur aviculture( volaille et poulailler)

j'aimerais bien trouvé parmi vous l'exemple pour en commencé, :clap:

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Slt,

je suis en chomage depuis longtemps, finalement j'ai décidé de profité de la bénédiction de la CNAC et voir ce que je peu faire, (sans même avoir un sou à la poche) à part des idées et des rêves et ....:crazy:

en faite, je pensé à demandé tout d'abord l'avis des jeune qui en déja réussi dans l'agriculture et en particulier ceux qui on investirent dans le secteur aviculture( volaille et poulailler)

j'aimerais bien trouvé parmi vous l'exemple pour en commencé, :clap:

 

- vous avez un terrain et le local?

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bonjour

je suis heureux de participer a ce debat sur le marche a la sauvette

 

Merci de votre intérêt.

Un très bon document que je vous recommande.

 

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET ... - CNES

http://www.cnes.dz/euromed/Plein24/APinformelfinal4.doc

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V : Les actions de lutte contre le commerce informel .... le CNES a soulevé les problèmes que pose, d'une manière persistante, le secteur informel à l'économie ...

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