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France : Vers un second tour Hollande - Le Pen


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Jospin est un social-démocrate.Il a bien travaillé sauf qu'il a pris un peu la grosse tête car il croyait que la bonne santé de l'économie allait lui permettre d'être élu facilement....Ce que ne fait pas du tout Hollande, l'ami de notre pays car le nain et voyou hongrois est notre pire ennemi....:58:
Jospin a le plus libéralisé la France que toute la droite réunie, c'est lui qui a accru les pouvoirs des banquiers, lui qui a privatisé a outrance, la ou la droite en rêvait............

Les socialo-caviaro-imposteurs sont les mêmes ennemis de l'Algérie, au même titre que le dicta-mégalo actuel..........

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Jospin est un social-démocrate.Il a bien travaillé sauf qu'il a pris un peu la grosse tête car il croyait que la bonne santé de l'économie allait lui permettre d'être élu facilement

 

Jospin a bien travaillé ? les 35h étaient la pire connerie économique qui soit !

Et nous la payons encore.

 

Il a eu la chance d'avoir des taux de croissance de 3 à 4% grace à la bulle internet ; malgré ces taux de croissance miraculeux, il arrivait encore à avoir des budgets en déficit de 2% du PIB.

 

On peut ne pas aimer Sarkozy mais il a eu au moins le mérite de faire des réformes courageuses donc impopulaires.

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............

Les socialo-caviaro-imposteurs sont les mêmes ennemis de l'Algérie, au même titre que le dicta-mégalo actuel..........

 

Je ne sais pas si ce sont des ennemis de l'Algérie mais j'aime bien ton expression "socialo-caviaro-imposteurs".

 

Ce sont surtout des faux-culs.

 

Par exemple tous ces dirigeants PS vantent l'école républicaine et l'égalité des chances ... mais ils mettent tous leurs enfants dans des écoles privées ou dans les grands lycées parisiens...

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.

 

 

 

 

Ya dhiya khafi rabbi.....Antya raki mnervza....:mdr:

 

Il n'y a aucune comparaison entre Hollande et l'immigré d'origine hongroise....:cool:

 

khouya warseniss ,wallah ,je m'enerve tres rarement sur FA ! :mdr:

 

dans une annee :

si on est encore de ce monde inshallah ( (les deux mondes etant liès par un fil bien ' rèèchi ':D )...

 

si une guerre mondiale n'est pas dèclenchèe par les prèsidents aux ordres:(

si on est toujours devant nos claviers ..

 

...dans une annèe donc ,on pourra reprendre cette discussion ,tu m'auras mieux comprise :)

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Un petit rappel sur Laurent Fabius qui est parait-il notre futur ministre des affaires étrangères.

 

Il est multi-millionaire, héritier d'une famille de richissimes antiquaires.

 

Ministre du budget de Mitterrand, lors de la création de l'impôt sur la fortune, il s'est empressé d'exonérer de cet impôt ... le mobilier et les oeuvres d'art.

 

Pour faire "peuple", il s'était acheté une 2 CV Charleston qu'il garait ostensiblement au pied de chez lui (avec quand même un gendarme pour la surveiller !).

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Un petit rappel sur Laurent Fabius qui est parait-il notre futur ministre des affaires étrangères.

 

Il est multi-millionaire, héritier d'une famille de richissimes antiquaires.

 

Ministre du budget de Mitterrand, lors de la création de l'impôt sur la fortune, il s'est empressé d'exonérer de cet impôt ... le mobilier et les oeuvres d'art.

 

Pour faire "peuple", il s'était acheté une 2 CV Charleston qu'il garait ostensiblement au pied de chez lui (avec quand même un gendarme pour la surveiller !).

 

 

et si tu nous parlais un peu de Sarko ? :D qu'a t il fait tout de suite après avoir été élu ? :D et j'en passe... :calich:

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Ne sois pas naïf tigzirt.....:p

Tu sais bien qu'en france c'est l'homme-président qui décide.Hollande est différent de jospin qui est différent de mitterrand.....:cool:

l'homme président ne décide de rien si il n'a pas une majorité derrière lui, ce qui signifie qu'ils sont tous complices, c'est cela de ne pas être naif!

Hollande est un laquais, un exécutant dénué de tout pouvoir, il fera ce que ses maitres sionistes lui ordonneront de faire, ceux la même qui ordonnent au dicta-megalo hongrois!

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Jospin a bien travaillé ? les 35h étaient la pire connerie économique qui soit !

Et nous la payons encore.

 

Il a eu la chance d'avoir des taux de croissance de 3 à 4% grace à la bulle internet ; malgré ces taux de croissance miraculeux, il arrivait encore à avoir des budgets en déficit de 2% du PIB.

 

On peut ne pas aimer Sarkozy mais il a eu au moins le mérite de faire des réformes courageuses donc impopulaires.

Selon toi quel est le but d'une réforme? doit elle intervenir pour le bien du peuple, ou contre lui? car c'est cela les réformes dont tu parles!
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Jospin a bien travaillé ? les 35h étaient la pire connerie économique qui soit !

Et nous la payons encore.

 

Il a eu la chance d'avoir des taux de croissance de 3 à 4% grace à la bulle internet ; malgré ces taux de croissance miraculeux, il arrivait encore à avoir des budgets en déficit de 2% du PIB.

 

On peut ne pas aimer Sarkozy mais il a eu au moins le mérite de faire des réformes courageuses donc impopulaires.

 

 

 

qu'est ce que tu as contre les 35 h ? Tu dois être patron toi... :D

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scipio tu n'aime pas les socialo toi ! :D

 

Ah bon tu as remarqué :mdr::mdr:

 

Sérieusement, je comprends que l'on n'aime pas Sarko et son côté bling-bling mais je suis convaincu qu'il a fait du bon boulot :

 

- réforme des retraites

- réforme des universités

- crédit impôt-recherche

- début de service minimum dans les transports publics.

 

C'est loin d'être parfait mais il a fait ce qu'il a pu malgré l'hostilité des fonctionnaires gauchistes.

Sauf divine surprise, je suis convaincu que Hollande décevra.

(Je n'ai rien personnellemnt contre Hollande, je le trouve plutôt sympathique, mais son programmme économique est inepte).

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qu'est ce que tu as contre les 35 h ? Tu dois être patron toi... :D

 

Je suis salarié dans une entreprise de moins de 20 salariés qui n'est pas passée aux 35 heures !

Nous sommes toujours à 39h,

je bosse 42h par semaine, sans RTT et je finance les 35 heures des autres !

Tu peux comprendre que cela me reste en travers de la gorge ...

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Ah bon tu as remarqué :mdr::mdr:

 

Sérieusement, je comprends que l'on n'aime pas Sarko et son côté bling-bling mais je suis convaincu qu'il a fait du bon boulot :

 

- réforme des retraites

- réforme des universités

- crédit impôt-recherche

- début de service minimum dans les transports publics.

 

C'est loin d'être parfait mais il a fait ce qu'il a pu malgré l'hostilité des fonctionnaires gauchistes.

Sauf divine surprise, je suis convaincu que Hollande décevra.

(Je n'ai rien personnellemnt contre Hollande, je le trouve plutôt sympathique, mais son programmme économique est inepte).

 

 

je ne dirai qu'une chose, car fatiguée et pas envie..

 

il a engagé la France dans des conflits qui ne la concernait en rien et a entraîné une vague de haine au sein de la population avec ses innombrables dérapages politiques... il a plongé la France dans le chaos avec une sorte de protectorat tacite des plus grandes richesses qui se sont vues donner de l'élan en ces temps difficiles... travailler plus pour gagner plus mais gagner plus pour payer plus...

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et j'ajouterais qu'on ne demande pas à un président de la république d'être uniquement courageux mais aussi et surtout efficace...

 

Réforme des universités : "Une révolution par la confiance" (Fondapol)

 

La loi relative aux libertés et responsabilités des universités (loi LRU du 10 août 2007) instaurant l'autonomie des universités est l'une des grandes réformes de Nicolas Sarkozy. Elle donne à notre recherche et à notre enseignement supérieur les outils et les moyens de participer à la compétition académique et scientifique internationale. Elle est profondément conforme à l'esprit même de l'université, qui est d'être "autonome". Les universitaires n'ont pas laissé filer cette occasion : toutes les universités métropolitaines ont mis en œuvre l'intégralité de l'autonomie prévue par le texte, 6 mois avant la date prévue.

 

En instituant l'autonomie de gestion, la loi a conduit à la professionnalisation de la gestion des universités, à l'image de nos grandes écoles ou des grandes universités étrangères. La gestion est placée sous un régime de responsabilité adulte, a posteriori, sous la forme d'un contrôle budgétaire ex post exercé par l'Etat.

 

La loi assigne également aux universités une mission d'orientation et d'insertion professionnelles des étudiants qui, si elle doit s'améliorer, aurait dû être mise en place depuis longtemps ; elle généralise l'ouverture des conseils d'administration aux personnalités extérieures ; elle donne aux établissements la liberté de créer des fondations, permettant de lever des ressources propres ; elle accroît leur liberté de recrutement.

 

Accompagnant cette loi, des moyens particulièrement importants ont été mobilisés par l'Etat. Depuis 2007, les ressources accordées par l'Etat aux universités ont augmenté de 22 %. La dépense par an et par étudiant est passée de 9 111 euros en 2007 à 11 430 euros en 2010, dont 10 220 euros pour les seules universités, permettant à la France, pour la première fois, d'atteindre une dépense annuelle par étudiant supérieure à la moyenne de l'OCDE. De même, le montant des bourses a augmenté de plus de 20 % et le nombre de boursiers de 25 %. En 2011 l'ensemble des dépenses sociales en faveur des étudiants a atteint 3 milliards d'euros, un record. Si le plan campus a pris du retard, il sera à terme très bénéfique. Enfin, les universités sont les principales bénéficiaires des 22 milliards d'euros attribués à l'enseignement supérieur et à la recherche dans le cadre du programme des investissements d'avenir.

 

"UN PAS HISTORIQUE A ÉTÉ FRANCHI"

 

Il ne faut évidemment pas en conclure que tout va enfin pour le mieux dans l'université française. Il reste à traiter l'épineux problème des droits d'inscription, à la fois injustes et insuffisants ; il reste, comme le propose la Fondapol, à généraliser le droit à la sélection, avec toutes les rétributions qui l'accompagnent et que l'on réserve aujourd'hui aux catégories sociales les plus aisées.

 

Il n'en demeure pas moins qu'un pas historique a été franchi. De bonne foi, nul ne peut le contester et François Hollande lui-même a fait connaître son attachement à ce texte. La loi instaurant l'autonomie des universités recèle une force singulière car elle ne propose pas une certaine organisation du monde universitaire, mais elle libère un processus, ce qui est très nouveau. Il revient aux acteurs eux-mêmes de s'emparer des possibilités offertes par le texte, de les faire vivre et de les déployer. Cette loi fait confiance à l'imagination, aux initiatives, aux talents et aux compétences des universitaires. C'est pourquoi son succès est garanti.

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Je suis salarié dans une entreprise de moins de 20 salariés qui n'est pas passée aux 35 heures !

Nous sommes toujours à 39h,

je bosse 42h par semaine, sans RTT et je finance les 35 heures des autres !

Tu peux comprendre que cela me reste en travers de la gorge ...

 

oui je peux comprendre... mais c'est pas la faute aux 35 h mais à celle de ton patron.. :D révolte toi... :D

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Efficace envers qui?:crazy:

 

efficace envers le peuple qui l'a élu avant tout... ce qui signifie être à la hauteur sur le plan national mais aussi international... penser à son peuple et au développement de son pays avant tout le reste...

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Réforme des universités : "Une révolution par la confiance" (Fondapol)

 

La loi relative aux libertés et responsabilités des universités (loi LRU du 10 août 2007) instaurant l'autonomie des universités est l'une des grandes réformes de Nicolas Sarkozy. Elle donne à notre recherche et à notre enseignement supérieur les outils et les moyens de participer à la compétition académique et scientifique internationale. Elle est profondément conforme à l'esprit même de l'université, qui est d'être "autonome". Les universitaires n'ont pas laissé filer cette occasion : toutes les universités métropolitaines ont mis en œuvre l'intégralité de l'autonomie prévue par le texte, 6 mois avant la date prévue.

 

En instituant l'autonomie de gestion, la loi a conduit à la professionnalisation de la gestion des universités, à l'image de nos grandes écoles ou des grandes universités étrangères. La gestion est placée sous un régime de responsabilité adulte, a posteriori, sous la forme d'un contrôle budgétaire ex post exercé par l'Etat.

 

La loi assigne également aux universités une mission d'orientation et d'insertion professionnelles des étudiants qui, si elle doit s'améliorer, aurait dû être mise en place depuis longtemps ; elle généralise l'ouverture des conseils d'administration aux personnalités extérieures ; elle donne aux établissements la liberté de créer des fondations, permettant de lever des ressources propres ; elle accroît leur liberté de recrutement.

 

Accompagnant cette loi, des moyens particulièrement importants ont été mobilisés par l'Etat. Depuis 2007, les ressources accordées par l'Etat aux universités ont augmenté de 22 %. La dépense par an et par étudiant est passée de 9 111 euros en 2007 à 11 430 euros en 2010, dont 10 220 euros pour les seules universités, permettant à la France, pour la première fois, d'atteindre une dépense annuelle par étudiant supérieure à la moyenne de l'OCDE. De même, le montant des bourses a augmenté de plus de 20 % et le nombre de boursiers de 25 %. En 2011 l'ensemble des dépenses sociales en faveur des étudiants a atteint 3 milliards d'euros, un record. Si le plan campus a pris du retard, il sera à terme très bénéfique. Enfin, les universités sont les principales bénéficiaires des 22 milliards d'euros attribués à l'enseignement supérieur et à la recherche dans le cadre du programme des investissements d'avenir.

 

"UN PAS HISTORIQUE A ÉTÉ FRANCHI"

 

Il ne faut évidemment pas en conclure que tout va enfin pour le mieux dans l'université française. Il reste à traiter l'épineux problème des droits d'inscription, à la fois injustes et insuffisants ; il reste, comme le propose la Fondapol, à généraliser le droit à la sélection, avec toutes les rétributions qui l'accompagnent et que l'on réserve aujourd'hui aux catégories sociales les plus aisées.

 

Il n'en demeure pas moins qu'un pas historique a été franchi. De bonne foi, nul ne peut le contester et François Hollande lui-même a fait connaître son attachement à ce texte. La loi instaurant l'autonomie des universités recèle une force singulière car elle ne propose pas une certaine organisation du monde universitaire, mais elle libère un processus, ce qui est très nouveau. Il revient aux acteurs eux-mêmes de s'emparer des possibilités offertes par le texte, de les faire vivre et de les déployer. Cette loi fait confiance à l'imagination, aux initiatives, aux talents et aux compétences des universitaires. C'est pourquoi son succès est garanti.

 

ah ben sur cinq ans et avec tous les points négatifs, heureusement qu'il en reste un à mettre de l'autre côté de la balance histoire de pas casser le levier..:angel_not:

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Réforme des universités : "Une révolution par la confiance" (Fondapol)

 

La loi relative aux libertés et responsabilités des universités (loi LRU du 10 août 2007) instaurant l'autonomie des universités est l'une des grandes réformes de Nicolas Sarkozy. Elle donne à notre recherche et à notre enseignement supérieur les outils et les moyens de participer à la compétition académique et scientifique internationale. Elle est profondément conforme à l'esprit même de l'université, qui est d'être "autonome". Les universitaires n'ont pas laissé filer cette occasion : toutes les universités métropolitaines ont mis en œuvre l'intégralité de l'autonomie prévue par le texte, 6 mois avant la date prévue.

 

En instituant l'autonomie de gestion, la loi a conduit à la professionnalisation de la gestion des universités, à l'image de nos grandes écoles ou des grandes universités étrangères. La gestion est placée sous un régime de responsabilité adulte, a posteriori, sous la forme d'un contrôle budgétaire ex post exercé par l'Etat.

 

La loi assigne également aux universités une mission d'orientation et d'insertion professionnelles des étudiants qui, si elle doit s'améliorer, aurait dû être mise en place depuis longtemps ; elle généralise l'ouverture des conseils d'administration aux personnalités extérieures ; elle donne aux établissements la liberté de créer des fondations, permettant de lever des ressources propres ; elle accroît leur liberté de recrutement.

 

Accompagnant cette loi, des moyens particulièrement importants ont été mobilisés par l'Etat. Depuis 2007, les ressources accordées par l'Etat aux universités ont augmenté de 22 %. La dépense par an et par étudiant est passée de 9 111 euros en 2007 à 11 430 euros en 2010, dont 10 220 euros pour les seules universités, permettant à la France, pour la première fois, d'atteindre une dépense annuelle par étudiant supérieure à la moyenne de l'OCDE. De même, le montant des bourses a augmenté de plus de 20 % et le nombre de boursiers de 25 %. En 2011 l'ensemble des dépenses sociales en faveur des étudiants a atteint 3 milliards d'euros, un record. Si le plan campus a pris du retard, il sera à terme très bénéfique. Enfin, les universités sont les principales bénéficiaires des 22 milliards d'euros attribués à l'enseignement supérieur et à la recherche dans le cadre du programme des investissements d'avenir.

 

"UN PAS HISTORIQUE A ÉTÉ FRANCHI"

 

Il ne faut évidemment pas en conclure que tout va enfin pour le mieux dans l'université française. Il reste à traiter l'épineux problème des droits d'inscription, à la fois injustes et insuffisants ; il reste, comme le propose la Fondapol, à généraliser le droit à la sélection, avec toutes les rétributions qui l'accompagnent et que l'on réserve aujourd'hui aux catégories sociales les plus aisées.

 

Il n'en demeure pas moins qu'un pas historique a été franchi. De bonne foi, nul ne peut le contester et François Hollande lui-même a fait connaître son attachement à ce texte. La loi instaurant l'autonomie des universités recèle une force singulière car elle ne propose pas une certaine organisation du monde universitaire, mais elle libère un processus, ce qui est très nouveau. Il revient aux acteurs eux-mêmes de s'emparer des possibilités offertes par le texte, de les faire vivre et de les déployer. Cette loi fait confiance à l'imagination, aux initiatives, aux talents et aux compétences des universitaires. C'est pourquoi son succès est garanti.

Un extrait du journal le monde:

La réforme de l'université, une catastrophe

 

Depuis la loi d'autonomie de l'université de la ministre de l'enseignement supérieur Valérie Pécresse, jamais les universitaires ne se sont à ce point trouvés dans la servitude. Ce diagnostic empirique pourrait être une petite leçon de philosophie politique : le pouvoir ne donne des libertés que pour mieux se faire obéir, et l'autonomie aura été, en grande partie, un processus par lequel désormais les enseignants du supérieur se surveillent, s'asservissent, se soumettent eux-mêmes, obéissent par anticipation aux menaces par crainte d'être exclus des lieux de décision

La réforme de l'université, une catastrophe

 

j'en ai autant pour tes autres réformes!!:)

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efficace envers le peuple qui l'a élu avant tout... ce qui signifie être à la hauteur sur le plan national mais aussi international... penser à son peuple et au développement de son pays avant tout le reste...
c'est ce que je pensais...en fait, il bosse contre les intérêts de son peuple et de son pays..il oeuvre pour l'étranger et ses intérêts, détruisant au passage son pays, son peuple..:)
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Un extrait du journal le monde:

La réforme de l'université, une catastrophe

 

Depuis la loi d'autonomie de l'université de la ministre de l'enseignement supérieur Valérie Pécresse, jamais les universitaires ne se sont à ce point trouvés dans la servitude. Ce diagnostic empirique pourrait être une petite leçon de philosophie politique : le pouvoir ne donne des libertés que pour mieux se faire obéir, et l'autonomie aura été, en grande partie, un processus par lequel désormais les enseignants du supérieur se surveillent, s'asservissent, se soumettent eux-mêmes, obéissent par anticipation aux menaces par crainte d'être exclus des lieux de décision

La réforme de l'université, une catastrophe

 

j'en ai autant pour tes autres réformes!!:)

 

La réforme n'est une catastrophe que pour les feignasses universitaires qui ne veulent pas faire plus que leurs 128 h de cours PAR AN.

 

Heureusement ils ne sont pas tous comme ça.

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Les résultats électoraux produits par une société américaine ?

 

Toujours abonne aux sites/blogs conspirationnistes.

 

C'est la ou tu te cultives ?

 

On comprend mieux d'ou vient le niveau mediocre de tes posts :D

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c'est ce que je pensais...en fait, il bosse contre les intérêts de son peuple et de son pays..il oeuvre pour l'étranger et ses intérêts, détruisant au passage son pays, son peuple..:)

 

De quel droit parles tu du peuple français, toi qui est si fier d'être algérien ?

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