mirabata 10 Posted March 25, 2012 Partager Posted March 25, 2012 purée, c'est quoi ton histoire à réveiller les morts? :D :mdr: C’est une légende chez nous:D Citer Link to post Share on other sites
Guest carobibique Posted March 25, 2012 Partager Posted March 25, 2012 :mdr: J'ai rigolé pour - Le "je connais quelqu'un qui connait quelqu'un qui..." - le séjour au frais Ceci dit, ouais, effrayant tout ça. :noexpression: Excuse moi mais c'est réel:( il y a 25 ou 30 ans! c'était un "membre de la famille" on dira... Et à priori il est resté des heures enfermé, ça l'a traumatisé à vie!! Citer Link to post Share on other sites
Guest carobibique Posted March 25, 2012 Partager Posted March 25, 2012 Hé, t'as le feu au c..., t'as pas peur:confused: Mis à part toi non! Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted March 25, 2012 Partager Posted March 25, 2012 Mis à part toi non! j'ai peur pour toi, tu sais une belle nana comme toi, doit maintenir ses f...comme il faut:confused: Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted March 25, 2012 Partager Posted March 25, 2012 "Une larme m'a sauvée" Angèle Lieby a vécu une expérience incroyable qu’elle raconte dans un livre publié cette semaine. Les médecins la croyaient dans le coma. Ses proches la pensaient perdue. Elle était inerte mais pleinement consciente. Quand elle a repris conscience, elle a d’abord cru qu’elle était ensevelie sous des décombres. Que les urgences s’étaient écroulées après un séisme. Et puis il y a eu des pas, des voix, des bips… Et Angèle Lieby a réalisé l’impensable : l’hôpital où elle avait été admise pour une violente migraine était intact. Mais elle… y était considérée comme morte. Un corps inerte, intubé, relié à des machines, dans lequel son esprit conscient et tétanisé a vécu enfermée pendant deux interminables semaines, trompant médecins et encéphalogrammes. Tout entendre et ne pas pouvoir hurler, c’est l’enfer que cette Strasbourgeoise de 59 ans a voulu raconter, trois ans après ce terrible 13 juillet 2009, dans « Une larme m’a sauvée »*. Et la larme n’est pas loin dans les yeux clairs de cette grande femme pimpante, ancienne ouvrière dans une usine fabriquant des chariots de supermarché, quand elle explique le pourquoi du livre sorti jeudi. « C’est un peu une thérapie… Mais c’est surtout un cri du cœur : tant qu’on n’est pas mort, on est vivant! » Considérer quelqu’un comme vivant, même lorsqu’il semble plongé dans un coma irréversible, c’est ne pas lui enfoncer sans ménagement des instruments métalliques dans la gorge. Ne pas le retourner comme un paquet de viande. Ne pas lâcher, au pied de son lit, « elle va bientôt clamser ». Angèle n’a rien oublié. Surtout pas ce moment où, pour montrer aux externes « comment on voit qu’une personne est vivante ou morte », un médecin lui a tordu le téton en concluant « vous voyez, pas de réaction » alors qu’elle ressentait une douleur insupportable. Raymond, son mari, policier à la retraite, reste dévasté à son chevet. Elle reconnaît son souffle, qu’il a court depuis que le médecin lui a dit : « Il va falloir la débrancher. Plus rien ne fonctionne à part le cœur. » Lui essaye de mettre de la musique, pour la maintenir en vie. « Au début, je fredonnais à l’intérieur, et puis c’est devenu un cauchemar ça aussi, admet Angèle. Les mêmes chansons en boucle, tout le temps… » Raymond finira par aller choisir le cercueil, en chêne clair capitonné de satin blanc. Les obsèques sont fixées au 20 juillet. Puis il se ravise face au chagrin de leur fille Cathy et de leurs deux petites-filles… « J’étais perdu, avoue-t-il. Je la voyais morte, mais je ne pouvais pas accepter qu’on la tue. » Angèle, mortifiée, se dit qu’elle a bien fait de demander à être incinérée. Au moins, elle ne serait pas enterrée vivante. « Et puis j’ai réalisé que j’avais autorisé le don d’organes, et là, ça a été la panique. J’étais terrifiée à l’idée qu’ils m’arrachent le cœur sans anesthésie. Je sanglotais, et ils ne voyaient rien. » Et puis le 25 juillet, douze jours après le trou noir, c’est son anniversaire de mariage. Raymond et Cathy sont là, à la supplier de ne pas les quitter. A sa propre stupéfaction, une larme jaillit sur la joue d’Angèle. « J’ai entendu ma fille crier, appeler les infirmières. On lui a répondu mais non, c’est du collyre… Mais je pleurais vraiment, et la tristesse s’est transformée en euphorie! » Le soir même, Angèle bougeait un doigt. Le Parisien. incroyable, mais vrai beaucoup de personnes sont passées par ce chemin c'était 'aux frontières de la mort' - des faits inexpliqués Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.