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JE DISAI VOILA QUELQUES JOURS ICI


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Bonjour

Oui je disait si on pouvait se rassemblé a plusieurs

pour porter plainte contre l'état français de Droite

Pour ses amalgames et aux rabaissement répété et au non respect a l'encontre des algériens

Dieu merci d'autre sensibilité plus honorable sauve l'honneur de la France comme la LDH Ligue des Droit de l'Homme

 

 

Guerre d’Algérie En marge d’un colloque sur les accords d’Evian

Les accords d’Evian, qui ont mis fin à la guerre d’Algérie, ont été interprétés différemment selon les signataires et continuent d’être discutés et analysés. Pouvaient-ils éviter l’exode des pieds-noirs, étaient-ils approuvés par tout le FLN, pourquoi, finalement, furent-ils si peu appliqués ? Les historiens continuent à travailler sur ces questions.

Un colloque s’est ainsi tenu à Evian les 17 et 18 mars pour le cinquantième anniversaire de ces accords, malgré des menaces proférées contre sa tenue et un minuscule rassemblement de nostalgiques de l’époque coloniale.

Suite aux échanges et aux contributions qui l’ont animé, notre camarade Mohamed Matmati a souhaité complété le colloque en pointant ce qu’il n’avait pas assez abordé, à savoir « les souffrances du peuple algérien ». Mohamed Matmati rappelle le terrible destin « des agriculteurs obligés de quitter leur terre pour s’entasser dans les camps insalubres bâtis par l’armée française pour les isoler de l’ALN ».

« Lors des rafles, les militaires français sortaient les réserves des silos des paysans et y mettaient le feu, embarquaient la nourriture, fusillaient des civils. D’autres, attachés par une corde, subissaient le soleil durant toute la journée sans pouvoir boire ne serait-ce qu’une goutte d’eau. Et ceux qui étaient emmenés au 2ème bureau étaient systématiquement torturés. Regroupés de force, méprisés, maltraités, torturés, fusillés, les Algériens ont payé très cher le prix de l’indépendance ».

Mohamed témoigne : « Ma tante est encore vivante, mais elle porte toujours les traces des balles qu’elle a reçues, deux dans un bras, deux dans les jambes. Je devais me trouver avec elle mais m’a grand-mère m’a retenu et nous nous sommes cachés dans de hautes herbes. L’armée nous a trouvés des heures plus tard, nous a emprisonnés et relâchés le lendemain ».

Cette réalité ne doit plus être occultée, d’abord parce que ce fut la réalité, et ensuite parce que sa dissimulation alimente le racisme et les divisions entre les travailleurs.

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