Jump to content

Syrie : la nouvelle Constitution basée sur le pluralisme


Recommended Posts

Bonne évolution du régime vers la démocratie.

Pas besoin de la fawdha des chouyoukh des monarchies pétrolières.

Qu'ils essayent de mettre leur trône en jeu avec des élections!

Syrie : la nouvelle Constitution basée sur le pluralisme

 

 

Par lefigaro.fr Mis à jour le 15/02/2012

 

Le projet de nouvelle Constitution, qui doit être soumis le 26 février par référendum, ne contient plus de clause sur la primauté du Baas, mettant ainsi fin au monopole de ce parti depuis près de 50 ans.

• Une nouvelle constitution, basée sur le «pluralisme politique»

 

L'horizon s'éclaircit-il enfin en Syrie? Bachar el-Assad , confronté depuis onze mois à une révolte populaire sans précédent, a décidé d'organiser un référendum le 26 février sur une nouvelle Constitution fondée sur le pluralisme, qui mettrait fin à la primauté du parti Baas. En janvier, le président syrien avait annoncé pour début mars la tenue d'un tel scrutin. «Le système politique sera basé sur le principe du pluralisme politique et le pouvoir sera exercé démocratiquement à travers des élections», selon le texte du projet diffusé mercredi par l'agence de presse officielle Sana. «Les partis politiques autorisés contribueront à la vie politique» et il est «interdit de créer des partis sur des bases religieuses, confessionnelles ou raciales», ajoute-t-il.

 

«Le président de la République sera élu directement par le peuple pour deux mandats successifs», indique le texte, ajoutant que «la religion du président est l'islam» et que «la jurisprudence islamique est source de toute législation». La jurisprudence diffère de la charia (loi islamique) dans le sens où il s'agit de l'interprétation du Coran par les théologiens musulmans.

 

«La liberté est un droit sacré» et «l'Etat garantit aux citoyens, qui sont égaux, leur liberté personnelle et préserve leur dignité et sécurité», ajoute le projet.

 

La clause sur la primauté du parti Baas disparaît du projet, mettant ainsi fin au monopole de ce parti depuis près de 50 ans. Dans la Constitution actuelle, adoptée par le Parlement le 31 janvier 1973, l'article 8 stipule en effet que «le parti Baas (au pouvoir depuis 1963) est le dirigeant de l'Etat et de la société». Au début du mouvement de contestation, la suppression de cette clause était l'une des revendications essentielles des opposants qui réclament maintenant le départ pur et simple de Bachar al-Assad.

 

L'Etat respectera toutes les religions et garantira la liberté des cultes» en Syrie, un pays multiconfessionnel et multiethnique, indique encore le texte. La première clause du projet stipule que «la République arabe syrienne est un Etat démocratique entièrement souverain et indivisible», poursuit le texte qui juge illicite de «renoncer à une (quelconque) partie du territoire et que le peuple en Syrie fait partie de la nation arabe». «Le régime est démocratique, la souveraineté étant confiée au peuple, et est basée sur la gouvernance du peuple par le peuple», poursuit le texte.

 

«Les législatives auront lieu 90 jours après le référendum» sur la constitution, selon le projet.

Link to post
Share on other sites
Bonne évolution du régime vers la démocratie.

Pas besoin de la fawdha des chouyoukh des monarchies pétrolières.

Qu'ils essayent de mettre leur trône en jeu avec des élections!

Syrie : la nouvelle Constitution basée sur le pluralisme

 

 

Par lefigaro.fr Mis à jour le 15/02/2012

 

Le projet de nouvelle Constitution, qui doit être soumis le 26 février par référendum, ne contient plus de clause sur la primauté du Baas, mettant ainsi fin au monopole de ce parti depuis près de 50 ans.

• Une nouvelle constitution, basée sur le «pluralisme politique»

 

L'horizon s'éclaircit-il enfin en Syrie? Bachar el-Assad , confronté depuis onze mois à une révolte populaire sans précédent, a décidé d'organiser un référendum le 26 février sur une nouvelle Constitution fondée sur le pluralisme, qui mettrait fin à la primauté du parti Baas. En janvier, le président syrien avait annoncé pour début mars la tenue d'un tel scrutin. «Le système politique sera basé sur le principe du pluralisme politique et le pouvoir sera exercé démocratiquement à travers des élections», selon le texte du projet diffusé mercredi par l'agence de presse officielle Sana. «Les partis politiques autorisés contribueront à la vie politique» et il est «interdit de créer des partis sur des bases religieuses, confessionnelles ou raciales», ajoute-t-il.

 

«Le président de la République sera élu directement par le peuple pour deux mandats successifs», indique le texte, ajoutant que «la religion du président est l'islam» et que «la jurisprudence islamique est source de toute législation». La jurisprudence diffère de la charia (loi islamique) dans le sens où il s'agit de l'interprétation du Coran par les théologiens musulmans.

 

«La liberté est un droit sacré» et «l'Etat garantit aux citoyens, qui sont égaux, leur liberté personnelle et préserve leur dignité et sécurité», ajoute le projet.

 

La clause sur la primauté du parti Baas disparaît du projet, mettant ainsi fin au monopole de ce parti depuis près de 50 ans. Dans la Constitution actuelle, adoptée par le Parlement le 31 janvier 1973, l'article 8 stipule en effet que «le parti Baas (au pouvoir depuis 1963) est le dirigeant de l'Etat et de la société». Au début du mouvement de contestation, la suppression de cette clause était l'une des revendications essentielles des opposants qui réclament maintenant le départ pur et simple de Bachar al-Assad.

 

L'Etat respectera toutes les religions et garantira la liberté des cultes» en Syrie, un pays multiconfessionnel et multiethnique, indique encore le texte. La première clause du projet stipule que «la République arabe syrienne est un Etat démocratique entièrement souverain et indivisible», poursuit le texte qui juge illicite de «renoncer à une (quelconque) partie du territoire et que le peuple en Syrie fait partie de la nation arabe». «Le régime est démocratique, la souveraineté étant confiée au peuple, et est basée sur la gouvernance du peuple par le peuple», poursuit le texte.

 

«Les législatives auront lieu 90 jours après le référendum» sur la constitution, selon le projet.

 

Qui peut croire a tout ces bobards ?

Link to post
Share on other sites
Bonne évolution du régime vers la démocratie.

Pas besoin de la fawdha des chouyoukh des monarchies pétrolières.

Qu'ils essayent de mettre leur trône en jeu avec des élections!

Syrie : la nouvelle Constitution basée sur le pluralisme

 

 

Par lefigaro.fr Mis à jour le 15/02/2012

 

Le projet de nouvelle Constitution, qui doit être soumis le 26 février par référendum, ne contient plus de clause sur la primauté du Baas, mettant ainsi fin au monopole de ce parti depuis près de 50 ans.

• Une nouvelle constitution, basée sur le «pluralisme politique»

 

L'horizon s'éclaircit-il enfin en Syrie? Bachar el-Assad , confronté depuis onze mois à une révolte populaire sans précédent, a décidé d'organiser un référendum le 26 février sur une nouvelle Constitution fondée sur le pluralisme, qui mettrait fin à la primauté du parti Baas. En janvier, le président syrien avait annoncé pour début mars la tenue d'un tel scrutin. «Le système politique sera basé sur le principe du pluralisme politique et le pouvoir sera exercé démocratiquement à travers des élections», selon le texte du projet diffusé mercredi par l'agence de presse officielle Sana. «Les partis politiques autorisés contribueront à la vie politique» et il est «interdit de créer des partis sur des bases religieuses, confessionnelles ou raciales», ajoute-t-il.

 

«Le président de la République sera élu directement par le peuple pour deux mandats successifs», indique le texte, ajoutant que «la religion du président est l'islam» et que «la jurisprudence islamique est source de toute législation». La jurisprudence diffère de la charia (loi islamique) dans le sens où il s'agit de l'interprétation du Coran par les théologiens musulmans.

 

«La liberté est un droit sacré» et «l'Etat garantit aux citoyens, qui sont égaux, leur liberté personnelle et préserve leur dignité et sécurité», ajoute le projet.

 

La clause sur la primauté du parti Baas disparaît du projet, mettant ainsi fin au monopole de ce parti depuis près de 50 ans. Dans la Constitution actuelle, adoptée par le Parlement le 31 janvier 1973, l'article 8 stipule en effet que «le parti Baas (au pouvoir depuis 1963) est le dirigeant de l'Etat et de la société». Au début du mouvement de contestation, la suppression de cette clause était l'une des revendications essentielles des opposants qui réclament maintenant le départ pur et simple de Bachar al-Assad.

 

L'Etat respectera toutes les religions et garantira la liberté des cultes» en Syrie, un pays multiconfessionnel et multiethnique, indique encore le texte. La première clause du projet stipule que «la République arabe syrienne est un Etat démocratique entièrement souverain et indivisible», poursuit le texte qui juge illicite de «renoncer à une (quelconque) partie du territoire et que le peuple en Syrie fait partie de la nation arabe». «Le régime est démocratique, la souveraineté étant confiée au peuple, et est basée sur la gouvernance du peuple par le peuple», poursuit le texte.

 

«Les législatives auront lieu 90 jours après le référendum» sur la constitution, selon le projet.

 

Qui peut croire a tout ces bobards ?

Link to post
Share on other sites
Guest mounir 19
Bonne évolution du régime vers la démocratie.

Pas besoin de la fawdha des chouyoukh des monarchies pétrolières.

Qu'ils essayent de mettre leur trône en jeu avec des élections!

Syrie : la nouvelle Constitution basée sur le pluralisme

 

 

Par lefigaro.fr Mis à jour le 15/02/2012

 

Le projet de nouvelle Constitution, qui doit être soumis le 26 février par référendum, ne contient plus de clause sur la primauté du Baas, mettant ainsi fin au monopole de ce parti depuis près de 50 ans.

• Une nouvelle constitution, basée sur le «pluralisme politique»

 

L'horizon s'éclaircit-il enfin en Syrie? Bachar el-Assad , confronté depuis onze mois à une révolte populaire sans précédent, a décidé d'organiser un référendum le 26 février sur une nouvelle Constitution fondée sur le pluralisme, qui mettrait fin à la primauté du parti Baas. En janvier, le président syrien avait annoncé pour début mars la tenue d'un tel scrutin. «Le système politique sera basé sur le principe du pluralisme politique et le pouvoir sera exercé démocratiquement à travers des élections», selon le texte du projet diffusé mercredi par l'agence de presse officielle Sana. «Les partis politiques autorisés contribueront à la vie politique» et il est «interdit de créer des partis sur des bases religieuses, confessionnelles ou raciales», ajoute-t-il.

 

«Le président de la République sera élu directement par le peuple pour deux mandats successifs», indique le texte, ajoutant que «la religion du président est l'islam» et que «la jurisprudence islamique est source de toute législation». La jurisprudence diffère de la charia (loi islamique) dans le sens où il s'agit de l'interprétation du Coran par les théologiens musulmans.

 

«La liberté est un droit sacré» et «l'Etat garantit aux citoyens, qui sont égaux, leur liberté personnelle et préserve leur dignité et sécurité», ajoute le projet.

 

La clause sur la primauté du parti Baas disparaît du projet, mettant ainsi fin au monopole de ce parti depuis près de 50 ans. Dans la Constitution actuelle, adoptée par le Parlement le 31 janvier 1973, l'article 8 stipule en effet que «le parti Baas (au pouvoir depuis 1963) est le dirigeant de l'Etat et de la société». Au début du mouvement de contestation, la suppression de cette clause était l'une des revendications essentielles des opposants qui réclament maintenant le départ pur et simple de Bachar al-Assad.

 

L'Etat respectera toutes les religions et garantira la liberté des cultes» en Syrie, un pays multiconfessionnel et multiethnique, indique encore le texte. La première clause du projet stipule que «la République arabe syrienne est un Etat démocratique entièrement souverain et indivisible», poursuit le texte qui juge illicite de «renoncer à une (quelconque) partie du territoire et que le peuple en Syrie fait partie de la nation arabe». «Le régime est démocratique, la souveraineté étant confiée au peuple, et est basée sur la gouvernance du peuple par le peuple», poursuit le texte.

 

«Les législatives auront lieu 90 jours après le référendum» sur la constitution, selon le projet.

 

............

 

j y crois pas un seul instant a ses reforme mais si ca devait arriver ils auront le mérite de l'avoir forcé a le faire :D

Link to post
Share on other sites
Qui peut croire a tout ces bobards ?

- Pourquoi bobards?

- il s'agit d'un texte politique décidé par la Nation syrienne,

- il y a des chances que le OUI l'emporte,

- le parti Baath reconnait la pluralité des opinions,

- il s'agit là d'un processus démocratique.

- et c'est bien mieux que la fawdha proposée par l'émir du qatar (qui s'est fait hué à Tunis). :wavetowel::wavetowel:

Link to post
Share on other sites

"il y a des chances que le OUI l'emporte"

 

En tant normal il ferait 99%

 

Pour le coup ils devront un peu délester les urnes pour arriver à un 60 - 70% qui sonne plus crédible

 

D'autant plus qu'il y a un appel au boycott du référendum de la part des opposants

 

A t'on idée de faire une consultation électorale en pleine guerre civile....

Link to post
Share on other sites

maintenant que bachar s'est rendu compte de ce qui se trame contre son pays et son peuple et qui sont leur vrais ennemis .qu'il aille sincérement et jusqu'au bout dans ses réformes .son pays est en danger et les guetteurs attendront toujours la moindre erreur.

Link to post
Share on other sites
"il y a des chances que le OUI l'emporte"

 

En tant normal il ferait 99%

 

Pour le coup ils devront un peu délester les urnes pour arriver à un 60 - 70% qui sonne plus crédible

 

D'autant plus qu'il y a un appel au boycott du référendum de la part des opposants

 

A t'on idée de faire une consultation électorale en pleine guerre civile....

 

- "guerre civile", quelle exagération (Bab Amro à Homs n'est pas toute la Libye, ne reprenez pas les articles du Figaro et d'El Watan tel quel).

- quant au %, on verra les résultats.

Link to post
Share on other sites
- "guerre civile", quelle exagération (Bab Amro à Homs n'est pas toute la Libye, ne reprenez pas les articles du Figaro et d'El Watan tel quel).

- quant au %, on verra les résultats.

 

Oui c'est sur on reprend trop les articles du Figaro et d'El Watan tel quel.

Quand ce n'est pas tf1 ou les chaines qataries.

C'est a ce demander dans quel monde qui n'existe pas vis tu ?

Link to post
Share on other sites
Oui c'est sur on reprend trop les articles du Figaro et d'El Watan tel quel.

Quand ce n'est pas tf1 ou les chaines qataries.

C'est a ce demander dans quel monde qui n'existe pas vis tu ?

 

- il est évident que les troubles sont limitées à quelques localités,

- elles ne concernent pas, loin de là, l'ensemble du pays.

- par ce vote, les Syriens ont montré qu'ils veulent un processus démocratique PACIFIQUE. :music_whistling:

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...