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Algérie: Les marchands à la sauvette (informel).


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Et tu penses naivement que tes concitoyens vont nettoyer leurs places comme en France ? Et qui va , chaque jour , venir les déloger à 13 heures ? Peut être les premiers jours , mais après chacun achètera une prolongation d'activité et la mairie régularisera tout le monde ! :D

 

Je connais tellement bien notre système et notre peuple , que je peux d'avance te prédire le sort de n'importe quelle initiative .

salam

en france c'est l'apc qui netoye apres le marcher....

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bonsoir

Mais Zoubir , vous dites Patriotes dans les APC, tu nous prends pour qui , des tarés, le problème est national , c'est le chomage, il n' ya pas de travail, les richesses nationales sont mal réparties , allons un peu de bon sens , on aime tous notre pays l'algerie,

On ne cache pas le soleil avec un Gharbal (tamis).

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juste un détail la sauvette n'est plus d'actualité maintenant personne ne se sauve on s'impose ....

 

+1

Mais faut être crédule pour croire que c'est des petites gens qui viennent avec 3 ou 4 bricoles pour une recette de 200 DA. Depuis Janvier 2011, c'est un vrai raison mafieux qui s'est constitué, le gars gère 4 ou 5 étales qu'il confie à des petit jeune (qui eux ont besoin d'aide), tu lui proposerait un emplacement légal, il fait de cet emplacement une franchise, mais la boutique principale ça reste le trottoir

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Mais faut être crédule pour croire que c'est des petites gens qui viennent avec 3 ou 4 bricoles pour une recette de 200 DA. Depuis Janvier 2011, c'est un vrai raison mafieux qui s'est constitué, le gars gère 4 ou 5 étales qu'il confie à des petit jeune (qui eux ont besoin d'aide), tu lui proposerait un emplacement légal, il fait de cet emplacement une franchise, mais la boutique principale ça reste le trottoir

 

(APS) vendredi 2 mars 2012 14 : 43

Beaucoup d’efforts pour réglementer et organiser le secteur du commerce (Benbada)

 

TLEMCEN - Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a mis en exergue, jeudi à Tlemcen, les efforts déployés par son département pour réglementer et organiser le secteur du commerce.

 

Au cours d’une rencontre avec les responsables de son secteur et les opérateurs économiques locaux, le ministre a rappelé que de nombreux décrets exécutifs et décisions ministérielles ont été promulgués ces derniers mois pour réglementer le secteur du commerce.

 

Parmi ces textes, le ministre a cité le projet du décret exécutif relatif aux conditions de délivrance des registres de commerce dans 12 wilayas frontalières. "Ces régions, en raison de leurs spécificités, doivent faire l’objet d’un traitement particulier eu égard à la nature du commerce pratiqué", a-t-il précisé, tout en insistant sur la nécessité de lutter contre toutes les formes de commerce illicite.

 

M. Benbada a estimé que "la contrebande est un fléau difficile à éradiquer et nécessite également l’implication des pays limitrophes". Il a signalé, dans ce contexte, que plusieurs mesures seront prises pour réduire les conséquences de la contrebande. Il s’agit, entre autres, a-t-il dit, "de réactiver les textes règlementaires et l’adoption d’autres comme celui limitant la durée de validité du registre de commerce".

 

Ce nouveau texte permettra, selon le ministre, de distinguer les véritables opérateurs économiques des commerçants fictifs. M. Benbada a relevé, à ce propos, que dans la commune frontalière de Souani, il a été recensé 161 commerçants grossistes pour 191 détaillants, une situation qu’il considère "anormale".

 

Le ministre a également cité le décret exécutif portant modalités et conditions de création d’espaces commerciaux et une loi relative à la gestion des marchés de gros des fruits et légumes.

 

Evoquant le volet des infrastructures, M. Benbada a relevé que les pouvoirs publics ont accordé peu d’attention au secteur du commerce, comme le montrent toutes les cités d’habitations dépourvues d’espaces commerçants, "ce qui a permis l’apparition de marchés illégaux et sauvages", a-t-il dit.

 

Le ministre a rappelé que l’Etat, pour pallier cette situation, a consacré, à la faveur du 1er plan quinquennal, une enveloppe de 5,8 milliards de dinars afin de réhabiliter et de moderniser les espaces commerciaux des marchés de gros et couverts, alors que pour le 2ème plan quinquennal, cette enveloppe a atteint les 10 milliards de dinars.

 

Concernant la ressource humaine, le ministre a indiqué que 7.000 agents ont été recrutés pour les besoins de l’activité de contrôle. Le nombre des inspections territoriales est passé de 59 à 150, réparties à travers le territoire du pays.

 

Cette visite d’une journée a permis à M. Benbada d’inaugurer, au chef-lieu de wilaya, un nouvel espace commercial, aménagé au souk el fellah de la ville, comportant 54 stands attribués à des revendeurs à la sauvette.

 

Le ministre a également inauguré le nouveau marché de gros de la localité Ibn Techfine, le nouveau siège de la direction du commerce ainsi que 82 locaux réalisés à Mansourah, dans le cadre du programme présidentiel "100 locaux par commune".

 

Au titre de ce même programme, la wilaya de Tlemcen a bénéficié de 2109 locaux dont 1.361 sont fin prêts.

 

Dans la commune de Maghnia, le ministre a visité le projet de 98 locaux commerciaux réalisés au profit des jeunes ainsi que le centre de contrôle des marchandises où sont regroupés divers services (Douanes, Gendarmerie, Sûreté nationale ...).

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bonjour Zoubir

 

une blague pour toi

 

Un arabe rencontre un Kabyle , et lui dit , a quoi tu penses maintenant et le kabyle de répondre:

 

el vote wal vatata

 

Bonjour Clairvoyant.

Désolé, mais votre blague ne me fait pas rire. Je ne ri pas avec ce genre de sujet.

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Mardi, 06 Mars M Emergent

Mustapha Benbada : «Face à l’informel, la vérité des prix et la main levée fiscale Mais pouvons nous le faire ?»

 

 

 

Un important colloque sur l’économie informelle se tiendra à Alger le 12 mars prochain sous le parrainage du ministre du Commerce, en partenariat avec CARE, le Cercle d’action et de réflexion sur l’entreprise. Mustapha Benbada, le ministre du Commerce, a expliqué à ME.info et au Quotidien d’Oran comment il voudrait intégrer l’économie informelle. Un retour sur « les émeutes de l’huile et du sucre », des constats cinglants, des propositions audacieuses. Entretien exclusif.

 

 

 

Après les émeutes de janvier 2011, le gouvernement algérien a renoncé aux mesures de transparence sur les transactions commerciales, notamment l’obligation du chèque pour les transactions de plus de 500.000 dinars. Est-ce que vous n’avez pas préféré attribuer une trop grande influence au secteur informel pour ne pas reconnaître d’autres causes à la colère des jeunes ?

 

 

 

On a abusivement donné une lecture politique des événements auxquels vous faites référence qui sont survenus dans une conjoncture régionale sensible. Les manifestations étaient déjà en marche en Tunisie à ce moment-là. Le lien entre ces événements et la hausse des prix de l’huile et du sucre me paraît évident. J’étais sur le devant de la scène et c’est moi qui ai mis en évidence cette réalité, en me basant sur des faits.

 

Certes ce n’était pas quelque chose de préparé ou d’orchestré comme on a souvent tendance à le dire selon une théorie du complot très répandue chez nous. Mais ceci n’écarte pas la possibilité que des opérateurs aient profité de la conjoncture régionale au mois de janvier 2011 pour manœuvrer dans le sens de leurs intérêts. Ceci étant dit, ces manœuvres ont certainement donné une lecture politique aux événements de janvier.

 

Pour revenir à la substance de votre question, il est vrai que le gouvernement a reculé sur l’application d’un certain nombre de mesures, mais il faut avoir à l’esprit que la stabilité du pays était en jeu et que cette stabilité n’a pas de prix.

 

Je vous assure, en outre, que j’ai interpellé le gouvernement dès le mois d’octobre 2010 sur le suivi nécessaire pour l’application de la règle du chèque sur les transactions supérieures à 500.000 DA, prévue pour le 1er avril 2011. Ne serait-ce que pour évaluer son applicabilité sur le plan organisationnel. Après des discussions avec mes partenaires au gouvernement, nous nous sommes aperçus que le terrain n’était pas encore prêt pour son application.

 

Le gouvernement n’a cependant pas renoncé à l’application de cette règle. Ceci est illustré dans la directive du Chef de l’Etat lors du Conseil des ministres de février 2011 qui prévoit d’engager un débat sur la question du chèque avec les opérateurs économiques pour préparer les conditions de son applicabilité.

 

 

 

Dans votre approche de l’intégration de l’économie informelle, l’idée d’un rattrapage par les infrastructures est omniprésente. Est-ce que l’informel, en Algérie, est uniquement une question de lieux à pourvoir pour exercer des activités commerciales ?

 

 

 

Le phénomène de l’économie informelle n’est pas propre à l’Algérie. Il se manifeste dans tous les pays du monde. Ce sont seulement son mode d’expression et sa gravité qui diffèrent. Ma lecture la plus basique de l’informel, en tout cas de l’informel visible, c’est qu’il est le fruit de la déstructuration des circuits de distribution après le retrait des pouvoirs publics de la sphère économique réelle et la disparition de la grande distribution publique : les souks el Fellah, les Galeries algériennes et les grands organismes nationaux et régionaux par filières industrielles. L’Etat a donc abandonné le terrain vierge au privé, dans une conjoncture très difficile, celle du terrorisme des années 1990. Cette situation a laissé place à un système d’approvisionnement et de distribution improvisé et déstructuré et, surtout, échappant à tout contrôle des pouvoirs publics. C’est comme cela que le commerce informel s’est installé et a constitué, pendant longtemps, la source principale des approvisionnements et, il faut l’admettre aussi, une source d’emplois très importante.

 

S’attaquer brutalement à cette situation c’est se mettre devant un sérieux problème d’approvisionnement. Cela étant, nous avons identifié une population parmi ces opérateurs qui aspirent à avoir un statut. Nous avons pensé à leur donner un lieu identifié et structuré dans lequel les transactions soient codifiées. Ce qui profitera à tout le monde.

 

 

 

Mais est-ce que vous n’avez pas été un peu trop loin dans cette démarche en préconisant des marchés de gros même pour des produits industriels, ce qui a laissé dire que vous traitez des problèmes d’aujourd’hui avec des réponses étatiques des années 70 ?

 

 

 

Pas du tout ! Les marchés de gros des produits industriels ou agro-industriels existent dans le monde, sous d’autres appellations. Ils sont demandés par les professionnels des filières. Ce sont des lieux de compétitivité qui structurent le marché. En Algérie, l’Etat est revenu pour investir dans les marchés de gros après avoir constaté que les collectivités locales ne pouvaient financièrement consentir un tel investissement. De même, le privé n’a pas investi dans ce domaine. 4 ou 5 marchés d’envergure nationale et régionale sont indispensables pour structurer le réseau de distribution et créer un lieu de convergence pour ces produits, qu’ils soient importés ou locaux. Vous noterez au passage que lors des différents plans de dépenses publiques, il y a des budgets colossaux pour tous les départements sauf pour celui du commerce.

 

 

 

Il n’en reste pas moins que sur le front des politiques publiques, le retour en force des subventions, lui, ressemble à un retour au passé. L’élargissement, en 2011, de la liste des biens aux prix soutenu était censé être provisoire …

 

 

 

En effet. Mais nous touchons ici à un problème de fond sur l’orientation économique du pays. Que voulons-nous faire ? La phase de transition économique n’en finit pas. Il faut faire des choix économiques clairs, qui donnent des signaux réconfortants aux opérateurs. On a longtemps parlé d’une économie compétitive, avec une dimension sociale très importante. Maintenant nous avons les ressources nécessaires mais est-ce que ça va durer ? J’ai soulevé ce problème en février de l’année dernière, en appelant à un débat national sur le système des subventions. Pour l’anecdote, j’étais à Tlemcen cette semaine où on m’a posé le problème de la contrebande. Pour moi il n’y a qu’une seule solution efficace : c’est la vérité des prix. Mais est ce qu’on peut le faire maintenant ? Non on ne peut pas, parce que le gap est très important. Mais il fallait le faire au début des années 1990. Pour les carburants par exemple, si on avait appliqué un dinar d’augmentation par an, on aurait fait des économies d’énergie et réduit la facture des importations.

 

 

 

Vous parrainez la semaine prochaine un important colloque international à Alger sur l’économie informelle. L’économiste péruvien Hernando De Soto, réputé mondialement pour ses travaux sur l’intégration de l’informel dans les pays en développement, sera votre invité. Il défend l’idée que le poids de l’économie informelle dans un pays est souvent proportionnel aux coûts de la formalisation. Ce serait donc le carcan de l’administration algérienne qui encouragerait l’informel ?

 

 

 

Je ne partage pas cette vision pour ce qui est de notre pays. Les choses ont évolué. A titre d’exemple, le coût de la création d’entreprise n’est pas aussi important. Le gouvernement a essuyé des critiques qui l’ont amené à déréguler un peu. Pour ce qui est du secteur du commerce, à titre d’exemple le dossier d’obtention du registre du commerce est passé, pour les personnes morales, de 13 à 5 pièces administratives et de 7 à 3 pièces pour les personnes physiques ; il est délivrable en 24 heures. Donc, le problème ne se pose pas dans la création d’entreprise du commerce mais pour les entreprises du secteur productif qui font notamment face à l’épineux problème d’accès au foncier industriel.

 

 

 

Tout de même, il existe toujours cette tendance de l’administration à changer les règles tout le temps. Dernier exemple pour votre propre ministère, l’obligation de changer le registre de commerce tous les deux ans pour les importateurs et celle d’avoir un registre de commerce par groupe de produits importés et de séparer les locaux de stockage. Cela peut pousser des opérateurs à revenir à l’informel, non ?

 

 

Je ne le vois pas ainsi. Ce n’est pas normal que le registre de commerce soit le seul document qui soit délivré sans durée de validité. Cette situation a créé le phénomène de la sous-location du registre du commerce et d’autres pratiques malsaines. On a commencé par l’import parce qu’on a trouvé qu’avec le commerce de gros, la fraude a envahi ces deux sphères du commerce. La mesure va d’ailleurs s’étendre au gros. Rien que pour l’année 2011, on a relevé quelque 22 milliards de DA de marchandises non facturées. L’introduction de cette mesure a pour but d’identifier les véritables opérateurs, de fiabiliser notre système d’information. Les statistiques du CNRC nous donnent 35.000 opérateurs activant dans l’import-import. Avec cette mesure, couplée à la mesure du fichier national des fraudeurs, 12.000 opérateurs ont été radiés cette année. Théoriquement, il existe 23000 importateurs, dont moins de 2.000 activent régulièrement. Le renouvellement du registre de commerce est une formalité rapide pour l’opérateur qui nous permet d’actualiser notre base de données.

 

 

Le niveau de la pression fiscale en Algérie n’est-il pas un obstacle à la formalisation des activités informelles ?

 

 

 

Pas le niveau de la pression fiscale lui-même. L’Algérie est, sur ce point, bien classée sur le pourtour méditerranéen. La preuve en est que les opérateurs eux-mêmes ne se plaignent pas. Mon avis, cependant, est que des gestes spécifiques en direction des opérateurs informels sont nécessaires pour leur faire franchir le pas de l’intégration.

 

J’ai discuté avec une quinzaine d’opérateurs du marché de La Montagne (Alger, NDLR) après les événements de janvier 2011. L’un deux m’a dit qu’il ne déclarait que 10 % de son chiffre d’affaires parce que, pour lui, s’il déclarait tout selon la grille fiscale, l’Etat lui fermerait son commerce. La TAP (Taxe sur l'activité professionnelle, NDLR) pose un sérieux problème, surtout son effet cumulé. J’ai lancé une initiative avec le ministre des Finances qui serait une sorte d’engagement qu’il n’y aurait pas d’effet rétroactif de la TAP. Ma conviction est qu’une initiative du gouvernement peut amener un mouvement d’intégration de beaucoup d’acteurs de l’informel qui souhaitent sortir de leur situation précaire. Elle apporterait la garantie que les impôts ne vont pas produire des redressements fiscaux sur les activités passées.

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(suite)

Les Marocains et les Tunisiens ont réussi à réduire la part de l’informel dans leur économie en introduisant la traçabilité électronique dans les transactions commerciales. Le retard numérique algérien maintient archaïque le fonctionnement des entreprises et ne crée pas d’avantage comparatif vis-à-vis de l’informel. Comment faites-vous face à cela ?

 

 

 

Il faut reconnaître, en effet, que les TIC constituent un volet extrêmement important dans le développement et la modernisation des transactions commerciales et dans l’efficacité économique d’une manière globale. L’Algérie a vraiment accusé un énorme retard pour ce qui est de l’introduction des TIC dans les différentes sphères de l’économie. Heureusement que dans ce domaine, les retards se rattrapent très vite pour peu qu’une feuille de route précise soit tracée. Cette feuille de route est le projet E-Algérie 2013. Ce projet doit se concrétiser, même avec du retard. Ce qui a bloqué le bond vers le numérique est, à mon avis, la sécurisation des bases de données.

 

Ouvrir toute la plate-forme économique sur le réseau requiert des préalables qui ne sont, hélas, pas tous réunis devant les risques majeurs de piratage, surtout que nous sommes en Algérie, pour l’heure, des utilisateurs et non concepteurs.

 

On a accusé du retard, certes, mais la sécurité des données est essentielle. C’est pour cela qu’on doit limiter au plus bas notre dépendance en matière de sécurisation des données qui touchent à la sécurité nationale. Il faut reconnaître également que le secteur bancaire a fait des progrès, surtout au niveau des paiements de masse. Au niveau de la grande distribution, il faut des incitations fiscales et autres pour, au moins, réduire la quantité de la monnaie fiduciaire en circulation.

 

Maintenant, au niveau de notre département, nous avons mis en place le système du registre de commerce télématique, où il est possible d’avoir une carte d’abonnement pour accéder à de nombreux services qui facilitent la vie aux usagers. La gestion électronique des documents a été introduite. Le registre de commerce électronique est en phase d’étude de faisabilité. Je reste convaincu qu’il faut investir encore plus dans les TIC pour gagner en efficacité et atteindre nos objectifs à des coûts vraiment réduits.

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  • 1 month later...
Guest mounir 19

impossible l'informel est la part qui revient au peuple des miettes quoi !

on ferme les yeux sur ce que tu fais et tu détourne les tiennes de ce qu'on fait nous voila la règle du jeu !

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impossible l'informel est la part qui revient au peuple des miettes quoi !

on ferme les yeux sur ce que tu fais et tu détourne les tiennes de ce qu'on fait nous voila la règle du jeu !

 

En fait, il faut s'attaquer aux barons de l'informel:

- grossistes,

- fonctionnaires maffieux.

 

Le petit jeune qui vend sur le trottoire, lui il n'est pour rien.

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Salam;

- la presse se fait l'écho de l'augmentation de ces vendeurs dans nos villes,

- si ces Algériens vendent différentes choses sur les trottoires, c'est qu'ils sont au chômage,

- on ne peut donc pas les blâmer,

- mais comment les professionnaliser afin qu'ils ne s'installent pas n'importe où dans la ville?

 

VOS SUGGESTIONS:

- je vous propose d'ouvrir le débat.

- à mon humble avis, on pourrait (les APC):

- leur proposer des lieux adéquats pour se poser de 6h30 à 13h30 sur des lieux de marchés bi ou tri-hebdomadaires,

- leur faire payer une taxe d'emplacement,

- leur proposer des stands-forains démontable (il y a différents types),

- l'APC organisant le nettoyage des lieux après "la remballe" à 13h30.

 

Slm zoubir,

je comprends rien avec toi mais tu vis en france ou au bled toi? :confused:

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Guest mounir 19
En fait, il faut s'attaquer aux barons de l'informel:

- grossistes,

- fonctionnaires maffieux.

 

Le petit jeune qui vend sur le trottoire, lui il n'est pour rien.

 

.............

 

pas du tout on ne tue pas un serpent en lui coupant la queue c'est la tête qu'il faut visé ! :D

bien avant le grossiste y a l'importateur et derrière chaque importateur y a monsieur X qui facilite la tache et derrière chaque monsieur X y a monsieur Y qui gère le service et derrière chaque service y a un monsieur B qui gère le tout pour arriver enfin a monsieur A qui déicide s'il doit fermer les yeux ou pas sur les monsieur X Y B ! :D

encore une fois l'informel est une façon de gérer tu la ferme sur ce que je fais et je fais pas attention a ce que tu fais a tu compris monsieur Z ? :D

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