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Une femme se fait voler un rein et décède à l'hôpital


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Hospitalisée dans une clinique privée située à la cité USTO d'Oran pour une ablation de la vésicule biliaire, Mme Benyoucef A. âgée de 47 ans, est décédée dimanche au service de néphrologie et d’urologie de l'hôpital d'Oran où elle avait été admise d'urgence après la dégradation de son état de santé.

 

Les médecins de ce service, après des examens approfondis, ont constaté avant sa mort que la patiente s'est présentée avec une ablation rénale compliquée d’une infection très grave. Aussitôt, ils ont alerté le procureur de la République après que la famille de la victime a confirmé que la patiente a été admise dans cette clinique privée pour une lithiase biliaire. L'affaire a pris alors une autre tournure et a fait éclater un grand scandale au Centre hospitalier d'Oran, où le bruit a couru que la victime s'est fait voler un rein au service d'urologie de cet hôpital.

 

Ce n'est qu'après le dépôt de plainte auprès du procureur de la République d'Oran qui s'est déplacé en compagnie des cadres de l'hôpital jeudi dernier sur les lieux et interrogé la victime et sa famille qu'il s'est avéré que l’ablation du rein s’est faite dans la clinique privée. Une enquête a été ouverte et toutes les parties impliquées dans cette affaire ont été entendues par la police judiciaire.

 

Selon l'un des parents de la victime, «la défunte, dès sa sortie de cette clinique, a vu son état de santé se dégrader au fil des jours avant qu'on ne décide de la transférer vers le CHUO pour consultation. Là, les médecins ont constaté qu'un rein manquait à la malade qui a été transférée en urgence au service de néphrologie où a été confirmée cette ablation qui causera son décès.

 

B. S.

 

In : letempsdz.com

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Voler un rein dans une des cliniques du rond de l’USTO parait peu vraisemblable

 

L’ablation de la vésicule par contre opération simple quand il s’agit d’une lithiase non compliquée, faite par les oranais utilise au départ une mini incision, « esthétique » qui donne une vue étriquée de la zone opératoire. Pour peu que le praticien soit peu expérimenté, et la malade fluette, un écarteur profond et un aide costaud et le métal se retrouve sur le rein droit et le fracture.

 

L'ablation du rein, dans ce cas ne met pas la vie en danger.

 

La mort peut-être due à une erreur chirurgicale, ligature de vaisseaux, ou à une complication septique. La littérature ne cite pareille complication- atteinte rénale dans l’ablation de la vésicule, mais en Algérie tout devient possible, d’où le succès, mérité des hôpitaux fransaoui.

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je l'es toujours dit, et je les dirais toujours

nous les arabe, notre bon dieux nous à créer que pour voler

 

 

en matière de santé tant que nous ne volerons pas de nos propres ailes et que nos Présidents et la nomenklatura iront mourir à Bariz...aucune avancée sérieuse n'est à prévoir

 

pour le vol du rein, je ne sais ou LADOZ a été dérober son histoire...

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en matière de santé tant que nous ne volerons pas de nos propres ailes et que nos Présidents et la nomenklatura iront mourir à Bariz...aucune avancée sérieuse n'est à prévoir

 

pour le vol du rein, je ne sais ou LADOZ a été dérober son histoire...

 

 

 

T'as oublié de dire que c'est encore un coup des DAF

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je l'es toujours dit, et je les dirais toujours

nous les arabe, notre bon dieux nous à créer que pour voler

 

désolée Crawsar, mais là, je pense que vous vous trompez!!

certes, y a des "arabes" voleurs, mais aussi, y a des ARABES" y a pas plus honnetes!!!

c'est une question de personnalité, et d'éducation! et il ne faut jamais généraliser!

Quant à la defunte, elle a surement du etre victime comme l'a déja cité Otto Khor d'une septisemie, ou erreur chirurgicale, tout en excluant pas la gravité de l'acte, qui est l'ablation d'un autre organe sans son consentement!...mais, l'ablation de la vésicule biliaire, a t-elle été réalisée ou non?

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Voler un rein dans une des cliniques du rond de l’USTO parait peu vraisemblable....mais en Algérie tout devient possible, d’où le succès, mérité des hôpitaux fransaoui.

 

meme les hopitaux fransaoui, et maricani, sont réputés pour ce genre de pratiques!! et bien plus d'ailleurs!

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T'as oublié de dire que c'est encore un coup des DAF

 

 

 

Je ne peux à chaque fois monter sur ma grande moto – DAF DAF i FA -

 

Dans notre cas, savoir que dans la génération qui a donné les futurs déserteurs, au bas de l’échelle, se trouvaient les cancres qui pour vivre n’avaient d’autre alternative que de s’engager comme enfants de troupe pour faire les écoles de sous-officier de l’armée coloniale, et au sommet les plus instruits qui eurent la chance de fréquenter l’université et pour certains de suivre des études de médecine et devenir pour quelques uns chirurgiens …dans l’ALN .

 

Entre les deux catégories il y a le monde qui sépare un BELKHEIR de HADDAM.

 

Ou un Mohammed LAMARI de ATSAMANA.

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