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Pourquoi est-ce que les prochaines législatives doivent-elles réussir


Guest anincognito

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Guest anincognito

Tout d'abord, je voudrai préciser qu'au travers de ces lignes, je m'adresse surtout aux algériens libres qui rejettent l'idée d’être des vassaux, qui rejettent le fait que quelqu'un d'étranger gère leurs affaires, détermine leur destin.

 

Je voudrai envisager un scénario qui pourrait expliquer de manière non exhaustive ce qu'a vécu l'Algérie depuis qu'elle est indépendante, c'est à dire depuis le 5 Juillet 1962. Tout d'abord, l'on doit concevoir qu'il y avait trois forces dotées chacune d'une idéologie propre, il y avait d'un coté les socialistes tendance soviétique communiste, d'un autre coté les islamistes, mais aussi les libéraux démocrates.

 

Au départ, il y a eu une véritable crise illustrée par la guerre entre les différentes parties, notamment les libéraux et les socialistes, ces derniers soutenus par l'URSS et de nature agressifs à l'image de leur sponsor, ils se sont mis à liquider tous ceux qui ne partageaient pas leurs opinions, notamment les libéraux démocrates.

 

Les socialistes ayant triomphé, ils ont fait prendre au pays le chemin qui satisfait l'URSS, il se trouve que le système instauré n'a pas connu un meilleur destin que là d'où il provenait. A la chute déclarée de l'URSS vers la fin des années 80 et début des années 90, le camp socialiste dominant jusque là en Algérie va connaitre une grande crise qui l'amènera à fléchir et à ne plus pouvoir empêcher l'émergence de courants qui pourraient représenter une alternative, et qui pourraient même lui être hostiles, c'est là qu'on voit l'ascension du courant islamiste radical. Et on sait ce qui s'est passé durant la décennie noire, où il y a eu beaucoup de violence, beaucoup de gens sont morts, parfois uniquement pour leurs opinions, il faut comprendre que ces assassinats en même temps de servir certains intérêts, ils pouvaient aussi être motivés par les divergences idéologiques tout comme au décours de la guerre de libération.

 

Avec l'arrivée de Bouteflika à la présidence, l'Algérie venait de prendre un nouveau virage, celui de la voie libérale, mais des résistances demeurent, ce qui rend la tache pas très facile.

 

Dans le contexte actuel, tous les pays qui ont jusqu'à maintenant connu des difficultés pour se développer se voient arracher leur souveraineté de manière encore plus importante pour que des parties étrangères se mettent à décider de leur destin.

 

Les prochaines législatives en Algérie sont déterminantes en effet, car par leur réussite, les nôtres (c'est à dire nous tout Algériens qui nous soucions de l’intérêt de l'Algérie, de sa paix et de sa prospérité) verront leur légitimité renforcée, et nous pourrons alors entreprendre de construire enfin notre avenir selon nos visions, nous pourrons encore avoir des divergences de vues, mais nous aurons beaucoup appris de nos expériences passées, et nous ne pourrons qu’être encore plus forts.

 

Par contre, si les prochaines législatives venaient à échouer, l'Algérie pourrait connaitre une crise profonde, dans laquelle les parties étrangères voudraient arracher le pouvoir aux Algériens et les disqualifier quant à leur capacité à se gouverner eux-mêmes. A ce moment là, je pense que certains du moins des nôtres ne vont pas accepter cette situation, ils voudront résister, et c'est là que le pays sera incendié, car l'extérieur n'aura aucune intention de céder.

 

Je pense que tout Algérien qui voit son intérêt en une Algérie stable et en paix aura compris. L'Algérie est notre maison, nous y habitons tous, alors ne la brulons pas et ne laissons pas les désespérés et les haineux qu'ils soient des nôtres ou des étrangers le faire.

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Avec l'arrivée de Bouteflika à la présidence, l'Algérie venait de prendre un nouveau virage, celui de la voie libérale, mais des résistances demeurent, ce qui rend la tache pas très facile.

 

L'Algerie a pris le virage liberal en 1989, 10 ans avant boutef.

 

Pour le reste j'ai pas compris le message que tu veux passer.

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Tout d'abord, je voudrai préciser qu'au travers de ces lignes, je m'adresse surtout aux algériens libres qui rejettent l'idée d’être des vassaux, qui rejettent le fait que quelqu'un d'étranger gère leurs affaires, détermine leur destin.

 

Je voudrai envisager un scénario qui pourrait expliquer de manière non exhaustive ce qu'a vécu l'Algérie depuis qu'elle est indépendante, c'est à dire depuis le 5 Juillet 1962. Tout d'abord, l'on doit concevoir qu'il y avait trois forces dotées chacune d'une idéologie propre, il y avait d'un coté les socialistes tendance soviétique communiste, d'un autre coté les islamistes, mais aussi les libéraux démocrates.

 

Au départ, il y a eu une véritable crise illustrée par la guerre entre les différentes parties, notamment les libéraux et les socialistes, ces derniers soutenus par l'URSS et de nature agressifs à l'image de leur sponsor, ils se sont mis à liquider tous ceux qui ne partageaient pas leurs opinions, notamment les libéraux démocrates.

 

Les socialistes ayant triomphé, ils ont fait prendre au pays le chemin qui satisfait l'URSS, il se trouve que le système instauré n'a pas connu un meilleur destin que là d'où il provenait. A la chute déclarée de l'URSS vers la fin des années 80 et début des années 90, le camp socialiste dominant jusque là en Algérie va connaitre une grande crise qui l'amènera à fléchir et à ne plus pouvoir empêcher l'émergence de courants qui pourraient représenter une alternative, et qui pourraient même lui être hostiles, c'est là qu'on voit l'ascension du courant islamiste radical. Et on sait ce qui s'est passé durant la décennie noire, où il y a eu beaucoup de violence, beaucoup de gens sont morts, parfois uniquement pour leurs opinions, il faut comprendre que ces assassinats en même temps de servir certains intérêts, ils pouvaient aussi être motivés par les divergences idéologiques tout comme au décours de la guerre de libération.

 

Avec l'arrivée de Bouteflika à la présidence, l'Algérie venait de prendre un nouveau virage, celui de la voie libérale, mais des résistances demeurent, ce qui rend la tache pas très facile.

 

Dans le contexte actuel, tous les pays qui ont jusqu'à maintenant connu des difficultés pour se développer se voient arracher leur souveraineté de manière encore plus importante pour que des parties étrangères se mettent à décider de leur destin.

 

Les prochaines législatives en Algérie sont déterminantes en effet, car par leur réussite, les nôtres (c'est à dire nous tout Algériens qui nous soucions de l’intérêt de l'Algérie, de sa paix et de sa prospérité) verront leur légitimité renforcée, et nous pourrons alors entreprendre de construire enfin notre avenir selon nos visions, nous pourrons encore avoir des divergences de vues, mais nous aurons beaucoup appris de nos expériences passées, et nous ne pourrons qu’être encore plus forts.

 

Par contre, si les prochaines législatives venaient à échouer, l'Algérie pourrait connaitre une crise profonde, dans laquelle les parties étrangères voudraient arracher le pouvoir aux Algériens et les disqualifier quant à leur capacité à se gouverner eux-mêmes. A ce moment là, je pense que certains du moins des nôtres ne vont pas accepter cette situation, ils voudront résister, et c'est là que le pays sera incendié, car l'extérieur n'aura aucune intention de céder.

 

Je pense que tout Algérien qui voit son intérêt en une Algérie stable et en paix aura compris. L'Algérie est notre maison, nous y habitons tous, alors ne la brulons pas et ne laissons pas les désespérés et les haineux qu'ils soient des nôtres ou des étrangers le faire.

 

Excellente synthèse Anin !!

Chapeau bas :)

.

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Tout d'abord, je voudrai préciser qu'au travers de ces lignes, je m'adresse surtout aux algériens libres qui rejettent l'idée d’être des vassaux, qui rejettent le fait que quelqu'un d'étranger gère leurs affaires, détermine leur destin.

 

Je voudrai envisager un scénario qui pourrait expliquer de manière non exhaustive ce qu'a vécu l'Algérie depuis qu'elle est indépendante, c'est à dire depuis le 5 Juillet 1962. Tout d'abord, l'on doit concevoir qu'il y avait trois forces dotées chacune d'une idéologie propre, il y avait d'un coté les socialistes tendance soviétique communiste, d'un autre coté les islamistes, mais aussi les libéraux démocrates.

 

Au départ, il y a eu une véritable crise illustrée par la guerre entre les différentes parties, notamment les libéraux et les socialistes, ces derniers soutenus par l'URSS et de nature agressifs à l'image de leur sponsor, ils se sont mis à liquider tous ceux qui ne partageaient pas leurs opinions, notamment les libéraux démocrates.

 

Les socialistes ayant triomphé, ils ont fait prendre au pays le chemin qui satisfait l'URSS, il se trouve que le système instauré n'a pas connu un meilleur destin que là d'où il provenait. A la chute déclarée de l'URSS vers la fin des années 80 et début des années 90, le camp socialiste dominant jusque là en Algérie va connaitre une grande crise qui l'amènera à fléchir et à ne plus pouvoir empêcher l'émergence de courants qui pourraient représenter une alternative, et qui pourraient même lui être hostiles, c'est là qu'on voit l'ascension du courant islamiste radical. Et on sait ce qui s'est passé durant la décennie noire, où il y a eu beaucoup de violence, beaucoup de gens sont morts, parfois uniquement pour leurs opinions, il faut comprendre que ces assassinats en même temps de servir certains intérêts, ils pouvaient aussi être motivés par les divergences idéologiques tout comme au décours de la guerre de libération.

 

Avec l'arrivée de Bouteflika à la présidence, l'Algérie venait de prendre un nouveau virage, celui de la voie libérale, mais des résistances demeurent, ce qui rend la tache pas très facile.

 

Dans le contexte actuel, tous les pays qui ont jusqu'à maintenant connu des difficultés pour se développer se voient arracher leur souveraineté de manière encore plus importante pour que des parties étrangères se mettent à décider de leur destin.

 

Les prochaines législatives en Algérie sont déterminantes en effet, car par leur réussite, les nôtres (c'est à dire nous tout Algériens qui nous soucions de l’intérêt de l'Algérie, de sa paix et de sa prospérité) verront leur légitimité renforcée, et nous pourrons alors entreprendre de construire enfin notre avenir selon nos visions, nous pourrons encore avoir des divergences de vues, mais nous aurons beaucoup appris de nos expériences passées, et nous ne pourrons qu’être encore plus forts.

 

Par contre, si les prochaines législatives venaient à échouer, l'Algérie pourrait connaitre une crise profonde, dans laquelle les parties étrangères voudraient arracher le pouvoir aux Algériens et les disqualifier quant à leur capacité à se gouverner eux-mêmes. A ce moment là, je pense que certains du moins des nôtres ne vont pas accepter cette situation, ils voudront résister, et c'est là que le pays sera incendié, car l'extérieur n'aura aucune intention de céder.

 

Je pense que tout Algérien qui voit son intérêt en une Algérie stable et en paix aura compris. L'Algérie est notre maison, nous y habitons tous, alors ne la brulons pas et ne laissons pas les désespérés et les haineux qu'ils soient des nôtres ou des étrangers le faire.

 

Je ne brulerais pas mon pays , mais je n'irais pas voter ! :mad:

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Je ne brulerais pas mon pays , mais je n'irais pas voter ! :mad:

 

je pensais comme toi..mais depuis peu j'hésite :o

 

Deux choses me viennent à l'esprit souvent ;

- La lettre manuscrite de feu Abdelhamid Mehri adressé à Boutef l'an dernier ;

- La participation du FFS aux législatives,

 

De toute façon, qu'on vote ou pas, les PV sont déjà dressés :D

Tant mieux, je dis !! L'ennemi extérieur est réel cette fois !

Personne ne peut nier avoir vu l'ogre !

 

Vivement les réformes..j'y crois !

.

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si ce qui se passe en Algérie n'a rien à voir avec ce qu'on appelle "le printemps arabe" ... - il faudra surtout le prouver - ... on peut entamer une réflexion ... mais voilà ... vu que le seul état que les algériens ont est calqué sur le modèle français ... c.à.d. celui de l'ex-colonisateur ... avec toutes les perversions que ce modèle continue de subir ... je doute fort du succès des prochaines législatives ... je découvre chaque jour des raisons de ne pas voter ... en plus mondialisation oblige ... que va signifier l'indépendance économique et politique dans l'avenir ... que vont signifier nos opinions d'algériens ???

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Le problème c'est la qualité du débat politique et des candidats. Cherchez bien mais à 6 semaines des élections personne n'a émis de programmes ou de propositions !!!

Si la campagne intéresse les Algériens avec une ligne de conduite claire et un vrai projet pour l'Algérie, alors la participation sera au rendez vous.

Pour ma part aucun ne m'a convaincu

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Dans le passé ,les peuples arabes ayant été totalement obéis et en état de somnolence ,les pouvoirs locaux, soucieux de garder leurs trones et leurs priviléges , s'inclinaient seulement aux pressions et demandes exterieures .

le printemps arabe est venu pour mettre ces pouvoirs entre le marteau et l'enclume .d'une part ,ils veulent satisfaire les revendications des peuples susceptibles de se révolter soudainement et violement contre eux .et d'autre part ,ils ne veulent pas mécontenter les puissances exterieures et contrarier leurs intérets dans le pays .ces puissances qui sont probablement capables de manipuler les masses .et foutre la pagaille dans le pays .

le hic qui pourrait se produire est quand les revendications populaires seraient contradictoires avec les intérets de ces puissances .là les pouvoir se trouvent vraiment dans l'embarras .

les masses arabes,facilement manipulables,et malgré qu'ils détestent leurs pouvoirs ,pourraient tout simplement soutenir ces derniers (leurs pouvoirs) une fois quand il s'agit des puissances occidantaux (USA ,france,GB ).mais que se passera-t-il quand ces puissances changent des noms et viennent sous un autre couvert et avec autres slogans .que se passera-t-il quand USA viendra embrasser ces masses sous le nom de l'arabie saoudite ,la France sous le nom "quatar" par exemple.

quant à l'algérie ,méme si il n'y a encore des signes que leuple va se révolter ,ça n'empéche que ces puissances essayent de passer leurs feuilles au risque de déstabiliser le pays .reste de savoir si le pouvoir se soumettra à qui?.

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