solitaire1 10 Posted May 28, 2012 Author Partager Posted May 28, 2012 C'est l'histoire d'un jeune homme qui étudia à l'étranger pour quelques années. De retour chez lui, il demanda à ses parents de lui trouver un savant religieux ou n'importe quel expert qui serait capable de répondre à 3 de ses questions. Finalement, ses parents ont pu trouver un savant Musulman. Jeune homme: Qui es-tu? Serais-tu capable de répondre à mes questions? Savant: Je suis un serviteur d'Allah (Subhana Wa Ta'ala) et insha-Allah( si Dieu le veut), je serais capable de répondre à tes questions. Jeune homme: Es-tu sûr? Beaucoup de professeurs et d'experts n'ont pas pu me répondre convenablement. Savant: Je ferais mon possible avec l'aide d'Allah (qu'il soit Exalté). Jeune homme: J'ai 3 questions: 1. Est-ce que Dieu existe? Si oui, montre moi sa forme. 2. Qu’est- ce que le takdir (destiné) ? 3. Si le shaitan(Satan) a été créé de feu, pourquoi au Jour Dernier il sera jeter en enfer qui est aussi créé de feu. Certainement il n'aura pas mal du tout, puisque Satan et l'enfer ont été tous les deux créés de feu. Est-ce que Dieu n'aurait pas pensé à ça à ce moment là ? Soudainement, le Savant donna une gifle sévère sur la face droite du jeune homme. Jeune homme(douloureusement): Pourquoi tu t'es fâché après moi !? Savant: Je ne suis pas fâché. Cette gifle est la réponse à tes trois questions. Jeune homme: Je ne comprends vraiment pas. Savant: Comment tu t'es senti après que je t'ai frappé ? Jeune homme: J'ai senti de la douleur bien sûr. Savant: Alors crois-tu que cette douleur existe? Jeune homme: Oui. Savant: Montre moi la forme de la douleur ! Jeune homme: Je ne peux pas. Savant: Ça répond à ta première question. Nous sentons tous l'existence de Dieu sans toutefois être capable de voir sa forme. Savant: La nuit dernière, as-tu rêvé que tu recevras une gifle de moi ? Jeune homme: Non. Savant: As-tu jamais pensé que tu recevras une gifle de moi, aujourd'hui ? Jeune homme: Non. Savant: C'est ce que le takdir (destiné). Savant: La main que j'ai utilisé pour te frapper, de quelle matière a-t-elle été créé? Jeune homme: Elle a été créé de peau. Savant: Et ta face, de quelle matière a-t-elle été créé? Jeune homme: De peau. Savant: Et comment tu t'es senti après que je t'ai frappé? Jeune homme: Douloureux. Savant: Même si Shaitan (Satan) et aussi l'enfer ont été créés de feu, si Allah le veut, insha Allah, l'enfer deviendra un endroit extrêmement douloureux pour Satan. Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted May 31, 2012 Author Partager Posted May 31, 2012 La famille s'était installée au restaurant. La serveuse prit d'abord les commandes des adultes, puis se tourna vers le petit garçon de sept ans « Qu'est-ce que tu vas Prendre ? » demanda-t-elle. Le petit garçon jeta un regard timide autour de la table et dit : «J'aimerais un hot dog. » Avant que la serveuse pût noter la commande, la mère intervint : «Pas de hot dog, dit-elle. Apportez-lui un bifteck avec purée de pommes de terre et carottes. » La serveuse ne prêta aucune attention à la mère : « Veux-tu du ketchup ou de la moutarde avec ton hot dog ? demanda-t-elle au petit garçon. - Du ketchup. - Ça vient tout de suite »> dit la serveuse en se dirigeant vers la cuisine. Tout le monde resta muet de stupeur. Finalement, le petit garçon regarda chacun de ceux qui étaient là et dit : « Savez-vous une chose ? Pour elle, j'existe vraiment ! » Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted June 6, 2012 Author Partager Posted June 6, 2012 Un jour, un vieux professeur de l'École nationale d'administration publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur La planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière ". Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience". De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un gallon (pot de verre de plus de 4 litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux a peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein?". Tous répondirent : "Oui". Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondît: "Probablement pas!". "Bien!" répondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non!". "Bien!" répondît le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience? " Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondît : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ". "Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous ensuite". Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos. Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie?" "Votre santé?" "Votre famille?" "Vos ami(e)s?" "Réaliser vos rêves?" "Faire ce que vous aimez?" "Apprendre?" "Défendre une cause?" "Relaxer?" "Prendre le temps...?" "Ou... toute autre chose?" "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir...sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)" D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle. Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted June 8, 2012 Author Partager Posted June 8, 2012 Un paysan Chinois suscitait la jalousie des plus riches du pays parce qu'il possédait un cheval blanc merveilleux. Chaque fois qu'on lui proposait une fortune pour l'animal, le vieillard répondait : " Ce cheval est beaucoup plus qu'un animal, pour moi, c'est un ami, je ne peux pas le vendre." Un jour, le cheval disparut. Les voisins rassemblés devant l'étable vide donnèrent leur opinion : "Il était prévisible qu'on te volerait ton cheval. Pourquoi ne l'as-tu pas vendu ? " Le paysan se montra plus dubitatif: "N'exagérons rien, dit-il. Disons que le cheval ne se trouve plus dans l'étable. C'est un fait. Tout le reste n'est qu'une appréciation de votre part. Comment savoir si c'est un bonheur ou un malheur ? " Les gens se moquèrent du vieil homme. Ils le considéraient depuis longtemps comme un simple d'esprit. Quinze jours plus tard, le cheval blanc revint. Il n'avait pas été volé, il s'était tout simplement sauvé et présentement ramenait une douzaine de chevaux sauvages avec lui. Les villageois s'attroupèrent de nouveau. "Tu avais raison, ce n'était pas un malheur mais une bénédiction." "Je n'irai pas jusque là, fit le paysan. Contentons-nous de dire que le cheval blanc est revenu. Comment savoir si c'est une chance ou une malchance ?" Les villageois se dispersèrent, convaincus que le vieil homme déraisonnait. Recevoir douze chevaux était indubitablement un cadeau du ciel. Qui pouvait le nier ? Le fils du paysan entreprit le dressage des chevaux sauvages. L'un d'eux le jeta à terre et le piétina. Les villageois vinrent une fois de plus donner leur avis : " Pauvre ami ! Tu avais raison, ces chevaux sauvages ne t'ont pas porté chance. Voici que ton fils unique est estropié. Qui donc t'aidera dans tes vieux jours ? Tu es vraiment à plaindre. " " Voyons rétorqua le paysan, n'allez pas si vite. Mon fils a perdu l'usage de ses jambes, c'est tout. Qui dira ce que cela nous aura apporté ? La vie se présente par petits bouts, nul ne peut prédire l'avenir." Quelques temps plus tard, la guerre éclata et tous les jeunes gens du pays furent enrôlés dans l'armée, sauf l'invalide. " Vieil homme, se lamentèrent les villageois, tu avais raison, ton fils ne peut plus marcher, mais il reste auprès de toi tandis que nos fils vont se faire tuer." "Je vous en prie, répondit le paysan, ne jugez pas hâtivement. Vos jeunes sont enrôlés dans l'armée, le mien reste à la maison, c'est tout ce que nous puissions dire. Dieu seul sait si c'est bien ou mal." Quelques mois plus tard, la guerre se termina. Certains n'en revinrent pas. D'autres rentrèrent, couverts de gloire et chargés d'un riche butin de guerre. - Tu n'as pas de chance, dit le voisin, ton fils n'est pas revenu riche de la guerre. - Est-ce une chance est-ce une malchance ? Qui peut le savoir ? dit le paysan. Richesses vite accumulées, richesses vite dilapidées dit le proverbe. Et la misère revint, encore plus dure à supporter après une période d'abondance. - Tu as de la chance, dit le voisin. Ton fils n'est pas rentré riche de la guerre, mais il n'est pas tombé dans cette misère noire et déprimante où sont en train de sombrer nos propres enfants. - Est-ce une chance, est-ce une malchance, dit le vieux paysan. Qui peut le savoir ? Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted June 10, 2012 Author Partager Posted June 10, 2012 Peyo le pêcheur rentre au port bien fatigué. Mais il ramène un panier de sardines de sa journée en mer. Ça se passait du côté d'Hendaye, ou peut-être de Bermeo, au Pays Basque, là où il y a de grosses vagues sur l'océan. On y vient même de Californie pour faire du surf. Si on n'est pas surfer ou bon marin comme Peyo, il vaut mieux être prudent. Au port, il y a Sorgin la sorcière qui attend. Elle est méchante, c'est une lamie disent les Basques. Méchante et envieuse : quand elle voit quelque chose qui lui plaît, elle le prend. Une poche magique apparaît dans son manteau noir : c'est là qu'elle met ce qu'elle a pris. Elle veut les sardines de Peyo. Il n'est pas d'accord. Il a travaillé toute la journée pour les pêcher. "Va-t-en, sorcière, pousse-toi, laisse-moi passer : tu n'auras pas mes sardines." Et Peyo passe et rentre chez lui. Sorgin est furieuse. Elle veut se venger. Elle va dans les dunes de sable près du port rencontrer ses deux amies, comme elle habillées de noir. Par hasard, Takio, l'ami de Peyo, se trouve par là. Il se cache bien, dans un repli de sable et il écoute ce que disent les trois sorcières. Et il court vite chez Peyo pour le prévenir. "Peyo, tu es en grand danger ! J'ai entendu les trois lamies. Voilà ce qu'elles veulent faire de toi. Il y aura trois vagues. La première, de lait, sera pour te faire peur. La deuxième, de larmes, pour te glacer le cœur et la troisième, desang, pour te tuer. Méfie-toi !" Peyo répond : "Je n'ai pas peur. Veux-tu venir avec moi sur l'océan ? Tu tiendras le gouvernail." Takio hésite, mais il sait que Peyo est un bon marin et il dit oui. Le matin ils partent sur la mer dans la barque de Peyo. Dès qu'ils sont au large, ils voient une très grosse vague arriver sur eux. L'écume la rend blanche comme le lait. Peyo n'a pas peur. Il crie à son ami : "Tiens bon le gouvernail, nous passerons !" Et ils passent sur la vague. Aussitôt arrive la deuxième vague, énorme, amère comme les larmes, celle qui doit lui glacer le cœur. Peyo n'a pas peur. Il crie à son ami : "Tiens bon le gouvernail, nous passerons !" Ils sont bien secoués, mais ils passent sur l'énorme vague qui déferle. Très vite la troisième vague apparaît, celle qui doit tuer Peyo.Il n'en a jamais vu de si grosse. Plus haute que la plus haute des maisons de Bayonne. Mais il n'a pas peur.. Il saisit son harpon, qu'il utilise pour aller quelquefois à la pêche à la baleine ou au gros poisson. Il crie à son ami Takio : "Tiens bon le gouvernail, nous passerons !" Takio cramponne le gouvernail. Peyo s'est dressé sur sa barque. Avec son harpon, il vise le cœur de cette vague, plus haute qu'une maison. Et il le lance au moment où la vague allait engloutir la petite barque. La vague devient toute rouge, comme du sang et on entend comme un cri sur tout l'océan. La barque passe. Cette vague qui était plus haute qu'une maison est devenue une ondulation de rien du tout. Peyo et son ami Takio sont épuisés. Ils rentrent au port. Il ne leur arrive plus rien. Sur la plage, ils trouvent un grand manteau noir avec plein de poches, tout mouillé, abandonné. On n'a plus jamais revu Sorgin la méchante lamie. Quelquefois on croisait ses amies toutes en noir qui pleuraient. Peyo avait gagné son combat pour la liberté. Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted June 26, 2012 Author Partager Posted June 26, 2012 Un Imam était parti avec un groupe de suisses de Zurich au Hajj et, en revenant, un vieil homme, égyptien d’origine, qui faisait donc partie du groupe, lui a confié un secret. Il lui a raconté que lorsqu’il accomplissait le dernier Tawaf (tour) de la Ka’ba, avant d’achever « le 5ème pilier de l’islam » et rentrer chez soi, il y avait sur place énormément de pèlerins qui se bousculaient et les plus faibles étaient en général rejetés automatiquement en périphérie du cercle de tawaf. Le vieil homme était vraiment triste d’être venu de si loin, d’avoir endurer tant de souffrances sous la chaleur saoudienne, de fatigue durant le voyage, pour arriver jusqu’à cet endroit saint et béni qu’est la Mecque et d’en repartir sans même avoir embrassé la pierre noire. De plus l’imam en question, qui était le responsable du groupe leur avait formellement interdit de s’approcher de l’édifice sacré en raison de la foule et des risques de piétinements mortels. Alors, dans un geste d’humilité, il a levé les mains au ciel, et s’est mis à faire des doua’s du fond du cœur, en disant textuellement : « Ya Allah, a’ radhen enta » = Ô Allah, tu es satisfait toi ? Ô Allah es tu satisfait ? (que je rentre sans l’avoir embrassée ?)", et il répétait cela plusieurs fois, les larmes aux yeux et les mains tremblantes au ciel… Alors qu’il se trouvait dans ce même état, un groupe de pèlerins turcs, bien solides et costauds, surgirent de derrière lui soudainement, et se frayèrent, de force, un passage direct sur la ka’ba. Ils ont quasiment « transpercé » la foule avec détermination, et comme il se trouvait juste devant eux, soubhanAllah il a été transporté, sans trop savoir de quelle façon, exactement devant la pierre noire. Là, le militaire chargé de la sécurité, étonné de voir une personne âgée à cet endroit, par un élan de gentillesse et de compassion, à repoussé tout les gens qui s’empressaient autour de lui, de façon à ce qu’il puisse bien profiter de cet instant magique. Ne sachant que dire, complètement déboussolé, dépassé par les évènements, chargé d’émotions, il se mit a embrasser la pierre noire avec joie, pendant un long moment jusqu’à ce qu’il soit « rassasié » et là, avec un beau sourire, le militaire lui dit en arabe : « A’radhine enta » - Es tu satisfait ? Puis il se mit à pleurer ... Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted July 6, 2012 Author Partager Posted July 6, 2012 Très belle histoire « Rachda » [YOUTUBE]G_s-Yz6sfzQ[/YOUTUBE] Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted October 31, 2012 Author Partager Posted October 31, 2012 Au bord de l'eau dans un petit village côtier mexicain, un bateau rentre au port, ramenant plusieurs thons. L'Américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer : " Pas très longtemps ", répond le Mexicain. " Mais alors, pourquoi n'êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus? " demande l'Américain. Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de sa famille. L'Américain demande alors : " Mais que faites-vous le reste du temps? " " Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin et jouons de la guitare. J'ai une vie bien remplie ". L'Américain l'interrompt : " J'ai un MBA de l'université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l'argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu'à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l'usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut-être New York, d'où vous dirigeriez toutes vos affaires. " Le Mexicain demande alors : " Combien de temps cela prendrait-il? " " 15 à 20 ans ", répond le banquier américain. " Et après? " " Après, c'est là que ça devient intéressant ", répond l'Américain en riant. " Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions ". " Des millions? Mais après? " " Après, vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos petits-enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis. " Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted November 1, 2012 Author Partager Posted November 1, 2012 Il était une fois une île sur laquelle vivaient tous les sentiments et toutes les valeurs humaines : la Bonne humeur, la Tristesse, la Sagesse... ainsi que tous les autres, y compris l’Amour. Un jour, on annonça que l’île allait être submergée. Alors tous préparèrent leurs embarcations et s’enfuirent. Seul l’Amour resta, attendant jusqu’au dernier moment. Quand l’île fut sur le point de disparaître, l’Amour décida de demander de l’aide. La Richesse passa près de l’Amour dans un bateau luxueux et l’Amour lui dit : "Richesse, peux-tu m’emmener ?" "Je ne le peux pas car j’ai beaucoup d’or et d’argent dans mon bateau et il n’y a pas de place pour toi." Alors l’Amour décida de demander à l’Orgueil qui passait dans un magnifique bateau : "Orgueil, je t’en prie, emmène moi." "Je ne peux pas t’emmener, Amour, tu pourrais détruire la perfection qui règne dans mon bateau." Ensuite l’Amour demanda à la tristesse qui passait par là : "Tristesse, je t’en prie, emmène moi." "Oh Amour" répondit la Tristesse "je suis si triste que j’ai besoin de rester seule." Ensuite la Bonne humeur passa devant l’Amour, mais elle était si heureuse qu’elle n’entendit pas qu’on l’appelait. Soudain une voix dit : "Viens, Amour, je t’emmène avec moi." C’était un vieillard qui l’avait appelé. L’Amour était si heureux et si rempli de joie, qu’il en oublia de lui demander son nom. Arrivés sur la terre ferme, le vieillard s’en alla. L’Amour se rendit compte combien il lui était redevable et demanda au Savoir : "Savoir, peux tu me dire qui est celui qui m’a aidé ?" "C’est le Temps" répondit le Savoir" "Le Temps ?", demanda l’Amour, "Pourquoi le Temps m’aurait-t’il aidé ?" Le Savoir plein de sagesse répondit : "Parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l’Amour est important dans la vie". Citer Link to post Share on other sites
Guest N2592 Posted November 1, 2012 Partager Posted November 1, 2012 merci solitaire pour le partage de ces super histoires Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted November 1, 2012 Author Partager Posted November 1, 2012 merci solitaire pour le partage de ces super histoires de rien, el hikmatou dhalatou elmoumine...hadith bonjour N2592 un pseudo difficile à déchiffrer ? lol Citer Link to post Share on other sites
Guest N2592 Posted November 1, 2012 Partager Posted November 1, 2012 de rien, el hikmatou dhalatou elmoumine...hadith bonjour N2592 un pseudo difficile à déchiffrer ? lol bonjour solitaire ça veut dire quoi? Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted November 1, 2012 Author Partager Posted November 1, 2012 bonjour solitaire ça veut dire quoi? Message reçu et traité lol mes reponses ne passent pas ??? Citer Link to post Share on other sites
Guest N2592 Posted November 1, 2012 Partager Posted November 1, 2012 Message reçu et traité lol :mdr:mais que veut dire le hadith que tu as posté? non ça passe pas:confused: Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted November 1, 2012 Author Partager Posted November 1, 2012 :mdr:mais que veut dire le hadith que tu as posté? non ça passe pas:confused: La Tradition verbale - Sunna Qawliyya - du Prophète SAW est une niche de sagesses; elle se particularise par son caractère laconique, s'exprimant dans un style concis mais éloquent, car riche de sens sagaces et pénétrants. Elle est dans le Coran équivalente de la sagesse: « Lui qui a envoyé au sein des illettrés un Envoyé des leurs pour leur réciter Ses Signes, les purifier, leur enseigner l’écrit et la sagesse »Sourate 62. Le vendredi (Al-Jumua) Verset 2 C'est ce que confirment nombre de savants et commentateurs du Coran comme Qatâda, AI-Hassan, Muqâtil Ibn Hayyân et Abû Malik. Le travail des savants musulmans anciens et modernes a consisté à mettre en valeur ces sagesses, les mettant à la portée de la masse des musulmans; ces derniers n'étant pas qualifiés pour saisir le ou les sens du hadith. Une telle tâche exige de posséder une somme de sciences notarmment religieuses, en sus d'une connaissance éclairée de la réalité. Citer Link to post Share on other sites
Guest N2592 Posted November 1, 2012 Partager Posted November 1, 2012 La Tradition verbale - Sunna Qawliyya - du Prophète SAW est une niche de sagesses; elle se particularise par son caractère laconique, s'exprimant dans un style concis mais éloquent, car riche de sens sagaces et pénétrants. Elle est dans le Coran équivalente de la sagesse: « Lui qui a envoyé au sein des illettrés un Envoyé des leurs pour leur réciter Ses Signes, les purifier, leur enseigner l’écrit et la sagesse »Sourate 62. Le vendredi (Al-Jumua) Verset 2 C'est ce que confirment nombre de savants et commentateurs du Coran comme Qatâda, AI-Hassan, Muqâtil Ibn Hayyân et Abû Malik. Le travail des savants musulmans anciens et modernes a consisté à mettre en valeur ces sagesses, les mettant à la portée de la masse des musulmans; ces derniers n'étant pas qualifiés pour saisir le ou les sens du hadith. Une telle tâche exige de posséder une somme de sciences notarmment religieuses, en sus d'une connaissance éclairée de la réalité. Barak Allahoufik pour cette explication:) Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted November 1, 2012 Author Partager Posted November 1, 2012 Barak Allahoufik pour cette explication:) de rien oui C’est bizarre !!! Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted November 1, 2012 Author Partager Posted November 1, 2012 sidna Youcef alayhi essalam [YOUTUBE]MYSPrDDedf4[/YOUTUBE] Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted November 2, 2012 Author Partager Posted November 2, 2012 Le jeune homme alla dans sa chambre et rassembla tout ce qui lui appartenait. Cela faisait trois sacoches bien remplies. Juste au moment de partir, il remarqua que, dans un coin de la pièce, il y avait encore sa vieille besace de berger. Elle était en piteux état, et il avait bien failli oublier jusqu'à son existence. Dedans, il y avait toujours son bouquin, ainsi que le manteau. Lorsqu'il retira celui-ci, pensant en faire cadeau au premier garçon qu'il rencontrerait dans la rue, les deux pierres roulèrent par terre. Ourim et Toumim. Il se souvint alors du vieux roi et fut tout surpris de s'apercevoir qu'il n'avait plus pensé à cette rencontre depuis bien longtemps. Pendant toute une année, il avait travaillé sans répit, en se préoccupant seulement de gagner assez d'argent pour ne pas devoir retourner en Espagne la tête basse. "Ne renonce jamais à tes rêves, avait dit le vieux roi. Sois attentif aux signes." Il ramassa par terre Ourim et Toumim, et eut à nouveau l'étrange sensation que le roi se trouvait à proximité. Il avait travaillé dur tout au long de cette année, et les signes indiquaient que le moment de partir était venu. "Je vais me retrouver exactement tel que j'étais avant, pensa-t-il. Et les brebis ne m'ont pas enseigné à parler arabe." Et pourtant, les brebis avaient enseigné une chose autrement importante: qu'il y avait dans le monde un langage qui était compris de tous, et que lui-même avait employé pendant tout ce temps pour faire progresser la boutique. C'était le langage de l'enthousiasme, des choses que l'on fait avec amour, avec passion, en vue d'un résultat que l'on souhaite obtenir ou en quoi l'on croit. Tanger n'était maintenant plus pour lui une ville étrangère, et il eut le sentiment que, de même qu'il avait fait la conquête de ce lieu, de même il pourrait conquérir le monde. "Lorsque tu veux vraiment une chose, tout l'univers conspire à te permettre de réaliser ton désir", avait dit le vieux roi. "L'alchimiste" - Paulo Coelho Citer Link to post Share on other sites
Guest cristall Posted November 2, 2012 Partager Posted November 2, 2012 Le jeune homme alla dans sa chambre et rassembla tout ce qui lui appartenait. Cela faisait trois sacoches bien remplies. Juste au moment de partir, il remarqua que, dans un coin de la pièce, il y avait encore sa vieille besace de berger. Elle était en piteux état, et il avait bien failli oublier jusqu'à son existence. Dedans, il y avait toujours son bouquin, ainsi que le manteau. Lorsqu'il retira celui-ci, pensant en faire cadeau au premier garçon qu'il rencontrerait dans la rue, les deux pierres roulèrent par terre. Ourim et Toumim. Il se souvint alors du vieux roi et fut tout surpris de s'apercevoir qu'il n'avait plus pensé à cette rencontre depuis bien longtemps. Pendant toute une année, il avait travaillé sans répit, en se préoccupant seulement de gagner assez d'argent pour ne pas devoir retourner en Espagne la tête basse. "Ne renonce jamais à tes rêves, avait dit le vieux roi. Sois attentif aux signes." Il ramassa par terre Ourim et Toumim, et eut à nouveau l'étrange sensation que le roi se trouvait à proximité. Il avait travaillé dur tout au long de cette année, et les signes indiquaient que le moment de partir était venu. "Je vais me retrouver exactement tel que j'étais avant, pensa-t-il. Et les brebis ne m'ont pas enseigné à parler arabe." Et pourtant, les brebis avaient enseigné une chose autrement importante: qu'il y avait dans le monde un langage qui était compris de tous, et que lui-même avait employé pendant tout ce temps pour faire progresser la boutique. C'était le langage de l'enthousiasme, des choses que l'on fait avec amour, avec passion, en vue d'un résultat que l'on souhaite obtenir ou en quoi l'on croit. Tanger n'était maintenant plus pour lui une ville étrangère, et il eut le sentiment que, de même qu'il avait fait la conquête de ce lieu, de même il pourrait conquérir le monde. "Lorsque tu veux vraiment une chose, tout l'univers conspire à te permettre de réaliser ton désir", avait dit le vieux roi. "L'alchimiste" - Paulo Coelho c'est un livre que j'ai vraiment beaucoup aimé.. et effectivement, plein de sagesse et de sources de méditation sur nous même et l'action que nous avons sur ce qui nous entoure... Citer Link to post Share on other sites
Guest cristall Posted November 2, 2012 Partager Posted November 2, 2012 tiens je crois que je vais le relire... lol Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted November 2, 2012 Author Partager Posted November 2, 2012 tiens je crois que je vais le relire... lol On navigue sans compas avec la disparition des livres de chevet bonjour cristall:) Citer Link to post Share on other sites
Guest cristall Posted November 2, 2012 Partager Posted November 2, 2012 On navigue sans compas avec la disparition des livres de chevet bonjour cristall:) lol oui on tombe peu à peu dans la cécité avec un esprit qui s'atrophie... bonjour :p Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted November 2, 2012 Author Partager Posted November 2, 2012 lol oui on tombe peu à peu dans la cécité avec un esprit qui s'atrophie... bonjour :p Tu as raison, plus de repères… Citer Link to post Share on other sites
solitaire1 10 Posted November 2, 2012 Author Partager Posted November 2, 2012 [YOUTUBE]c8NOLSvDOwA[/YOUTUBE] Citer Link to post Share on other sites
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