Zoubir8 174 Posted March 4, 2012 Partager Posted March 4, 2012 Algérie- pourquoi Sonatrach est premier exportateur hors hydrocarbures La structure des exportations hors hydrocarbures dominée par les produits dérivés des hydrocarbures à raison de 900 millions de dollars sur un volume global de 2.15 milliard fait que le groupe Sonatrach soit le premier exportateurs même hors hydrocarbures, selon le représentant de l'Association des exportateurs algériens. Pour diversifier les exportations, Ali Bey Nasri recommande l'instauration de zones franches et la dépénalisation de l'acte d'exporter. Les exportations algériennes hors hydrocarbures ont atteint 2,15 milliards de dollars en 2011, en progression de 41%, par rapport à 2010. Cela n'est guère réjouissant eu égard à la faible proportion que cela représente (2.93%) du volume global des exportations de l'Algérie. Ce constat est partagé par tous les acteurs du commerce extérieur. Ce qui inquiète le plus reste la structure de ces exportations qui demeurent dominée par les produits dérivés des hydrocarbures "ce qui fait de Sonatrach le premier exportateur hors hydrocarbures", estime Ali Bey Nasri, Président de l’Association nationale des exportateurs Algériens (Anexal). Pour lui, il y a quatre acteurs qui représentent 80 % des exportations hors hydrocarbures de l'Algérie. "Sur les 2.15 milliards de dollars d'exportations hors hydrocarbures de 2011, Sonatrach représente plus de 900 millions", a-t-il précisé. Donc, les exportations issues du raffinage des hydrocarbures représentent quelques 41% des exportations hors hydrocarbures, selon les chiffres présentés par le représentant des exportateurs algériens. Et puis, la barre des 2 milliards de dollars des exportations hors hydrocarbures franchie en 2011, après plusieurs années d'attente, ne doit pas faire illusion. En effet, elles ne reflètent pas la valeur réelle des exportations tant celles-ci sont impactées par les niveaux exceptionnels du pétrole sur les marchés internationaux. "A chaque hausse des exportations des hydrocarbures, on relève une hausse des exportations hors hydrocarbures", constate l'orateur. Pour faire décoller les exportations hors hydrocarbures, Ali Bey Nasri suggère d'établir un diagnostic "export" et de poser les véritables problématiques qui sont principalement à ses yeux: l'insertion de l'Algérie dans l'économie mondiale et analyse de nos capacités et nos potentialités à l'export. Pour une dépénalisation de l'acte d'exporter Il trouve aberrant que les pays voisins (Maroc et Tunisie) parviennent à exporter environ 2 milliards de dollars de produits agricoles, alors que l'Algérie atteint rarement les 40 millions de dollars dont 20 millions de dattes. "Nous avons une production de dattes d'environ 800.000 tonnes/an et nous exportons 20.000 tonnes, alors que les Tunisiens premiers exportateurs de dattes en valeurs ne produisent que 200.000 tonnes/an ?", s'est-il interrogé, avant d'incriminer une rupture de chaîne, de la production à l'exportation en passant par la logistique et le conditionnement. "Il faut construire cette chaîne", recommande-t-il. Il incrimine également un environnement dissuasif à l'acte d'exporter. Il cite, entre autres difficultés, le transit portuaire trop lent et ses surcoûts et le fret maritime soumis au diktat des compagnies maritimes. C'est pourquoi l'Anexal a demandé la création d'un conseil national des chargeurs pour consacrer la défense des intérêts des opérateurs exportateurs. Pour Ali Bey Nasri, l’agro-industrie reste le secteur qui a le plus de potentiel mais qui reste fragile du fait de sa faible intégration en amont (agriculture). Il y a également l'activité de la transformation du phosphate qui peut booster les exportations hors hydrocarbures. Cette matière est exportée par l'Algérie sous forme brute "alors qu'on peut la valoriser et l'exporter à dix fois son prix initial". Durant l'année 2011 le brut du phosphate a apporté 200 millions dollars. Le représentant des exportateurs plaide par ailleurs pour l'instauration des zones franches pour tester l'entreprise algérienne à l'export hors obstacles "au moins pour expérience" afin d'identifier ces faiblesses et ces atouts ainsi que pour la "dépénalisation" de l'acte d'exporter. Pour lui l’ordonnasse 96-22 pénalise l'exportateur qui accuse du retard lors du rapatriement des devises, considéré comme une infraction à la législation des changes. "Cette approche est pénalisante pour l'acte d'exporter et nous demandons son amendement", a-t-il espéré. Écrit par Ferhat Yazid Citer Link to post Share on other sites
Sudforain 10 Posted March 6, 2012 Partager Posted March 6, 2012 produits algériens sur les étales français Bonjour Algérien résidant en france depuis l'enfance n'ayant jamais accepté à faire une demande de réintégration (née juste avant l'indépedance) à la nationalité française "la cause le NIF". Je suis désolé de voir des produits tunisien et marocain sur les marchés et magasins de france alors que nous les algériens somme plus nombreux de ce fait nous achetons leur produits et aidons nos voisin à ce développer. Nos produits rarement distribué en france mis à part les quelque soda tel que Boualem,selecto, mirinda..................enfin des miettes. -J'ai une idée à faire partager avec mes compatriotes commerçant en France L'idée de nous regrouper afin d'obtenir que chaque commerçant désirant sur un plan local développer une activité d'import (algérie =====> france). -Obtenir un tarif de transport des compagnies algériennes pour les marchandises importer quelque soit le conditionement ( cargo,contenaire,vehicules etc....) -UN agrément spécifique pour l'exportation de produits algériens à destination de la france. -Facilité les formalités administrative tel que le transfert banquaire remplacer par un change de devise avec un plafond (5000 euros ) pour chaque transaction ou mensuellement ,afin de permettre de mettre en lien les petits producteurs et artisants avec les petit distributeurs que nous sommes. actuellement si vous voulez exporter des produits algériens c'est le parcourt du combattant. Plus nous serons à aller chercher les produits locaux mieux les petites structures de production se déveloperont,mais cela ne réussira si tout le monde joue le jeu surtout l'administrations tel que les douanes. Cette idée est à construire somme nous moins capable que nos compatriotes Marocains et tunisiens. Citer Link to post Share on other sites
k-15 10 Posted March 6, 2012 Partager Posted March 6, 2012 Bonjour Algérien résidant en france depuis l'enfance n'ayant jamais accepté à faire une demande de réintégration (née juste avant l'indépedance) à la nationalité française "la cause le NIF". Je suis désolé de voir des produits tunisien et marocain sur les marchés et magasins de france alors que nous les algériens somme plus nombreux de ce fait nous achetons leur produits et aidons nos voisin à ce développer. Nos produits rarement distribué en france mis à part les quelque soda tel que Boualem,selecto, mirinda..................enfin des miettes. -J'ai une idée à faire partager avec mes compatriotes commerçant en France L'idée de nous regrouper afin d'obtenir que chaque commerçant désirant sur un plan local développer une activité d'import (algérie =====> france). -Obtenir un tarif de transport des compagnies algériennes pour les marchandises importer quelque soit le conditionement ( cargo,contenaire,vehicules etc....) -UN agrément spécifique pour l'exportation de produits algériens à destination de la france. -Facilité les formalités administrative tel que le transfert banquaire remplacer par un change de devise avec un plafond (5000 euros ) pour chaque transaction ou mensuellement ,afin de permettre de mettre en lien les petits producteurs et artisants avec les petit distributeurs que nous sommes. actuellement si vous voulez exporter des produits algériens c'est le parcourt du combattant. Plus nous serons à aller chercher les produits locaux mieux les petites structures de production se déveloperont,mais cela ne réussira si tout le monde joue le jeu surtout l'administrations tel que les douanes. Cette idée est à construire somme nous moins capable que nos compatriotes Marocains et tunisiens. tu parles de t'enrichir ou d'enrichir l'Algérie, tu parles de bricolage, ou d'économie nationale? Citer Link to post Share on other sites
calculon 10 Posted March 7, 2012 Partager Posted March 7, 2012 tu parles de t'enrichir ou d'enrichir l'Algérie, tu parles de bricolage, ou d'économie nationale? Je pense plutôt qu'il parle d'idées concrètes, à son niveau, à sa portée. C'est peu être une bricole, mais elle a son mérite. Citer Link to post Share on other sites
masssinissa 10 Posted March 7, 2012 Partager Posted March 7, 2012 Agroalimentaire : lancement d’un programme algéro-onusien encourageant la création de consortiums d’exportation en Algérie ALGER - Un programme algéro-onusien a été lancé mercredi à Alger dans le but d’encourager la création en Algérie d’au moins trois consortiums d’exportation dans les industries agroalimentaires à l’horizon 2013. Ce programme, qui s’étale sur trois années, est élaboré par le ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement en collaboration avec l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI). Le coup d’envoi de ce nouveau programme a été donné lors d’une cérémonie présidée par le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, Mohamed Benmeradi, en présence du représentant en Algérie de l’ONUDI, Guillermo Jimenez. La première année de ce nouveau dispositif sera consacrée à la sensibilisation des entreprises nationales publiques et privées sur les avantages offerts par l’adhésion aux consortiums notamment en matière de conquête des marchés étrangers et d’exportations des produits et services. "La première année sera consacrée à réunir les conditions nécessaires à l’émergence des consortiums", a expliqué le directeur de l’Intelligence économique au ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, Mohamed Bacha. Les principales conditions sont, a-t-il dit, un cadre juridique adéquat et l’identification des marchés étrangers porteurs. Des rencontres seront ainsi animées par des experts de l’ONUDI pour inciter les opérateurs économiques à adhérer à un réseau en vue d’augmenter leurs chances d’exporter leurs produits et de les faire connaître à l’étranger. Des visites à des pays maghrébins et européens seront, par ailleurs, organisées au profit des chefs d’entreprises et hommes d’affaires algériens désirant s’enquérir du fonctionnement des consortiums dans ces pays. Les frais des procédures de création des consortiums seront entièrement pris en charge par le programme, a-t-il fait savoir. Financé par l’ambassade de France en Algérie à 450.000 euros, le programme cible en premier lieu les entreprises moyennes disposant d’un potentiel et de parts de marché. Un consortium d’exportation est une alliance volontaire d’entreprises dont l’objectif est de promouvoir les biens et services de ses membres à l’étranger et de faciliter l’exportation de leurs produits grâce à des actions communes. APS Citer Link to post Share on other sites
opposan 10 Posted March 7, 2012 Partager Posted March 7, 2012 Bonjour Zoubir , parfois tu nous fais rire , comment exporter ? on a qu'a aller faire un stage de formation chez nos voisins de l'ouest , il faut voir le travail sur le terrain de la Mission économique relevant de l'Ambassade de la Tunisie et Le Maroc , pour notre Mission 2conomique je t"informe elle n'existe même pas , nos Diplomates sont occupés à faire fructifier leurs propres affaires , quand à nos dirigeants D'Alger pour sauver l'Economie Nationnale leur vission est limitée à traquer ce pauvre Immigré qui rentre une fois par An et lui faire subir le supplice au port d'Alger ou Oran sous un soleil torride, espérant un grand ballayage lors des prochaines élections aprés on pourra parler. Citer Link to post Share on other sites
calculon 10 Posted March 7, 2012 Partager Posted March 7, 2012 quand à nos dirigeants D'Alger pour sauver l'Economie Nationnale leur vission est limitée à traquer ce pauvre Immigré qui rentre une fois par An et lui faire subir le supplice au port d'Alger ou Oran sous un soleil torride, espérant un grand ballayage lors des prochaines élections aprés on pourra parler. Ne t’inquiète pas, le pauvre immigré, il ne rentre même pas fi hssabate les dirigeants d'Alger quand il s'agit d'économie. Citer Link to post Share on other sites
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