Guest mackiavelik Posted March 18, 2012 Partager Posted March 18, 2012 Le véritable sens du verbe «participer» «Participer ? Moi, je veux bien. Mais pas seulement aux élections. Je veux être partout, tout le temps et pas seulement de temps en temps. C'est le problème : je suis d'accord pour participer, mais en commençant depuis le début. Je ne veux pas participer uniquement aux guerres de Libération, pour sauver Alger des GIA ou pour les élections. Je veux plus et en tout. D'abord, je veux participer à la désignation du wali. D'ailleurs, je ne veux même pas qu'il y ait des walis mais seulement des gens que je désigne moi. Ainsi, je participe à gérer ma wilaya et ma commune et mon quartier et mon pot de fleurs. Du coup, je participe dans les appels d'offres, la réfection des trottoirs, l'urbanisme, les lots de terrain, les choix des écoles et du ciment et le diamètre des ronds-points. Ensuite, je veux participer au Conseil de gouvernement. Je veux être là : boire de l'eau minérale sous l'ENTV, écouter, dire ce que j'ai à dire, écouter encore et participer à la rédaction du communiqué final et aux décisions prises. Ensuite, je veux participer au choix de mon pays pour les Affaires étrangères. Ce ne sont pas les affaires d'un seul ou de sa famille. Ce n'est pas une affaire de vente de cigarettes mais le choix de mon image ailleurs, de mes soutiens, de ce que je veux et de ce que je pense du reste du monde. Ensuite, je veux participer même aux choix des salades à la Présidence et à la peinture de la capitale et de ma façade. Puis je veux participer dans ce que fait Sonatrach de mon pétrole et de ce qu'on fait de mon Sahara, du Sahel, à mes souliers. Je veux participer, comme vous le voyez, mais dans tout et pas seulement dans des élections ou pour faire la chair à canon ou jouer « les hommes debout ». Tout cela veut dire le choix des ministres, le nombre des députés, les impôts, les lois, les augmentations de salaire, les entreprises, les exportations, les expulsions. Je veux que ça soit moi qui efface, ou pas, les dettes des fellahs par exemple. Je veux que ça soit moi qui décide qui recevoir au pays, ou pas. Je veux participer à la loi de finances, aux décrets entre les sessions parlementaires, aux interdictions et aux autorisations et aux lévitations. Le pétrole, je veux participer à le vendre, compter les sous et décider de comment les manger. Je veux savoir combien mange mon armée et que je participe à l'habiller et à la payer et à lui donner des ordres. A elle et au reste des corps constitués. Je veux être le juge du juge et participer à chaque procès, chaque conseil d'administration et chaque caisse de mutuelle et chaque caisse noire et chaque fonds de régulation. Du coup, je veux plus que vous me demandez : je veux participer, réellement, profondément, concrètement. Cela n'est pas possible ? Cela veut dire que vous ne voulez pas participer et que vous ne voulez pas que je participe donc. Car, c'est là le vrai sens du mot. Je l'ai lu. Participer, je le veux en tout et pas seulement à remplir une urne. Sinon, pas la peine : on ne parle pas du même mot». Citer Link to post Share on other sites
El-Guerroumi 10 Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 Le véritable sens du verbe «participer» «Participer ? Moi, je veux bien. Mais pas seulement aux élections. Je veux être partout, tout le temps et pas seulement de temps en temps. C'est le problème : je suis d'accord pour participer, mais en commençant depuis le début. Je ne veux pas participer uniquement aux guerres de Libération, pour sauver Alger des GIA ou pour les élections. Je veux plus et en tout. D'abord, je veux participer à la désignation du wali. D'ailleurs, je ne veux même pas qu'il y ait des walis mais seulement des gens que je désigne moi. Ainsi, je participe à gérer ma wilaya et ma commune et mon quartier et mon pot de fleurs. Du coup, je participe dans les appels d'offres, la réfection des trottoirs, l'urbanisme, les lots de terrain, les choix des écoles et du ciment et le diamètre des ronds-points. Ensuite, je veux participer au Conseil de gouvernement. Je veux être là : boire de l'eau minérale sous l'ENTV, écouter, dire ce que j'ai à dire, écouter encore et participer à la rédaction du communiqué final et aux décisions prises. Ensuite, je veux participer au choix de mon pays pour les Affaires étrangères. Ce ne sont pas les affaires d'un seul ou de sa famille. Ce n'est pas une affaire de vente de cigarettes mais le choix de mon image ailleurs, de mes soutiens, de ce que je veux et de ce que je pense du reste du monde. Ensuite, je veux participer même aux choix des salades à la Présidence et à la peinture de la capitale et de ma façade. Puis je veux participer dans ce que fait Sonatrach de mon pétrole et de ce qu'on fait de mon Sahara, du Sahel, à mes souliers. Je veux participer, comme vous le voyez, mais dans tout et pas seulement dans des élections ou pour faire la chair à canon ou jouer « les hommes debout ». Tout cela veut dire le choix des ministres, le nombre des députés, les impôts, les lois, les augmentations de salaire, les entreprises, les exportations, les expulsions. Je veux que ça soit moi qui efface, ou pas, les dettes des fellahs par exemple. Je veux que ça soit moi qui décide qui recevoir au pays, ou pas. Je veux participer à la loi de finances, aux décrets entre les sessions parlementaires, aux interdictions et aux autorisations et aux lévitations. Le pétrole, je veux participer à le vendre, compter les sous et décider de comment les manger. Je veux savoir combien mange mon armée et que je participe à l'habiller et à la payer et à lui donner des ordres. A elle et au reste des corps constitués. Je veux être le juge du juge et participer à chaque procès, chaque conseil d'administration et chaque caisse de mutuelle et chaque caisse noire et chaque fonds de régulation. Du coup, je veux plus que vous me demandez : je veux participer, réellement, profondément, concrètement. Cela n'est pas possible ? Cela veut dire que vous ne voulez pas participer et que vous ne voulez pas que je participe donc. Car, c'est là le vrai sens du mot. Je l'ai lu. Participer, je le veux en tout et pas seulement à remplir une urne. Sinon, pas la peine : on ne parle pas du même mot». Quand on a cette chance , il ne faut pas hesiter , il faut participer c'est un devoir , sinon l'abstentioniste n'a pas le droit de la "ramener une fois que le "participants " a decidé de son sort , le choix est large (tous les sensibilitées sont representées ) il y a l'embarras dans les idées , et ceux qui appelles a l'abstention sont les ennemies de l'Algerie . Tous aux urnes ne laissez pas les autres décidées a votre place . Vive l'Algerie et les Algeriennes et Algeriens . Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 C'est vrai que l'électeur algérien a le choix soit FLN soit FLN bis soit FLN re bis Citer Link to post Share on other sites
El-Guerroumi 10 Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 C'est vrai que l'électeur algérien a le choix soit FLN soit FLN bis soit FLN re bis Il y a louisa et le FFS ça represente largement le corps electorale Algerien et si ça te dit tu pourra toujours concourrires!! ça elargira le debat ! Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 Il y a louisa et le FFS ça represente largement le corps electorale Algerien et si ça te dit tu pourra toujours concourrires!! ça elargira le debat ! Y a bien que toi pour penser que les élections sont transparentes et démocratiques, rendors toi ça vaut mieux Citer Link to post Share on other sites
Guest Bright Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 je veux participer mais negativement. Citer Link to post Share on other sites
El-Guerroumi 10 Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 Y a bien que toi pour penser que les élections sont transparentes et démocratiques, rendors toi ça vaut mieux A mon humble avis je pense que cette fois-ci les elections seront vraiment libres et transparentes , ne serais-se que par ce qu il s'est passé dans la region . Les responsables ne peuvent pas se permettre des ecarts SArko et Obama les surveilles de prés .. Citer Link to post Share on other sites
belkarem 228 Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 Quand on a cette chance , il ne faut pas hesiter , il faut participer c'est un devoir , sinon l'abstentioniste n'a pas le droit de la "ramener une fois que le "participants " a decidé de son sort , le choix est large (tous les sensibilitées sont representées ) il y a l'embarras dans les idées , et ceux qui appelles a l'abstention sont les ennemies de l'Algerie . Tous aux urnes ne laissez pas les autres décidées a votre place . Vive l'Algerie et les Algeriennes et Algeriens . l'ennemi de l'algerie !! rien que ca ......tu sais ce qu'il te dis celui que tu designes ainsi ..................faaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaakou !!!!! Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 On peut dire aussi que justement après tout ce qui s'est passé les responsables ne peuvent pas se permettre des ecarts de la part des urnes Quand à Sarko ou Obama ..il suffit d'éviter des scores à la 90% et le tour est joué Citer Link to post Share on other sites
El-Guerroumi 10 Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 N'entendez pas les sirènes ils veulent vous envoyez aux precepices !!! Ne vous asbetenez VOTEZ pour qui vous voulez mais VOTEZ Rouge ou Vert c'est comme vous voulez . Tahia El-Djazaïr democratia et Chaabia . Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 Le véritable sens du verbe «participer» «Participer ? Moi, je veux bien. Mais pas seulement aux élections. Je veux être partout, tout le temps et pas seulement de temps en temps. C'est le problème : je suis d'accord pour participer, mais en commençant depuis le début. Je ne veux pas participer uniquement aux guerres de Libération, pour sauver Alger des GIA ou pour les élections. Je veux plus et en tout. D'abord, je veux participer à la désignation du wali. D'ailleurs, je ne veux même pas qu'il y ait des walis mais seulement des gens que je désigne moi. Ainsi, je participe à gérer ma wilaya et ma commune et mon quartier et mon pot de fleurs. Du coup, je participe dans les appels d'offres, la réfection des trottoirs, l'urbanisme, les lots de terrain, les choix des écoles et du ciment et le diamètre des ronds-points. Ensuite, je veux participer au Conseil de gouvernement. Je veux être là : boire de l'eau minérale sous l'ENTV, écouter, dire ce que j'ai à dire, écouter encore et participer à la rédaction du communiqué final et aux décisions prises. Ensuite, je veux participer au choix de mon pays pour les Affaires étrangères. Ce ne sont pas les affaires d'un seul ou de sa famille. Ce n'est pas une affaire de vente de cigarettes mais le choix de mon image ailleurs, de mes soutiens, de ce que je veux et de ce que je pense du reste du monde. Ensuite, je veux participer même aux choix des salades à la Présidence et à la peinture de la capitale et de ma façade. Puis je veux participer dans ce que fait Sonatrach de mon pétrole et de ce qu'on fait de mon Sahara, du Sahel, à mes souliers. Je veux participer, comme vous le voyez, mais dans tout et pas seulement dans des élections ou pour faire la chair à canon ou jouer « les hommes debout ». Tout cela veut dire le choix des ministres, le nombre des députés, les impôts, les lois, les augmentations de salaire, les entreprises, les exportations, les expulsions. Je veux que ça soit moi qui efface, ou pas, les dettes des fellahs par exemple. Je veux que ça soit moi qui décide qui recevoir au pays, ou pas. Je veux participer à la loi de finances, aux décrets entre les sessions parlementaires, aux interdictions et aux autorisations et aux lévitations. Le pétrole, je veux participer à le vendre, compter les sous et décider de comment les manger. Je veux savoir combien mange mon armée et que je participe à l'habiller et à la payer et à lui donner des ordres. A elle et au reste des corps constitués. Je veux être le juge du juge et participer à chaque procès, chaque conseil d'administration et chaque caisse de mutuelle et chaque caisse noire et chaque fonds de régulation. Du coup, je veux plus que vous me demandez : je veux participer, réellement, profondément, concrètement. Cela n'est pas possible ? Cela veut dire que vous ne voulez pas participer et que vous ne voulez pas que je participe donc. Car, c'est là le vrai sens du mot. Je l'ai lu. Participer, je le veux en tout et pas seulement à remplir une urne. Sinon, pas la peine : on ne parle pas du même mot». Participer est un verbe régulier qui ne change jamais comme l’est le pouvoir algérien et la participation à toutes ses élections depuis 1962. Citer Link to post Share on other sites
rosier belda 10 Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 Y a bien que toi pour penser que les élections sont transparentes et démocratiques, rendors toi ça vaut mieux Ben on a assez dormi comme ça !...Il est temps de se réveiller (nass el kaf) et se dire : "Mais qu'est ce qui ce passe ?"...Et surtout que, pour une fois, le FFS n'est pas à son "nini" ??? Citer Link to post Share on other sites
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