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Abstentionnistes, le PRA, un parti en phase vos espérances


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Le Parti du renouveau algérien (PRA) a critiqué l’absence d’une politique claire de promotion du tourisme en Algérie. « Avec tout le respect aux institutions étatiques du tourisme, jusqu’à ce jour, nous sommes restés entre le halal et le haram », a déclaré, mercredi sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, Hassan Boulatika, représentant de ce parti. Il a estimé que beaucoup d’emplois peuvent être créés par ce secteur, ainsi que par celui de la pêche. Le parti plaide pour une politique économique saine et une meilleure régulation de l’inflation. « Il faut un contrôle rigoureux sur le marché et mettre fin à l’anarchie », a‑t‑il dit, évoquant l’exemple du « prix exorbitant » de la pomme de terre (cédée à 150 dinars le kilo dans certaines régions du pays).

« Je n’ai pas de logement, j’habite chez mon père ! Le problème du logement est insupportable, aberrant. Il faut faire un recensement de tous les logements vides et inoccupés dans le pays pour les réaffecter par ordre de priorité à ceux qui sont dans le besoin », a‑t‑il suggéré.

 

Le PRA propose également d’aller vers un véritable chamboulement de la société algérienne, la démocratie, l’équité et la transparence dans « un cadre organisé ». « L’anarchie n’a jamais rien apporté. Le PRA, c’est le petit rêve algérien», a souligné Hassan Boulatika.

 

En 1995, le PRA avait présenté un candidat à l’élection présidentielle en la personne de Noureddine Boukrouh. « On n’est pas là pour changer la Constitution mais pour proposer des amendements afin de remettre en valeur cette Constitution pour que chacun puisse s’y retrouver. Le problème de l’Algérie est d’abord social. Il faut aller vers un équilibre socio‑économique », a‑t‑il estimé. Il a indiqué que son parti est favorable au développement de la culture et des sciences!!!, à la séparation des pouvoirs, aux libertés politiques et syndicales, à la défense des droits de l’Homme, au renforcement de L’État‑nation, etc.

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Guest jagellon
Il est peut être de bonne foi!

 

De bonne foi? J'avais naïvement voté PRA dans un lointain passé. Depuis, à force de voir Boukrouh surgir a des moments, précis j'ai comme un doute sur sa bonne foi.

D'après les dernières infos, lâchées par Benbella avant son décès, Boukrouh était présent avec Abou Bakr Belkaid ( alors ministre de l'intérieur) et Larbi Belkheir lorsqu'ils ont décidé de former le RCD pour contrer l'avancée du FFS en Kabylie. Personne n'a confirmé cette info mais Saadi a démissionné de la tête du RCD juste après qu'elle soit divulguée.

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Le Parti du renouveau algérien (PRA) a critiqué l’absence d’une politique claire de promotion du tourisme en Algérie. « Avec tout le respect aux institutions étatiques du tourisme, jusqu’à ce jour, nous sommes restés entre le halal et le haram », a déclaré, mercredi sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, Hassan Boulatika, représentant de ce parti. Il a estimé que beaucoup d’emplois peuvent être créés par ce secteur, ainsi que par celui de la pêche. Le parti plaide pour une politique économique saine et une meilleure régulation de l’inflation. « Il faut un contrôle rigoureux sur le marché et mettre fin à l’anarchie », a‑t‑il dit, évoquant l’exemple du « prix exorbitant » de la pomme de terre (cédée à 150 dinars le kilo dans certaines régions du pays).

« Je n’ai pas de logement, j’habite chez mon père ! Le problème du logement est insupportable, aberrant. Il faut faire un recensement de tous les logements vides et inoccupés dans le pays pour les réaffecter par ordre de priorité à ceux qui sont dans le besoin », a‑t‑il suggéré.

 

Le PRA propose également d’aller vers un véritable chamboulement de la société algérienne, la démocratie, l’équité et la transparence dans « un cadre organisé ». « L’anarchie n’a jamais rien apporté. Le PRA, c’est le petit rêve algérien», a souligné Hassan Boulatika.

 

En 1995, le PRA avait présenté un candidat à l’élection présidentielle en la personne de Noureddine Boukrouh. « On n’est pas là pour changer la Constitution mais pour proposer des amendements afin de remettre en valeur cette Constitution pour que chacun puisse s’y retrouver. Le problème de l’Algérie est d’abord social. Il faut aller vers un équilibre socio‑économique », a‑t‑il estimé. Il a indiqué que son parti est favorable au développement de la culture et des sciences!!!, à la séparation des pouvoirs, aux libertés politiques et syndicales, à la défense des droits de l’Homme, au renforcement de L’État‑nation, etc.

 

En ce sens ,fawzi raba3ime peut s'exprimer mieux .

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