djam09 42 Posted March 19, 2012 Partager Posted March 19, 2012 Dahou Ould Kablia a animé, ce dimanche 18 mars, à Tizi Ouzou, une conférence dans le cadre de la célébration du cessez‑le‑feu du 19 mars 1962. Le ministre de l’Intérieur a saisi cette occasion pour adresser un message à la France. « Nous avons de quoi accuser la France de manière spectaculaire », a‑t‑il dit. M. Ould Kablia, également patron de l'Association des anciens du MALG, a rappelé qu'en 1961, le Gouvernement provisoire algérien (GPRA), avait préparé un livre blanc sur toutes les exactions de l'armée française. Un document qu'il comptait adresser à l'ONU. Mais, a‑t‑il encore expliqué, Ferhat Abbas, alors président du GPRA, avait préféré temporiser. Les négociations qui allaient aboutir aux accords d'Évian venaient d’être lancées. Mais sur ce point, Ould Kablia a laissé entendre que ce « livre blanc » peut être ressorti à n'importe quel moment. Son contenu risque de faire grand bruit, a‑t‑il averti. Sur ce même point, le ministre de l'Intérieur a également rappelé que les archives de Vincennes ont été ouvertes durant une certaine période. Mais elles ont vite été refermées lorsque les autorités françaises ont constaté que des informations sur des cas d'exactions commençaient à intéresser des chercheurs et des universitaires. Abordant la question des harkis, Ould Kablia a réaffirmé que « l'État et le peuple algérien ne leur pardonneront jamais ». Par harkis, Ould Kablia dit faire allusion à ceux qui étaient enrôlés dans les comités de chasse contre le FLN. « Ceux‑là étaient plus dangereux que les parachutistes et les légionnaires étrangers et nous ne leur pardonnerons jamais », a‑t‑il ajouté. tsa Citer Link to post Share on other sites
Otto KHOR 10 Posted March 20, 2012 Partager Posted March 20, 2012 ce qui est craint est le contraire Citer Link to post Share on other sites
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