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[YOUTUBE]OT0navFuFic[/YOUTUBE]Massacres coloniaux en Algérie

 

Alors que l'Europe célèbre la fin de la Seconde Guerre mondiale, dans le Constantinois, des manifestations nationalistes sont réprimées avec une violence inouïe par l'armée française. Que s'est-il vraiment passé ce jour-là et ceux qui l'ont suivi ? Quel fut le bilan de ces « événements » dramatiques ? Quel retentissement eurent-ils à l'époque et quel rôle ont-ils joué dans la marche des Algériens vers l'indépendance ?

 

Le 8 mai 1945, alors que les Alliés fêtaient leur victoire sur l'Axe, le Constantinois, au nord-est de l'Algérie, pleurait ses morts, pansait ses blessés et redoutait la poursuite d'une terrible répression. Les villageois de la région avaient alors appris une supplique : Tiyara sefra, habsi ma tadharbich, « Avion jaune (celui qui larguait sans compter ses bombes), arrête de nous viser ». Cette prière devint très vite une chanson populaire nourrissant le patriotisme des nationalistes de tous bords. Les massacres de Sétif ont, sans doute, constitué un acte fondateur de ce que les uns appellent « révolution » et les autres « événements » puis « guerre d'Algérie » pour évoquer la lutte de libération

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oui c'est tout à fait une trahison de nos matyrs...

Tu veux dire "à nos martyr" j’espère.

Bonjour Dump ert Azebon.

 

 

C'était précisément a Setif, Guelma et Kherrata.

 

Le premier martyr qui est tombé était un jeune homme Seetifien qui tenait un drapeau dans la main. "Saâal Bouzid".

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Tu veux dire "à nos martyr" j’espère.

Bonjour Dump ert Azebon.

 

 

Mr.Sekini, C'était a Setif, Guelma et Kherrata, Constantine n'a rien avoir la dedans.

 

Le premier martyr qui est tombé était un jeune homme Seetifien qui tenait un drapeau dans la main. "Saâal Bouzid".

merci pour cette information smiley.allah yarham echouhada...

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oui c'est tout à fait une trahison de nos matyrs...

 

peut-être ! il en a certainement une bonne partie qui ont trahi mais pas tous je pense.

 

c'est pour ça que je n'aime pas ces occasions, je ne peux pas m'empercher de faire du recule et comparer l'Algérie d'avant et d'aujourd'hui.

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peut-être ! il en a certainement une bonne partie qui ont trahi mais pas tous je pense.

 

c'est pour ça que je n'aime pas ces occasions, je ne peux pas m'empercher de faire du recule et comparer l'Algérie d'avant et d'aujourd'hui.

tu crois que l'algerie a fait de grands pas sur tous les niveaux?

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tu crois que l'algerie a fait de grands pas sur tous les niveaux?

 

alors là ! à tous les niveaux !!! c'est pas ce que j'ai dis.

j'ai un salaire de 60.000 da, mon mari est medecin, il touche 55.000 da et même avec ça, nous vivons toujours chez mes parents. bonjour les grands pas !

 

je n'aime pas ce qu'ait devenu ce peuple.

je pense à toutes les personnes qui se sont sacrifier pour voir leurs enfants s’immoler par ce qu'ils n'ont pas leurs droits primaires.

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alors là ! à tous les niveaux !!! c'est pas ce que j'ai dis.

j'ai un salaire de 60.000 da, mon mari est medecin, il touche 55.000 da et même avec ça, nous vivons toujours chez mes parents. bonjour les grands pas !

 

je n'aime pas ce qu'ait devenu ce peuple.

je pense à toutes les personnes qui se sont sacrifier pour voir leurs enfants s’immoler par ce qu'ils n'ont pas leurs droits primaires.

allah yberak khti.

tu ne vois pas que ce phénomène est intrus dans notre société,qui n'a aucune relation avec la pauvreté,le chômage et c'est catégoriquement hram vu notre charia?

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exacte. le problème est plus grave : il n y a pas un coin où on peut se sauver, toute la surface est pourie.

au début de mon mariage, je rêvais de créer un monde à moi et mon mari dans notre foyer.

après quelque temps je m'aperçois que le phénomène s'incruste même dans la vie privée.

 

j'ai lu hier dans le quotidien el watan, qu'un jeune algérien a été arrêté par ce qu'il a appelé au boycotte du vote, il a utilisé le net !!!

bientôt en aura peur de dire des choses dans notre tête.

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Guest jazairia
salam

 

juste pour avoir exhiber le drapeau algérien, tout ça fini en massacre c'est d'une tristesse... nous n'oublierons pas, nous n'oublierons jamais

 

ALLAH Yarhmoum

 

C'était celui la qui avait brandi le drapeau algérien Bouzid Saal il avait 23 ans tué par un milicien qui faisait parti des milices qui s'étaient formée a l'époque pour la circonstance ; des milices armées(civil) de colon (comme celle qui existe en ce moment en Palestine)

 

343364najah6.jpg

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C'était celui la qui avait brandi le drapeau algérien Bouzid Saal il avait 23 ans tué par un des milices qui s'étaient formée a l'époque pour la circonstance ; des milices armées(civil) de colon (comme celle qui existe en ce moment en Palestine)

 

343364najah6.jpg

merci pour la partage

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Il y a 67 ans,bouzid Saal et la marche de la liberté

 

Le jeune homme était plutôt frêle pour son âge (22 ans) et portait une vieille chemise de scout, bleu pâle, mal repassée.

Il n’était pas peu fier de se retrouver en tête d’un cortège qu’il n’a pas vu grossir, et grossir encore sur 700 ou 800 m, entre la vieille mosquée de la Gare, à Sétif, et le café de France. Mme Theldja Nouar, aujourd’hui âgée de 79 ans, se souvient de ce jeune homme dont elle a appris, plus tard, qu’il se nommait Bouzid Saâl et qu’il résidait près d’El Ouricia, à une dizaine de km de Sétif. Elle se rappelle aussi de l’homme en complet gris qui s’approcha du jeune homme qu’il abattit froidement après avoir tiré une première fois en l’air. Mme Nouar avoue n’avoir pas compris, à l’époque, le sens des paroles de l’homme au complet gris lorsqu’il s’était mis à hurler à l’adresse de Saâl. Elle se souvient aussi du long youyou (« il siffle encore à mes oreilles », dit-elle) qui déchira le silence pesant provoqué durant d’interminables secondes par les deux coups de feu. « Ce fut ensuite la débandade, tout le monde courait dans tous les sens, des gens tombaient pendant que d’autres coups de feu claquaient dans le ciel sétifien, et j’ai été obligée de me sauver chez moi, j’avais tout juste 12 ans », ajoute la vieille femme en stoppant du bout du pouce une larme qui commence à perler au creux de son œil droit. Ce bref témoignage, même s’il ne raconte que le premier acte d’un ignoble carnage qui verra, au final, des dizaines de milliers d’Algériens tomber sous les balles, les projectiles de mortiers et les enfumages de l’armée coloniale, dit toute la détermination des autorités françaises d’étouffer dans l’œuf toute velléité de révolte des Algériens. Il y avait foule à Sétif en ce mardi 8 mai 1945, se souvient Lakhdar Taârabit qui fut membre de la fondation éponyme créée par le regretté Bachir Boumaza pour que nul n’oublie ces massacres. La marche que les Amis du Manifeste voulaient pacifique et disciplinée devait s’ébranler de la mosquée de la Gare, traverser la rue de Constantine, rejoindre l’avenue Georges-Clémenceau (aujourd’hui avenue du 8-Mai 1945) pour bifurquer ensuite vers le monument aux morts pour y déposer une gerbe de fleurs à la mémoire des Algériens conscrits par l’armée française et qui moururent sur les champs de bataille durant la Seconde Guerre mondiale. « En fait, cette marche devait être mise à profit par les Algériens pour réclamer leur liberté », souligne M. Taârabit. Quelques drapeaux aux couleurs vert et blanc, frappés d’une étoile et d’un croissant ont été confectionnés, quelquefois à la hâte, durant toute la semaine précédente. Ils ont été agités pendant la procession qui fut grossie par des centaines de personnes qui ne se trouvaient à Sétif que parce que c’était jour de marché. L’un de ces étendards était brandi par Bouzid Saâl qui entonnait avec ses amis scouts le chant « Min Djibalina talaâ saout el ahrar » (de nos montagnes s’est élevé le cri des hommes libres). C’est précisément cette image, celle de ce « va-nu-pieds » brandissant l’emblème algérien qui mit le commissaire Olivieri hors de lui. En dégainant son revolver, tirant et en tuant Bouzid, cet officier de police venait de sonner la charge contre tout ce qui n’était pas européen. Les massacres aveugles s’étendirent à toute la région de Sétif, atteignirent Kherrata, puis Guelma ensuite plusieurs autres régions du pays. Pour M.Taârabit, « Olivieri n’a sans doute pas bien mesuré les conséquences de son geste, car l’assassinat qu’il venait de commettre de manière lâche a été, certes, le détonateur des massacres que l’on sait, mais a également raffermi la détermination des Algériens à recouvrer leur liberté, car 9 années plus tard, l’étincelle de Novembre allait emporter tous les Olivieri ».

 

Horizons-dz.

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Drôle de publication sur Wikipidéa concernant les massacres de Setif :confused:

 

Le nombre des victimes autochtones faites en représailles reste sujet à débat. Les autorités françaises de l'époque fixèrent le nombre de tués à 1 165 ; un rapport des services secrets américains à Alger en 1945 notait 17 000 morts et 20 000 blessés ; le gouvernement algérien avance le nombre de 45 000 morts ; alors que suivant les historiens le nombre varie de 6 000/8 000 (Charles-Robert Ageron6, Charles-André Julien) à « des milliers de morts ».

 

Wikipidea : 8 mai 1945

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Guest Joud
Drôle de publication sur Wikipidéa concernant les massacres de Setif :confused:

 

Le nombre des victimes autochtones faites en représailles reste sujet à débat. Les autorités françaises de l'époque fixèrent le nombre de tués à 1 165 ; un rapport des services secrets américains à Alger en 1945 notait 17 000 morts et 20 000 blessés ; le gouvernement algérien avance le nombre de 45 000 morts ; alors que suivant les historiens le nombre varie de 6 000/8 000 (Charles-Robert Ageron6, Charles-André Julien) à « des milliers de morts ».

 

Wikipidea : 8 mai 1945

 

La vérité sur ces massacres a toujours été occultée par les autorités françaises , en dépit des archives qu'elles détiennent et qu'elles refusent de fournir aux autorités algériennes , car la vérité éclaterait alors au grand jour et révèlerait le visage hideux et haineux du colonialisme français ...

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