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Si je te disais que la mer t'appelle,

Serais -tu dispose a lui repondre royalement?

Ou bien la laisserais -tu faire comme une vraie reine

Avec sa justice et sa puissance sereines,

Te submergeant par ses flots tapageurs?

 

Si je te disais que nous avons du passer par ce tunnel,

Gemissant, pleurant, acceptant d'etre bafoues et meprises

Malheureux et portes disparus dans le linceul de l'oubli

Ruines par nos faiblesses de jadis , nos folies et nos regrets

Arriverais -tu a comprendre que c'etait juste une etape,

Un chemin a parcourir, une epreuve pour nous deux?

Ou bien y verrais- tu une occasion comme une autre

Pour que nous soyons transformes , embellis et purifies

Nous aimant et nous adorant dans le triomphe et la victoire????

 

Si je te disais que le printemps est en pleine coquetterie

Avec ces oiseaux que tu aimes si tendrement et si vivement

Pourras tu comprendre leur douceur et leur conscience si pures

Ou bien les laisseras tu chanter et perturber ton silence?

 

Si je te disais que je t;aime un peu plus chaque jour,

Me donneras -tu le plus long baiser du siecle?

Ou bien me diras-tu avec ta candide simplicite

Que tu feras encore mieux la prochaine fois,

Encore une fois, une derniere fois.....

Te redoublant de cet amour fougueux et superbe??

Unique ,transparent et fier en son genre.....

 

 

ABLA a son renardeau Le 19 Mars 2012

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Si je te disais que la mer t'appelle,

Serais -tu dispose a lui repondre royalement?

Ou bien la laisserais -tu faire comme une vraie reine

Avec sa justice et sa puissance sereines,

Te submergeant par ses flots tapageurs?

 

Si je te disais que nous avons du passer par ce tunnel,

Gemissant, pleurant, acceptant d'etre bafoues et meprises

Malheureux et portes disparus dans le linceul de l'oubli

Ruines par nos faiblesses de jadis , nos folies et nos regrets

Arriverais -tu a comprendre que c'etait juste une etape,

Un chemin a parcourir, une epreuve pour nous deux?

Ou bien y verrais- tu une occasion comme une autre

Pour que nous soyons transformes , embellis et purifies

Nous aimant et nous adorant dans le triomphe et la victoire????

 

Si je te disais que le printemps est en pleine coquetterie

Avec ces oiseaux que tu aimes si tendrement et si vivement

Pourras tu comprendre leur douceur et leur conscience si pures

Ou bien les laisseras tu chanter et perturber ton silence?

 

Si je te disais que je t;aime un peu plus chaque jour,

Me donneras -tu le plus long baiser du siecle?

Ou bien me diras-tu avec ta candide simplicite

Que tu feras encore mieux la prochaine fois,

Encore une fois, une derniere fois.....

Te redoublant de cet amour fougueux et superbe??

Unique ,transparent et fier en son genre.....

 

 

ABLA a son renardeau Le 19 Mars 2012

 

 

merçi gigi je sais que c'est ton coeur qui a parlé ---notre code facteur temp

 

Une vague m’entraîne

Et je me laisse dériver

Les yeux fermés, je savoure

Ce bien-être comme enivrée.

 

En ouvrant les yeux

Je ne vois que le ciel bleu,

Cette eau qui m’entoure, brillante

Fait penser à l’éclat du diamant !

 

Je voudrais être sirène

Et traverser les océans !

Oubliant toute pensée humaine

Pour vivre au gré du courant,

 

Hélas, la marée me ramène

Indéfinissable voyage !!

La mer, c’est mon élément

Je l’aime encore davantage

 

Le temps passe si rapidement !

 

 

anonyme pour ne pas dire le sage a ça gigi

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gigi moi j'écrits et toi tu comprendre car on se connait trés bien

 

 

Écrire est un moment indéfinissable,

Pendant lequel des mots, venus du fond de l'âme,

Comme la mer va et revient sur le sable,

Me libèrent, me transportent et me calment.

 

Un paradis pour les amoureux, pour ceux,

Qui aiment se retrouver les yeux dans les yeux,

Sur ce merveilleux et sublime petit îlot,

Que seule nous procure l'île aux oiseaux.

 

pour ma gigi

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Seul et triste au milieu des chants des matelots,

Le soir, sous la falaise, à cette heure où les flots,

S'ouvrant et se fermant comme autant de narines,

Mêlent au vent des cieux mille haleines marines,

Où l'on entend dans l'air d'ineffables échos,

Qui viennent de la terre ou qui viennent des eaux,

Ainsi je songe ! - à vous, enfants, maisons, famille,

A la table qui rit, au foyer qui pétille,

A tous les soins pieux que répandent sur vous,

Votre mère si tendre et votre aïeul si doux !

Et tandis qu'à mes pieds s'étend, couvert de voiles,

Le limpide océan, ce miroir des étoiles,

Tandis que les nochers laissent errer leurs yeux,

De l'infini des mers à l'infini des cieux,

Moi, rêvant à vous seuls, je contemple et je sonde,

L'amour que j'ai pour vous dans mon âme profonde,

Amour doux et puissant qui toujours m'est resté.

Et cette grande mer est petite à côté !

 

 

Victor Hugo

je dédie ce poème a ma gigi

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Que la mer est belle avec ses blancs moutons !

Mais soudain, elle se change en mégère impromptue :

Fantastique et sublime, semblable à mille démons

Qui fondent sur les maisons et font trembler les nues !

 

Dans un ciel assombrit, déchiré par l'éclair,

Le vent et le tonnerre font plier les grands arbres,

Ballottant les oiseaux qui cherchent un repaire.

Neptune et Jupiter, ont réuni leurs armes !

 

L'homme seul, au milieu des éléments déchaînés

Doit lutter pour sa vie et sauver son bateau,

Face aux furies infernales si déterminées,

Qui veulent à tout prix : l'emmener au fond des eaux...

 

Pauvres marins luttant contre : vague et orages,

Il vous reste " un ami - un guide sur la terre "

Debout sur les rochers, tout au bord du rivage,

Un ange solitaire scintille dans les ténèbres.

 

Seul, Stoïque, le gardien de phare - coupé du monde,

Assume et reste là... pour que les autres vivent !

Harcelé de milliers de lames qui l'inondent,

L'encerclent, l'agrippent et meurent en vaines offensives !

 

Là où finit la terre, la mer a son royaume !

Belliqueuse : elle monte jusqu'au toit des maisons

Elle envahit les quais, et roule sur les chaumes,

Bousculant sur la digue les curieux de saison.

 

Le port avec ses rues sont recouverts d'écume,

Comme en pleine montagne, on marche dans la neige !

La mer est mécontente et montre sa rancune,

Mais les vieux loups de mer, connaissent bien son manège !

 

Déesse irascible, elle veut des sacrifices...

En sortant de son lit, comme une amante cruelle,

Elle emporte avec elle les meilleurs de nos fils !

Mais qui oserait dire : que la mer n'est pas belle ?...

 

 

Jean-Claude Brinette

 

la silouette sur le rocher c'est ma gigi

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Où est mon âme, j’ai perdu ma chaire

Un an me damne, d’hiver en hiver

Ces beaux souvenirs me sont si durs

Quant aux devenirs, qu’auront-ils comme allure ?

 

Je pleure chaque jour, terrorisé par demain

Si meurt mon amour je ne serai plus rien

J’entends vos voix, je ne touche que mes larmes

Je ne suis certes que proie d’une vie qui charme

 

J’ai été trompé, leurré par le diable

Il m’a chanté ses vers, ses conseils si peu fiables

J’ai trébuché, changeant de trajectoire, quelle erreur

Mon âme sur le bucher, se lamente dans l’horreur.

 

a suivre

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suite et fin

 

Vie de douleurs, succession de balafres

Instants aux lourdeurs et à la mesure de nos affres

C’est ainsi qu’est Ton noble décret, si amer

Purification de nos péchés, secrets comme découverts

 

Je cherche l’ombre en cet univers brulant

Adossé au tronc d’un saule pleureur

J’ai beau écrire pour briser mon silence hurlant

Je n’ai de vers que lettres imprégnées de mes erreurs…

 

Je rejoins aujourd’hui cette Afrique si lointaine

J’espère toucher de mes mains la cure de mes peines

Goûter le retour de la foi, sa chaleur

Panser mes cicatrices, plaies de mes malheurs

 

Ici vit mon sang, ma chaire

Ici gît à présent la tristesse de mes viscères

Sous sa terre la tombe de mes sombres jours

Sur sa poussière rouge, je revois mon amour gigi .

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merçi gigi je sais que c'est ton coeur qui a parlé ---notre code facteur temp

 

Une vague m’entraîne

Et je me laisse dériver

Les yeux fermés, je savoure

Ce bien-être comme enivrée.

 

En ouvrant les yeux

Je ne vois que le ciel bleu,

Cette eau qui m’entoure, brillante

Fait penser à l’éclat du diamant !

 

Je voudrais être sirène

Et traverser les océans !

Oubliant toute pensée humaine

Pour vivre au gré du courant,

 

Hélas, la marée me ramène

Indéfinissable voyage !!

La mer, c’est mon élément

Je l’aime encore davantage

 

Le temps passe si rapidement !

 

 

anonyme pour ne pas dire le sage a ça gigi

Oui souhaitons que le temps s'envole et avec lui nos peines et nos deboires!!

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