Ould Kablia dément Ali Kafi au sujet d'Abane Ramdane

[djam09 42]

Dahou Ould Kablia défend la mémoire d’Abane Ramdane, malmenée par Ali Kafi. Le ministre de l’Intérieur et président de l’Association des anciens du MALG est revenu, ce dimanche 18 mars à Tizi Ouzou, sur les accusations d’intelligence avec l’ennemi que porte dans son livre l’ancien président du Haut comité d’État (HCE) contre l’un des artisans de la Guerre de libération nationale, assassiné en décembre 1957 dans une ferme entre Tetouan et Tanger, au Maroc. « Après l'échec de plusieurs tentatives de négociations secrètes, et dans l'impossibilité de contrôler la situation malgré le rappel des contingents, les autorités françaises recherchaient de nouveaux contacts qui ont débouché sur une rencontrer, en mars 56, entre Abane Ramdane et des émissaires de Mendes France autour de l'organisation de négociations officieuses, et Abane a immédiatement fixé ses conditions », a raconté Ould Kablia, ce dimanche 18 mars à Tizi Ouzou, au cours d’une conférence dans le cadre de la célébration du cinquantième anniversaire des accords d’Évian.

 

 

Selon Ould Kablia, Abane avait exigé « la désignation d'une délégation représentative du FLN – représentant l'intérieur et l'extérieur –, que la rencontre ait lieu en Italie ou en Yougoslavie, l'arrêt des opérations de répression en Algérie et des garanties pour la délégation algérienne ». Les conditions posées par Abane n’ont pas été acceptées par la partie française. « Des conditions que Guy Mollet avait jugé irrecevables avant de mettre fin aux contacts avec Abane », a précisé Ould Kablia. « Cette position d'Abane contredit catégoriquement les insinuations contenues dans les mémoires du colonel Ali Kafi qui veulent faire croire qu'Abane cherchait, avec la partie française, un arrangement préjudiciable aux intérêts de la révolution », a affirmé Ould Kablia.

 

Évoquant les accords d'Évian signés le 18 mars 1962, Ould Kablia a déploré qu’ils n’aient « pas permis à ceux qui les ont dirigés, qui les ont conclus et qui ont apporté leur marque d'intelligence, de savoir‑faire et d'esprit tactique de continuer à gouverner ». « C'est là tout le problème », a‑t‑il ajouté. Ould Kablia a affirmé que durant la révolution, il y a eu des erreurs qu’il serait courageux de reconnaître. « Ceux qui ont empêché que l'Histoire soit dite normalement sont ceux qui craignaient que certains points de l'Histoire leur soient défavorables », a‑t‑il expliqué. Pour Ould Kablia, il faut expliquer le contexte qui a conduit à ces erreurs, notamment en ce qui concerne l'assassinat d'Abane Ramdane. « Ce n’est pas moi qui le dis mais c'est Ferhat Abbas : Abane est victime de ses frères ».

 

Le ministre de l’Intérieur a plaidé pour la création d'une chaîne d'Histoire ou d'une émission spécialisée pour éclairer tous les points noirs de l'Histoire de la Guerre d’indépendance, comme la Bleuite, le complot des colonels et le congrès de la Soummam. Poursuivant au sujet des erreurs, Ould Kablia est revenu sur la libération des détenus de la révolution, exigence qui constituait un point récurrent des conditions du GPRA, lequel a vu ces détenus lui tourner le dos, une fois libérés. Il revient également avec regret sur les divergences idéologiques entre les responsables politiques et l'état‑major de l'ALN qui ont débouché sur une grave crise qui a fait perdre à l'Algérie au moins quarante ans de développement. « Sans ce conflit entre ceux qui étaient nourris des mamelles du socialisme et ceux qui voulaient une gestion pragmatique, libérale et rationnelle, l'Algérie eût été un État démocratique dès les premières années de l'indépendance », a‑t‑il conclu.

tsa

[calculon 10]

Daho le promoteur de la démocratie, le chantre des libertés civiles, la vie est pleine de surprise

 

Dur le boulot de ministre de l’intérieur en ces temps, qu'est ce qu'il ne faut pas faire pour pousser les kabyles aux bureaux diel el vote

[Sydney 10]

Il était ou Daho aujourd'hui ?

Ah a Tizi Ouzou

Alors je comprends

[djam09 42]

Dahou Ould Kablia a animé, ce dimanche 18 mars, à Tizi Ouzou, une conférence dans le cadre de la célébration du cessez‑le‑feu du 19 mars 1962. Le ministre de l’Intérieur a saisi cette occasion pour adresser un message à la France. « Nous avons de quoi accuser la France de manière spectaculaire », a‑t‑il dit.

 

M. Ould Kablia, également patron de l'Association des anciens du MALG, a rappelé qu'en 1961, le Gouvernement provisoire algérien (GPRA), avait préparé un livre blanc sur toutes les exactions de l'armée française. Un document qu'il comptait adresser à l'ONU. Mais, a‑t‑il encore expliqué, Ferhat Abbas, alors président du GPRA, avait préféré temporiser. Les négociations qui allaient aboutir aux accords d'Évian venaient d’être lancées.

 

Mais sur ce point, Ould Kablia a laissé entendre que ce « livre blanc » peut être ressorti à n'importe quel moment. Son contenu risque de faire grand bruit, a‑t‑il averti. Sur ce même point, le ministre de l'Intérieur a également rappelé que les archives de Vincennes ont été ouvertes durant une certaine période. Mais elles ont vite été refermées lorsque les autorités françaises ont constaté que des informations sur des cas d'exactions commençaient à intéresser des chercheurs et des universitaires.

 

Abordant la question des harkis, Ould Kablia a réaffirmé que « l'État et le peuple algérien ne leur pardonneront jamais ». Par harkis, Ould Kablia dit faire allusion à ceux qui étaient enrôlés dans les comités de chasse contre le FLN. « Ceux‑là étaient plus dangereux que les parachutistes et les légionnaires étrangers et nous ne leur pardonnerons jamais », a‑t‑il ajouté.

tsa

[calculon 10]

Dahou Ould Kablia a animé, ce dimanche 18 mars, à Tizi Ouzou, une conférence dans le cadre de la célébration du cessez‑le‑feu du 19 mars 1962. Le ministre de l’Intérieur a saisi cette occasion pour adresser un message à la France. « Nous avons de quoi accuser la France de manière spectaculaire », a‑t‑il dit.

 

M. Ould Kablia, également patron de l'Association des anciens du MALG, a rappelé qu'en 1961, le Gouvernement provisoire algérien (GPRA), avait préparé un livre blanc sur toutes les exactions de l'armée française. Un document qu'il comptait adresser à l'ONU. Mais, a‑t‑il encore expliqué, Ferhat Abbas, alors président du GPRA, avait préféré temporiser. Les négociations qui allaient aboutir aux accords d'Évian venaient d’être lancées.

 

Mais sur ce point, Ould Kablia a laissé entendre que ce « livre blanc » peut être ressorti à n'importe quel moment. Son contenu risque de faire grand bruit, a‑t‑il averti. Sur ce même point, le ministre de l'Intérieur a également rappelé que les archives de Vincennes ont été ouvertes durant une certaine période. Mais elles ont vite été refermées lorsque les autorités françaises ont constaté que des informations sur des cas d'exactions commençaient à intéresser des chercheurs et des universitaires.

 

Abordant la question des harkis, Ould Kablia a réaffirmé que « l'État et le peuple algérien ne leur pardonneront jamais ». Par harkis, Ould Kablia dit faire allusion à ceux qui étaient enrôlés dans les comités de chasse contre le FLN. « Ceux‑là étaient plus dangereux que les parachutistes et les légionnaires étrangers et nous ne leur pardonnerons jamais », a‑t‑il ajouté.

tsa

 

Qu'est ce qui les en empêche? la est toute la question

 

Tu aurais du en faire un sujet à part Djam

[djam09 42]

Qu'est ce qui les en empêche? la est toute la question

 

Tu aurais du en faire un sujet à part Djam

oui tu as raison,je vais le faire

[Guest anincognito]

Ould Kablia dément Ali Kafi au sujet d'Abane Ramdane

 

Dahou Ould Kablia défend la mémoire d’Abane Ramdane, malmenée par Ali Kafi. Le ministre de l’Intérieur et président de l’Association des anciens du MALG est revenu, ce dimanche 18 mars à Tizi Ouzou, sur les accusations d’intelligence avec l’ennemi que porte dans son livre l’ancien président du Haut comité d’État (HCE) contre l’un des artisans de la Guerre de libération nationale, assassiné en décembre 1957 dans une ferme entre Tetouan et Tanger, au Maroc. « Après l'échec de plusieurs tentatives de négociations secrètes, et dans l'impossibilité de contrôler la situation malgré le rappel des contingents, les autorités françaises recherchaient de nouveaux contacts qui ont débouché sur une rencontre, en mars 56, entre Abane Ramdane et des émissaires de Mendes France autour de l'organisation de négociations officieuses, et Abane a immédiatement fixé ses conditions », a raconté Ould Kablia, ce dimanche 18 mars à Tizi Ouzou, au cours d’une conférence dans le cadre de la célébration du cinquantième anniversaire des accords d’Évian.

 

Selon Ould Kablia, Abane avait exigé « la désignation d'une délégation représentative du FLN – représentant l'intérieur et l'extérieur –, que la rencontre ait lieu en Italie ou en Yougoslavie, l'arrêt des opérations de répression en Algérie et des garanties pour la délégation algérienne ». Les conditions posées par Abane n’ont pas été acceptées par la partie française. « Des conditions que Guy Mollet avait jugé irrecevables avant de mettre fin aux contacts avec Abane », a précisé Ould Kablia. « Cette position d'Abane contredit catégoriquement les insinuations contenues dans les mémoires du colonel Ali Kafi qui veulent faire croire qu'Abane cherchait, avec la partie française, un arrangement préjudiciable aux intérêts de la révolution », a affirmé Ould Kablia.

 

Évoquant les accords d'Évian signés le 18 mars 1962, Ould Kablia a déploré qu’ils n’aient « pas permis à ceux qui les ont dirigés, qui les ont conclus et qui ont apporté leur marque d'intelligence, de savoir‑faire et d'esprit tactique de continuer à gouverner ». « C'est là tout le problème », a‑t‑il ajouté. Ould Kablia a affirmé que durant la révolution, il y a eu des erreurs qu’il serait courageux de reconnaître. « Ceux qui ont empêché que l'Histoire soit dite normalement sont ceux qui craignaient que certains points de l'Histoire leur soient défavorables », a‑t‑il expliqué. Pour Ould Kablia, il faut expliquer le contexte qui a conduit à ces erreurs, notamment en ce qui concerne l'assassinat d'Abane Ramdane. « Ce n’est pas moi qui le dis mais c'est Ferhat Abbas : Abane est victime de ses frères ».

 

Le ministre de l’Intérieur a plaidé pour la création d'une chaîne d'Histoire ou d'une émission spécialisée pour éclairer tous les points noirs de l'Histoire de la Guerre d’indépendance, comme la Bleuite, le complot des colonels et le congrès de la Soummam. Poursuivant au sujet des erreurs, Ould Kablia est revenu sur la libération des détenus de la révolution, exigence qui constituait un point récurrent des conditions du GPRA, lequel a vu ces détenus lui tourner le dos, une fois libérés. Il revient également avec regret sur les divergences idéologiques entre les responsables politiques et l'état‑major de l'ALN qui ont débouché sur une grave crise qui a fait perdre à l'Algérie au moins quarante ans de développement. « Sans ce conflit entre ceux qui étaient nourris des mamelles du socialisme et ceux qui voulaient une gestion pragmatique, libérale et rationnelle, l'Algérie eût été un État démocratique dès les premières années de l'indépendance », a‑t‑il conclu.

 

Source: Ould Kablia dément Ali Kafi au sujet d'Abane Ramdane - Divers - Tout sur l'Algérie - page 1

[Guest anincognito]

Si ça ce ne sont pas des déclarations magnifiques, notamment celles en rapport avec le choix du modèle politique et de gestion économique.

[Guest prenpalatete]

non contents de l'avoir fait assassiner ils voudraient en plus salir sa mémoire:il n'y ont jamais réussi et n'y réussiront pas.

le modèle économique choisi l'a été juste pour etre en rupture avec le modèle français d'ou l'orientation vers le bloc de l'est avec la réussite que l'on connait!

[admin 2]

Si ça ce ne sont pas des déclarations magnifiques, notamment celles en rapport avec le choix du modèle politique et de gestion économique.

 

 

C'est la mode Bouteflika. Le regime qui fait dans l'opposition... il se critique lui meme mais sans sanctionner personnes...

 

C'est la meme chose que pour l'histoire de la fraude electorale...

[admin 2]

Il revient également avec regret sur les divergences idéologiques entre les responsables politiques et l'état‑major de l'ALN qui ont débouché sur une grave crise qui a fait perdre à l'Algérie au moins quarante ans de développement. « Sans ce conflit entre ceux qui étaient nourris des mamelles du socialisme et ceux qui voulaient une gestion pragmatique, libérale et rationnelle, l'Algérie eût été un État démocratique dès les premières années de l'indépendance », a‑t‑il conclu.

 

Comprendre : la democratie et le developpement a commence en Algerie en 2000, c'est a dire avec l'avenement du grand Prophete Boutetflika.

[Guest anincognito]

C'est la mode Bouteflika. Le regime qui fait dans l'opposition... il se critique lui meme mais sans sanctionner personnes...

 

C'est la meme chose que pour l'histoire de la fraude electorale...

 

Mais en tout cas, ces déclarations sont inédites, et elles permettront sûrement d'aller encore plus en avant.

[Guest prenpalatete]

C'est la mode Bouteflika. Le regime qui fait dans l'opposition... il se critique lui meme mais sans sanctionner personnes...

 

C'est la meme chose que pour l'histoire de la fraude electorale...

 

ils sont forts nos dirigeants: ils sont le pouvoir et l'opposition , ils devraient songer à faire breveter ce modèle!

[admin 2]

Mais en tout cas, ces déclarations sont inédites, et elles permettront sûrement d'aller encore plus en avant.

 

Justement, on reconnait un crime mais on ne fait rien pour arreter le coupable.

 

Boutef reconnait que les derniers votes ont ete truques mais ne fait rien pour sanctionner les auteurs (lui).

 

Critiquer c'est le role du l'opposition et non du gouvernement. Le gouvernment, lui, agit. Ca se passe comme ca dans les pays normaux.

[Otto KHOR 10]

Dahou Ould Kablia a animé, ce dimanche 18 mars, à Tizi Ouzou, une conférence dans le cadre de la célébration du cessez‑le‑feu du 19 mars 1962. Le ministre de l’Intérieur a saisi cette occasion pour adresser un message à la France. « Nous avons de quoi accuser la France de manière spectaculaire », a‑t‑il dit.

 

M. Ould Kablia, également patron de l'Association des anciens du MALG, a rappelé qu'en 1961, le Gouvernement provisoire algérien (GPRA), avait préparé un livre blanc sur toutes les exactions de l'armée française. Un document qu'il comptait adresser à l'ONU. Mais, a‑t‑il encore expliqué, Ferhat Abbas, alors président du GPRA, avait préféré temporiser. Les négociations qui allaient aboutir aux accords d'Évian venaient d’être lancées.

 

Mais sur ce point, Ould Kablia a laissé entendre que ce « livre blanc » peut être ressorti à n'importe quel moment. Son contenu risque de faire grand bruit, a‑t‑il averti. Sur ce même point, le ministre de l'Intérieur a également rappelé que les archives de Vincennes ont été ouvertes durant une certaine période. Mais elles ont vite été refermées lorsque les autorités françaises ont constaté que des informations sur des cas d'exactions commençaient à intéresser des chercheurs et des universitaires.

 

Abordant la question des harkis, Ould Kablia a réaffirmé que « l'État et le peuple algérien ne leur pardonneront jamais ». Par harkis, Ould Kablia dit faire allusion à ceux qui étaient enrôlés dans les comités de chasse contre le FLN. « Ceux‑là étaient plus dangereux que les parachutistes et les légionnaires étrangers et nous ne leur pardonnerons jamais », a‑t‑il ajouté.

tsa

 

 

 

discours à usage interne pour faire oublier que le Ministre était au Marok

 

KAFI combattant de l'intérieur sait de quoi il parle

 

pour la menace contre FAFA , de l'impudence. Nos dirigeants soNt pour la majorité paralysés par la peur. Entre la CPI et la divulgation de leur patrimoine parisien ils en ont les cheveux blancs.

 

qui d'entre eux ne possède pas au moins un hôtel à Bariz ?

[aqchiche 10]

discours à usage interne pour faire oublier que le Ministre était au Marok

 

KAFI combattant de l'intérieur sait de quoi il parle

 

pour la menace contre FAFA , de l'impudence. Nos dirigeants soNt pour la majorité paralysés par la peur. Entre la CPI et la divulgation de leur patrimoine parisien ils en ont les cheveux blancs.

 

qui d'entre eux ne possède pas au moins un hôtel à Bariz ?

 

Kafi doit d'abord nous dire pour quelle raison a t il donné la tête de Zighout ,puisse qu'il sait de quoi il parle comme tu le dis :mdr:

 

Kafi déteste Abane car ce dernier avec Ben M'hidi l'ont viré du congrès de La

Soummam et il n'a pas pu y assister !!!!

 

et quand tu dis,qu'il est combattant de l'intérieur ,révise bien ton Histoire et cherche bien combien de fois Kafi a traversé la ligne mourice lol

[Caporal 10]

Kafi doit d'abord nous dire pour quelle raison a t il donné la tête de Zighout ,puisse qu'il sait de quoi il parle comme tu le dis :mdr:

 

Kafi déteste Abane car ce dernier avec Ben M'hidi l'ont viré du congrès de La

Soummam et il n'a pas pu y assister !!!!

 

et quand tu dis,qu'il est combattant de l'intérieur ,révise bien ton Histoire et cherche bien combien de fois Kafi a traversé la ligne mourice lol

 

Nos révolutionnaires d'antan n'ont jamais eu confiance en Ali Kafi :D

Aussitôt arrivé à la Soummam, on l'a informé que le congrès aller se délocaliser du coté de Skikda.

Une fois celui-ci parti pour Skikda..les grands se sont réunis comme prévu :mdr:

.

[calculon 10]

Nos révolutionnaires d'antan n'ont jamais eu confiance en Ali Kafi :D

Aussitôt arrivé à la Soummam, on l'a informé que le congrès aller se délocaliser du coté de Skikda.

Une fois celui-ci parti pour Skikda..les grands se sont réunis comme prévu :mdr:

.

 

C'était donc à qui planterait son copain le premier ?

[aqchiche 10]

Nos révolutionnaires d'antan n'ont jamais eu confiance en Ali Kafi :D

Aussitôt arrivé à la Soummam, on l'a informé que le congrès aller se délocaliser du coté de Skikda.

Une fois celui-ci parti pour Skikda..les grands se sont réunis comme prévu :mdr:

.

 

aussi,des anciens disent quand il a traversé la ligne Maurice en 1959 c'été pour revenir avec des armes dans le Constantinois ,chose qu'il n'a jamais faite lui et sa garde :04:

 

le pire c'est qu'il ose critiqué les vrai révolutionnaire :Abane,Ben M'HIDI ,Amirouche et autres

[Caporal 10]

C'était donc à qui planterait son copain le premier ?

 

Ali Kafi n'avait pas sa place au congrès ; aussi simple que ça ;)

D'ailleurs il s'est invité tout seul au congrès..Abane ne l'avait pas convoqué !

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[Caporal 10]

aussi,des anciens disent quand il a traversé la ligne Maurice en 1959 c'été pour revenir avec des armes dans le Constantinois ,chose qu'il n'a jamais faite lui et sa garde :04:

 

le pire c'est qu'il ose critiqué les vrai révolutionnaire :Abane,Ben M'HIDI ,Amirouche et autres

 

Ali Kafi a toujours été un homme exécrable (même durant sa jeunesse) !

Ses djounouds ne l'ont d'ailleurs jamais respecté..

Lui-même ne faisait confiance à personne..comment veut-on qu'on ait confiance en lui ? :D

 

Rebbi Yahdih !!!

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[rosier belda 10]

Nos révolutionnaires d'antan n'ont jamais eu confiance en Ali Kafi :D

Aussitôt arrivé à la Soummam, on l'a informé que le congrès aller se délocaliser du coté de Skikda.

Une fois celui-ci parti pour Skikda..les grands se sont réunis comme prévu :mdr:

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Et pourquoi ils lui on fait le coup de faux délocalisation...Houwa biyaa (mouchard) ?

[clairvoyant 10]

bonsoir

L'algerie a été libérée par le peuple algérien.

Pour l'histoire de la guerre, les personnages ne comptent pas, ce qui compte sont les groupes importants de personnes intègres, avec des recoupements, des témoignages,....

Le blabla ne sert a rien.

[clairvoyant 10]

bonsoir

 

Abbane Ramdane , Amirouche, Larbi Ben M'Hidi, Si El Haouès, Krim Belkacem, Mustapha Ben Boulaid, Zighout Youcef, Didouche Mourad et la liste est longue.

 

Sont des repères pour le peuple Algérien , ils s'approchent du sacré. ils méritent le plus profond des respects.

 

Il n y pas de plus abominable que le colonialisme Français et ses suppôts.

[Guest prenpalatete]

bonsoir

 

Abbane Ramdane , Amirouche, Larbi Ben M'Hidi, Si El Haouès, Krim Belkacem, Mustapha Ben Boulaid, Zighout Youcef, Didouche Mourad et la liste est longue.

 

Sont des repères pour le peuple Algérien , ils s'approchent du sacré. ils méritent le plus profond des respects.

 

Il n y pas de plus abominable que le colonialisme Français et ses suppôts.

 

les mettre dans une seule liste sacralisée ne rend pas service à notre pays et à nos jeunes plus précisément:l'histoire si on veut qu'elle soit fondatrice de notre nation ne doit pas occulter les erreurs ou les mérites de chacun d'entre eux:Abbane Ramdane et Amirouche pour ne prendre qu'eux comme exp n'ont pas eu ,c'est le moins qu'on puisse dire ,le meme parcours meme si leur but ultime était le meme :la libération du pays.