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Vécu des femmes en Algérie


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Je relaye deux papiers lus sur le net aujourd'hui en plus ça coïncide avec la journée de la femme demain :

Je suis algérienne, et j'aime pas être traitée comme un objet !

 

Je suis là aujourd’hui pour partager avec vous les mésaventures que je viens de vivre. Au 21ème siècle, il arrive qu’on vive ce genre d’expérience ou l’on se demande quel droit a la femme algérienne ?

 

 

Il y a six jours, j’ai déposé une demande de visa à l’ambassade d’un pays arabe dont je ne citerai pas le nom. Tout avait l’air d’être correcte, ce n’était qu’une question de temps. Je me déplace aujourd’hui pour récupérer mon passeport et surprise. L’employé de cette ambassade me dit qu’il y a un document manquant, une autorisation parentale O_o . Je lui dis que j’ai 24 ans et que ce n’est pas ma première demande de visa. Il m’affirme que ce n’est pas entre ses mains et que l’ordre vient d’en haut. Je demande ce que je dois faire exactement, sachant que je pars dans moins de 48h. Il me dit de prendre ma mère ou mon père à la mairie, de rédiger une lettre avec « autorisation paternelle » pour objet et de la faire légaliser.

 

 

Je regarde ma montre, je me dis qu’il faut absolument que je me presse. Je vous épargne les détails : encombrement, pas de place de stationnement.. Et surtout l’approche de la fermeture de la mairie. J’appelle ma mère et je lui demande de se préparer. Une fois la demande écrite, on se dirige vers la mairie la plus proche. Sur place, l’employé met 2 minutes pour comprendre de quoi il s’agit. Il va voir son chef de service, une minute plus tard, me lance : « samhili mlle mais lazém babék », je le regarde en me retenant de crier : « mais monsieur, ma mère est avec moi, vous ne croyez pas que sa présence suffit ? », il me dit : « mlle, hnaya néssta3arfou bél babét » … Et la rage pris possession de mon corps !! Je commence à lui expliquer, que mon père travaille, que ma mère est là, que ça reste « un parent », que ce n’est qu’une autorisation de « voyager », qu’après tout j’ai 24 ans et que je ne suis pas mineure. Rien à faire, il s’entête et me dit que la loi c’est la loi. Que faire ? J’appelle mon père et je le préviens que je le rejoins au travail pour aller à la mairie. J’ai fini par régler mon problème avec la présence de mon père dans une autre mairie. Deux minutes après, un ami avec qui je suis supposée voyager m’appelle et me dit que « fra’ha », je lui demande les détails, il me dit : « J’ai pris yéma à la mairie ta3 xxxx » et opp ma rage revint ! Pourquoi lui et pas moi ? Pourquoi la présence de ma mère n’a pas suffi ? Tellement de questions qui se bousculaient dans ma tête et d’un coup, j’ai compris … J’ai compris que j’étais une femme, qu’il était un homme. Qu’il avait le luxe d’avoir certains droits que je n’avais pas.

 

 

J’ai compris que la femme algérienne depuis l’indépendance vit dans l’ombre de l’homme, qu’on dit qu’elle jouit d’une certaine liberté depuis la fin de la décennie noire, qu’elle peut porter ce qu’elle veut, étudier, ne pas se couvrir la tête, voyager, travailler … fumer (mais jamais en public ) … Pour moi, tout ce que j’ai cité ne sont pas des droits, un droit, c’est juridique, c’est administratif ..

 

 

La femme algérienne n’a pas eu la chance de se battre pour ses vrais droits, je ne sais pas si c’est un avantage ou un désavantage d’avoir acquis certains droits comme celui de vote grâce au colonialisme. Elle n’a pas eu à se battre pour cela comme les autres femmes l’ont fait. La femme algérienne est votre mère, votre sœur, votre voisine, votre collègue … Il est bien beau de vouloir la protéger mais à quel prix ? Sera-t-elle une éternelle mineure ? Toujours sous la tutelle d’un père, d’un frère, d’un oncle ou de son mari ? La vraie femme ne demande pas le droit de se mettre à moitié à poil à Alger Centre, elle veut que la respecte et qu’elle ait les même droits qu’un homme puisse avoir.

 

 

Conclusion : Encore une journée d’injustice sexiste ou la femme est traitée comme un objet. Ceci dit, 3 jours avant ce fameux 8 Mars dit fête des femmes , une peu ironique à mon gout… ou dans les dites Grandes Universités ont organisé des défilés minables ou la femme est commercialisée au lieu d’organiser une journée de réflexion pour la jeune femme algérienne.

 

 

Contributrice : Ihcene. K LIEN

 

 

Ces femmes qui conduisent le métro et le tramway d'Alger

 

Keltoum et Sihem sont deux Algériennes pas comme les autres : elles ont choisi de démystifier les métiers ’’d’hommes’’, et ne sont pas peu fières d’être les premières conductrices des nouveaux moyens de transport à Alger, le métro et le tramway.

 

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Après un sévère concours de sélection, les deux femmes ont réussi à arracher ’’un job’’ qui titille leur fierté, car ayant été retenues alors qu’au départ, beaucoup ne leur donnaient aucune chance devant les candidatures ’’masculines’’.

 

Malgré leur différence d’âge et de niveau d’instruction, ces femmes ont en commun une passion dévorante pour le travail et un sens très développé de la responsabilité, deux qualités requises pour conduire des moyens de transport comme le tramway et le métro, en exploitation depuis 2011 à Alger.

 

Les encouragements qu’elles reçoivent quotidiennement de la part des usagers, notamment des femmes, les poussent, racontent-elles, ’’à se dévouer davantage à leur nouveau travail", peu ordinaire par rapport à la réalité du marché national du travail.

 

Des bus au ’’Tram’’

 

 

Keltoum, quinquagénaire et mère de trois garçons, raconte avec émotion comment elle est parvenue, non sans difficulté, à devenir d’abord chauffeur de bus, puis conductrice de tramway sur le tronçon reliant Bab-Ezzouar à Bordj-El Kiffan, dans la banlieue est d’Alger.

 

"Je n’aurai jamais pensé un jour conduire un tramway en pleine capitale, et pourtant je le fais depuis presque une année maintenant, et j’en suis extrêmement fière", confie-t-elle avec candeur.

 

Le fait d’avoir réussi à décrocher, au début des années 2000, un poste de chauffeur de bus au sein de l’Etablissement de transport urbain et sub-urbain d’Alger (ETUSA) a donné à cette femme timide de l’assurance et une grande confiance en ses capacités.

 

"J’ai été l’une des premières femmes à travailler comme chauffeur à l’Etusa, qui jusqu’à notre arrivée, mes consœurs et moi, ne recrutait que des hommes pour conduire ses bus", ajoute Keltoum, originaire de la wilaya de Bouira, qui dit "réussir parfaitement" à concilier responsabilités professionnelles et familiales.

 

Sa forte volonté et son expérience dans les transports en commun, ont aidé Keltoum à passer, avec brio, de la conduite des bus à celle du tramway à propulsion électrique.

 

"Il m’a suffi de trois mois de formation à Alger pour réussir ce passage. Etre la seule femme d’un groupe de huit stagiaires ne m’a nullement intimidée", a-t-elle ajouté sur le ton de la plaisanterie.

 

 

La crainte de la routine

 

 

Sihem, célibataire, 32 ans, avoue quant à elle avoir atterri par hasard dans le monde des transports en commun, notamment celui du métro. "Après avoir lu une annonce dans le journal, j’ai envoyé mon CV (curriculum vitae) à une entreprise privée spécialisée dans l’emploi de jeunes. Ce n’est qu’après que j’ai su que le poste à pourvoir était celui de conducteur de métro ", explique-t-elle.

 

Diplômée de l’Institut national de commerce, restée longtemps au chômage après avoir terminé ses études, Sihem dit avoir été encouragée par sa famille, surtout son père, pour se lancer dans ce métier encore nouveau en Algérie.

 

"Je trouve que la société algérienne a beaucoup évolué pour gagner en tolérance et en compréhension surtout vis-à-vis des femmes actives.

 

L’Algérienne, qui a prouvé sa capacité d’exercer les métiers les plus rudes, s’impose désormais sur le marché national du travail" dans des métiers longtemps restés l’apanage des hommes, affirme-t-elle.

 

Toutefois, Sihem ne cache pas sa crainte de voir un jour la routine s’installer dans son quotidien. Et que son travail soit réduit à un ensemble de gestes mécaniques. "Conduire une rame dans un tunnel sous terre, peut devenir lassant à la longue", redoute-t-elle.

 

"En réalité, je n’ai pas de contact direct avec les usagers. Je passe seule des heures dans la cabine de conduite sans parler. Heureusement qu’il y a les pauses déjeuner qui me permettent de rencontrer mes collègues et discuter un peu", confie cette brune aux yeux clairs, dont le sport et les voyages sont les grands ’’hobbies’’.

 

 

Pleine d’ambition, Sihem espère pouvoir évoluer sur le plan professionnel pour devenir un jour... responsable d’une station de métro.

 

 

Source : APS

 

 

LIEN

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J'ai voyagé pas mal étant jeune fille et de ma vie je n'ai jamais eu à fournir d'autorisation parentale en Algérie pour ça. Je me demande si ça s'est passé à Alger ou si c'est les autorités du pays arabe qui reçoit qui exigent cette autorisation parentale.

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Guest mounir 19
J'ai voyagé pas mal étant jeune fille et de ma vie je n'ai jamais eu à fournir d'autorisation parentale en Algérie pour ça. Je me demande si ça s'est passé à Alger ou si c'est les autorités du pays arabe qui reçoit qui exigent cette autorisation parentale.

 

...............

 

de même jamais entendu parler c'est exiger pour les mineurs pas plus !

elle dit que son ami est un homme et qu'il a du ramener ca mère du moins c'est ce que j'ai compris étrange non !

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...............

 

de même jamais entendu parler c'est exiger pour les mineurs pas plus !

elle dit que son ami est un homme et qu'il a du ramener ca mère du moins c'est ce que j'ai compris étrange non !

 

C'est encore plus bizarre qu'on exige ça pour un mec :mdr:

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donc j'ai bien lu ? :D

 

Bah oui, je confirme :

 

"Deux minutes après, un ami avec qui je suis supposée voyager m’appelle et me dit que « fra’ha », je lui demande les détails, il me dit : « J’ai pris yéma à la mairie ta3 xxxx » et opp ma rage revint ! Pourquoi lui et pas moi ?"

 

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Guest mounir 19
Bah oui, je confirme :

 

"Deux minutes après, un ami avec qui je suis supposée voyager m’appelle et me dit que « fra’ha », je lui demande les détails, il me dit : « J’ai pris yéma à la mairie ta3 xxxx » et opp ma rage revint ! Pourquoi lui et pas moi ?"

 

 

...........

 

ben ca va je m'en sort pas trop mal ! :mdr:

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Bonne fêté à vous mesdames

 

Je relaye deux papiers lus sur le net aujourd'hui en plus ça coïncide avec la journée de la femme demain :

Et la rage pris possession de mon corps !! Je commence à lui expliquer, que mon père travaille, que ma mère est là, que ça reste « un parent », que ce n’est qu’une autorisation de « voyager », qu’après tout j’ai 24 ans et que je ne suis pas mineure. Rien à faire, il s’entête et me dit que la loi c’est la loi.

 

LIEN

 

Et au passage, une petite pensée à nos pov' petits fonctionnaires, maltraités par une population frustrée, qui les tient pour responsables de choses qui les dépassent.

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Guest Mandragora

Bonsoir

 

"C'est bien beau", je croyais que c'était une expression d'icitE (made in Quebec) :04:

 

"Fra'ha", ça veut dire quoi ?

 

Le mec a eu besoin de sa mère pour voyager ? :mdr:

 

Enfin, elle a l'air louche cette histoire.

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Guest Mandragora
Non, c'est plutôt "C'est bin beau". :D

 

Fra'ha = فْراَهاَ (Il a réglé la situation)

 

On dit "c'est bien beau" ailleurs ? :D Y'a trop longtemps que je suis icitE alors... :p

J'ai pas fait attention à ça alors... :rolleyes:

 

Merci pour F'reha ! :04:

 

Depuis quand on a besoin d'autorisation parentale ? qqun le sait ?

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Guest Mandragora
En fait, ailleurs c'est utilisé dans le sens "C'est bien beau... être intelligent, mais faut le prouver".

 

À caribouland, c'est le sens précédent mais aussi "C'est bon". "C'est parfait comme ça". "C'est bin beau". C'est ça qui te parle

 

L'autorisation parentale pour mineurs oui, mais pour le reste je sais pas du tout.

 

Ça fait combien de temps que t'es à caribouland si c'est pas trop indiscret ? :shifty:

Exactement, t'as bien résumé les choses :p

 

Plus de 10 ans :15: :p (après 10 ans, vo mieux el wahed y'habess lahsseb :mdr:)

 

B'dew les racines yekherjou... :confused:

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Guest Mandragora
Tant que c'est pas l'accent :D

Hadek caméléon :04: Mais les gens ici trouvent toujours que j'ai l'accent français... :rolleyes: (enfin, comme tu dois le savoir, c'est parce qu'ils ne connaissent pas l'accent algérien).

 

Est-ce que t'es au Québec toi aussi ? kech accent ? :p

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Guest Mandragora
Je m'adapte à mon interlocuteur :D

 

Certains trouvent que j'ai un accent "français", d'autres ne l'entendent pas du tout.

 

Mais je crois que j'ai un accent hybride :chut:

 

Bonne nuit :)

Alors rana kif kif... :p

 

Bonne nuit à toi aussi, merci :40: Au plaisir ;)

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Guest prenpalatete
J'ai voyagé pas mal étant jeune fille et de ma vie je n'ai jamais eu à fournir d'autorisation parentale en Algérie pour ça. Je me demande si ça s'est passé à Alger ou si c'est les autorités du pays arabe qui reçoit qui exigent cette autorisation parentale.

 

C'est les pays arabes qui la demande ,pas l'Algerie.

Par contre l'Algérie ne reconnait pas le temoignage de femmes dans une transaction notariale:

je voulais faire appel à ma fille et sa copine pour me servir de temoins dans une transaction notariale:il m'a été répondu chez le notaire que prendre des témoins femmes n'etait pas possible,pour des raisons de pseudo droit( musulman,j'imagine).

De fait,le dernier des hommes fait l'affaire ,mais pas la femme quelle que soit sa fonction ou son statut.

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Guest salamalgerie

En réponse à ce sujet y a pas mieux que de prendre la peine de tapoter quelques extraits de "La femme algérienne" par fadéla m'rabet

Pour comprendre la situation de la femme ( et ses réactions); il faut partir de l'homme: qu'elle se soumette ou se révolte, qu'elle accepte ou non sa condition, l'algérienne évolue dans un monde qui est fait par l'homme , pour l'homme, et à son seul avantage . La constitution sans doute et les résolutions du congrès reconnaissent l'égalité de tous les citoyens mais l'écart est tel entre les textes et les faits que tout se passe comme si les textes n'existaient pas: dans l'approche des réalités vécues on les négligera sans dommage.

 

Puisque les décrets n'ont pas encore prise sur le réel, la condition de la femme reste, tout entière, l’œuvre de l'homme: c'est le père, le frère, le cousin, l'oncle, le mari qui font la loi, et le comportement de l'algérienne n'est jamais que la conséquence, ou le reflet du comportement masculin à son égard " il est de bon ton, chez certains de nos compatriotes, déclare une jeune fille, de dire que les femmes de leur pays, ne sont pas drôles. c'est vrai, mais c'est leur attitude qui nous y contraint. comprendront ils que, pour que notre comportement change, ils faut qu'ils modifient le leur"

 

 

Voyons donc, d'abord, comment les hommes se conduisent quelques soient ses modalités ( grossièretés, paternalisme, indifférence polie) la conduite de l'algérien envers la femme se présente comme essentiellement négatrice

 

Je vous conseille vivement de lire la suite:p

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Cette histoire est tirée par les cheveux, j’ai plein de collègues femmes qui partent en mission dans des pays arabes et rien de tout cela ne leur a été demandé, de plus j’ai l’habitude de voyager et aucune autorisation ne m’a été réclamée. Alors là pour un homme, jamais une autorisation parentale ne lui sera demandé.

La seule autorisation parentale qu’on exige ici en Algérie c’est à VisasFrance et encore… c’est juste pour les mineurs qui voyageront avec un des deux parents, dans ce cas là, une autorisation du parent qui ne voyage pas est demandée mais c’est juste une lettre manuscrite et signée sans besoin de légalisation ou autre.

Autant je soutiens le combat de la femme en Algérie, et c'est vrai que c'est une mineure à vie ici! autant il y a des situations où des personnes abusent et utilisent cette cause pour se faire voir, ces abus ne feront que desservir la cause et lui apporter du tort.

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Guest salamalgerie

Je rajoute un autre extrait très touchant

 

Il faut le dire tout net en commençant: la plupart des algériennes sont " détraquées", déséquilibrées, elles ont des vices de fabrication, et les jugements des hommes à leur égard sont généralement fondés. C'est qu'ils en est d'elles comme des colonisés : elles sont ce que les maitres les ont faites. cela doit être reconnu dés l'abord , et le plus mauvais service qu'on puisse rendre aux algériennes consisterait à nier les évidences.

 

Dans l'immédiat, tel un esquif dans la bourrasque, elle chavire de la soumission à l'anarchie , de l'ignorance et de la pédanterie , de la pudibonderie au dévergondage , elle a le sérieux des nonnes ou la futilité des midinettes , elle criaille ou minaude, elle est précieuse ou vulgaire militante ou "j'men foutiste" en decà ou au-delà elle est rarement capable d'équilibre , de mesure, elle ne s'est pas encore trouvée , elle est plutôt informe.

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Guest mounir 19
Cette histoire est tirée par les cheveux, j’ai plein de collègues femmes qui partent en mission dans des pays arabes et rien de tout cela ne leur a été demandé, de plus j’ai l’habitude de voyager et aucune autorisation ne m’a été réclamée. Alors là pour un homme, jamais une autorisation parentale ne lui sera demandé.

La seule autorisation parentale qu’on exige ici en Algérie c’est à VisasFrance et encore… c’est juste pour les mineurs qui voyageront avec un des deux parents, dans ce cas là, une autorisation du parent qui ne voyage pas est demandée mais c’est juste une lettre manuscrite et signée sans besoin de légalisation ou autre.

Autant je soutiens le combat de la femme en Algérie, et c'est vrai que c'est une mineure à vie ici! autant il y a des situations où des personnes abusent et utilisent cette cause pour se faire voir, ces abus ne feront que desservir la cause et lui apporter du tort.

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ca vous arrange en quelque sorte vous êtes les victimes éternel je me demande ce que vous deviendrez quand vous ne le serez plus !! :D

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