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Polémique sur le prétendu massacre de harkis Saïd Abadou réplique à la droite française


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Le secrétaire général de l’Organisation nationale des moudjahidine (ONM), Saïd Abadaou, se mêle au débat que la droite française veut imposer sur les harkis. Un débat qui coïncide avec la célébration du cinquantenaire de la signature des accords d’Évian, le 18 mars 1962, entre le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) et les autorités françaises et du cessez‑le‑feu. Selon la droite française, le FLN aurait massacré des harkis, supplétifs de l’armée coloniale française, après le cessez‑le‑feu du 19 mars 1962, en représailles.

 

Ce sujet est abondamment abordé dans le cadre de la campagne électorale pour la présidentielle française. Nicolas Sarkozy, président sortant et candidat de l’UMP, a déclaré dernièrement que les harkis ont souffert « d’injustice et d’abandon ». « Nous avons une dette à leur égard », a‑t‑il dit, soulignant que la France ne fera « aucune repentance » par rapport à la colonisation de l’Algérie. L’idée de harkis « massacrés » a été développée également dans le reportage coordonné par l’historien Benjamin Stora et diffusé par la chaîne publique France 2 la semaine écoulée.

 

« Les prétentions des autorités françaises selon lesquelles il y aurait eu en Algérie l'exécution de harkis au lendemain de l'indépendance n'ont aucun fondement », a déclaré Saïd Abadou, repris par l’agence APS, en marge des travaux du 11e congrès de l'ONM qui se tient au Palais des nations au Club des pins. D’après lui, la France s'était adonnée à cette pratique en exécutant tous les Français qui avaient collaboré avec le régime nazi durant la Seconde Guerre mondiale entre 1939 et 1945. Intervenant lors du débat de France 2, Ali Haroun, ancien responsable de la fédération du FLN en France, a soutenu que le FLN n’a jamais donné instruction de s’en prendre aux harkis ou à leurs familles après le cessez‑le‑feu ou l’indépendance. « Montrez‑moi une seule instruction du FLN appelant à massacrer les harkis », a‑t‑il lancé.

 

Dimanche matin, au club de la presse du quotidien national El Moudjahid, à Alger, Réda Malek, porte‑parole de la délégation du GPRA à Évian, a estimé que le cessez‑le‑feu avait été respecté à la lettre par les combattants de l’ALN. « La violence n’était pas de notre côté », a‑t‑il dit. Il ciblait par ces propos l’Organisation armée secrète (OAS) qui avait perpétré plusieurs attentats en Algérie et en France pour tenter d’empêcher l’indépendance de l’Algérie. « Un esprit sain ne peut pas mettre sur le même pied d'égalité celui qui défend sa terre, sa dignité et sa valeur et celui qui était venu de loin à des fins de colonisation, de massacre des populations et de spoliation des richesses du pays », a soutenu Saïd Abadou.

tsa

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Le secrétaire général de l’Organisation nationale des moudjahidine (ONM), Saïd Abadaou, se mêle au débat que la droite française veut imposer sur les harkis. Un débat qui coïncide avec la célébration du cinquantenaire de la signature des accords d’Évian, le 18 mars 1962, entre le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) et les autorités françaises et du cessez‑le‑feu. Selon la droite française, le FLN aurait massacré des harkis, supplétifs de l’armée coloniale française, après le cessez‑le‑feu du 19 mars 1962, en représailles.

 

Ce sujet est abondamment abordé dans le cadre de la campagne électorale pour la présidentielle française. Nicolas Sarkozy, président sortant et candidat de l’UMP, a déclaré dernièrement que les harkis ont souffert « d’injustice et d’abandon ». « Nous avons une dette à leur égard », a‑t‑il dit, soulignant que la France ne fera « aucune repentance » par rapport à la colonisation de l’Algérie. L’idée de harkis « massacrés » a été développée également dans le reportage coordonné par l’historien Benjamin Stora et diffusé par la chaîne publique France 2 la semaine écoulée.

 

« Les prétentions des autorités françaises selon lesquelles il y aurait eu en Algérie l'exécution de harkis au lendemain de l'indépendance n'ont aucun fondement », a déclaré Saïd Abadou, repris par l’agence APS, en marge des travaux du 11e congrès de l'ONM qui se tient au Palais des nations au Club des pins. D’après lui, la France s'était adonnée à cette pratique en exécutant tous les Français qui avaient collaboré avec le régime nazi durant la Seconde Guerre mondiale entre 1939 et 1945. Intervenant lors du débat de France 2, Ali Haroun, ancien responsable de la fédération du FLN en France, a soutenu que le FLN n’a jamais donné instruction de s’en prendre aux harkis ou à leurs familles après le cessez‑le‑feu ou l’indépendance. « Montrez‑moi une seule instruction du FLN appelant à massacrer les harkis », a‑t‑il lancé.

 

Dimanche matin, au club de la presse du quotidien national El Moudjahid, à Alger, Réda Malek, porte‑parole de la délégation du GPRA à Évian, a estimé que le cessez‑le‑feu avait été respecté à la lettre par les combattants de l’ALN. « La violence n’était pas de notre côté », a‑t‑il dit. Il ciblait par ces propos l’Organisation armée secrète (OAS) qui avait perpétré plusieurs attentats en Algérie et en France pour tenter d’empêcher l’indépendance de l’Algérie. « Un esprit sain ne peut pas mettre sur le même pied d'égalité celui qui défend sa terre, sa dignité et sa valeur et celui qui était venu de loin à des fins de colonisation, de massacre des populations et de spoliation des richesses du pays », a soutenu Saïd Abadou.

tsa

Les 150000 harkis

.... soit disant tues par l'ALN de l'interieur

.... ont en realite deserte "la force locale"

.... ou l'armee Francaise pour etre integres

.... a l'armee des frontieres qui avait pour objectif

.... de s'emparer du pouvoir en Algerie et ce avec

.... la complicite de Louis Joxe, Robetrt Buron etc....

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Les 150000 harkis

.... soit disant tues par l'ALN de l'interieur

.... ont en realite deserte "la force locale"

.... ou l'armee Francaise pour etre integres

.... a l'armee des frontieres qui avait pour objectif

.... de s'emparer du pouvoir en Algerie et ce avec

.... la complicite de Louis Joxe, Robetrt Buron etc....

 

bonjour,

 

Tres probable!

quand on connait la strategie du sodrdide

pour atteindre et avoir le pouvoir.

Les historiens devraient (si ce n'est deja fait) se pencher sur cette

possibilité!

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  • 2 weeks later...

N'importe quoi !

 

Tout le monde sait que c'est vrai.

La majorité de harkis resté en 62 ont été massacré dès juillet par le peuple majoritairement FLN.

 

Pourquoi se mentir, tout le monde s'en vente depuis la libération et aujourd'hui il faudrait le nier.

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