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L'huile d’olive, le pétrole de la Kabylie.


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pour les poussins ,il y'a pas d'importation c fait sur place,il y'a des personnes qui ont investi et ont fait fortune dans ce creneau car justement les poulets bcp font cet elevage qui ne demande pas plus de trois mois

 

Je ne parle pas des poussins qui naissent en Algérie.

Je parle de leurs grands parents. Ces animaux restent en Europe.

On ne nous envoi que des oeufs à mettre dans les couvoirs.

Nous restons dépendant, des firmes de sélection.

Si nous ne pouvons plus acheter ces oeufs à couver, c'est fini de notre élevage.

- je me demande ce que font nos ingénieurs agronomes généticiens.

ps: parfois, à prix d'or, les firmes acceptent qu'on achètent les souches parentales. Mais, les souches grandes-parentales, ils ne les vendent pas. Ils ne sont pas bêtes: c'est "ras el'mal".

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pour les poussins ,il y'a pas d'importation c fait sur place,il y'a des personnes qui ont investi et ont fait fortune dans ce creneau car justement les poulets bcp font cet elevage qui ne demande pas plus de trois mois

Voila le type de contrat que nous devons développer.

APS) mardi 6 mars 2012 16 : 13

Prochaine création d’une société mixte algéro-hongroise de production de poussins de ponte

ALGER - Une société mixte algéro-hongroise de production de poussins de ponte, la première en Algérie, sera créée prochainement à Attatba (w. de Tipasa) à la suite d’un accord signé mardi entre l’Office national de production des aliments de de bétail (ONAB) et le groupe avicole hongrois ’’Babolna Tetra’’.

 

Ce contrat prévoit l’implantation d’une unité de production de grands parentaux destinés à produire du poussin ponte", a indiqué le directeur général de l’ONAB, Lembarek Yahi.

 

La société "verra le jour très prochainement à Attatba" et permettra à l’Algérie de réduire ses importations de reproducteurs de poussins ponte en développant la souche au niveau local", a-t-il expliqué à l’APS, situant à 2,5 millions de dollars la facture annuelle d’importation de ce produit, notamment de Hongrie. Ce projet sera réalisé en partenariat avec le principal fournisseur de l’Algérie, le groupe hongrois ’’Babolna Tetra’’, présent sur le marché algérien depuis 40 ans.

 

Les deux partenaires prévoient dans une seconde étape l’exportation de poussins de ponte vers les pays de la région. "Cette unité, qui s’ajoutera aux deux unités de production de poussins de chair, déjà opérationnelles à Ain Oussara et à Tlemcen, permettra d’autonomiser la filière avicole de manière conséquente", a indiqué encore M. Yahi.

 

L’accord de création de cette société fait partie de quatre autres signés entre les opérateurs algériens et hongrois dans le domaine agricole, en présence du ministre de l’Agriculture et du développement rural, Rachid Benaïssa et son homologue hongrois, Sandor Fazekas, en visite de travail de trois jours en Algérie. Ces accords entrent dans le cadre d’un accord de coopération économique global signé par les deux ministres au nom de leurs gouvernements respectifs.

 

Le deuxième accord a été conclu entre l’Institut national des Sols, d’Irrigation et de drainage (INSID) et son homologue hongrois HAKI. Il prévoit le renforcement des échanges d’expériences entre cadres des deux instituts, la coopération dans le domaine de la gestion des sols et de l’eau, la production halieutique et la formation.

 

Le troisième accord, conclu entre l’Institut technique des élevages (ITEV) et son homologue hongrois HTK prévoit le développement des techniques de maîtrise de l’alimentation animale et les systèmes de croisement d’animaux. Il vise également l’amélioration de la production de viandes rouges et de lait, l’identification du cheptel ovin et bovin algérien et le développement des cultures fourragères. Cet accord prévoit la réalisation d’une "grande opération" visant l’amélioration de la race locale bovine "El Cheurfa" en vue de sa préservation et son développement pour la production de viande, selon le directeur général de l’ITEV, Ahmed Boudjenah.

 

Le quatrième accord a été paraphé par les responsables du Centre national d’insémination artificielle et de relations génétiques (CNIAD) et la société hongroise ’’Embrio’’. Outre la formation des cadres algériens dans le domaine de la production d’embryons, particulièrement des espèces bovines, cet accord prévoit l’implantation de ces embryons et l’amélioration des races locales et leur productivité.

 

Durant son séjour à Alger, le ministre hongrois effectuera des visites de terrain au niveau des exploitations agricoles et d’élevage, des unités d’abattage, des instituts techniques et scientifiques pour s’enquérir de l’expérience algérienne en matière de développement agricole.

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il y'a aussi les feux de forets de l’été dernier qui ont massacrés bcp d'oliviers aussi,je penses que le fait que les jeunes ne s’intéresse pas a cela c du surtout au fait que les oliviers commencent a produire vers les 10 ans d'age ou plus des fois,d'ailleurs en Kabylie,on dit que les oliviers on les plantes pour le prochain

 

Avec les techniques modernes de greffage et du choix adapté du porte-greffe un olivier devient très rentable dès la 3 eme année!

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mchatt khouya

je fais exploser la production

Mais:

- je veux carte blanche,

- je demande 10% des bénéfices.

 

Chouf, chouf ce qu'on fait:

- on paye plus 10% les agriculteurs qui nous cèdent leur huile, mais ils signent un cahier des charges,

- on leur prête de l'argent (avance sur récolte),

- on recrute un technicien qui tourne chez nos planteurs

- il insiste sur l'application du cahier des charges: taille, engrais, labour, 1 irrigation en juillet et une en août,

- récolte: pas de terre, pas de feuilles mélangées aux olives,

- stockage des olives dans des caisses plastiques

- planning de ramassage,

- fourniture de matériel de récolte (peignes, vibreurs)

 

Je vois que tu es connaisseur !

Il ne faut oublier les filets au sol pour le ramassage. Les sacs pour le stockage ne doivent pas être hermétiques pour éviter que les olives ne surchauffent et fermentent à l'intérieur. Il faut stocker les sacs dans des endroits frais et très aérés. Ces points sont souvent négliges par les cultivateurs et c'est ce qui élève le taux d'acidité dans l'huile et lui procure un mauvais gout (selon mes propres appréciations! )

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Je vois que tu es connaisseur !

Il ne faut oublier les filets au sol pour le ramassage. Les sacs pour le stockage ne doivent pas être hermétiques pour éviter que les olives ne surchauffent et fermentent à l'intérieur. Il faut stocker les sacs dans des endroits frais et très aérés. Ces points sont souvent négliges par les cultivateurs et c'est ce qui élève le taux d'acidité dans l'huile et lui procure un mauvais gout (selon mes propres appréciations! )

 

Merci Bourourou.

J'ai bcp aidé à faire connaître les campagnes pour l'aide aux oliviers en Palestine (les colons israéliens vont même jusqu'à couper ces arbres).

Mais, l'urgence de la situation géo-politique me ramène vers mon pays.

Je vois que vous aussi vous êtes connaisseur.

Espérons que vos conseils soient connus par le plus grand nombre.

Que faudrait-il pour que les oléiculteurs développent ces méthodes?

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Avec les techniques modernes de greffage et du choix adapté du porte-greffe un olivier devient très rentable dès la 3 eme année!

 

Information précieuse qui peut donner des idées à ceux dont les oliviers au village sont un peu abandonnés pas des parents vieillissants.

Que trois ans? Super.

 

Question: l'an passé la sécheresse aurait fortement réduit la production. Est ce que des techniques adaptées auraient pu limiter les effets de cette sécheresse?

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C'est pas la meme, la notre est kabyle:04:

 

Qu'elle étroitesse d'esprit!

C'est ce type de raisonnement qui peut nous amener les plus grandes catastrophes. L'Otan n'attend que ça.

Les gens instruit se débarrassent des visions étroites, du repliement sur soi.

Lisez Amin Maalouf (Identités meurtrières).

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Information précieuse qui peut donner des idées à ceux dont les oliviers au village sont un peu abandonnés pas des parents vieillissants.

Que trois ans? Super.

 

Question: l'an passé la sécheresse aurait fortement réduit la production. Est ce que des techniques adaptées auraient pu limiter les effets de cette sécheresse?

 

Sans aucun doute : Il faut installer un système de goutte à goutte. D’ailleurs l’État octroie des aides pour le goutte à goutte. Avec un tel système on peut donner tous les soins au travers la canalisation : engrais et traitements.

Il y aussi un parasite qui détruit une bonne quantité de la production. Ce parasite ne sévit que dans les zones proches de la mer.

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Merci Bourourou.

J'ai bcp aidé à faire connaître les campagnes pour l'aide aux oliviers en Palestine (les colons israéliens vont même jusqu'à couper ces arbres).

Mais, l'urgence de la situation géo-politique me ramène vers mon pays.

Je vois que vous aussi vous êtes connaisseur.

Espérons que vos conseils soient connus par le plus grand nombre.

Que faudrait-il pour que les oléiculteurs développent ces méthodes?

 

Il faut du sang neuf avec de nouvelles mentalités qui peuvent accepter ces changements dans les méthodes de travail. Les oliviers de la Kabylie doivent être pour la plupart corronés pour rajeunir les rameaux porteurs de fruits.

Pour le changement, je crois que ça commence à avancer et de plus en plus rapidement.

Je sais que des tunisiens possèdent des pépinières du cote de Hassi Bahbah.

Bientôt, vous allez trouver de l'huile d'olive de ghardaia oubien de oued souf. On trouve aujourd'hui beaucoup d'huile de sig de batna avec beaucoup moins d'acidité.

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Une réussite industrielle au service d'un projet agricole

L'huile d’olive, le pétrole de la Kabylie

 

le 11/11/2007 el watan

 

C' est une exploitation agricole dont l'exemple se rencontre rarement dans le nord du pays. D'une superficie d'environ 300 ha, elle ne cesse de s'agrandir au fil des acquisitions de nouvelles parcelles. Plus de 270 employés, qui vont de l'ouvrier jusqu'à l'ingénieur en passant par le gardien, y travaillent à l'année pour soigner et entretenir une population de plus de 22 000 oliviers dont 80% sont de jeunes plants dont l'âge ne dépasse pas les 5 ans. A cause de la jeunesse de ces arbres récemment plantés, on commence à peine à produire mais le résultat force déjà l'admiration. Malgré l'accident climatique de l'année passée, la dernière récolte a été assez appréciable et elle a donné une huile d'olive de première qualité qui a aussitôt pris le chemin de l'exportation. Parallèlement, on a également produit de l'olive de table qui s'est vendue localement. Ce n'est qu'un début et dans quelques années, lorsque les arbres seront en pleine maturité, le marché mondial de l'huile d'olive risque de voir débarquer un géant bien décidé à prendre sa place. L'exploitation appartient à Laïd Ibrahim, propriétaire et fondateur de la marque Ifri qui produit de l'eau minérale, des sodas et des eaux fruitées. Nous sommes à Ighzer Amokrane, dans une région où l'olivier a toujours été roi. Pour rappel, la wilaya de Béjaïa possède un quart du parc à huile d'olive du pays avec près de 5 millions d'oliviers en production. La haute Soummam, notamment le triangle Tazmalt-Seddouk-Sidi Aïch détient 65% de ce parc oléicole. Il y a de cela 5 ou 6 ans, Laïd Ibrahim, que tout le monde ici appelle Da L'hadj, s'est lancé à corps perdu dans l'oléiculture en se portant acquéreur d'oliveraies et de terrains plus ou moins abandonnés. A contre-courant de cette tendance imbécile qui voit de plus en plus d'oliveraies se transformer en plateforme à parpaings et ou en garages bétonnés. C'est ainsi qu'au fil des mois et des années, les parcelles sont venues s'ajouter les unes aux autres pour former une vaste oliveraie. Aussitôt acquis, le terrain est mis en valeur. Terrassement, nettoyage, taille, greffe, forage, irrigation, des brigades d'ouvriers se mettent au chevet des arbres malades et abandonnés. Au bout de quelques mois, le verger offre un tout autre visage. Il resplendit. Les oliviers reverdissent. Les oiseaux reviennent. La vie revient. Quand on visite l'exploitation, il suffit d'un seul coup d'œil pour reconnaître ce qui appartient à Da L’hadj. Si la parcelle est bien entretenue, elle est à lui. Si les arbres se meurent, c'est que le terrain, pour une raison ou pour une autre, n'a pas encore été acquis. «Le travail de la terre est la base de tout» La visite de l'exploitation nous montre partout des oliveraies impeccablement entretenues. Il n'y a pas que des oliviers, il y a également quelques vergers d'agrumes et de néfliers. Brahim, un chef d'équipe qui a sous ses ordres 34 ouvriers occupés à désherber une orangeraie de 3 ha, nous confie volontiers son sentiment : «Le travail de la terre, c'est la base de tout». Plantés en 1991 mais vite abandonnés par leur ancien propriétaire, ces orangers qui produisent principalement de la Washington Navel revivent depuis qu'ils ont changé de main. Un peu plus loin, une autre équipe d'ouvriers prépare l'olivaison. L'ingénieur scrute attentivement les fruits pour pouvoir déterminer le moment crucial de la cueillette. Le meilleur moment est, semble-t-il, lorsque les olives sont dites tournoyantes et qu'elles arborent une belle couleur rouge bordeaux qui tire vers le violet. C'est le moment où le taux des antioxydants est le plus élevé dans le fruit. Si la récolte est précoce, elle assure une huile moins acide et qui se conserve longtemps. Si la récolte est tardive, le rendement est plus élevé mais la qualité est moindre. La récolte se fait exclusivement à la main. Le gaulage est proscrit. Les olives sont récoltées à la main et des filets elles atterrissent directement dans des caisses ajourées et non dans des sacs comme cela se fait chez le particulier. S'ensuit instantanément la trituration. Pas de stockage d'olives pour éviter l'oxydation et la fermentation du produit. «Ce sont les moisissures qui donnent aux huiles le goût du rance et du lié», nous apprend Madjid Medjkoune, l'ingénieur agronome en charge de l'exploitation. L'huile obtenue est directement mise dans des cuves inoxydables pour subir une décantation gravitaire. Pour le moment, l'exportation se fait en vrac en attendant l'acquisition d'une infrastructure de conditionnement conjointe à l'huilerie intégrée que l'entreprise projette d'acquérir dans un avenir assez proche. Une infrastructure qui pourrait bien relancer l'oléiculture dans la région étant donné que l'entreprise, loin de se contenter de sa propre production, envisage de recourir à l'achat d'olives chez les producteurs qui respectent un cahier des charges préalablement établi pour assurer la qualité du fruit. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, c'est au moment où la consommation mondiale d'huile d'olive explose que l'Algérie choisit de tourner le dos à l'oléiculture laissant le champ libre aux voisins tunisiens et marocains. «L'atout principal que nous possédons est l'achemlal, un produit du terroir. C'est une variété locale qui produit une huile d'excellente qualité. Il faut au préalable le labéliser en lui assurant d'abord une stabilité», nous explique Madjid Medjkoune. Pour espérer pénétrer le marché mondial de l'huile d'olive, il faut respecter les normes universelles de l'extra vierge, l'huile de référence : 0,8% d'acidité libre et une note égale ou supérieure à 6,5 au test organoleptique. «Pour résumer, disons que nous avons un jus de fruits à extraire au plus vite dans les meilleures conditions», conclut notre ingénieur. L'objectif déclaré de l'exploitation est de produire une huile d'olive de grande qualité. Une huile dite extra vierge destinée aux marchés australien, nord-américain, asiatique et européen. «Notre but est d'arriver à la maîtrise complète du processus de production recommandé», nous explique l'ingénieur Madjid Medjkoune. Ce processus oléicole va du choix du sol et de la variété à planter jusqu'au produit fini. «On fait de l'agriculture raisonnée, on irrigue, on fertilise, on soigne, on taille, etc.», dit encore Madjid. Ces méthodes de travail rigoureuses ont fait dire au DSA, le directeur des services agricoles de Béjaïa, lors de sa visite, que l'exploitation est digne d'être une école pour les ingénieurs agronomes. Du jamais vu ailleurs Dans l'exploitation, on ne plante pas seulement. On transplante également en récupérant les oliviers dont les gens veulent se débarrasser quand ils terrassent pour construire. Vu le rythme de croissance économ ique et la démographie galopante dans la vallée de la Soummam, le déboisement prend des proportions gigantesques. Contre une somme modique, l'entreprise fournit les engins de terrassement et récupère la terre et les oliviers. Du jamais vu ailleurs. Des oliviers centenaires appelés à finir dans la cheminée sont taillés et transplantés. Au bout de quelques mois, ils entament une nouvelle vie. «Pour le tracé de l'autoroute Est-Ouest, on a massacré des milliers d'oliviers», se désole Laïd Ibrahim. «Si on m'avait prévenu, j'aurais récupéré tous ces troncs. Il est plus rentable de replanter une vieille souche que de planter un jeune plant», ajoute-t-il. «Le fait de couper un olivier devrait normalement être soumis à autorisation. On ne doit pas dilapider impunément un patrimoine productif», ajoute avec justesse son conseiller. Pour protéger les terrains acquis des crues dévastatrices de la Soummam, Laïd Ibrahim a entamé la construction d'une gigantesque digue de plus de 3 km. Avec une base de plus de 20 m et une hauteur moyenne qui dépasse les 3 m, cet ouvrage colossal entamé en 2004 a nécessité la mobilisation de deux bulldozers, 34 tracteurs, plus de 30 camions et des rétrochargeurs pour l'acheminement des matières premières composées de terre, de roches et de gravats. Tout ce matériel a été presque entièrement réformé à l'issue de ces titanesques travaux qui ont duré près d'une année. La digue n'est pas pour autant achevée, il faut colmater les brèches causées par les crues. Lors de notre déplacement sur le terrain, deux bulldozers étaient en train de déplacer des tonnes de gravier pour renforcer l'ouvrage sous l'œil vigilant de Hocine, le chef des travaux. Ces travaux ont permis de récupérer 57 ha, mais si l'Etat, avec ses moyens, prenait en charge la canalisation de la Soummam, ce sont des milliers d'hectares de terre fertile qui seraient récupérés. Un vieux projet pour rendre la Soummam navigable existe, nous confie M. Lahlou. Si ce projet était relancé, il pourrait assurément booster le secteur de l'agriculture, du tourisme et des transports. Nous n'en sommes pas encore là. Sur les terrains récupérés sur le DPH, le domaine public hydraulique, et qui se montent à 52 ha, Laïd Ibrahim avoue avoir dépensé beaucoup d'argent. 9 milliards de centimes pour combler les crevasses laissées par les pilleurs de sable, nettoyer et ramener de la terre avant de planter. Aujourd'hui que cette terre revit, on lui demande de payer. «Contrairement aux EAC, moi j'ai tout fait sur fonds propres. J'ai toutes les factures et tous les justificatifs. Aujourd'hui, ce que je demande, est qu'on me régularise. Cette terre a besoin d'un statut. Si la loi n'a rien prévu à ce sujet qu'on m'applique alors le même statut que celui des EAC», dit-il. La mise en valeur de terrains perdus sur le lit majeur de l'Oued Soummam n'a pas encore rencontré une véritable politique de soutien et d'encouragement de la part des services compétents.

D. A.

 

souhaitons que cette huile n'est pas le gout du pétrole!

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  • 4 weeks later...
Ya si Zoubir l'huile d'olive est sacrée chez nous, soit tu en offres soit tu l'échanges contre d'autres denrées, sinon la commercialiser, et pire l'industrialiser est un sacrilège qui la rendra sans baraka ...
il faut être kabyle pour savoir cela...........:)
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Guest vuqaruy
il faut être kabyle pour savoir cela...........:)

Nos vieux ne la sacralisent pas pour rien, sans parler de l'effort consenti (cueillette, préparation, broyage et pressage, ajouté a cela l'entretient des oliveraies, terre et arbres sur une longueur de plusieurs années) ... ici on croit que c'est des paroles en l'air, on parle plus du prix!

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Nos vieux ne la sacralisent pas pour rien, sans parler de l'effort consenti (cueillette, préparation, broyage et pressage, ajouté a cela l'entretient des oliveraies, terre et arbres sur une longueur de plusieurs années) ... ici on croit que c'est des paroles en l'air, on parle plus du prix!
très juste en effet, et il est bien de leur expliquer, que le prix n'est pas la donnée essentielle, comme tu l'as si bien dit, la sacralité avant tout.......
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@Vulgary

Khouya, vous dites que pour les vieux, il ne faut pas commercialiser l'huile.

Je ne veux pas être désobligeant avec vous surtout que j'apprécie nos échanges et votre expérience dans l'oléiculture, mais il nous faut nourrir 37 millions d'Algériens. Et pour cela, les échanges commerciaux sont indispensables.

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Il faut du sang neuf avec de nouvelles mentalités qui peuvent accepter ces changements dans les méthodes de travail. Les oliviers de la Kabylie doivent être pour la plupart corronés pour rajeunir les rameaux porteurs de fruits.

Pour le changement, je crois que ça commence à avancer et de plus en plus rapidement.

Je sais que des tunisiens possèdent des pépinières du cote de Hassi Bahbah.

Bientôt, vous allez trouver de l'huile d'olive de ghardaia oubien de oued souf. On trouve aujourd'hui beaucoup d'huile de sig de batna avec beaucoup moins d'acidité.

 

Pas mal de régions commencent à planter de l'olivier. Sage décision. Bravo à ces investisseurs Algériens.

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Y en a qui construisent des centrales nucléaires, des usines qui exportent des millions d'unités, l'autre machin il nous parle d'huile d'olives :crazy:

 

Il ne faut pas sous-estimer nos agriculteurs.

Khouya, vous voulez inciter les gens à investir dans les centrales nucléaires? Allah issahal, ouvrez un topic.:gossip:

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Je ne comprends pas l'acharnement de l'état à fermer des huileries ( des centaines ) sous le motif de pseudos normes d'hygiene !!! :confused:

 

Les normes d'hygiène sont à respecter.

Que dira-t-on si des cancers se développent car l'huile est toxique?

Rappel: l'Etat a aidé bcp d'investisseurs à acheter de nouvelles machines.

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Il faut arreter de se foutre de la gueule du Monde ya Si Zoubir as tu déja vu une huilerie Kabyle ? Connais tu son fonctionnement ? Sais tu la signification du mot Ighouraf ? .... ...Tu parles de choses que tu ne connais pas !

 

Il suffit de visiter quelques huileries pour voir les problèmes d'hygiène existant dans les huileries. On ne transige pas avec la santé du citoyen.

Maintenant des mesures simples ont permis à pas mal d'huileries de ré-ouvrir.

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Guest vuqaruy
@Vulgary

Khouya, vous dites que pour les vieux, il ne faut pas commercialiser l'huile.

Je ne veux pas être désobligeant avec vous surtout que j'apprécie nos échanges et votre expérience dans l'oléiculture, mais il nous faut nourrir 37 millions d'Algériens. Et pour cela, les échanges commerciaux sont indispensables.

An3am ya Sinane, manger, c'est tout ce qui compte aujourd'hui, quitte a travestir le tout!

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Guest vuqaruy
Les normes d'hygiène sont à respecter.

Que dira-t-on si des cancers se développent car l'huile est toxique?

Rappel: l'Etat a aidé bcp d'investisseurs à acheter de nouvelles machines.

Alors l'huile d'olive est toxique:mdr:

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