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Un expert qui accuse:Etat/Importateurs(domaine agricole)


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Les problèmes de l’agriculture algérienne sont connus et les solutions

sont également connues mais les décideurs préfèrent les importations

à coup de milliards de dollars au détriment de la production nationale.

 

 

Tout est fait pour bloquer le développement de l’agriculture y compris

la mise au frigo (chambres froides financées dans le cadre du PNDA

de Said Barkat) pour aider les spéculateurs à stabiliser les prix par le haut.

 

 

Croyez-vous sincèrement que l’Algérie n’est pas en mesure de produire annuellement

les 60 millions de quintaux supplémentaires de céréales que nous importons chaque année

malgré l’existence des potentialités énormes

(potentialités humaines, hydriques, édaphiques et climatiques) ?

 

 

 

Savez-vous aussi que l’Algérie dispose de milliers d’experts agronomes

de très haut niveau formés dans le cadre de la révolution agraire durant

les années 60 à 80 dans les instituts et universités algériennes

et qui sont soit mis à la retraite d’office soit abandonnés à leur triste sort?

 

 

 

Connaissez-vous le système de nomination aux fonctions supérieures

et de mise à l’écart actuellement en vigueur au ministère de l’agriculture?

 

 

Savez-vous que les données du ministère de l’agriculture ne sont pas fiables

et que nous ne connaissons même pas la SAU réelle ni le cheptel ovin, bovin

ou camelin de n’importe quelle wilaya?

 

 

Savez-vous que nous ne connaissons ni la nature des sols (inexistences de cartes pédologiques)

ni les ressources hydriques réellement existantes (absence de cartes hydrogéologiques) des terres agricoles ?

 

 

Savez-vous que le problème du foncier agricole n’a pas été réglé depuis l’indépendance ?

 

 

Savez-vous pourquoi on n’investit pas l’équivalent d’une année d’importation

de produits alimentaires dans la mise en valeur des terres affectées à la production

céréalière et fourragère pour assurer la sécurité alimentaire

(un concept qui a été abandonné depuis quelques années et remplacé par le renouveau agricole)?

 

La réponse à ces questions revient aux cadres du ministère de l’agriculture.

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Les problèmes de l’agriculture algérienne sont connus et les solutions

sont également connues mais les décideurs préfèrent les importations

à coup de milliards de dollars au détriment de la production nationale.

 

Tout est fait pour bloquer le développement de l’agriculture y compris

la mise au frigo (chambres froides financées dans le cadre du PNDA

de Said Barkat) pour aider les spéculateurs à stabiliser les prix par le haut.

 

 

Croyez-vous sincèrement que l’Algérie n’est pas en mesure de produire annuellement les 60 millions de quintaux supplémentaires de céréales que nous importons chaque année malgré l’existence des potentialités énormes (potentialités humaines, hydriques, édaphiques et climatiques) ?

 

 

Savez-vous aussi que l’Algérie dispose de milliers d’experts agronomes

de très haut niveau formés dans le cadre de la révolution agraire durant

les années 60 à 80 dans les instituts et universités algériennes

et qui sont soit mis à la retraite d’office soit abandonnés à leur triste sort?

 

 

Connaissez-vous le système de nomination aux fonctions supérieures

et de mise à l’écart actuellement en vigueur au ministère de l’agriculture?

 

 

Savez-vous que les données du ministère de l’agriculture ne sont pas fiables et que nous ne connaissons même pas la SAU réelle ni le cheptel ovin, bovin ou camelin de n’importe quelle wilaya?

 

 

Savez-vous que nous ne connaissons ni la nature des sols (inexistences de cartes pédologiques) ni les ressources hydriques réellement existantes (absence de cartes hydrogéologiques) des terres agricoles ?

 

 

Savez-vous que le problème du foncier agricole n’a pas été réglé depuis l’indépendance ?

 

 

Savez-vous pourquoi on n’investit pas l’équivalent d’une année d’importation de produits alimentaires dans la mise en valeur des terres affectées à la production céréalière et fourragère pour assurer la sécurité alimentaire (un concept qui a été abandonné depuis quelques années et remplacé par le renouveau agricole)?

 

La réponse à ces questions revient aux cadres du ministère de l’agriculture.

 

- vous abordez les vrais problèmes;

- mais on ne peut arrêter d'un seul coup les importations.

- vous avez raison, il faut mettre ces sommes dans el inetaj el watani!

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- vous abordez les vrais problèmes;

- mais on ne peut arrêter d'un seul coup les importations.

- vous avez raison, il faut mettre ces sommes dans el inetaj el watani!

 

 

Pour arreter l'importation,t'as besoin de trois parametres:

Une vision à long terme

Entouré par des competents

Et avoir la volonter de stoper ce phenomene

 

Mais malheureusement nos decideurs sont eux mem les importateurs

Comment veux tu qu'ils vont stoper ce crime?

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Les problèmes de l’agriculture algérienne sont connus et les solutions

sont également connues mais les décideurs préfèrent les importations

à coup de milliards de dollars au détriment de la production nationale.

 

Tout est fait pour bloquer le développement de l’agriculture y compris

la mise au frigo (chambres froides financées dans le cadre du PNDA

de Said Barkat) pour aider les spéculateurs à stabiliser les prix par le haut.

 

 

Croyez-vous sincèrement que l’Algérie n’est pas en mesure de produire annuellement les 60 millions de quintaux supplémentaires de céréales que nous importons chaque année malgré l’existence des potentialités énormes (potentialités humaines, hydriques, édaphiques et climatiques) ?

 

 

Savez-vous aussi que l’Algérie dispose de milliers d’experts agronomes

de très haut niveau formés dans le cadre de la révolution agraire durant

les années 60 à 80 dans les instituts et universités algériennes

et qui sont soit mis à la retraite d’office soit abandonnés à leur triste sort?

 

 

Connaissez-vous le système de nomination aux fonctions supérieures

et de mise à l’écart actuellement en vigueur au ministère de l’agriculture?

 

 

Savez-vous que les données du ministère de l’agriculture ne sont pas fiables et que nous ne connaissons même pas la SAU réelle ni le cheptel ovin, bovin ou camelin de n’importe quelle wilaya?

 

 

Savez-vous que nous ne connaissons ni la nature des sols (inexistences de cartes pédologiques) ni les ressources hydriques réellement existantes (absence de cartes hydrogéologiques) des terres agricoles ?

 

 

Savez-vous que le problème du foncier agricole n’a pas été réglé depuis l’indépendance ?

 

 

Savez-vous pourquoi on n’investit pas l’équivalent d’une année d’importation de produits alimentaires dans la mise en valeur des terres affectées à la production céréalière et fourragère pour assurer la sécurité alimentaire (un concept qui a été abandonné depuis quelques années et remplacé par le renouveau agricole)?

 

La réponse à ces questions revient aux cadres du ministère de l’agriculture.

 

tu ne vas pas me dire que Boukharrouba a fait une réforme agraire sans procéder à tous ces examens?

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Les problèmes de l’agriculture algérienne sont connus et les solutions

sont également connues mais les décideurs préfèrent les importations

à coup de milliards de dollars au détriment de la production nationale.

 

Tout est fait pour bloquer le développement de l’agriculture y compris

la mise au frigo (chambres froides financées dans le cadre du PNDA

de Said Barkat) pour aider les spéculateurs à stabiliser les prix par le haut.

 

 

Croyez-vous sincèrement que l’Algérie n’est pas en mesure de produire annuellement les 60 millions de quintaux supplémentaires de céréales que nous importons chaque année malgré l’existence des potentialités énormes (potentialités humaines, hydriques, édaphiques et climatiques) ?

 

 

Savez-vous aussi que l’Algérie dispose de milliers d’experts agronomes

de très haut niveau formés dans le cadre de la révolution agraire durant

les années 60 à 80 dans les instituts et universités algériennes

et qui sont soit mis à la retraite d’office soit abandonnés à leur triste sort?

 

 

Connaissez-vous le système de nomination aux fonctions supérieures

et de mise à l’écart actuellement en vigueur au ministère de l’agriculture?

 

 

Savez-vous que les données du ministère de l’agriculture ne sont pas fiables et que nous ne connaissons même pas la SAU réelle ni le cheptel ovin, bovin ou camelin de n’importe quelle wilaya?

 

 

Savez-vous que nous ne connaissons ni la nature des sols (inexistences de cartes pédologiques) ni les ressources hydriques réellement existantes (absence de cartes hydrogéologiques) des terres agricoles ?

 

 

Savez-vous que le problème du foncier agricole n’a pas été réglé depuis l’indépendance ?

 

 

Savez-vous pourquoi on n’investit pas l’équivalent d’une année d’importation de produits alimentaires dans la mise en valeur des terres affectées à la production céréalière et fourragère pour assurer la sécurité alimentaire (un concept qui a été abandonné depuis quelques années et remplacé par le renouveau agricole)?

 

La réponse à ces questions revient aux cadres du ministère de l’agriculture.

 

Le sujet que tu as est très intéressant et j'ai vraiment envi de l'enrichir.

Pour ce faire, il faut convenir que la spéculation n'est pas toujours négative et qu'elle rentre dans les activités dite stratégiques. La force d'un pays se mesure aussi par la surface de stockage alimentaire. A ce propos, nous ne disposons pas de 30 jours de réserves alimentaire. Plus il y a des silos et des frigos plus le marché atteint un seuil d'autorégulation. Les bienfaits de ces réserves sont multiples...

 

L’état, du temps de boumediene, a fait de graves erreurs en donnant les terres a des gens qui n'ont pas les capacités de développer l'activité. Jusqu’à présent, le problème persiste. L’état a donné ces terres à des gens qui n'ont aucune volonté à travailler la terre. Actuellement, ces gens donnent en location les terres qui leurs ont été octroyées gratuitement à de véritables paysans qui connaissent le métier. Pendant ce temps, les bénéficiaires remplissent les cafés maures s'adonnant à d'interminables parties de dominos.

Voilà la réalité !!!

Oui le problème du foncier n'a jamais été réglé!

Pire, le foncier agricole privé n'est pas protégé des agissements des spéculateurs de l'immobilier. C'est pour cela que l'assiette agricole de la Mitidja rétrécit comme une peau ce chagrin et que l'on voit le paysage se défigurer par une urbanisation sauvage !

 

Pour les ressources hydriques, à ma connaissance, les données sont à jour depuis 1890 ou quelque chose comme ça. Je crois qu'il manque des données uniquement pour quelques années dans la décennie 90.

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tu ne vas pas me dire que Boukharrouba a fait une réforme agraire sans procéder à tous ces examens?

 

Boukharrouba avait dans l'idée d’affaiblir les gros propriétaires terriens qui pouvait le gêner dans son entreprise de dictateur. Il voulait leur couper les sources des moyens financier rendant de ce fait l'enrichissement illicite: l'argent est bien le nerf de la guerre !!!

Il a appelé ça réformes agraires mais le but n'était pas de développer mais simplement annihiler toutes possibilités d'activité politique.

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sont également connues mais les décideurs préfèrent les importations

à coup de milliards de dollars au détriment de la production nationale.

 

Tout est fait pour bloquer le développement de l’agriculture y compris

la mise au frigo (chambres froides financées dans le cadre du PNDA

de Said Barkat) pour aider les spéculateurs à stabiliser les prix par le haut.

 

 

Croyez-vous sincèrement que l’Algérie n’est pas en mesure de produire annuellement les 60 millions de quintaux supplémentaires de céréales que nous importons chaque année malgré l’existence des potentialités énormes (potentialités humaines, hydriques, édaphiques et climatiques) ?

 

 

Savez-vous aussi que l’Algérie dispose de milliers d’experts agronomes

de très haut niveau formés dans le cadre de la révolution agraire durant

les années 60 à 80 dans les instituts et universités algériennes

et qui sont soit mis à la retraite d’office soit abandonnés à leur triste sort?

 

 

Connaissez-vous le système de nomination aux fonctions supérieures

et de mise à l’écart actuellement en vigueur au ministère de l’agriculture?

 

 

Savez-vous que les données du ministère de l’agriculture ne sont pas fiables et que nous ne connaissons même pas la SAU réelle ni le cheptel ovin, bovin ou camelin de n’importe quelle wilaya?

 

 

Savez-vous que nous ne connaissons ni la nature des sols (inexistences de cartes pédologiques) ni les ressources hydriques réellement existantes (absence de cartes hydrogéologiques) des terres agricoles ?

 

 

Savez-vous que le problème du foncier agricole n’a pas été réglé depuis l’indépendance ?

 

 

Savez-vous pourquoi on n’investit pas l’équivalent d’une année d’importation de produits alimentaires dans la mise en valeur des terres affectées à la production céréalière et fourragère pour assurer la sécurité alimentaire (un concept qui a été abandonné depuis quelques années et remplacé par le renouveau agricole)?

 

La réponse à ces questions revient aux cadres du ministère de l’agriculture.

 

Ce quidam avance des platitudes.

Aucune analyse économique. Il défonce des portes ouvertes et n'a pas peur de ses erreurs.

Exemple concernant la nature des sols:

- il y a des études régionales (rapports, mémoires, thèses),

These

- concernant les sols agricoles des hauts-plateaux, on sait qu'ils sont calcaires et à pH > 7. C'est une évidence qu'ils n'ont rien à voir avec les sols bretons.

 

Que ce monsieur remballe ses contre-vérités et nous fasse une analyse sérieuse de nos carences.

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Ce quidam avance des platitudes.

Aucune analyse économique. Il défonce des portes ouvertes et n'a pas peur de ses erreurs.

Exemple concernant la nature des sols:

- il y a des études régionales (rapports, mémoires, thèses),

These

- concernant les sols agricoles des hauts-plateaux, on sait qu'ils sont calcaires et à pH > 7. C'est une évidence qu'ils n'ont rien à voir avec les sols bretons.

 

Que ce monsieur remballe ses contre-vérités et nous fasse une analyse sérieuse de nos carences.

 

Je suis d'accord avec vous mais je pense qu'il a raison sur certains points.

De plus, on peut apprendre grâces aux erreurs que l'on commet : cela s'appelle la pédagogie de l'erreur!

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Je suis d'accord avec vous mais je pense qu'il a raison sur certains points.

De plus, on peut apprendre grâces aux erreurs que l'on commet : cela s'appelle la pédagogie de l'erreur!

 

Le pouvoir en place est un assasin

Je pense pas qu'il fait des erreurs

Il fait tout par caclcul: ""Tuer l'agriculture pour imposer l'importation"""

 

Et pour developper une agriculture forte,il faut developper l'industrie

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Le pouvoir en place est un assasin

Je pense pas qu'il fait des erreurs

Il fait tout par caclcul: ""Tuer l'agriculture pour imposer l'importation"""

 

Et pour developper une agriculture forte,il faut developper l'industrie

 

Nous sommes pris en otage !

Hier c'était ou ce pouvoir ou les islamistes sanguinaires!

Aujourd'hui avec tous les périls à nos frontières, nous sommes vraiment coincés de donner un répis à ce pouvoir au risque de voir l'algérie completement déchiquetée !

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Guest prenpalatete
Boukharrouba avait dans l'idée d’affaiblir les gros propriétaires terriens qui pouvait le gêner dans son entreprise de dictateur. Il voulait leur couper les sources des moyens financier rendant de ce fait l'enrichissement illicite: l'argent est bien le nerf de la guerre !!!

Il a appelé ça réformes agraires mais le but n'était pas de développer mais simplement annihiler toutes possibilités d'activité politique.

 

quand il a fait sa revolution agraire les grands propriétaires agraires n'étaient pas nombreux,les terres qu'avaient laissé les colons suffisaient amplement à une juste répartition pour les paysans sans terre.

Sa stratégie s'inscrivait plus dans une vision populiste ou il s'agissait de "punir" tout ceux qui avaient le moindre bien privé , terriens ou autres et ou le nouvel "ennemi" était celui qui possédait le moindre bien comme pour mettre en oeuvre sa vision socaliste.

les propriétaires terriens on été dépossédé ,ceux qui produisaient autre chose ont été étouffés par les impots ,resultat: des gens assistés qui ne produisaient plus rien et une classe moyenne disparue ,avec les effets que l'on déplore aujourd'hui encore.

Ces petits camarades qui avaient fait la révolution et qui pouvaient faire de la politique ont eu droit de faire des affaires et de s'enrichir . Pour les autres ils ont été emprisonnés ou tout simplement liquidés.

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  • 3 weeks later...
En Algérie la TVA est plus faible sur les produits importés que sur ceux produits localement.

Rien d'autre à ajouter

 

 

Ah bon?

Tu veux me dire que le produit local est declaré?

T'as deja vu un producteur avec des factures?

C'est l'anarchie total

Aucun controle,d'où le probleme en Algerie

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Pour arreter l'importation,t'as besoin de trois parametres:

Une vision à long terme

Entouré par des competents

Et avoir la volonter de stoper ce phenomene

 

Mais malheureusement nos decideurs sont eux mem les importateurs

Comment veux tu qu'ils vont stoper ce crime?

 

il a besoin de travailler.

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bonjour

la revolution agraire de feu boumediene n'a touché que 3 pour cent des terres agricoles, le concept est beaucoup plus pour frapper l'imaginaire de la population ryrale.

Les terres ont été rendues a leurs preoprietaires, mais c'est trop tard.

L'Algerie a aligne ses bergers avec ses ingenieurs (dixit le canard enchaine de l'époque).

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