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Prostitution chez les étudiantes en algerie


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Guest framboise
Framboise ???????????:(,

 

salam samir, je pense qu'il faut arrêter de se voiler la face, c'est la société et chacun de nous qui est responsable de ce que sont devenus ces filles.

J'ai été étudiante et je les ai côtoyé. La majorité viennent de l’intérieur du pays, de familles pauvres ou limite moyennes. Le niveau de l'enseignement chez nous est nul surtout ces derniers temps, on enseigne pas les bonnes valeurs a nos gosses, un étudiant qui arrive a la fac a le même raisonnement qu'un enfant de cinq ans.

ces filles qui ont la chance d'arriver a l’université, ont échappé de justesse a un mariage forcé avec le premier venu et a une situation que vous connaissez tous je suppose. Pour s'en sortir c'est la première solution qu'on leur propose et elle l'acceptent avec la bénédiction de la société entière. Mais bien sur on a besoin d'un bûcher pour brûler les sorcières, que nous avons nous même crée !!!!

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Guest framboise
je pose une question je n'ai pas dis que ça me dérange :rolleyes:

 

tu est maitre de tes actes :)

 

je te remercie :o

mâches doucement pour éviter de une indigestion :D

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pour ma part je penses que la prostitution a toujours existé en algerie et depuis de très longues années et c'est pas nouveau ,et cela existera toujours ,il faut pas voir cela comme qq chose de nouveau qui vient de débarquer en algerie ,pour bcp de filles ,elles sont aussi poussé vers cette seule voix ,je penses qu'il faut aller plutot dans l'amelioration des condtions des ces etudiantes principalement celles qui viennent d'autres villes et qui ne peuvent survivre avec une bourse trimestrielle

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Guest Mandragora
salam samir, je pense qu'il faut arrêter de se voiler la face, c'est la société et chacun de nous qui est responsable de ce que sont devenus ces filles.

J'ai été étudiante et je les ai côtoyé. La majorité viennent de l’intérieur du pays, de familles pauvres ou limite moyennes. Le niveau de l'enseignement chez nous est nul surtout ces derniers temps, on enseigne pas les bonnes valeurs a nos gosses, un étudiant qui arrive a la fac a le même raisonnement qu'un enfant de cinq ans.

ces filles qui ont la chance d'arriver a l’université, ont échappé de justesse a un mariage forcé avec le premier venu et a une situation que vous connaissez tous je suppose. Pour s'en sortir c'est la première solution qu'on leur propose et elle l'acceptent avec la bénédiction de la société entière. Mais bien sur on a besoin d'un bûcher pour brûler les sorcières, que nous avons nous même crée !!!!

Bonjour

 

Tout à fait !

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pour ma part je penses que la prostitution a toujours existé en algerie et depuis de très longues années et c'est pas nouveau ,et cela existera toujours ,il faut pas voir cela comme qq chose de nouveau qui vient de débarquer en algerie ,pour bcp de filles ,elles sont aussi poussé vers cette seule voix ,je penses qu'il faut aller plutot dans l'amelioration des condtions des ces etudiantes principalement celles qui viennent d'autres villes et qui ne peuvent survivre avec une bourse trimestrielle

 

oui ça c'est vrais l'etat est indifférente dans ces cas là , il faut dans ces cas l'intervention d'une association:)

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[b] Pris sur le vif[/b]Réseau clandestin d’avortement des étudiantes universitaires à Sétif

 

Message par djam09 le Mar 7 Sep - 8:58

Le principal accusé, un médecin généraliste, percevait entre 100 000 et 120 000 DA pour pratiquer un avortement illégal sur des jeunes filles dont la majorité était des étudiantes de l’université Ferhat-Abbès de Sétif.

 

Le procès de l’affaire du réseau clandestin d’avortement, démantelé au mois de mai dernier par la Police judiciaire dans la wilaya de Sétif, a été reporté à une date ultérieure, avons-nous appris de sources judiciaires. Le juge a, en effet, décidé de reporter l’affaire car plusieurs personnes, des intermédiaires en l’occurrence, impliqués dans l’affaire n’ont pas été auditionnées durant l’instruction du dossier.

Le magistrat a ainsi demandé à auditionner l’intermédiaire qui avait pour mission de mettre en contact les étudiantes avec le médecin. Cette personne, qui constitue une pièce maîtresse dans cette affaire, serait originaire de la ville d’El-Eulma où sont installés des centaines voire des milliers de commerçants et où l’argent coule à flots.

De grosses voitures, de l’argent, des appartements et beaucoup de tentations sont derrière cette déliquescence qui a touché même le campus universitaire au point où beaucoup de parents s’inquiètent pour leurs filles. Un autre élément sera également ajouté au dossier de l’instruction. Il s’agit du témoignage de l’homme qui a engrossé l’une des jeunes filles et qui serait de son état, un comptable de la ville d’El-Eulma. Rappelons les faits qui remontent au mois de mai dernier. Les éléments de la brigade de recherche de la Police judiciaire de la sûreté de wilaya de Sétif, après avoir placé sous surveillance pendant plusieurs jours, un cabinet médical, sont parvenus à démanteler un réseau clandestin spécialisé dans l’avortement des étudiantes. L’opération a été déclenchée suite à des informations parvenues aux éléments de la Police judiciaire et qui faisaient état de visites récurrentes et suspectes de jeunes filles chez ce médecin généraliste.

La perquisition du local a abouti à l’arrestation, en flagrant délit, de six personnes dont un médecin, principal accusé dans l’affaire, installé en privé dans la commune de Babor.

Selon les éléments de l’enquête, une pièce avait été aménagée en bloc opératoire doté de tous les équipements nécessaires pour la pratique de l’avortement.

Le principal accusé pratiquait également la chirurgie de reconstruction de l’hymen.

Pour ce qui était des honoraires du médecin et de ses collaborateurs, les clientes, qui sont dans leur majorité des étudiantes de l’université Ferhat-Abbès de Sétif et des jeunes filles venues de plusieurs villes limitrophes, payaient entre 100 000 et 120 000 DA, en plus d’une commission que touchait l’intermédiaire et qui n’était pas incluse dans le tarif de l’opération.

Source Liberté

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