Maroc - Hausse de la dette extérieure à près de 20 milliards de dollars en 2010

[helena 10]

Le ralentissement de la croissance, les tombées d’échéance sur des prêts bancaires et la baisse des activités industrielles pèsent sur l’économie du Royaume en 2010. La dette extérieure publique enregistre une hausse à près de 20 milliards de dollars à fin septembre de la même année.

 

 

 

La dette extérieure publique du Maroc augmente. Le recours aux emprunts sur les marchés de capitaux pour gérer un manque évident de liquidités sur le marché interbancaire local, a grossi le stock et l’encours de la dette publique marocaine. Selon les derniers chiffres du ministère marocain de l’Economie et des Finances, la dette extérieure publique marocaine s’est élevée à 162,685 milliards de dirhams (1 euro = 11 DH), soit un peu plus de 20 milliard de dollars à fin septembre 2010. A la fin du deuxième trimestre 2010, elle était de 160,905 milliards de DH contre seulement 152,267 milliards de DH (19,4 milliards de dollars) au titre de toute l’année 2009. La dette représente ainsi près de 20% du PIB à fin septembre 2010, et l’ensemble de l’encours a été enregistré à moyen et long terme. En tête des créanciers, les institutions internationales qui ont accordé au Maroc 51,9 % de sa dette extérieure. A eux seuls, les créances membres de l’Union européenne représentent 26,5% de la dette extérieure publique marocaine au troisième trimestre 2010, suivies des créances de divers pays à hauteur de 11 %, des banques commerciales à 6,8 % et enfin les pays arabes à 3,9 %.

 

 

 

 

Progression en 2010 et en 2011

 

 

A fin 2009, la dette extérieure publique du Maroc s’était établie à 19,4 milliards de dollars, indique la direction du Trésor et des Finances extérieures (DTFE). Selon la DTFE, le stock de la dette extérieure publique du Maroc est en hausse constante depuis au moins cinq années. Fin 2009, l’encours de la dette extérieure publique avait dépassé le seuil de 150 milliards de dirhams (MDh), pour atteindre les 152,2 MDh, soit 19,4 milliards de dollars US contre à peu près 12,5 milliards de dollars US en 2005. Cet encours, en hausse de 14% en 2009 par rapport à 2008, devrait encore augmenter en 2010, selon les prévisions de la DTFE. Ainsi, les charges de cette dette vont gonfler. La DTFE prévoit un accroissement des remboursements en principal, alors que les amortissements de la dette extérieure publique, contenus difficilement à hauteur de 9,3 MDH en 2009, devraient rebondir pour avoisiner les 11 Milliards de dirhams en 2010, puis 12 Milliards de dirhams en 2011.

 

 

Pressions inflationnistes

 

 

Cette évolution, qui concerne aussi bien la dette du Trésor que la dette des EEP (établissements et entreprises publics), est le résultat de l'augmentation enregistrée par le stock de la dette extérieure publique. Celui-ci a bondi de 115,3 MDh en 2004 à 152,2 MDh en 2009 et à 162,68 milliards de dirhams à la fin du 3é trimestre 2010. Quant au portefeuille devises de cette dette extérieure publique du Maroc, il se compose à 72,8% en Euro, note la DTFE. Elle précise que la dette extérieure du trésor est à hauteur de 63,6 % remboursable par taux d’intérêt fixe et à 34,8 % par taux d’intérêt flottant, tandis que le semi-fixe totalise à peine 1,6 % du total des créances du Trésor. Les pressions inflationnistes ont ainsi marqué l’année 2010 au Maroc avec une hausse quasi généralisée de tous les produits alimentaires et agricoles, les services et l’habillement, avec un taux moyen de plus de 4%. Pour 2011, la même tendance à l’endettement est prévue par les experts, selon lesquels le Maroc ne peut dans la conjoncture économique internationale actuelle stopper le cycle de son endettement, au risque de mettre en péril la reprise de la croissance.

 

Maghreb emergent

[aqchiche 10]

tkt pas,y a Israël et les USA qui vont rembourser

[Sydney 10]

Le ralentissement de la croissance, les tombées d’échéance sur des prêts bancaires et la baisse des activités industrielles pèsent sur l’économie du Royaume en 2010. La dette extérieure publique enregistre une hausse à près de 20 milliards de dollars à fin septembre de la même année.

 

 

 

La dette extérieure publique du Maroc augmente. Le recours aux emprunts sur les marchés de capitaux pour gérer un manque évident de liquidités sur le marché interbancaire local, a grossi le stock et l’encours de la dette publique marocaine. Selon les derniers chiffres du ministère marocain de l’Economie et des Finances, la dette extérieure publique marocaine s’est élevée à 162,685 milliards de dirhams (1 euro = 11 DH), soit un peu plus de 20 milliard de dollars à fin septembre 2010. A la fin du deuxième trimestre 2010, elle était de 160,905 milliards de DH contre seulement 152,267 milliards de DH (19,4 milliards de dollars) au titre de toute l’année 2009. La dette représente ainsi près de 20% du PIB à fin septembre 2010, et l’ensemble de l’encours a été enregistré à moyen et long terme. En tête des créanciers, les institutions internationales qui ont accordé au Maroc 51,9 % de sa dette extérieure. A eux seuls, les créances membres de l’Union européenne représentent 26,5% de la dette extérieure publique marocaine au troisième trimestre 2010, suivies des créances de divers pays à hauteur de 11 %, des banques commerciales à 6,8 % et enfin les pays arabes à 3,9 %.

 

 

 

 

Progression en 2010 et en 2011

 

 

A fin 2009, la dette extérieure publique du Maroc s’était établie à 19,4 milliards de dollars, indique la direction du Trésor et des Finances extérieures (DTFE). Selon la DTFE, le stock de la dette extérieure publique du Maroc est en hausse constante depuis au moins cinq années. Fin 2009, l’encours de la dette extérieure publique avait dépassé le seuil de 150 milliards de dirhams (MDh), pour atteindre les 152,2 MDh, soit 19,4 milliards de dollars US contre à peu près 12,5 milliards de dollars US en 2005. Cet encours, en hausse de 14% en 2009 par rapport à 2008, devrait encore augmenter en 2010, selon les prévisions de la DTFE. Ainsi, les charges de cette dette vont gonfler. La DTFE prévoit un accroissement des remboursements en principal, alors que les amortissements de la dette extérieure publique, contenus difficilement à hauteur de 9,3 MDH en 2009, devraient rebondir pour avoisiner les 11 Milliards de dirhams en 2010, puis 12 Milliards de dirhams en 2011.

 

 

Pressions inflationnistes

 

 

Cette évolution, qui concerne aussi bien la dette du Trésor que la dette des EEP (établissements et entreprises publics), est le résultat de l'augmentation enregistrée par le stock de la dette extérieure publique. Celui-ci a bondi de 115,3 MDh en 2004 à 152,2 MDh en 2009 et à 162,68 milliards de dirhams à la fin du 3é trimestre 2010. Quant au portefeuille devises de cette dette extérieure publique du Maroc, il se compose à 72,8% en Euro, note la DTFE. Elle précise que la dette extérieure du trésor est à hauteur de 63,6 % remboursable par taux d’intérêt fixe et à 34,8 % par taux d’intérêt flottant, tandis que le semi-fixe totalise à peine 1,6 % du total des créances du Trésor. Les pressions inflationnistes ont ainsi marqué l’année 2010 au Maroc avec une hausse quasi généralisée de tous les produits alimentaires et agricoles, les services et l’habillement, avec un taux moyen de plus de 4%. Pour 2011, la même tendance à l’endettement est prévue par les experts, selon lesquels le Maroc ne peut dans la conjoncture économique internationale actuelle stopper le cycle de son endettement, au risque de mettre en péril la reprise de la croissance.

 

Maghreb emergent

 

Ce n'est pas vrai

ce sont de faux chiffres

vous n'êtes que des formatés du FLN:busted_blue: :mdr: :mdr:

[djallalnamri 10]

bonjour monsieur le f.m.i.

[Guest Gass]

bonjour monsieur le f.m.i.

Monsieur fi fou mi :ohmy: