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Deux cents chercheurs algériens sont revenus au pays.


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Je parlais des salaires accordés aux chercheurs qui rentrent au pays.

Les conditions de retour ont été nettement augmentées.:beer_smile:

 

Tout ca c'est bien beau, bon leurs conditions ont été augmentées mais les structures de recherche elles sont ou ? Y a t'il un CNRS ? Ou un équivalant, ou seulement des salaires pour les chercheurs d'emplois sans emploi a la recherche d'un emploi.

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Tout ca c'est bien beau, bon leurs conditions ont été augmentées mais les structures de recherche elles sont ou ? Y a t'il un CNRS ? Ou un équivalant, ou seulement des salaires pour les chercheurs d'emplois sans emploi a la recherche d'un emploi.

 

- il faut aller chercher l'info suite à vos questions,

- en tout cas, que 200 chercheurs de haut niveau rentrent interpelle. C'est un phénomène qui n'est pas anecdotique. Il se passe qlq chose.

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Il se passe qlq chose.

 

Ça c'est quand on veut croire a qlq chose et surtout lorsque l'on est nationaliste on imagine toute sorte de chose, ça réconforte !

Mais quand on ne l'est pas, c'est pas qu'on ne peut pas, c'est que l'on y croit plus.

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Deux cents chercheurs algériens sont revenus au pays en 2011 Merouane Mokdad

 

Deux cents chercheurs algériens vivant à l’étranger sont retournés au pays en 2011. L’annonce a été faite dimanche par Abdelhafid Aourag, directeur de la recherche scientifique au ministère de l’Enseignement supérieur, invité de la chaîne III de la radio nationale.

 

Pour illustrer son propos, il a évoqué le recrutement cette semaine par l’université de Chlef et de Saïda de deux chercheurs en génomique et en biologie moléculaire. « Ces deux chercheurs publient leurs travaux dans la revue de référence Nature. Cela veut dire que des chercheurs de haut niveau reviennent parce que leur situation socio‑économique dans le pays a été nettement améliorée. Nous essayons, dans la mesure du possible, de garantir au chercheur le même environnement qu’il a déjà à l’étranger. Il est vrai qu’il y a une année, la situation de l’enseignant n’était pas reluisante. Personne n’était tenté de revenir. Aujourd’hui, le niveau social a été relevé. Un statut a été donné à l’enseignant. Les conditions ont donc changé. Je suis sûr que dans les années qui viennent, ce processus de mobilité va se renverser. Nous aurons plus de chercheurs qui reviennent que ceux qui repartent », a‑t‑il expliqué.

 

Pourtant, 50 % des étudiants qui partent à l’étranger ne retournent pas au pays. Entre 1994 et 2006, 71 000 chercheurs et cadres ont quitté l’Algérie. « Il faut positiver la fuite des cerveaux. Avoir autant de chercheurs algériens à l’étranger, c’est avoir autant de capacités potentielles qui pourront être mises au service de l’Algérie. Nous avons mis en place des mécanismes pour permettre à ces chercheurs d’interagir avec leurs collègues en Algérie. Les textes sont encourageants du point de vue rémunération. Leur voyage et hébergement sont pris en charge par l’État pourvu qu’ils nous apportent un plus avec un projet structurant », a souligné Abdelhafid Aourag. Il a plaidé pour le rapprochement de l’université du monde socio‑économique en encourageant la mobilité des compétences dans les deux sens et a insisté sur la durabilité de la recherche. Il est important, selon lui, de dépasser les programmes nationaux de recherche et les opérations ponctuelles.

 

Trente‑quatre programmes nationaux ont été retenus lors du précédent plan quinquennal qui s’achève en 2012. Un plan doté de 100 milliards de dinars. « Aujourd’hui, nous sommes à peu près 600 chercheurs pour un million d’habitants alors que la norme universelle est de 1 080 chercheurs pour un million d’habitants. La carence est donc liée à la mobilisation de ressources humaines, pas aux infrastructures. Il faut qu’on redonne confiance aux chercheurs à travers un processus de formation continue. La clef de la réussite du système national de recherche est de garantir une mobilité totale des chercheurs. Grâce à cela nous pouvons créer la compétitivité », a‑t‑il relevé.

 

Deux cents chercheurs algériens sont revenus au pays en 2011 - Divers - Tout sur l'Algérie - page 1

 

A quoi ça sert de parler de ceux qui reviennent, alors qu'on exploite toujours pas le potentiel de ceux qui ne sont jamais partis?

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Guest mackiavelik
plus d'idées que les 200 chercheurs réunis

 

Oui, en plus, il manque en Algérie des Zoubir environnementalistes, préoccupés par la santé du peuple, luttant contre la malbouffe...etc

 

Je créerai une pétition demandant le retour de Mr.Zoubir!:cool:

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Oui, en plus, il manque en Algérie des Zoubir environnementalistes, préoccupés par la santé du peuple, luttant contre la malbouffe...etc

 

Je créerai une pétition demandant le retour de Mr.Zoubir!:cool:

 

Merci kouya

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Le projet de zouzou c est l exportation nte3 erwina....il apprend tres dur chez mama franssa comme tu dis...il se forme...etc pour determiner la meilleure facon de le faire..ensuite il rentre pour l appliquation DIRIKT....voila rahou ma3dour.....:chair:

ouais c est vrai! Nous les " immigres" on est parfois considere comme des traitres alors qu on se sacrifie pour notre mere adoree l Algerie :(

 

a plus. Je retourne au labo faire des experiences pour obtenir des grains de couscous carres. Vous imaginez le gain de place obetnu quand on en exportera dans le monde entier :o

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Je pense que cela concerne des gens de bas niveau qui n'ont pas les outils intellectuels afin de répondre.

je ne pense pas zoubir.

 

Autant je trouvais tes topics positifs, autant je les trouve maintenant limite irrespectueux.

Tu ne veux pas ecouter ceux qui sont " sur place", et vrai, a t entendre etre si confiant dans le potentiel de l Algerie et a avoir tant de solutions pratiques a proposer, on ne peut s empecher de se demander pourquoi tu n y retournes pas?

 

Je viens juste de voir un de tes posts sur le topic des achats sur le net.

Tu ne sais meme pas si ce genre d achats existent en Algerie mais je sens bien le post suivant ou tu proposeras de developper ca.

 

tes posts, c est le fameux " mais pourquoi ne mangent ils pas de la brioche?" de marie antoinette quand son peuple reclamait du pain

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je ne pense pas zoubir.

(...)

 

Chouffi chouffi ya khti,

Il y a 3 catégories de gens:

- ceux qui ne savent que parler sur les gens "el guil oua el gual",

- ceux qui parlent des faits,

- ceux qui parlent des idées.

Moi, je préfère cette dernière catégorie. Les autres m'importent peu.

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Guest prenpalatete
Chouffi chouffi ya khti,

Il y a 3 catégories de gens:

- ceux qui ne savent que parler sur les gens "el guil oua el gual",

- ceux qui parlent des faits,

- ceux qui parlent des idées.

Moi, je préfère cette dernière catégorie. Les autres m'importent peu.

 

à mon avis khouya Zoubir parler des faits n'est pas une mauvaise chose ,c'est meme ce qui découlent des idées ,mais bon c'est sans doute une lapalissade!

Ps je te reprocherai un truc quand meme: c'esr lorsque tu nous bombardes de copié collé ,ils sont tellement nombreux qu'on est un peu groggy.

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ouais c est vrai! Nous les " immigres" on est parfois considere comme des traitres alors qu on se sacrifie pour notre mere adoree l Algerie :(

 

a plus. Je retourne au labo faire des experiences pour obtenir des grains de couscous carres. Vous imaginez le gain de place obetnu quand on en exportera dans le monde entier :o

 

 

celui ou celle qui traite les imigrés de traitre c'est la dite personne qui est traitre

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Possible. Question à éclaircir.

200 qui reviennent d'un seul coup, c'est étonnant.

 

pour moi rien d'étonnant car il y a deux ans la politique a changé envers les chercheurs et un programme d'acceuil a étais préparé pour bien entretenir les chercheurs d'aprés la télévision boumehateme

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pour moi rien d'étonnant car il y a deux ans la politique a changé envers les chercheurs et un programme d'acceuil a étais préparé pour bien entretenir les chercheurs d'aprés la télévision boumehateme

 

- intéressant,

- avez vous une idée des mesures décidées?

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