Les jeuines sur canal Algérie

[antoum 10]

Le lundi 05 mars à 22h30 je suis tombé sur une émission politique concernant les futures élections législatives en Algérie.

Je ne sais pas si vous avez vu l’émission mais pour ma part j'ai aimé une certaine liberté d'expression de nos jeunes même si je ne suis pas toujours d'accord avec les idées.

En espérant que les divers messages seront entendus par nos politiques et responsables du pays.

Bonne initiative de la chaine .

[YACOB 10]

La solution est du ressort des responsables locaux

 

Effectivement, dans la soirée du lundi 05 mars 2012, j'ai eu l'occasion de suivre l'émission ''Question d'Actu.'' de l'excellent Ahmed LAHRI. L'initiative est louable à plus d'un titre, surtout à la veille des élections du 10 mai prochain.

De prime abord, je tire chapeau à l'animateur Ahmed LAHRI pour sa patience, sa correction envers ses invités et son professionalisme. A l'inverse de certains animateurs des autres chaines de la télévision nationale, Si Ahmed ne monopolise jamais la parole afin d'étaler avec pédantisme ses connaissances sur le sujet du jour (n'est ce pas Farida B.) ou pour imposer ses convictions politiques aux présents . Si Amed amorce la discussion, donne libre cours à l'invité pour donner son avis et essaie de répartir équitablement le temps de parole. Grace à son savoir faire, Si Amed arrive à capter l'attention du téléspectateur, chose difficile devant l'offre variée de l'antenne parabolique.

Ensuite, pour ce qui est du contenu des interventions de ces jeunes, j'ai été, franchement, étonné par le niveau de l'intervention de cette étudiante des sciences politiques d'Oran. Cette belle étudiante et future responsable, In Chaa Allah, doit savoir que la répartition du budget de fonctionnement de tous les établissements universitaires, sans exception, se fait au prorata de l'effectif des d'étudiants, de l'effectif des travailleurs et des infrastructures d'accueil. Qu'elle sache, aussi, qu'aucun parametre subjectif n'entre dans cette répartition. Mieux encore, chaque chef d'établissement est tenu de présenter, au ministere de tutelle, un projet de budget prévisionnel dans lequel sont recensées, en section 2, toutes les opérations d'entretien à réaliser. Si les étudiants de Sétif, de Annaba, de Tlemcen, de Batna de Mostaganem .... (et la liste est longue) marchent sur du marbre, le mérite revient, en premier lieu, aux responsables de ces établissements qui ont su établir leurs prévisions et qui le plus souvent travaillent sept jours sur sept pour donner un minimum de confort à leurs étudiants. Qu'elle sache qu'à la fin de chaque année des reliquats sont retournés au ministere de tutelle.

Ceci veut dire que les budgets de fonctionnement ne sont pas totalement consommés. Pour terminer je dirai à cette future gestitinnaire que les solutions des problemes que vous vivez à l'université d'Oran sont, exclusivement, du ressort des responsables de votre université.

CORDIALEMENT.

[Wahrani 1 465]

Effectivement, dans la soirée du lundi 05 mars 2012, j'ai eu l'occasion de suivre l'émission ''Question d'Actu.'' de l'excellent Ahmed LAHRI. L'initiative est louable à plus d'un titre, surtout à la veille des élections du 10 mai prochain.

De prime abord, je tire chapeau à l'animateur Ahmed LAHRI pour sa patience, sa correction envers ses invités et son professionalisme. A l'inverse de certains animateurs des autres chaines de la télévision nationale, Si Ahmed ne monopolise jamais la parole afin d'étaler avec pédantisme ses connaissances sur le sujet du jour (n'est ce pas Farida B.) ou pour imposer ses convictions politiques aux présents . Si Amed amorce la discussion, donne libre cours à l'invité pour donner son avis et essaie de répartir équitablement le temps de parole. Grace à son savoir faire, Si Amed arrive à capter l'attention du téléspectateur, chose difficile devant l'offre variée de l'antenne parabolique.

Ensuite, pour ce qui est du contenu des interventions de ces jeunes, j'ai été, franchement, étonné par le niveau de l'intervention de cette étudiante des sciences politiques d'Oran. Cette belle étudiante et future responsable, In Chaa Allah, doit savoir que la répartition du budget de fonctionnement de tous les établissements universitaires, sans exception, se fait au prorata de l'effectif des d'étudiants, de l'effectif des travailleurs et des infrastructures d'accueil. Qu'elle sache, aussi, qu'aucun parametre subjectif n'entre dans cette répartition. Mieux encore, chaque chef d'établissement est tenu de présenter, au ministere de tutelle, un projet de budget prévisionnel dans lequel sont recensées, en section 2, toutes les opérations d'entretien à réaliser. Si les étudiants de Sétif, de Annaba, de Tlemcen, de Batna de Mostaganem .... (et la liste est longue) marchent sur du marbre, le mérite revient, en premier lieu, aux responsables de ces établissements qui ont su établir leurs prévisions et qui le plus souvent travaillent sept jours sur sept pour donner un minimum de confort à leurs étudiants. Qu'elle sache qu'à la fin de chaque année des reliquats sont retournés au ministere de tutelle.

Ceci veut dire que les budgets de fonctionnement ne sont pas totalement consommés. Pour terminer je dirai à cette future gestitinnaire que les solutions des problemes que vous vivez à l'université d'Oran sont, exclusivement, du ressort des responsables de votre université.

CORDIALEMENT.

 

Depuis quand les responsables locaux rendent des comptes aux citoyens en Algérie ? :eek:

Mr YACOB : Toutes les wilayas ou les étudiants marchent sur du marbre sont régulièrement inspectées et leurs responsables ne sont pas aussi intouchables que ceux d'Oran .

C'est la seule ville d'Algérie , ou le "milieu" nomme les responsables ou les maintient contre vents et marées.

[raouf2011 10]

Effectivement, dans la soirée du lundi 05 mars 2012, j'ai eu l'occasion de suivre l'émission ''Question d'Actu.'' de l'excellent Ahmed LAHRI. L'initiative est louable à plus d'un titre, surtout à la veille des élections du 10 mai prochain.

De prime abord, je tire chapeau à l'animateur Ahmed LAHRI pour sa patience, sa correction envers ses invités et son professionalisme. A l'inverse de certains animateurs des autres chaines de la télévision nationale, Si Ahmed ne monopolise jamais la parole afin d'étaler avec pédantisme ses connaissances sur le sujet du jour (n'est ce pas Farida B.) ou pour imposer ses convictions politiques aux présents . Si Amed amorce la discussion, donne libre cours à l'invité pour donner son avis et essaie de répartir équitablement le temps de parole. Grace à son savoir faire, Si Amed arrive à capter l'attention du téléspectateur, chose difficile devant l'offre variée de l'antenne parabolique.

Ensuite, pour ce qui est du contenu des interventions de ces jeunes, j'ai été, franchement, étonné par le niveau de l'intervention de cette étudiante des sciences politiques d'Oran. Cette belle étudiante et future responsable, In Chaa Allah, doit savoir que la répartition du budget de fonctionnement de tous les établissements universitaires, sans exception, se fait au prorata de l'effectif des d'étudiants, de l'effectif des travailleurs et des infrastructures d'accueil. Qu'elle sache, aussi, qu'aucun parametre subjectif n'entre dans cette répartition. Mieux encore, chaque chef d'établissement est tenu de présenter, au ministere de tutelle, un projet de budget prévisionnel dans lequel sont recensées, en section 2, toutes les opérations d'entretien à réaliser. Si les étudiants de Sétif, de Annaba, de Tlemcen, de Batna de Mostaganem .... (et la liste est longue) marchent sur du marbre, le mérite revient, en premier lieu, aux responsables de ces établissements qui ont su établir leurs prévisions et qui le plus souvent travaillent sept jours sur sept pour donner un minimum de confort à leurs étudiants. Qu'elle sache qu'à la fin de chaque année des reliquats sont retournés au ministere de tutelle.

Ceci veut dire que les budgets de fonctionnement ne sont pas totalement consommés. Pour terminer je dirai à cette future gestitinnaire que les solutions des problemes que vous vivez à l'université d'Oran sont, exclusivement, du ressort des responsables de votre université.

CORDIALEMENT.

Soyons sérieux Mr YACOB, pensez-vous vraiment que la gestion des établissements univesitaires ou autres est liée à une histoire de budget?? Si c'était le cas, notre pays serait l'un des mieux gérés et les mieux entretenus au monde. Non, vous devez savoir que la gestion est, avant tout une question de volonté et de savoir-faire et le drame chez nous c'est qu'il n'y a ni volonté ni savoir-faire. Comment peut-on expliquer que nos universités (mais pas seulement) se trouvent dans un délabrement total? ni réseau électrique en bon état, ni plomberie en bon état, ni toilettes ni rien du tout...rien de rien c'est le lot de la plupart de nos institutions..malheureusement